Cadeau D'Anniversaire

Un anniversaire surprise
Et oui les années passent, mais heureusement, pour nous, notre amour et notre complicité n’ont pas changés et les diverses aventures candaulistes n’ont fait que renforcer notre intimité.
Cette année, l’anniversaire de Jean tombait un mardi et ne travaillant pas le lendemain, je lui promis une bonne soirée en amoureux, mon Jean ayant une grande liberté dans ses horaires de travail .
La veille de cette fameuse date, nous avons reçu un appel d’une amie, au sens propre du mot, qui, en stage dans notre ville , se proposait de venir passer la soirée avec nous ; Jean se fit un peu tirer l’oreille , avant d’accepter du bout des lèvres . Myriam est une femme de 45ans, 1.65, potelée mais proportionnée, avec des grands yeux verts, très expressifs, très élégante et très féminine et ayant un principe » moi d’abord, je vois ensuite » et jean avait parfois des réserves sur son comportement égoïste.
Le jour dit, vers 19h j’appelais Jean en lui disant que j’aurai un peu de retard, ayant été retenu par mon patron et je lui demandais de recevoir Myriam et de commencer l’apéritif ; j’avais préparé un punch au gingembre un peu corsé ; Jean fut déçu et un peu énervé par mon retard, mais je lui demandais d’être très gentil avec notre invitée et que de toute façon, je n’étais pas loin ; et c’était le cas, car j’avais une petite idée derrière la tête et en réalité, j’étais arrivée silencieusement par le garage et quand Myriam arriva, j’étais prête dans une petite pièce, ouvrant sur le salon, curieuse , un peu anxieuse, mais mon ventre vibrant à l’idée de cette soirée, avec le risque que nos deux lascars ne réagissent pas.
A 19h15, comme prévu, Myriam arriva, toujours aussi décontractée, jupe culotte, collant ou bas noir, chemisier blanc, déboutonné, jusqu’à la naissance des seins, poitrine généreuse ; après la bise de bienvenue, jean lui offrit un verre en lui expliquant mon retard ; si jean paraissait nettement contrarié, ma Myriam , elle sembla apprécier mon absence « cela ne va pas contrarier notre soirée, dit-elle, pour une fois je t’ai pour moi toute seule » ; mon Jean fit semblant de ne pas entendre et remplit à nouveau les verres ; la discussion prit alors un autre tournant, myrian se plaignant de sa solitude et de l’absence fréquente de son mari ; la petite garce, sa séduction vers mon mari se dévoilait, une pointe de jalousie vint me mordre et en même temps mes envies allaient peut-être se réaliser .


My s’était rapprochée de Jean et commençait à se faire chatte en chaleur, sa main se promenait sur sa cuisse, faisant remonter sa jupe et dévoilant en même temps la bordure en dentelle de ses bas ; jean ne bronchait pas, je savais qu’il lui manquait mon accord ; profitant du dos tourné de My , je passais une main dans l’entrebâillement de la porte et je vis alors Jean se détendre, il avait compris mon jeu ; la soirée pouvait commencer, son attitude changea et sa main partit à l’aventure du corsage, My , surprise du changement , se laissa faire et rapidement les deux globes ronds, lourds, le téton saillant avec autour une large auréole jaillirent des bonnets ; un baiser fongueux de My réveilla ma pointe de jalousie, mais aussi mon désir et ma main partit caresser mon sein, gonflé d’excitation ; jean se mit à téter les mamelons , à malaxer ces deux sphères charnelles, et les deux tétons prirent vite du volume et une jolie couleur rouge ; jean avait jouer des dents sur eux ; faisant sauter sa jupe, il descendit sa bouche sur le slip de My, qui écarta ses jambes, et plaquant la tête de jean en ses cuisses, commença à haleter ; les mains écartèrent le slip et des doigts fureteurs envahirent à la fois la grotte en chaleur, mais aussi le sillon postérieur ; My se tortillait sous les deux caresses, sa tête dodelinait et les yeux fermés, elle passait sa langue sur ses lèvres . D’un geste Jean arracha le mini slip et plongea sur le sexe, puis la courbant sur le canapé, il investit le petit temple du plaisir, sa langue ressortant pour lécher le clito, ses mains serrant les lobes fessiers, les doigts s’enfonçant dans les chairs. Dans ma cachette, ma main libre avait rejoint mon sexe et mes doigts jouaient avec mon bouton, mon mari me jeta un regard coquin, ce qui eu pour effet de faire monter mon plaisir ; m’appuyant sur le mur, j’enfonçais deux doigts dans la chatte faisant surgir une onde de plaisir de plus en plus forte ; stimulé, mon jean quitta la place forte et quitta rapidement ses vêtements, laissant apparaitre un sexe gonflé, tendu ; les sursauts montraient son envie et me regardant avec un petit sourire narquois , il planta sans façon sa bite dans la chatte de My ; sous la surprise, celle-ci eu un petit hoquet puis d’un mouvement de bassin se propulsa au devant des coups de piston de son partenaire ; la jouissance de My devenait de plus en plus visible et ses cris à chaque coup de butoir au fond de son ventre emplirent la maison ; devant le spectacle, mes envies devenaient difficiles à contrôler et me mordant les lèvres pour ne pas crier, ma masturbation s’accélérait, mon mari le vit , et il comprit mon plaisir de le voir baiser notre amie, et aussi mon plaisir de lui offrir un autre sexe que le mien .

