Eveil À La Soumission Et Délice De La Douleur

Mon mari, Frédéric, s’était rendu compte il y a quelques semaines que j’avais un amant, mon supérieur hiérarchique. Lionel et moi passions beaucoup de temps ensemble. Travailler, déjeuner, les réunions, les dossiers délicats nous ont rapprochés petit à petit. Je l’admirais secrètement. C’est un homme d’une quarantaine d’année, un visage aux traits fin mais dégageant un sentiment de puissance, des yeux presque aussi noir que ses cheveux court, mains toujours soignées et surtout habillé avec goût. Plutôt grand, de larges épaules et des bras plutôt musclés qu’il doit à la pratique de sport assez intensive, il fait des compétitions de triathlon, « Ironman » pour être plus précise, bien que je ne connaisse pas vraiment la différence, mais il s’agit de courir, de nager et de faire du vélo sans s’arrêter pendant pratiquement toute une journée selon ses explications. Car nous parlons beaucoup pendant la pause déjeuner. C’est d’ailleurs pendant l’une d’elle que j’ai craquée pour lui. Nous étions dans une période calme et pouvions donc nous permettre des pauses repas plus longues. Nous quittions vers midi et devions être de retour vers 14h au bureau. Apres avoir déjeuné dans une brasserie, comme ils nous restaient plus d’une heure devant nous, il me proposa un café chez lui. J’acceptais avec joie cette invitation, surtout par ces mois d’hivers. Bien qu’il déjeune tous les midis avec moi à la brasserie, il habite pratiquement en face de l’entreprise, il me dit ne pas aimer cuisiner.

Lorsque j’entrais dans son appartement, j’eus comme une étrange sensation, je réalisais que je pénétrais dans sa réelle intimité pour la première fois. J’en étais troublée. Il me débarrassa de mon manteau et disparu dans la cuisine pour nous préparer le chaud breuvage en me signalant la direction du salon. C’était décoré avec goût et propre pour un homme seul depuis 6 mois. Je savais qu’il avait une personne qui venait faire le ménage mais j’étais étonné et heureuse de découvrir ce côté là de sa personnalité.

Alors que j’étais en train de m’imprégner de ce nouvel environnement, assise dans le canapé, il apparut avec un plateau chargé de la cafetière, des tasses et de quelques petits gâteaux approprier. Il le posa sur la table basse et prit place auprès de moi. À ce moment là, je ne puis dire ce qui me prit, mais une chaleur envahie mon bas-ventre. J’avais une terrible envie de le sentir en moi. J’étais particulièrement ébranlé par cette nouvelle sensation. Alors que j’aime profondément mon mari, je me sentais soudainement attirer par un autre homme. Une attirance tout à fait particulière, c’est comme si mon corps le réclamait. Je ne peux même pas dire que je l’aimais à ce moment précis, je peux juste dire que j’avais envie qu’il me prenne, qu’il me possède, qu’il fasse de moi sa femelle. C’était une subite pulsion ancestrale, l’envie d’être sous le joug du mâle dominant. Il ressentit ma gêne :

— Ça ne va pas Caroline ?
— Ca va ! C’est juste le fait d’être ici, je me rends compte que je ne te connaissais pas vraiment puisque c’est la première fois que je viens chez toi.

