Mise En Condition
Le 01 septembre 2010
Première partie : le chantage, ma prise en main
Jai 42 ans, mignonne, parait il, bien conservée, brune aux yeux gris, cheveux mi long, plutôt snobinarde, je le reconnais, notre couple fonctionne moyennement, mais insatisfaite dans le domaine de la sexualité, et je lavoue à 42 ans une expérience restreinte.
Jécrivais régulièrement mon journal intime sur ordinateur, ma vie, mes désirs, mes fantasmes, mes insatisfactions sexuelles (mon mari nest pas très sexe).
Je consulte souvent internet et passe beaucoup de temps à scruter les sites SM, (mon mari étant souvent en déplacement professionnel)
Javais même passé une annonce sur un site SM, afin trouver un couple ou homme qui me permettrait de me faire vivre mes fantasmes en toute discrétion, de nombreuses réponses, discutions, quelques rencontres mais pas le déclic du passage à lacte avec les personnes rencontrées, peut être aussi par sécurité
Je passais des soirées à lire les annonces, lire des histoires SM, en me caressant devant mon ordinateur.
Tout ceci était transcrit scrupuleusement sur mon journal agrémenté de photos et histoires érotiques très orientées SM que javais appréciées et recopiées, des situations dans lesquelles jaurai aimé me trouver, et cette obsession de connaître le fouet, dêtre contrainte
Puis, un jour, dans ma boite mail (dédiée au sm), je reçu un message qui me troubla :
-Bonjour Patricia, vous avez un journal intime très instructif vos lectures, photos, ainsi que vos écrits et vos ne laissent aucun doute sur vos frustrations sexuelles
Comment a-t-il pu lire mon journal intime ?, qui est til?, il semble bien me connaître
Qui êtes vous ?
Jattendis la réponse avec impatience, curiosité et anxiété.
-Bien sûr que je vous connais, mais beaucoup plus depuis la lecture de votre journal
Signé : un ami qui vous veut du bien
Que voulez vous ?
-Vous faire vivre vos envies, vous êtes une femme sophistiquée, joueuse, débordante de fantasmes, denvies avouées, vous aimez lhumiliation, maso, nombreuses frustrations, un peu rebelle, prête à être guidée, ne demandant quà être utilisée.
Je vous propose donc mes services afin réaliser en toute discrétion et sécurité, vos fantasmes clairement exprimés et avec détails, ce qui me permettra dutiliser au mieux vos frustrations pour vos plus grands plaisirs.
Vos lectures, très orientées et instructives mont permis de connaître vos attentes
Dailleurs, en avez-vous le choix ?, préférez vous que votre journal soit transmis par inadvertance à vos proches ?
A ce moment je fus prise de panique
-Ceci et il un chantage ?
-Non, pas du tout, cest un service que je vous rends, mais rencontrons nous, nous en discuterons, vous viendrez en jupe courte, chemisier.
Je cogitais à ce que jallais faire : tout dire à mon mari ?, et mon entourage,?, le mieux est de rencontrer cette personne, comment a til bien pu se procurer mon journal ? Qui est til ?
Une certaine envie se dessinait en moi, troublait mes sens, cela nétait til pas loccasion de franchir le pas ?
Je me décidais à le rencontrer, le rendez-vous fut fixé dans un café, jétais nerveuse, je navais cessé de penser à cette rencontre il connaît tout de mes désirs les plus intimes, en avait honte.
Jen rêvait la nuit et me caressait en pensant aux situations auxquelles jallais être contrainte.
Le jour arriva, je me rendis à ce rendez vous, jentrai dans le café, je scrutais la salle, ne vis personne de mes connaissances, je minstallais à une table
A ma stupéfaction je vis entrer un ami de mon mari, il se dirigeât vers ma table
-Bonjour Patricia, comment allez vous ?, vous attendez quelquun ?
Comment répondre, est ce le hasard ou est ce bien lui ?
