L'Ami Qui Assure 4

Paul et Karine s’approchèrent de moi en riant. C’est mon ami qui remarqua en premier les traces de sperme dans mon dos. Karine me traitait de pervers obsédé que l’on ne pouvait laisser seul, pendant que Paul me détachait. La dernière corde relâchée, je m’effondrais sur le sol. Mes muscles me faisaient mal. Ce n’est pas les quolibets de mon épouse qui apaiseraient la douleur. Le sang revenait dans mes membres.
Je m’allongeais sur le sol. Karine vient me rejoindre. Tout en s’amusant à me caresser le torse, elle me demanda de tout raconter.
Je n’omis aucun détail et j’insistais sur la menace de mon ex collègue. Paul qui écoutait avec attention, se proposa de lui téléphoner pour régler cela lui-même. J’admirais secrètement sa façon autoritaire de diriger et je comprenais mieux l’ascendant qu’il avait sur ma femme.
N’ayant pas avec moi les coordonnées d’Alain, Paul ordonna le retour qui se fit de la même façon.

Une fois arrivé, muni du précieux numéro de téléphone, Paul partit dans le jardin pour appeler mon tourmenteur.
Karine m’aidait à préparer le repas. Elle me rappela qu’elle ne me quitterait pas, qu’elle m’aimait mais qu’elle vivait pleinement ses émotions. Elle partit rejoindre Paul sur un signe de celui pour continuer la conversation téléphonique.

Les deux tourtereaux revinrent hilares. Paul prit la parole :
- « Alain est un beau salopard. Il te tient et ne te lâchera pas. De plus, il est très fâché contre toi, car pendant que vous travailliez ensemble, tu ne lui as jamais montré d’attention, malgré tous ses efforts. Je pense qu’il en pinçait pour toi.
- Je me souvenais évidement qu’il avait une attitude bizarre. Je n’y avais pas prêté assez d’attention et agacé par son mutisme, j’avais mis des distances entre nous.
- « Alain veut se venger, si j’ai bien compris. Il veut que tu te plies à sa volonté. Tu n’as guère de choix si tu veux garder un profil bas sur ton cocufiage.

Je pense qu’il veut te dominer sexuellement. Karine et moi, pensons que pendant que nous partirons le week-end, tu pourras séjourner chez lui. Ne dis rien, nous sommes tous d’accord.
Nous nous sommes entendus sur les limites à ne pas franchir. Nous ne t’abandonnons pas, mais nous faisons ton éducation en quelque sorte. Et puis avoue que tu aimes te faire prendre.
Ce soir, nous allons te préparer en vue du week-end. Tu vas porter un plug pendant le repas. Après nous élargirons ton anus. Nous te prendrons à tour de rôle. Karine avec son gode ceinture et moi, plus naturellement. C’est un beau cadeau, car Karine ne recevra pas ma semence ce soir, mais toi oui…Allez va vite faire le repas.
Je m’éloignais, songeur. Ma vie prenait un tournant inattendu. Je sais que je peux tout arrêter maintenant. Je sais que les menaces d’Alain ne sont que purement psychologiques et n’ont aucune incidences réelles.

Je restais silencieux pendant le repas. Cela ne semblait en rien altéré la bonne humeur des amants. Je n’arrivais pas à manger l’estomac noué.

Le repas finit, la vaisselle rangée, je les rejoignis au salon. Karine avait enfilé une mini jupe et un bustier en cuir. Ses cuissardes mettaient en valeur ses longues jambes fuselées.
Paul était vêtu d’un pantalon noir et d’une chemise assortie. Une partie de nos sextoys traînait par terre.
A la demande de Paul je m’approchais à genou. Karine vient me rejoindre.
- « viens m’aider à le sucer, montres moi comment tu t y prends, mon cocu d’amour »
Cette invitation était si gentille, que je m’approchais de Paul et entrepris à lui caresser le sexe à travers son pantalon.
Je ne devais pas trop mal m’y prendre car son morceau de chair commençait à prendre forme. Lentement j’ouvrais sa braguette et extirpait son sexe encore un peu mou. Je le pris en bouche immédiatement. Karine l’embrassait à pleine bouche, pendant qu’elle déboutonnait la veste de son amant pour aller lui pincer les mamelons.

La main de Paul caressait les seins de la belle qui geint de plaisir.
L’érection était belle. Je prenais un vrai plaisir à sucer cette colonne de chair. Karine se leva pendant que je continuais mon travail. La main de Paul agrippée à mes cheveux donnait la cadence.
Karine m’enduit l’anus de gel. Elle s’accrocha à mes anches. Elle introduisit lentement mais sûrement son gode ceinture entre mes fesses. Je poussais pour faciliter la progression. Karine faisait des pauses pour que la douleur s’estompe, car elle avait choisit le plus gros diamètre et le plus grand des godes, plus important que le sexe de Paul.
Celui s’était redressé, il m’écartait les fesses et guidait la pénétration. Quand je sentis enfin le pubis de ma belle contre mes fesses, je me mis à minauder et à demander à ma belle de me prendre de me défoncer.
Mon épouse se déchaîna en moi. Ses mouvements se faisaient plus ou moins rapidement. J’allais toujours au devant de cet olibos. Paul me fessait pendant ce temps. Il s’amusait de voir mon anus ouvert à chaque fois que Karine déculait pour mieux réintroduire son sexe.
Paul pris sa place. Il éjacula en moi longuement. Le sperme facilita le travail de Karine qui prit sa place immédiatement pendant que je suçais mon ami.
Karine m’enleva la cage pour que je puisse éjaculer dans sa bouche pendant que Paul me sodomisait..
Je suis parti me coucher le cul en feu, alors que Karine se faisait dévorer la chatte par son amant qui n’arrivait plus à bander.

Le lendemain matin, les deux amants m’avertirent qu’ils allaient me conduire chez Alain. Je frissonnais intérieurement. Je savais qu’Alain voulait me faire payer mon indifférence. Je n’avais pas deviné ses tendances homosexuelles auparavant ni son coté dominateur. La soirée d’hier m’avait prouvé que j étais bisexuelle et très soumis….J’allais donc souffrir de plaisir.
Ce qui me contrariait, c’était surtout le fait que mon épouse et son amant partent pour un week-end ensemble.
Nous n’avions jamais été séparés comme cela avec ma femme.

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