Un 27 Juillet Torride

Je me présente, je m’appelle Lucas, étudiant de 20 ans dans la ville d’Angers. Je suis un brun assez grand, mince mais athlétique. Comme tout bon étudiant angevin, festoyer est ma première occupation, la recherche constante de l’épanouissement et du bonheur ne donne finalement plus de limites à mes actes, étant toujours en quête de nouveaux plaisirs… J’avais rencontré il y a quelques années à l’occasion d’un travail saisonnier, Laïla.

Il s’agit d’une petite brune aux yeux marrons, du même âge que moi, très souriante et doté d’un physique qu’elle arbore fièrement aux hommes. Svelte par nature, ses seins en poire et ses petites fesses bien rebondies font craquer la gente masculine, y compris moi !
Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas vue lorsque je t’ai croisée par hasard dans le centre ville, sans hésiter je te propose de boire un verre avec moi. La chaleur de ce cet été étant un excellent prétexte pour se désaltérer à l’ombre d’une terrasse. Les discussions vont bon train, tu me fais rire, j’appuie mes regards sur toi pour te faire comprendre le désir que j’éprouve. L’alcool aidant, nos regards se croisent, nos bouches s'approchent et débute alors un long baiser qui dé rapidement et nos mains se baladent sous la table.
Tu reprends tes esprits, bien qu’ils soient embués par l'alcool et me demande que l’on aille faire un tour. Sans hésiter je te suis, nous marchons dans la ville jusqu'a atteindre le bout du monde, à coté du château. Il se fait tard et il n'y a pas un chat, il fait chaud, très chaud ; je commence alors à t'embrasser vigoureusement contre le pat. Mes mains se perdent sur ton soutien gorge pendant que ta main droite masse mon sexe à travers mon jeans. Je te dévore le cou de baisers et plonge une main sous ton jean, je sens tes cuisses s'écarter pour me faciliter le travail, mon majeur arrive enfin à ton mont vénus qu'il commence à masser avec précision, des gémissements se font entendre dans le silence impeccable de cette nuit d'été.


C’est alors qu’un jeune couple en ballade romantique apparaît au loin, je sors discrètement ma main de ton intimité et tu réajustes tes vêtements. Tu me proposes alors de finir ce que l’on a commencé chez toi…

Ne sachant te dire non et à la vue de la bosse de mon jean, je ne peux te refuser une telle proposition. Nous prenons donc le chemin de ta demeure dans un silence de cathédrale qui veut en dire long sur nos intentions futures une fois arrivée à ton domicile. En remontant le boulevard du roi René j’aperçois une entrée de garage qui mène à la cour intérieure d’une maison. La pénombre y est totale, la rue est déserte…
Prétextant une envie de m’y soulager, je m’enfonce dans cette obscurité. Inquiète et quelque peu éméchée tu me suis. Je me retourne, te regarde dans les yeux avant de te prendre les bras et de te plaquer violemment contre le mur. Nous sommes dans le noir, il se fait tard, personne ne peut nous voir mais la situation devient réellement excitante, j’ai envi de te prendre… Je t’embrasse alors avec force tout en te tenant les bras, tu ne peux pas bouger mais tu me rends mon baiser avec encore plus de fougue que celui que je t’ai donné.

J’abandonne un de tes bras pour pouvoir te caresser, je me colle à toi pendant que ma main te prend par le cou puis descend doucement vers tes seins. Je les palpe à tour de rôle, faisant rouler tes pointes entre mes doigts par-dessus le tissu de ton haut. Mon sexe à travers le jean est collé à ton ventre, tu peux sentir la dureté de mon envie sur ton nombril, tu poses une de tes mains sur mes hanches pour me serrer encore plus contre ton corps, ma respiration devient saccadée tellement la tension sexuelle devient étouffante. Ma main pénètre doucement sous ton haut noir et viole l’intimité de ton soutien gorge.
La douce peau de tes seins me met dans un état indescriptible, ton souffle devient plus rapide, tu arrêtes de m’embrasser pour profiter de cette caresse intenable, ta tête, posée sur mon épaule me permet de sentir dans mon oreille la chaleur de ta respiration.
Ma main caresse désormais franchement ta poitrine et libère un de tes seins. Ma bouche ne tarde pas à s’occuper de celui-ci, ma langue sur ton téton provoque chez toi une série de frissons, tes ongles commencent à se planter dans ma chair, symbole du plaisir que je te procure. Pendant ce temps ma main gauche s’occupe de ton sein gauche et ma main droite défait un a un les boutons de ton jeans. Lorsque celle-ci a finit sa tâche, elle glisse lentement vers ta vulve gonflée de désir.
Tu es trempée, des gouttes de ton intimité perlent le long de tes cuisses… Mon majeur a à peine le temps de te pénétrer qu’une lumière s’allume au dessus de nous, surpris, nous quittons rapidement les lieux pour continuer le chemin vers ta maison…
Arrivés non loin de chez toi, après une longue marche, tu m’entraines vers un recoin sombre de ce quartier, je ne comprends pas trop ou tu veux en venir mais je sens que nous pouvons continuer nos ébats dans ce lieux… Cependant c’est à ton tour de me plaquer contre un mur. Nous sommes cachés de la vue des passants, tu me fixe dans les yeux tout en défaisant ma ceinture puis, l’ultime barrière avant la jouissance, les boutons de jeans.
Tu sors mon sexe et commence à la caresser doucement tout en me regardant, tu t’agenouilles et me lèche mon membre gonflé à bloc. Ta langue parcourt cette colonne de chair avant de l’enfoncer dans ta bouche jusqu’ à la garde. Je ne tarde pas à gémir sous l’action de cette caresse impromptue mais si délicieuse et excitante. Tu continues ton petit manège quelques minutes puis t’arrêtes d’un seul coup, me rhabilles et tu me dis que l’on est bientôt arrivé chez toi…
La tension est à son comble dans les 100 derniers mètres qui nous séparent de ta demeure. Une foule d’images plus torrides les unes que les autres se succèdent devant mes yeux. En fouillant mes poches je tombe sur ton string, ce qui ne fait qu’augmenter un peu plus mon excitation. Nous arrivons à ta porte d’entrée, péniblement tu sors les clés de ton sac mais je trouve le temps trop long, je te retourne, te plaque contre la porte et j’entame une série de baiser humide dans ton cou pendant que mes mains se promènent sur ton corps, qui bientôt, m’appartiendras…

