L'Ami Qui Assure 3
Je finissais mon verre de sperme. Javais les couilles vidées mais navais pas joui. Frustré, mais heureux de voir Karine, mon épouse, épanouie. Elle semblait prendre les événements comme si elle jouait.
Elle me remit ma cage de chasteté, avant de menvoyer faire les courses.
A mon retour, les deux amants mattendaient. Habillés pour une randonnée, sac à dos, je neu que quelques minutes pour me préparer.
En sortant du lotissement, Paul me fit me garer dans un parking désert. Il mordonna denlever mes vêtements. Je nosais agir. Karine vint vers moi courroucée. Elle minforma que soit jobéissais, soit je rentrais seul à la maison Inutile de dire que je me suis exécuté en vitesse. Je priai pour que personne ne passe et me reconnaisse. La chance était avec moi.
Paul mordonna de monter dans le coffre en me tentant un collier avec une laisse et un bandeau.
- « mets le collier et le bandeau pendant le trajet, et que je ne tentende pas
Je minstallais comme je pouvais, recroquevillé, en chien de fusil dans le coffre que referma Paul. Le bruit sourd de la fermeture et le noir accentue linconfort de la position. Le temps parait très long enfermé ainsi et les nombreux virages vous font heurter les parois du coffre.
Quand Paul ouvrit le coffre et me retira le bandeau, je fus dabord ébloui par la lumière. Il mextirpa en me tirant par la laisse. On me laissa mettre mes chaussures. Dune main, Paul me tirait par la laisse, Je suivais à ses cotés. De lautre coté, Karine sappuyait sur son bras. Elle portait une jupe très courte et un chemisier blanc. Nous avancions dans les bois du Jura allant de clairière en clairière.
De temps en temps, la main de Paul lâchait celle de mon épouse pour se glisser sous la jupe, provoquant des rires de ma belle.
Arrivé dans un belle clairière, entourée de conifères robustes, Paul ouvrit le sac à dos et décida de mattacher contre un tronc, le torse tourné vers le tronc.
Mon ami sy connaît en nud, je ne pouvais presque pas bouger, les bras et les jambes encerclant le tronc et exhibant ainsi les parties charnues de mon anatomie.
Pendant ce temps Karine avait déposé sur le sol, un grand plaid. De ma place, je ne pouvais pas tout voir. Paul avait envie de Karine, il lui demanda de le sucer
.je nai pas vu, mais jai entendu Karine jouir plusieurs fois, implorée Paul de la défoncer. Jai entendu Paul grogner de plaisir en jouissant.
Ils se sont reposés pendant un long moment. Le temps parait aussi très long quand on est attaché. Cest Karine qui se réveilla en premier. Elle vint vers moi. Elle était nue. Malgré les cordes je sentais la douceur de sa peau.
- « As-tu entendu comme jai bien joui ?
- « Oui, jai entendu et cela mexcite »
- « Tu nes quun sale pervers, je ne tai jamais ordonné de texciter ni découter, tu seras donc puni » et sur ce, Karine ramassa une branche de pin et commença à me fouetter
- « Tu devrais essayer avec cette branche », intervint Paul. « Laisse moi te montrer » Paul appuyais plus fort les coups. Je serrais les dents de rage pour éviter de donner du plaisir à Paul.
Mes fesses ne brûlaient atrocement. Paul après s être éloigné revint et commença à me badigeonner les testicules avec du lait concentré
. » Les fourmis devraient aimées. Allez vient, la femme du cocu, on va se promener. On revient tout à lheure.
Paul et Karine se sont habillés et sont partis en riant.
Je me retrouvais seul dans cette forêt. Je connaissais trop Karine pour savoir quelle reviendrait
mais quand.
Mon ami avait raison, les fourmis mais aussi les insectes aiment le lait concentré. Cela me chatouillait dêtre parcourus par tous ces insectes. Je ne pouvais pas bouger et javais trop peur de me faire piquer.
Le soleil, commençait à baisser. Heureusement jentendis des bruits de pas.
- « Venez vite, s'il vous plais, les insectes me chatouillent trop.
- « Mais cest Jean, quelle surprise ? Quest-ce que tu fous comme ça ». Je reconnus immédiatement cette voix.
Cétait mon ancien collègue Alain, avait qui j entretenais des relations polies mais tendues. Le monde seffondrait devant moi. Toute la région allait être au courant.
- « détaches moi s'il te plais demandais-je.
- « Ah non. D'abords tu mexpliques et après je verrais.. et vu tes fesses, je pourrais taider à retrouver la mémoire en les faisant davantage rougir »
- « Ok mais enlèves ces insectes.
Alain prit de leau dans sa gourde et me nettoya les couilles. Puis les attrapant et les tirant en arrière, il minvita à commencer. Je lui racontais tout. Je décrivais Karine et Paul.
Il mexpliqua quil avait vu un couple se baigner au bord du lac, non loin de là. Le couple avait pris du bon temps à la joie de certaines personnes. Il avait assisté aux ébats comme voyeur. Cela lui donnait des envies, quil voulait se soulager. Il sortit un préservatif et un peu de gel quil appliqua sans ménagement sur mon illet.
Alain essaya de me sodomiser, ma position attachée ne facilitait pas sa tâche. Plus je lui interdisais de le faire, plus cela semblait lexciter. Il réussit pendant que je le traitais de salaud. Il se retira pour éjaculer sur mes fesses.
- « Merci, mais si tu tiens à ce que cela ne se sache pas, tu devras me rejoindre quand je tappellerais. Ton cul mappartient maintenant
Allez sois patient, ils vont bientôt arriver. A bientôt ma lopette. »
Alain est parti en me déposant une claque sur les fesses.
Peu de temps après Karine et Paul arrivèrent
..et...
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