-Oui, jattends quelquun, mais
.que dire ?
-Attendez vous une personne qui connaît tout de vos désirs sexuels?
-je devins rouge, oui, cest cela, ou avez-vous eu ce document en bafouillant?
-Cest simple, cest vous qui me lavez donné lorsque je vous ai demandé de transférer sur ma clef USB des documents dordre juridique, la dernière fois que je suis venu chez vous, vous avez du faire une fausse manuvre, vous tromper de dossier, bref je me suis retrouvé avec votre journal très intime.
-Je te propose mes services pour te faire vivre tes désirs les plus intimes pendant une période de 4 mois, ton mari nen saura rien, il est fréquemment en déplacement, tu nas pas d tu es actuellement en congés, ton mari est absent pour 3 semaines, donc, nous nous verrons tous les jours pour un stage intensif, jai pour linstant beaucoup de temps de libre, je viens de vendre mon entreprise.
-A la suite de ces quatre mois, je détruirais ces documents seulement SI tu mas donné entière satisfaction.
Mais je tinquiète pas trop à ce sujet je dispose de certaines méthodes qui taideront à parvenir à ce résultat.
-Je dois réfléchir, quelles méthodes ?
Ta décision doit être immédiate, la seule réponse que jattends de ta part est :
« Je suis prête a vous obéir totalement et a vous donner la satisfaction que vous êtes en droit dexiger de moi «
Il me tutoyait déjà comme si il était sûr de ma réponse, mon cur battait la chamade, javais tellement envie de dire oui, Pierre était un homme agréable de 50 ans qui inspirait confiance, divorcé, ami de mon mari, je me voyais déjà nue devant lui, cela me troublait beaucoup.
-Qui me dit que ce chantage ne se poursuivra pas au-delà des 4 mois ?
-Ma parole, et tu sais par expérience que jai toujours tenu parole
Il sortit un carnet de sa poche, écrivit la phrase quil mavait demandée de prononcer, me tendit le feuillet
- un peu de courage, tu en rêves tant
Je savais avant de venir que si la personne qui me ferait cette proposition indécente me convenait, je dirai oui, je me lançais
« Je suis prête à vous obéir totalement et à vous donner la satisfaction que vous êtes en droit dexiger de moi »
-Voilà, tu ne me déçois pas, à moi de combler tes attentes, ton dressage débute dés à présent, car cest bien de ton dressage dont il sagit
Je fus choquée par le mot dressage, cest pourtant bien de cela dont il sagissait
Tout de suite, mais jai un rendez vous, (comme pour retarder, une dérobade).
-Tu décommandes, réplique dun ton sec
Je me levais, le suivis, nous primes sa voiture, pendant le trajet je pensais que javais mis le doigt dans lengrenage, jétais émue, fébrile, anxieuse et impatiente de connaître ce quil me réservait.
Il posa sa main sur ma cuisse gauche tout en conduisant, puis la remonta vers le haut de mes cuisses, instinctivement je serrai les jambes
-Lorsque je te caresse une cuisse comme je le fais, tu remontes ta jupe et tu écartes les cuisses, plus je remonte ma main, plus tu remontes ta jupe et plus tu écartes les cuisses.
- Ouvre le gantier, prend le collier de cuir qui sy trouve et passe le à ton cou
Stupéfaite, mais consciente que jétais à présent en dressage. Le collier était muni de quatre anneaux, je le passais
Pendant le trajet il me fit des recommandations :
-Lorsque tu seras avec moi, tu devras porter une jupe courte, pas comme celle-ci moulante, mais ample de façon à ce que tu puisses être rapidement troussée, et, naturellement sans culotte, cela facilite linspection ou la pénétration.
Je ne te désire pas passive, mais tu dois participer activement à ta propre domination, c'est-à-dire pas simplement te donner, mais tabandonner, offerte au maximum, aux regards, attouchements, aux pénétrations, je tappendrai.
