La Pianiste
Nous sommes tous à l'écoute de cette pianiste, son sens du rythme transforme ce festival de jazz en féerie. A la fin ne sont pas des applaudissement, c'est le triomphe. Elle salut le public, sort de scène. Je ne sais pour les autres, je suis subjugué par cette fille, d'une part parce qu'elle est excellente pianiste et ensuite son quelque chose que je ne saurais définir. C'était la dernière concertiste de la soirée. Je suis la foule vers la sortie. Étant parmi les derniers, je remarque que cette fille sort par une autre porte. Je ne sais pourquoi, je la suis. Ce n'est pas mon genre de suivre une fille et pourtant quand elle entre dans un petit café, je l'y suis. Je viens près d'elle. Je la vois de près: elle est sensationnelle. Une longue chevelure bouclée blonde qui descend en cascade sur ses épaules pour descendre à mi dos. Je ne parle même pas de son corps: divin. Je voudrai bien lui parler un peu. Elle déguste sa consommation et, surprise pour moi, m'adresse la parole. Oh, rien d'important: elle me demande où elle pourrait trouver une boite pour s'y délacer.
Je connais un endroit où vont les couples d'amoureux. Je l'y emmène, nous y rentrons facilement. Heureusement qu'en semaine, la boite et à moitié vide. Nous nous installons comme de veille connaissances à une table un peu isolée. Les clients la remarque vite à cause de sa coiffure. Je l'invite pour danser un slow. Elle me suit sur la piste, je la prends dans mes bras. Elle se colle à moi pour danser. Nous bavardons de toute autre chose que de musique : elle me demande:
- Avez vous une petite amie ?
- Non, j'ai rompu il y a quelques semaines.
- Pourquoi ?
- Nous ne nous entendions pas trop sur le plan sexuel.
- C'est dommage. Elle refusait des façons de faire ?
- Oui, on peut dire ça.
- Certaines filles sont bloquées. Heureusement que je ne lui suis pas.
- Ce qui veut dire draguer moi...
- Non ce n'est pas la peine, c'est moi qui drague.
Ce disant, elle se colle encore plus contre moi. En effet c'est elle qui me cherche. Je ne suis pas contre l'idée, pourtant j'ai mieux faire les premiers pas. La danse finie, nous revenons nous asseoir. Elle reste toute prés de moi. Pas contre moi.
- Comment vivez-vous les déplacements constants : ce ne doit pas être facile de trouver un ami ?
- Je me débrouille toujours pour trouver chaussures à mon pied.
- Je serai donc une chaussure ?
- Pas du tout : vous ne m'avez pas à venir avec vous.
- C'est vrai. Vous ce n'est pas pareil, vous me plaisez bien plus que d'autres.
- Et dans ce cas que faisons nous ?
- Ce que font des foules de couples.
- C'est-à-dire ?
- Vous ne voulez pas un dessin.
- Non j'ai compris, enfin je crois.
Pour bien appuyer mes paroles je me penche un peu pour l'embrasser. Je trouve sa bouche qui m'attendait. Nos langues se mêlent pendant un bon moment, un autre slow nous entraîne à nouveau: cette fois nous sommes très serrés. Son ventre se colle contre moi: elle ne cherche qu'une seule sensation: ma bandaison. Elle n'est pas déçue. Je bande depuis un bon moment. Elle ne fait rien pour calmer. Au contraire elle se colle encore plus. J'ai même l'impression qu'elle essaye de masturber en dansant. Je lui embrasse le cou en dansant; elle enlève sa main de mon épaule pour venir contrôler si je bande bien; Elle prend ma queue pour la masser. Si elle continue je sens que je vais jouir.
Coup de chance; la musique s'arrête. Nous revenons nous asseoir Cette fois je ne veux plus qu'elle me fasse encore un pareil geste. Je suis toujours contre elle. Je pose une main sur son genou. Je passe ma main sous sa jupe. Elle me demande d'arrêter. Par contre elle me donne un baiser d'enfer; elle me propose de venir avec elle à son hôtel.
Je ne refuse pas cette invitation. J'aurais eu tord de refuser: la fille est sympathique sexy et semble-t-il assez portée sur la bagatelle. Nous entrons dans sa chambre, la meilleur de ce 4****.
Elle soupire qu'elle me veut là, justement sur son bouton. Je le lèche continuellement: elle jouit plusieurs fois, à ma grande joie. A la sienne surtout. Je bande de plus en plus: je me met tout nu. Elle ne regarde qu'une seule chose: ma bite bien droite:
- Mets moi là, maintenant.
- Attends un peu, s'il te plaît, je n'ai pas fini de te peloter.
- Qu'Est-ce que tu veux me faire ?
- Tes seins, je n'ai pas caressé tes seins.
- Je m'en fiche, baises moi.
Je ne l'écoute pas. Je suis mes envies: je veux lui sucer les seins. Je me mets presque sur elle, je prends son sein gauche, je l'embrasse avant de tirer un peu sur ses tétons. Je l'aspire longuement: elle gémit toujours:
- Baises moi maintenant j'en crève d'envie.