Retournant My et se plaçant de coté pour que je puisse suivre la pénétration, il continua la baise en levrette, tournant sur le bouton de son cul rebondi, écartant les deux fesses, son doigt humecté de la mouille de My commençât une lente intrusion ; lentement la pastille s’ouvrit et jean plaçant sa queue força l’entrée ; la douleur de l’enculage fit place rapidement au plaisir et My se mit à remuer son cul, sollicitant de plus en plus la pénétration de ce sexe qui la faisait jouir ; je voyais le plaisir sur le regard de jean et ses paroles cochonnes devenaient de plus en plus sourdes et dans un cri rauque, il lâcha son foudre au fond du cul de My, qui dans un brusque soubresaut partit en longs râles, tenant les hanches de jean afin de ressentir au plus profond d’elle les jets témoignant du plaisir de son amant d’un soir .
Je ne tenais plus et mordant ma main, les genoux pliés par la puissance de mon plaisir, ma chatte se remplit de cyprine et m’inondât les doigts, et discrètement je quittais mon poste ; après un long moment de récupération, je retournais à la voiture et faisant le plus de bruit possible, je rentrais dans le salon ; mes deux lascars avaient repris leur position conventionnelle et avec empressement, un verre à la main, je m’excusais de mon retard et leur demandais si le temps n'avait pas été trop long ; légèrement gênée, My me rassura et jean eut ses mots merveilleux » c’est le plus beau cadeau d’anniversaire » devant l’air ahuri de My, je lui montrais alors la porte entrebâillée du réduit et pour lui faire comprendre que j’avais été une spectatrice , je demandais à Jean de faire plus tard en cadeau à My un joli string pour remplacer celui qu’il avait mis en lambeaux ; enfin elle comprit ma présence et ma connivence avec mon Jean et lui donnant un petit baiser sur les lèvres, lui souhaitât bon anniversaire ; le repas se déroula sans problème et comme trois bon amis ; Myriam partît un peu plus tard et la suite vous pouvait le deviner, car mes envies étaient entières et j’avais beaucoup à rattr .

Jean ne tarda pas à me remercier de ma très bonne idée pour cette soiréed' anniversaire. Une nouvelle fois nous nous témoignâmes notre plaisir à voir l’autre possédé par une tierce personne, avec ou sans participation, et c’est très tard le lendemain, que Jean a repris son travail, les bourses vides. Moi la chatte, la bouche et mon petit trou enfin rassasiés de sexe, j’ai enfin, en me caressant doucement, pu apprécier le plaisir d’un, mari- amant- cocu aussi fière de sa petite pute, cocue elle aussi et fière de le faire avec lui.

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