Jaurai voulu que ce trajet dure des heures, mais nous arrivions déjà à sa maison, le portail souvrit, je connaissais cette maison pour y avoir été invitée plusieurs fois avec mon mari, intérieur très rustique, presque médiéval.
La voiture stoppa, il me fit descendre, je le suivis, il ouvrit la porte, mon cur battait de plus en plus fort, javais envie dentrer et en même temps de partir en courant, il me fit passer devant, jallais devoir me soumettre a lui, mais bien plus vite que je ne le pensais, sans préliminaires (je sentais mon sexe déjà très humide, jen avait honte)
Il sassied dans un fauteuil
-Je ne tinvite pas à tasseoir, mais à te déshabiller, mets toi au centre de la pièce et à poil devant moi, je désire voir comment tu es faite.
Je fis quelques pas, je pensais que ce dont je rêvais depuis longtemps et redoutais en même temps allait marriver, mes jambes tremblaient.
Je lui fis face, commençais à dégrafer mon chemisier, lôtais, mes doigts tremblaient jétais maladroite, je le laissais tomber à terre, je ne savais ou porter mon regard.
Retardant le plus possible le moment dêtre nue, je fis glisser la fermeture éclair de ma jupe qui tombait à mes pieds.
Je ne portais pas de bas, il faisait trop chaud.
Je dégrafais mon soutien gorge, qui suivis le même chemin que le chemisier et la jupe, enfin mon dernier rempart, je fis glisser ma culotte.
-Conserve tes chaussures à talons hauts, cela fait plus catin
Mes mains le long du corps, je ne savais quen faire.
-Mets tes mes mains derrière ta tête, les bras bien en arrière pour tendre ta poitrine, et écartes bien les jambes, lorsque, par la suite je tordonnerai de te déshabiller tu prendras cette position, que nous soyons seul ou en présence dautres personnes
Je mexécutais
-jaurai à faire cela devant dautres personnes ?
-Cela sera à moi den décider le moment venu
Nue devant Pierre, il me détaillait en commentant
-Jolis seins assez hauts placés, pas trop gros ni petits, biens ferme.
Tes tétons sont déjà en érection, cette situation semble texciter
Tu es bien proportionnée, jambes fines, bassin assez large, qui invite à te prendre sans ménagement (dailleurs sur ton journal tu écris que tu aimes être prise de la sorte, comme un viol)
Ta chatte est bien lisse, ce qui permet de voir aisément ta fente
Cétait une inspection minutieuse, je me sentais objet
-Avec deux doigts pénètre ta chatte et dis moi si elle commence à mouiller et regarde moi dans les yeux.
Javais honte, (je savais être inondée), ma main descendit entre mes jambes, je me pénétrais
Oui, elle est humide
-Masturbe toi
Je vous en prie, pas comme cela devant vous
-Souviens toi de la demande que tu mas faite : vous pourrez tout exiger de moi
Je commençais à me caresser le clitoris, puis enfonçais mes doigts dans mon vagin, jétais inondée, les faisant aller et venir, cette situation humiliante mexcitait, je commençais à ne pouvoir retenir des gémissements, javais rêvé dêtre humiliée de la sorte, jétais servie au-delà de mes espérances
Jentendis ses commentaires
-Jolie femelle sophistiquée, à poil, sur ses hauts talons qui se masturbe, les cuisses bien écartées, devant un presque inconnu, tu es indécente Patricia, mais je sais que tu adores.
Il minterrompit, à mon regret et en même temps soulagement
-Viens me rejoindre, mets toi à plat dos sur cette table basse replie tes jambes vers ta poitrine, et ouvre bien tes cuisses
Jugeant que je nécartais pas assez les cuisses, il me les pris et les écarta avec brutalité
-Bien ouverte, ta chatte doit toujours être prête à être fouillée, utilisée.
