Weekend En Amoureux Ou Presque...
Claire et moi sommes mariés depuis 7 ans. Nous aimons passer quelques week-ends en amoureux après avoir laissé notre fille, Clarisse, à ses grands-parents.
Lété dernier, nous avions décidé daller passer une fin de semaine dans un hôtel de luxe pour notre anniversaire de mariage. Nous avions loué une chambre avec un immense lit et un jacuzzi. Nous sommes arrivés le vendredi en fin daprès-midi et après sêtre installés, Claire sest préparée pour aller dîner. Ma belle shabillait très lentement, très sensuellement, elle déployait tous ses charmes pour mexciter.
Je métais installé sur le lit et me régalais de ce petit show improvisé. Nue devant moi, elle mit des bas noirs en posant son pied entre mes cuisses, de ses mains délicates elle faisait glisser la fine étoffe jusquà mi-cuisse. Ses mains continuaient de monter jusquà sa petite chatte. Elle passa sa main sur son pubis et je découvris que ma petite coquine lavait épilé entièrement pour la première fois. Elle changea de pied et je pus apercevoir que ses grandes lèvres étaient elles aussi imberbes. Mon sexe faisait littéralement des bonds dans mon caleçon. Puis, toujours en meffleurant sans me toucher, elle passa un ensemble string et soutien-gorge en dentelle noire. Elle allait et venait de la salle de bain à la chambre pour que je puisse ladmirer.
Ma femme était très joyeuse et nhésitait pas à marcher et poser devant moi à la manière dune fille de joie. Ses rires emplissaient ce qui serait notre chambre conjugale pour le week-end. Elle compléta sa tenue par une courte robe noire. Elle se maquilla un peu plus que dhabitude. Je la trouvais vraiment superbe et très sexy. À trente-trois ans, elle a vraiment toutes les qualités physiques quun homme puisse attendre de sa femme. Une poitrine ronde et alourdie par sa grossesse, une taille fine avec un petit ventre très sensuelle, des hanches bien marquées et des fesses rebondies. Il était temps de quitter la chambre pour le restaurant car jétais sur le point de lui sauter dessus.
Lorsque nous sommes arrivés dans la salle de restaurant, jai été très fier de voir lassemblée dhommes se dévisser la nuque au passage de ma femme et je me suis amusé des regards furibonds que leurs jetaient les femmes de ceux qui étaient accompagnés. Un jeune homme nous a installés dans un angle de la salle. Je remarquais que le jeune serveur qui soccupait de nous avait les yeux irrésistiblement attirés par le profond décolleté de mon épouse. Je dois dire que le service a été excellent, car le serveur nétait jamais très loin de notre table. Les mets étaient très raffinés et les vins quil nous avait conseillés sy mariaient parfaitement.
Arrivés au dessert, nous étions passablement échauffés par lalcool. Je dis alors à ma femme :
Tu ne crois pas que notre jeune serveur mérite un joli pourboire ?
Si ! Bien sur mon chéri, nous lui laisserons dix euros.
Non, je pensais à quelque chose de plus sexy.
Comme quoi par exemple ? Dit-elle en souriant.
Je pensais à ce petit bout de tissu que tu caches sous ta robe !
Mais enfin ! Tu ny penses pas sérieusement tout de même ?
Cest notre anniversaire de mariage, on peut quand même se permettre une petite folie.
Oui bon ! Je veux bien, mais tu men achèteras un autre.
Bien sur ! Vas retirer ton string dans les toilettes. Tu lui donneras lorsquil apportera les cafés.
Elle quitta la table. Je la regardais séloigner, ses hauts talons la contraignaient à faire onduler ses jolies fesses rondes. Elle se retourna pour me faire un sourire en baissant les yeux avant de franchir la porte des toilettes. Elle paraissait à la fois exciter et gêner par son future geste. Lorsquelle disparut, je sortis de ma rêverie et constatais que quelques messieurs trop observateur se faisaient réprimander par leur compagne.
Une fois de plus, je comprenais ma chance et lenvie que suscitait Claire. Je profitais de son absence pour commander les cafés et mettre laddition sur le compte de notre chambre.
Le serveur nous apporta les cafés, je fis un signe à Claire pour quelle donne le fameux pourboire. Elle attrapa sa main et y glissa le string. Etonné, le jeune homme ouvrit la main et comprit en rougissant ce quil avait en sa possession. Il mit prestement létoffe coquine dans sa poche et balbutia quelques mots incompréhensibles et se précipita vers les toilettes. Nous quittâmes le restaurant à ce moment là. Nous traversâmes le hall de lhôtel en riant comme des adolescents ayant fait une mauvaise blague. Mais femme me murmura à loreille :
Je suis très excitée ce soir, tu as intérêt à être en forme !