Il avait comprit bien mieux que moi ce qu’il se passait. Il se pencha vers moi et déposa délicatement ses lèvres sur les miennes. Mon corps tremblant ressentait déjà la chaleur de ses mains au travers des étoffes qui me couvraient encore. Malgré ma jupe, je les sentais parcourir mes hanches girondes, glisser le long de mes cuisses, atteindre la soie de mes collants puis remonter dans la chaleur de mon entrejambe après que j’ai docilement écarté celles-ci. Ses doigts courraient sur mon sexe, je sentais leur pression sur mon clitoris et sur mes grandes lèvres. À mesure qu’il me touchait, mon slip et mes collants humidifié s’insinuaient en moi. Adroitement, de son autre main, il avait dégrafé mon soutien-gorge et massait mes seins très habillement, je dois dire. Il torturait gentiment mes tétons durcis, les pressait entre ses doigts. Remontant mon pull, il les mit à découvert pour pouvoir les sucer et les mordiller.
Mon ventre réagissait vivement à ses douceurs. Je me sentais toute mouillée. Nos bouches ne se quittaient plus. Je glissais ma main sur son entrejambe pour palper l’ampleur de son excitation. Je fus servi. Son sexe était déjà en érection. Je le saisissais par-dessus son pantalon pour lui rendre sa caresse intime. Il se releva doucement, remonta ma jupe en haut de mes cuisses et me retira mon collant et ma culotte en même temps. Il les fit descendre avec une extrême lenteur, comme pour profiter de cet instant de découverte de mon corps. Il dégrafa la boucle de mes chaussures, puis continua de retirer mes sous-vêtements.

Toujours assise, j’observais son regard gourmant. Ses yeux étaient rivés sur mon sexe. Je lui obéis lorsqu’il me demanda de me mettre à genoux sur le canapé, les bras sur le dossier. Il se pencha sur moi pour me faire largement espacer les jambes. Ses mains se posèrent sur mes fesses et les écartèrent pour mettre plus à jour mon petit trou plissé. Il garda la pose quelques instants, je devinais son regard sur cette partie très intime de mon corps. Gênée, mais incapable de m’opposer, je le laissais faire, me laissais guider. Puis je sentis pour la première fois de ma vie une langue se poser sur mon anus. Je fus surprise et eus un mouvement de recul. Il me repositionna et recommença cette douce caresse. Il me léchait divinement bien. Je ne pensais pas pouvoir tirer tans de plaisir de ce genre de pratique, je ne pensais même pas, à dire vrai, que des hommes osent lécher cet endroit. J’étais si bien, je le sentais forcer doucement les muscles de mon anus. Il me pénétrait de sa langue. Parfois, abandonnant cette partie qu’il comblait alors d’un doigt, il aspirait mes grosses lèvres gorgées de désir et luisantes d’excitation, faisait glisser son si doux organe buccal le long de mon sillon. Il m’incita à me cambrer davantage. Trouva mon bouchon d’amour, y posa sa langue et se mit à l’agiter frénétiquement, son doigt accéléra le mouvement dans mon fondement.
Une vague de jouissance me submergea et je ne pus retenir mon orgasme.

Il me lécha encore quelque instant, me laissant doucement redescendre des cimes ou il m’avait amené. Je me rendis compte qu’il avait profité de ce pique de plaisir pour mettre un deuxième doigt dans mon petit trou. Il les retira lentement. Il dégrafa son pantalon. Nous ne nous quittions plus des yeux. Je vis apparaître son sexe. Cette vue déclencha une nouvelle vague d’excitation qui lubrifiant encore mon vagin. Je n’en pouvais plus d’attendre la délivrance, le sentir en moi était ma seule pensée. Le désir montait violemment en moi. Il s’approcha le sexe tendu entre ses mains, posa le gland sur mon petit trou et me dit :

— Depuis que je te connais, je fantasme sur tes fesses, tes belles grosses fesses, j’ai envie de te prendre par derrière, tu veux bien ?
— Oui, mais doucement !