Cette fois, je me mets sur elle qui écarte ses jambes un peu plus. Elle prend ma bite pour la mettre sur son entrée de la grotte. Cette fois j'entre dans son antre mouillé à souhait. Si je suis excité, ce n'est rien à coté d'elle. Je n'ai pas le temps de la lui mettre à fond qu'elle jouit. Je commence les vas et viens: elle s'accroché à moi comme à une bouée par les épaules. Nos pubis se rencontrent à chaque poussée. Elle jouit toujours en silence, elle dit simplement qu'elle jouit. Je m'en rends compte à chaque fois par les crispations périodiques du vagin de la pianiste. Elle remue la tête dans tous les sens. Elle demande une pose, juste après que j'ai jouis.
Je la prends dans mes bras. Elle se confit:
- J'étais jeune quand j'ai baisé pour la première fois. C'était assez bon sans plus. J'ai bien joui avec une amie de classe de musique. Nous baissions souvent, jusqu'au jour où un de nos amis est venu par hasard, je mêler à nos jeux lesbiens. Ça était pour moi la révélation de l'amour en entier. Depuis je ne baise plus qu'avec des hommes. Si je n'en trouve pas je ne cherche même plus les filles qui sont nombreuses dans mon métier: je préfère me masturber Si tu veux je te montrerai comment je fais.
Je suis ravi de cette confession, ce qui a le mérite de me montrer sa sexualité. Ces petits souvenirs me fon encore bander.
- J'aimerai te la mettre au cul, tu veux ?
- Pourquoi pas ! J'aime aussi par là. Mets moi la.
Je n'en attendais pas moins. Je la tourne pour la mettre en levretta. Elle ne veut pas comme ça. Libre à elle. Elle se met sur le dos, lève un jambe, me demande de passer la mienne, pose son autre jambe pour que je pose la mienne au dessus.
- Vas-y mets moi la.
- Comme ça ? Sur le coté pour moi ?
- Oui, j'aime me faire enculer comme ça
Je n'hésite plus : Ma bite tâtonne un peu entre ses fesses. Je trouve enfin le petit trou bien caché au fond des fesses. Je pose doucement ma pine contre son petit trou ridé. Elle a l'air d'aimer bien cette façon de faire. Elle se branle sans pudeur, prise par le désir d'encore jouir. Je rente doucement dans son anus. Elle n'est pas du tout crispée. Je rentre lentement: je passe sans dommage le sphincter. J'y mets toute ma bite. Elle accompagne mes vas et viens. Je la sens jouir plusieurs fois. A mon tour d'éclater dans ses entrailles.
Nous nous dégageons de notre position agréable pour elle, inconfortable pour moi. Elle reste couchée sur le dos, les jambes ouvertes, tous ses secrets bien en vue. J'ai encore envie de la sucer. Je pose la langue sur le clitoris. Elle jouit rapidement. Dès cet orgasme je recommence encore: elle jouit encore plus vite. Je ne cesse pas mes succions. Elle jouit continuellement à tel point qu'elle me demande de cesser. Je n'ai pas envie de lui obéir. Ma langue insiste toujours: elle ne jouis plus comme avant: c'est un orgasme sans fin. Elle est presque évanouie au final. Je me redresse pour l'embrasser encore. Elle a juste la force de me rendre le baiser.
Cette fois ci elle ne veut plus sien, son sexe est un vrai champs de batailles où les caresse et jouissances se livraient une guerre totale que j'ai gagné.
Nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre.
Ce n'est qu'on petit matin quand je me réveille que je constate les dégâts Elle est toute décoiffée !!!
Je caresse sa chevelure blonde: elle se réveille. Elle m'embrasse, prend ma pine: je la laisse faire, après tout j'ai bien profité d'elle comme elle de moi. Je pensais qu'elle allait me branler: elle se penche vers ma queue, la prend dans la bouche. Sa langue lèche mon gland longuement. Elle enfourne le reste de ma queue. Je me laisse faire en ayant des sensations très fortes. Elle suce comme le ferai une professionnelle. Mieux qu'elle sans doute: elle fait durer la fellation sans doute plus d'une demi heure. Je l'avise:
- Je vais jouir.
Elle me regarde tout simplement:
- Vas-y jouis sans crainte, j'aime ça.
Je ne me retiens plus: elle me suce tellement bien que je ne peux plus me retenir: je jouis.
Elle me regarde, en venant près de moi:
- Je me vengeais d'hier. Quand te ne voulais pas arrêter de me sucer.
- Pourquoi, tu n'as pas bien jouis ?
- Si trop peut-être.
- Tu n'en es pas morte que je sache.
- Non. Je vais te montrer comment je me branle, tu verras après ce que tu peux me faire.
Elle vient s'installer à cheval sur ma tête, tout son abricot ouvert, une main va se loger dans ses fesses, une autre rejoint bien vite son clitoris. Elle se branle sans arrêt plusieurs fois malgré ses orgasmes. Je ne peux plus tenir: il me la faut encore une fois, dans le con de préférence. Je la fais tomber sur moi. Je l'embrasse encore, la couche sur le dos. Sans autre explication elle se met en position de baise. Nous nous accouplons encore heureusement pour elle. Elle m'a bien fait jouir il y a un instant. Je la lui mets vite comme elle s'y attendait. Elle me donne tout son sexe. Cette fois c'est fini .
Le festival dure trois jours : trois nuits de baise intensives.
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