Il y enfonça deux doigts
-Tu mouilles à ravir ma pimbêche, cette chatte est très prometteuse, bien serrée au repos, et qui souvre dès quelle est un peu sollicitée, nous verrons jusquà quel point tout à lheure, en attendant, continue à te masturber, jusquà un orgasme que je vois un peu comment tu fais, jai une très belle vue dici
Je mimaginais dans cette position indécente, je me voyais comme si mes yeux avaient quittés mon corps et me regardait de lextérieur.
Je poursuivis ma masturbation, le désir montait de plus en plus en moi, je haletais, mon corps sanima des spasmes dun orgasme.
Il me laissa ainsi, dans cette position je ne sais combien de temps, de devais avoir lair maligne, il mit un disque de Gainsbar, un coup de sonnette retentit à la porte
-Je paniquais, Oh non Pierre, je vous en supplie, pas cela.
-Cest à moi de décider ce qui est bon pour toi
-Oui, je le sais, mais pas tout suite
-Reste comme cela, ne bouge pas
Il sortit, la honte de voir entrer un homme, peut être plusieurs, une femme ?, il resta un long moment dehors, je nosais bouger, je surpris mon sexe sinonder une nouvelle fois, finalement ne le désirais-je pas au fond de moi ?, je me faisais honte.
Finalement, il revint seul
-Debout, mets toi à quatre pattes sur cette table dit il en me désignant la table plus haute que je puisse voir à quel point ta chatte peut souvrir
Je ne pensais plus quà une chose, obéir, je grimpais sur la table et me mise dans la position quil mimposait
-Ta croupe bien en lair, ta tête sur la table et cambre toi bien
Je reçu deux claques sur les fesses :
-Je crois tavoir déjà dit décarter les cuisses ma belle, ta chatte doit être bien ouverte et accessible, prête a être pénétrée, je ne te le répèterai plus
Je fis de mon mieux
Je lentendis faire quelques pas séloigner, fouiller dans un tiroir
-La snobinarde le cul en lair, la chatte en attente, on dirait une femelle attendant dêtre saillie.
Il revint, je sentis ses doigts me pénétrer, puis les remplacer par un gode quil fit aller et venir en moi, puis un gode beaucoup plus gros qui me pénétrait au plus profond de moi, sans même avoir à le faire aller et venir je fus prise dun nouvel et violent orgasme
-Tu promets Patricia, je crois que nous allons passer de bons moments ensemble, tu sembles pouvoir avoir des orgasmes à répétition.
Jadore voir des femmes comme toi, passer de bourgeoise à catin
Il me fit descendre de la table me fit mettre à genoux, sorti son sexe et mordonna de sucer
Je navais jamais sucé aucun homme à genoux, son membre était de longueur moyenne, mais très épais je le décalottais, lenfonçais dans ma bouche, le faisait aller et venir, tout en ayant peur de léjaculation, je navais goûté quune fois au sperme et ensuite avais refusé
Il se retira sans éjaculer
Mise au point
-A présent, tu tassieds a genoux devant moi, il sinstalla sur le canapé, lorsque tu suces, tu ny mets pas assez dardeur
-Lorsque tu arrives à un orgasme, tu ne manifestes pas suffisamment ton plaisir, (comme si tu te retenais par honte), tu te donnes un peu, mais tu ne tabandonnes pas.
-Je nai pas apprécié tout à lheure lorsque tu mas demandé de ne pas faire entrer la personne qui à sonné, cest à moi de juger ce qui est bon pour ton dressage.
-Afin de ty aider, comme promis, je vais te libérer de ta pudibonderie, tu vas connaître ta première punition pour ton comportement
Dans ton journal mot être fouettée revient assez souvent, je vais donc te faire connaître ce merveilleux instrument.
Il y a le fouet qui donne du plaisir et le fouet qui sert à punir, aujourdhui tu vas faire connaissance avec le fouet qui punit pour ne têtre pas abandonnée et ne pas sucer correctement, le fouet fait partie des moyens dont je dispose pour te dresser.