J’attendais, anxieuse, mon dépucelage non avoué. Je n’osais pas lui dire qu’il allait être le premier par-là. J’étais si excitée qu’il aurait pu me demander n’importe quoi pourvu que je le sente en moi. Il poussa un peu son gland qui glissa tout seul en moi grâce à sa préparation et à la lubrification. Pas habituée à ce genre d’intromission, il me fit terriblement mal mais je voulais lui cacher pour qu’il prenne du plaisir, ce qui me paraît stupide avec le recul. Il coulissa progressivement en moi. Je hurlais de douleur, mais faisais passer mes cries pour de la jouissance. Je l’encourageais à aller toujours plus loin et plus fort. Il se mit alors à m’enculer sauvagement. Il me pistonnait l’anus. Il saisit alors mes bras et me les maintenu dans le dos par les poignés avec une main. De l’autre, il tira sur mes cheveux, ce qui me fit camber encore plus. Je le recevais en moi très profondément. Il m’écartelait la rondelle, je souffrais terriblement mais j’avais envie de faire plaisir à cet homme que j’admirais. Soudain, alors que la douleur se fit plus vive, que j’étais soumise dans cette position, je me sentis posséder mentalement par lui et un orgasme dont je n’avais pas perçu l’arrivé me terrassa littéralement.
Je ne pouvais même plus crier. Ma voix se fit rauque et sourde. Je me suis mise à aller au-devant de ses coups de butoir par de grand coup de reins en arrière. Il accéléra encore la cadence entre mes fesses, tira plus fort sur mes cheveux et je reçus la semence d’un homme pour la première fois dans mon fondement. Même si c’était douloureux, j’étais fière d’avoir donné mon pucelage anal à mon chef, mon ami. Il me donna encore quelques coups vigoureux pour se vider complètement. Je souriais bêtement, heureuse.

Il se retira et me demanda :

— Que me vaux l’honneur d’un tel sourire ?
— Tu es le premier à me prendre par derrière et c’était super !
— Ton mari ne t’a jamais…
— Non !
— Tu aurais du me le dire, j’aurais été plus doux avec toi, mais la façon dont tu m’encourageais m’a fait penser que tu y étais habitué.
— Eh non !
— Tu n’as pas eu trop mal ?
— Si, mais j’ai aimé ça.
— Tu aimes être dominée ?
— Je ne sais pas, c’est une première pour moi.
— Tu n’as pas de jeu de domination avec ton mari ?
— Non, nous faisons l’amour de façon traditionnelle, bisous et musique douce. Mais je ne pense pas que cela pourrait fonctionner avec lui. Il est trop gentil, trop doux.
— Si tu aimes vraiment, je pourrais t’initier, j’aimerais beaucoup faire cela ?
— Oui, tout ce que tu voudras !

Sur ces mots, il m’attrapa par les cheveux, m’obligea à m’agenouiller devant lui et m’ordonna de lui sucer le sexe encore flasque, couvert de sperme et d’autre trace suspecte. Je pris en bouche la totalité du mou membre, malgré l’odeur. Il ne fallut pas longtemps pour le remettre debout. Il imposait son rythme en me maintenant la tête. De nouveau je ressentais cette sensation de soumission. Mon sexe se mit à mouiller de plus belle. Il resta longtemps entre mes lèvres, j’en avais mal à la mâchoire. Je me dégageai de son emprise pour lui dire. Il me conduit alors dans sa chambre, m’allongea sur le dos, il vint sur moi. J’étais heureuse, il allait enfin pénétrer ma petite chatte qui n’en pouvait plus de mouiller pour rien. Il écarta mes jambes, les bascula sur mes épaules. Il prit son sexe dans sa main. Mais il ne posa pas le gland à l’entrée de mon vagin comme je l’attendais, il le glissa contre mon anus et me le colla brusquement dans le fondement. Il ma bourra dans une cadence folle et me pinçant fort les tétons. De nouveau il me fit souffrir, de nouveau il me fit jouir. Il commençait à avoir des mouvements désordonnés, saccadé, il se crispait, il allait jouir à son tour. Il se retira de mon anus et plongea sa queue dans mon vagin ruisselant pour éjaculer. Il ne fit aucun mouvement, il restait juste en moi pour se vider de son jus d’homme et se retira. Je pensais que cette pénétration, même brève, calmerait ma petite chatte, mais bien au contraire, mon ventre bouillonnait encore plus.

— Habille-toi, il faut aller au bureau ! Me dit-il.
— Quoi, mais…
— La journée n’est pas finie.