Finalement tu me persuades de te laisser enfoncer la clé dans la serrure, tu ouvres la porte, il fait noir…
Nous entrons donc chez toi, à peine le temps de fermer la porte que je te projette sur le canapé, faisant voler ton sac de l’autre côté de la pièce.
Tu ne tombes pas sur le sofa mais tes bras sur le dossier du clic clac te retiennent de ne pas tomber en avant. Tu es donc là, devant moi, ton postérieur face à mon corps. Tu tournes la tête pour me regarder et tu me souris, je deviens fou et je décide alors de m’occuper de toi. Je me colle à tes fesses et te relève, dos à moi tu ne peux rien faire mais moi je peux t’infliger ce que je souhaite.
Machinalement je te fais retirer ton haut et je déboutonne ton jean, tes mains elles aussi cherchent à me déshabiller mais je ne te laisse pas faire. Je reprends le dessus en te serrant avec force contre moi pour que tu sentes ma virilité dans le creux de tes reins. Ma langue dévore ton cou et tes épaules et mes mains s’occupent de tes seins. Je les soupèse avant de te retirer ton soutien gorge, il ne te reste plus que ton jean déboutonné sur ton corps. Je caresse ta poitrine avec douceur avant de les malaxer avec fermeté. Tu commences déjà à gémir ton bonheur, tu me souffles à l’oreille que tu as envie que je te prenne…Je te réponds que non, qu’avant je veux te faire hurler avec ma bouche, ma langue et mes doigts.
Je te retourne alors pour que tu me fasses face, ma main gauche te prend par les cheveux tandis que je t’embrasse avec fougue et que ma main droite pénètre peu à peu ton intimité détrempée. Tu gémis de plus en plus fort, chaque doigt qui te pénètre ne fait qu’intensifier ta jouissance à venir. Tu es trempée comme jamais, mes doigts te pénètrent sans ménagement, au bout du troisième tu commences à crier ton plaisir
Doucement je me retire de ton vagin et libère tes cheveux de mon emprise, je te fais mettre à genoux sur le canapé, en levrette. Je m’accroupis derrière toi et au lieu de continuer à te prendre avec mes doigts, ma langue s’immisce dans ton intimité. Tu ruissèle comme une fontaine, l’odeur de ton corps me met hors de moi. Chacun de mes coups de langue sur ta chair te fait pousser un soupir long et intense, j’écarte tes cuisses pour pouvoir enfoncer ma langue au plus profond de toi.
Les soupirs se transforment en petits cris ponctués d’encouragements pour que je te prenne frénétiquement sur ce canapé. Il n’en est rien, je retire ma langue pour t’enfoncer deux, puis trois doigts en toi. Les petits cris sont alors devenus des hurlements de plaisir, ma main est inondé de ton bonheur si bien que je commence un va et vient de plus en plus puissant dans ton vagin détrempé. Tu n’es plus qu’une boule de plaisir qui ne veux connaitre que la jouissance, je sens les spasmes qui agitent ton corps.

J’en profite alors pour déboutonner mon jean et m’enfoncer en toi doucement mais avec force et virilité. Que tu sentes mon membre te remplir jusqu’au fond prêt à te limer comme tu le mérites. Je te prends alors de plus en plus profondément dans ce canapé, je sens ton orgasme si proche que je réajuste ma position et que je me déchaine sur toi. Tes hurlements s’arrêtent, je sens ton souffle coupé et les spasmes dans ton vagin redoubler d’intensité. Ta jouissance est si forte qu’elle entraine celle de mon corps à son tour. Je m’écroule sur toi, heureux et repus pendant que tu m’embrasse fougueusement pour me remercier de ce début de soirée et pour m’encourager pour cette nuit qui ne fait que débuter…

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