Lorsque tu auras à sucer dautres hommes, je veux être fier de toi
Il se dirigea vers le centre de la pièce, installa une potence à un crochet fixé à une poutre du plafond, minvita à venir le rejoindre, me passa un bracelet à chaque poignet et les attacha à la potence, mes bras nétaient pas tendus, mais laissait un battement
Un grand miroir sur le mur en face de moi reflétait mon corps
Il sinstalla une chaise en face de moi
Tout en détaillant mon anatomie il me dit :
-Je ne veux pas tentendre dire arrêtez, cela me fait mal ou autres mots de la sorte, ton seul droit est de pleurer et crier si tu en as envie.
Il te restera quelques traces de ces nécessaires sévices que tu mobliges tinfliger, mais ton mari étant absent pour 15 jours, celles-ci auront le temps de disparaître.
Après mavoir détaillée un long moment, il se leva, alla chercher un fouet.
Je sentis les lanières me caresser mes épaules, ses mains me caressaient aussi, cétait bon
Après mavoir longuement caressée différentes parties de mon corps avec ses mains et le fouet, je sentis le fouet entrer en action sur mes fesses, mon dos.
Au départ avec douceur, lenteur, comme sil réfléchissait lendroit exact ou il devait me frapper.
Puis, la cadence saccéléra, tantôts sur mes fesses, mon dos, mes cuisses.
Cela métait plus quagréable, javais envie de lui demander encore, ma chatte shumidifiait de plus en plus, elle devait être dégoulinante, javais une forte envie de serrer les cuisses tellement jétais inondée
Puis il me fit face, pinça le bout de mes seins, les fit rouler entre ses doigts, je sentis le désir de jouir monter en moi
Je sentis sa main descendre le long de mon ventre, atteindre mon clitoris, le caresser doucement, puis un doigt, deux doigts trois doigts sinduire en moi, aller en venir, je commençais à haleter
Il me dit alors:
-Ta chatte ne demande quà souvrir, dailleurs cest ce quelle fait, aimes tu lalternance du fouet et des caresses
-Oui cest bon
-Bon ou très bon ?
-Très bon, magnifique
-Magnifique, enfin un mot qui vient de toi sans que je sois obligé de te lextirper, aimerais tu que je continue
-Oui, beaucoup, jadore cela, sil vous plaît pouvez vous continuer (jétais entrée dans la peau dune femme soumise à ses sens
-Voilà ce que jattends de toi, que ce genre de demande te vienne naturellement sans que je sois obligé constamment de te le faire reconnaître, que tu participes toi-même et activement a ta propre soumission, tu progresses
-Mais je tai moi-même fait une promesse, celle de te punir, de te faire connaître ce qui tattends si tu ne donnes pas satisfaction, ou cela pourras aussi têtre infligée pour mon propre plaisir, il me mit un bandeau sur les yeux
Ses caresses cessèrent à mon grand regret, je sentis alors que la véritable punition allait arriver
-Cambre toi bien et offre ta croupe, et surtout, tu restes bien cambré
jentendis le fouet siffler, une douleur fulgurante sur les fesses puis deux, trois, mon dos, mes cuisses arrière, (tous les vingt coups que je devais compter, je devais le remercier de bien vouloir me punir), à chaque coup une cuisante brûlure, je sentais mon dos, mes fesses, mes cuisses devenir du feu, je trépignais sur place, je grimaçais, les larmes coulaient sur mon visage, je tirait en vain sur mes liens
-Sil vous plaît
Il ne me plaît pas, devant à présent
-Non, sil vous plaît, pas devant, je mappliquerai, je mabandonnerai, je deviendrai catin
-Ceci est pour taider à progresser plus rapidement, sans appel possible
Mes supplications furent vaines, il me mit un bandeau sur les yeux
Jentendis le fouet et sentis ses morsures sur mes cuisses, mon ventre, mes seins ne furent pas épargnés, avec le bandeau je ne pouvais voir quel partie de mon corps il choisissait
Mon imagination travaillait, je me remémorais la photo dune jeune femme que javais vue et copiée sur internet ou lon voyait celle-ci attachée comme je létais à présent et derrière elle la silhouette dun homme une cravache à la main.