Il était déjà 14h15, nous étions déjà en retard pour le bureau. Il ne m’autorisa pas de douche et je dus passer l’après-midi avec l’impression d’avoir une culotte mouillée. Il me taquinait sans cesse. Je lui avouai mon excitation, je lui dis que mon sexe réclamait le sien. Vers 16H30, il m’attira dans les toilettes pour homme. Il me poussa dans une cabine, me pencha au-dessus du wc et remonta ma jupe. Mes collants étaient restés chez lui. Il mit ma culotte sur le coté. J’entendis sa braguette coulisser et, enfin, le moment tant attendu arriva. Il me pénétra. C’était un véritable soulagement de le sentir en moi. Je jouis pratiquement tout de suite. J’avais envie de crier mon plaisir mais je me contenais par discrétion. Ce faire prendre en flagrant délit au bureau, c’est le renvoi assuré. C’est aussi cela qui m’excitait, la peur de se faire surprendre. Comme je ne pouvais retenir mes gémissements, il défit sa cravate en me la fourra dans la bouche. Il me fit l’amour longuement, étant donné qu’il avait déjà donné deux fois aujourd’hui et il me procura deux intenses et merveilleux moments de jouissance. Lorsqu’il éjacula en moi pour la troisième fois, je ressentis comme une immense sensation de bonheur en moi.

La fin de cette riche journée pointait son nez. Après un fougueux baiser dans son bureau, nous nous sommes quittés. À la sortie m’attendait mon mari. Une surprise comme il m’a dit. J’étais assez mal. Il était d’humeur amoureuse, pas moi. À la maison, il me sauta dessus, profitant que les s étaient à l’étude, il voulait me faire l’amour. Voyant que je n’étais pas très excitée, il me poussa sur le lit, remonta ma jupe, baissa ma culotte. Il engouffra son visage entre mes jambes et commença à me lécher la chatte. C’était doux et agréable, il connaît mes points sensibles. Je commençais à être de nouveau excitée lorsqu’il s’interrompit. Il se redressa et me dit :

— Tu peux m’expliquer pourquoi ta chatte est pleine de sperme.
— Arrête ! Tu dis n’importe quoi !
— Tu me prends pour un con ou quoi ?
— Non, mais je vais t’expliquer…

Voilà, mon mari à découvert que je le trompais le jour même ou cela c’est passé. Je lui ai expliqué ce qui c’est passé, même pour la sodomie, le seul petit mensonge est que je ne lui ai pas dit que c’était mon chef mais un homme rencontré dans la rue. Sa réaction ma vraiment surprise. Il m’a dit :

— Ok, je veux bien que tu ais des amants, mais je souhaite que tu me racontes tout.

En effet il bandait très dur. Il pénétra ma petite chatte et éjacula rapidement mélangeant son sperme à celui de Lionel. Je n’avais pas eu le temps de jouir mais je savais que mon amant s’occuperait bien de moi le lendemain. Mon anus est resté douloureux pendant une semaine cette fois là.

Depuis, je fais croire à mon mari que je rencontre différents hommes, je lui raconte des parties de baise, mais pour l’instant, seul Lionel a droit à mes faveurs. Frédéric ne m’a pas encore sodomisé, je lui raconte que je préfère le sentir dans mon minou et que seuls les hommes à petit sexe me sodomisent, ce qui est naturellement faux. Par contre, Lionel me sodomise un ou plusieurs fois par semaine, cela dépend s’il a été doux ou brutal avec mon petit cul. Parfois, on se prend un jour de RTT ensemble. Je lui offre mon corps une journée durant. Il m’attache, me fesse. Il martyrise mes seins et ma chatte en y accrochant des poids. Il m’insère dans le vagin ou dans l’anus des choses incongrues de plus en plus grosses comme des bougies, un étui à lunettes, une courgette, un téléphone portable. Il m’humilie, me pisse dessus et moi j’adore ça. Je me sens si femme, si femelle avec lui. Il a des projets assez dingue pour parfaire mon éducation de soumise, il veut que je me fasse poser des piercings sur les tétons et veut offrir mon anus à d’autres hommes. Bientôt, m’a-t-il dit, il mettra mon corps et mes orifices à la disposition de dix mâles bien membrés pendant toute une journée. J’ai des sentiments mêlés d’appréhension, de peur mais surtout d’excitation.

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