Laurence, Une Collègue De Ma Femme

Samedi : Sylvie étant prise par son travail jusqu’à 20h30, je dois aller chercher Laurence et Sophie, deux anciennes collègues de ma femme, à la gare de Liancourt.
Joyeux weekend en perspective. Entre Sophie qu’il me plairait de sauter mais qu’il me faudra regarder de loin et Laurence la nunuche de service, une blondasse qui ne doit pas être très portée sur la bagatelle, il me semble qu’il me faudra user d’internet et de la veuve poignet pour tenir.
A la descente du train je n’aperçois que Laurence.
- Sophie a eu un empêchement, me dit-elle. Vous devrez vous contenter de moi…
- Comme ça tu seras choyée…
Elle sourit. Dans mon souvenir, Laurence n’était pas aussi jolie. Il faut dire que sa petite robe n’y est pas étrangère. Je la débarrasse de sa valise et la laisse passer devant. J’ai tout le loisir de la détailler. A 40 ans, elle est encore très baisable. Je suis hypnotisé par le balancement de ses fesses. Je commence à fantasmer sur elle et ma queue se raidit dans mon slip.
Laurence est toujours célibataire bien que fréquentant un homme qui pourrait être son père. Je me suis toujours demandé ce qu’elle lui trouvait. Peut-être est-elle une vicelarde qui joue à la fifille à son papa !
Je lui ouvre la portière. Elle s’assied. Hummm, ses cuisses nues sont bien appétissantes. Je mets la valise dans le coffre, m’installe au volant et nous voici partis. Nous sortons de la ville. La discussion est banale et sage mais je ne peux m’enlever de l’esprit que je ne dispose que de cinq heures pour profiter de ma chance.
J’ai peur. Quelle sera sa réaction ? Si elle se refuse, bon c’est dommage mais ce ne sera pas le premier râteau que je prendrai. Non. Ce qui m’inquiète c’est qu’elle en parle à ma femme. C’est ce qui m’a fait perdre une trentaine d’années avec sa sœur. Claudie aurait été d’accord mais il y à deux mois que je lui ai fait l’amour. Il faut que je me lance. Pour l’instant ma main est négligemment posée sur le levier de vitesse.

J’étends le bras et saisis le haut de la cuisse de Laurence.
- Daniel !
Je ne réponds pas. Je caresse sa cuisse. Remonte sur le pli de son aine. Insiste sur le pubis. Redescends sur son genou pour passer sous la robe et rejoindre sa petite culotte.
Laurence ne serre pas les cuisses. Elle ne tente même pas de me repousser. Elle me gronde tout de même :
- Daniel tu ne dois pas ! Sylvie est mon amie !
- Oui et moi, elle est ma femme.
- Grand sot !
- Tu préfères dans la voiture ou tu peux patienter jusqu’à la maison ?
- Tout de suite ! tu m’as excitée, je ne peux pas attendre d’être chez toi. On pourra continuer après…
Je me gare dans un chemin forestier. Nous passons à l’arrière. Laurence m’embrasse sur la bouche. Elle est gourmande et m’aspire la langue. Sa robe est rapidement retroussée et le slip écarté. Nous sommes tous deux très impatients et nous ne souhaitons pour l’instant qu’une baise rapide. C’est ce qu’obtient Laurence. Je lui défonce sa petite chatte et la ramone vivement.
- Hummm Daniel, plus fort, oui, comme ça !
J’éjacule en elle. Nous restons ainsi quelques minutes à nous embrasser. Je sors de sa chatte et remonte mon pantalon.
- Daniel, tu ne vas pas remettre ton slip alors que ta queue dégouline de sperme tout de même !
Elle se penche et me gobe la bite. Elle suce et aspire.
- Hummm, j’adore le sperme. J’en boirais des litres.
- Quand je pense que j’ai hésité à te peloter.
- Tu n’aurais jamais imaginé ce que tu perdais… tu pensais que j’étais sage ?
- La façon dont on parle de toi m’inclinait à le penser.
- Je sais. Je donne bien le change. On me voit toujours en fille innocente. Si on continuait chez toi ?
Vingt minutes et nous sommes à la maison.
- Viens Laurence. On va dans le lit conjugal, il n’est pas fait.
- Hummm, oui. Baiser là où tu te payes ta femme… hummm, en plus il y a sa photo à côté du lit… prends-moi par derrière pendant que je la regarde…
Je fais mine de la déshabiller.

- Non ! ne perds pas de temps ! retrousse ma robe et prends-moi comme ça. Dans le cul !
Cette salope est brûlante. Je lui écarte les fesses. Son anus est mouillé. Ma bite la transperce.
- Ouiii ! encule-moi ! et s’adressant à la photo de ma femme : t’as vu ton mari ? il me baise. Il m’encule. Il te fait cocu !
Je me débats avec la fermeture éclair de sa robe que je parviens enfin à ouvrir. Je dénude ses épaules sans cesser de la sodomiser. Je couvre sa nuque de baisers.
Il faut que je la voie nue. Je sors de son cul malgré ses protestations et la dessape intégralement. Amusée, Laurence replie ses bras sur sa poitrine et joue l’innocence. Si je ne l’avais pas vue en salope deux secondes auparavant, je lui donnerais le bon dieu en confession.
- Tu sais donner le change.
- Oui c’est comme ça que m’aiment les hommes. Vous rêvez tous de petites filles innocentes. Pas vrai ?
- Oui. Tu dois être craquante en écolière avec ta petite chatte épilée.
- Ce sera pour la prochaine fois tonton. Viens !
Elle m’attire sur elle et se met à me cajoler, m’embrasser et m’exciter par ses paroles.
- Hummm, mon tonton je t’aime. Touche-moi partout ! je suis ta petite Laurence adorée. Ouiii…
Elle a écarté les cuisses et je me perds dans son fourreau chaud et humide.
- Tu es étroite Laurence !
- Bien sûr tonton, je suis si jeune.
La salope. Elle reste dans son personnage. Sa voix jeune donne le change. Mes doigts sur son pubis imberbe ne démentent pas son âge. Elle est belle, chaude et perverse. Quelle femme !
Après deux baises « hard », elle veut de la tendresse.
- Vas doucement comme si tu étais avec ta petite nièce… tu ne dois pas la déchirer… elle est toute fragile... hummm, oui, comme ça. Doucement. Profondément… oh oui tonton, prends-moi !
Tout en allant et venant doucement en elle, je caresse ses petits seins et l’embrasse amoureusement sur la bouche. Laurence ondule sous moi.
Elle imprime à son bassin des mouvements de plus en plus rapides. Elle halète et pousse des gémissements.
- Tonton, je vais jouir ! c’est trop bon ! plus fort, oui plus fort ! défonce-moi la chatte !
Laurence se met à crier. Elle est comme en transe. Après quelques mouvements saccadés de son bas ventre et des râles bestiaux, elle s’effondre pantelante sous moi. Elle me laisse continuer à limer en elle pour mon orgasme et je lui inonde sa petite chatte avant de la couvrir de mon corps. Je roule sur le côté et Laurence se love contre moi, saisissant tendrement ma queue désormais molle. Elle me branle doucement me décalottant doucement puis recouvrant mon gland du prépuce. Elle serre la hampe en allant vers le gland faisant sortir encore quelques gouttes de sperme qu’elle s’empresse de recueillir sur sa langue.
Je jette un coup d’œil sur le réveil : 17h45.
- On a encore deux heures devant nous Laurence.
- Viens ! viens ! caresse-moi…
Laurence est insatiable et même si ma queue demande grâce je connais d’autres moyens pour passer du bon temps avec une femme…

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