Sur le visage de cette femme on pouvait lire la souffrance, javais souvent regardé cette photo avec fascination, envie dêtre à sa place. Elle navait pas du donner satisfaction.
Je me mise à hurler en sanglotant de douleur
Il stoppa, me détacha, môta le bandeau, membrassa avec délicatesse, attention, sa langue cherchant la mienne, ma langue la sienne, puis, avec fougue, jenlaçais sa tête avec mes bras, jétais heureuse, je me sentais vaincue, je lui susurrai à loreille : puis je vous sucer, jen ai très envie ?
Pour réponse : bonne initiative, voilà comment tu dois te comporter
je magenouillais devant lui, pris son membre dur comme du fer, lengloutis au plus profond de ma gorge, tout en lui caressant les bourses, je mappliquais le plus possible avec ardeur et douceur à la fois, je sentis la sève arriver, il se vida dans ma bouche par jets, javalais avec plaisir, la quantité était importante, jusquà le dernière goutte, comme pour le remercier de mavoir faite vivre cela
Pendant que je pratiquais cette fellation, je me sentais devenir de plus en plus soumise à mes sens, sans retenue, jen éprouvais un infini plaisir
-Tu vois, tu as besoin du fouet pour te dresser, pour te laisser aller à tes instincts
Il me prit par les épaules, mentraîna dans sa chambre, me fit allonger à plat ventre sur le lit, me passa une pommade apaisante sur le dos, avec douceur.
Cétait bon
Puis, me fit me mettre sur le dos, en me caressa tout le corps avec cette pommade
En même temps il me parlait doucement :
-Tu es entrain de vivre tes fantasmes, déçue?
Non, pas du tout bien au contraire, je vous remercie, je mabandonnerai à vous avec plaisir, mais qui sont ces hommes auxquels vous désirez me livrer, si jai bien compris ?
Chaque chose en son temps, mais cela fait partie de tes fantasmes écrit sur ton journal
-Maintenant je vais te prendre.
Il mattacha une main à une colonne du lit, fit glisser un coussin sous mes reins, jécartais les cuisses pour moffrir de mon mieux
-Pense à moi, à ta chatte, au fait que je vais te prendre, caresse toi avec ta main libre, je reviens.
Je commençais à me caresser, ma chatte se lubrifiait de plus en plus.
Il revint, môta le trop de cyprine, attacha ma main libre à lautre montant du lit, me pénétra dun seul coup, il me besognait sans ménagement, bien a fond
Lorsquil sapercevait que lorgasme arrivait, il ralentissait, puis reprenait je crus quil allait me faire devenir folle.
Je haletais, criais sans retenue, le suppliais de me faire jouir, le remerciais du plaisir quil me procurait, me fit dire que je voulais devenir une véritable catin. il était véritablement machiavélique
Finalement il me donna cet orgasme tant attendu, jexplosais, je navais jamais connu cela de ma vie
Ces mélanges de plaisirs, dhumiliations, de reconnaissance
Jétais fatiguée, mais tellement détendue, heureuse
-Demain nous irons tacheter quelques vêtements et divers objets de soumission, je te veux toujours obéissante, noublie jamais que tu dois participer activement à ta soumission et prendre des initiatives.
-Je te raccompagne chez toi, et tu viendras ici, chez moi à 10 h précise, nous irons dans un sexe shop pour tacheter des vêtements et accessoires qui te seront attitrés pour ta nouvelle condition .
-Je ne regrette pas davoir été étourdie en te copiant mon journal sur ta clé USB
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