Ne tinquiètes pas pour cela mon amour, ce soir, ce sera ta fête !
Et nous voilà repris par un fou rire inextinguible. Après cette traversée assez peu commune de limmense hall de lhôtel, nous prenons la décision de faire un petit tour dans le piano-bar qui faisait dancing au sous-sol de lhôtel. Nous avions déjà bu pas mal de vin pendant le repas et les quelques coupes de champagne consommée sur place ont fini déchauffer nos esprits. Nous étions assis à une table près de la piste de danse dans de profonds canapés en cuir, nos caresses et nos baisers étaient des plus passionnés. Mes mains courraient de ses seins à son entrecuisse. Nous nous apprêtions à rejoindre notre chambre pour profiter de nos corps quand un homme dune cinquantaine dannée demanda à Claire si elle voulait danser avec lui. Il me demanda si cela me dérangeais et Claire minterrogea du regard :
Cest notre anniversaire de mariage et nous navons que peu doccasion de nous amuser.
Merci mon cur.
Elle partit donc sur la piste de danse avec cet inconnu. Ils dansaient face à face sur une musique à la mode assez rythmé. Ils nétaient entourés que de quatre ou cinq couples. Le disc-jockey annonça le moment des danses sensuelles et rapprochées. Elle me regarda et je lui fit signe de continuer si elle le désirait. Je nétais pas préparé à ce qui allait suivre. Les premières minutes se déroulèrent normalement, les mains de ma femme sur ses épaules et celles de lhomme à sa taille. Pendant quils dansaient à distance respectueuse, ils échangeaient quelques propos qui faisaient sourire mon épouse. Je connais bien ma petite Claire, quand elle est pompette, elle est devient plus sensuelle et se frotte assez facilement. Mais je ne men inquiétais pas dans linstant, après tout, javais donné mon accord pour quelle danse avec lui. Ils se serraient de plus en plus et lhomme commençait à descendre ses mains sur ses fesses. Jaurais dû être un peu jaloux, mais lalcool et notre début de soirée plutôt coquin mavait mis dans de bonne disposition et de les voir ainsi flirter gentiment mémoustillait.
Tout à coup, elle leva la tête et lembrassa langoureusement. Lui en profita pour lui empaumer copieusement les fesses.
Une musique plus dansante mit fin à cette étreinte avant que jaie le temps dintervenir. Elle revint sassoir prestement à mes côtés, consciente quelle avait été trop loin. Jétais furieux. Elle ma parlé avec une infinie douceur et comme je ne voulais pas gâcher notre soirée, jai répondu le contraire de ce que je pensais lorsquelle ma demandé :
Excuse-moi, je me suis laissée emporter. Tu men veux ?
Non, ça ma plutôt excité de vous regarder.
Ah bon ! Lui aussi était excité, jai senti la bosse dans son pantalon.
Et toi, ça ta plut quil bande pour toi ?
Oh oui ! Si jétais célibataire, je lemmènerais dans ma chambre.
A ces mots, je restais quelques instants sans voix, Claire navait jamais manifesté aussi franchement son désir pour un autre homme que moi. Pour reprendre un peu de contenance, comme par défit, je lui dis :
Tu peux linviter à notre table si tu le souhaites !
Cest vrai, tu veux bien ?
En fait, je nétais pas vraiment sérieux, je ne le pensais pas du tous, cétait pour faire bonne figure, pour dissiper mon malaise, mais elle se leva et linvita à se joindre à notre table. Il se présenta et se posa au côté de Claire. Après deux ou trois minutes de silence pesant, ma petite femme brisa la glace en lançant la conversation. Après quelques verres, nous parlions des différentes raisons qui nous ont amenés à venir dans cet hôtel, mon épouse et moi pour notre anniversaire de mariage et Jacques pour son travail.
Claire me glissa à loreille quelle avait envie que je lui caresse la chatte. Je mexécutais discrètement sous la table, aidé par lobscurité du lieu. Mes doigts en rencontrèrent dautres, je compris au sursaut de Jacques quil était ceux de notre nouvel ami. Surpris, je regardai cet homme dans les yeux et maperçus quil était très mal à laise, au moins autant que moi. Il avait reposé prestement sa main sur la table. Mes idées se chamboulèrent dans ma tête, je ne savais comment réagir. Pris entre la colère et le désarroi. Fallait-il me ruer sur lui au risque de clore cette soirée, notre anniversaire de mariage ? Elle sétait laissée caresser et me lavait fait savoir, sentir. Je la regardais, jétais perdu. Je vis alors Claire reprendre la main de lautre pour la remettre où je lavais trouvé. Elle se pencha vers moi et me bâillonna dun profond baiser. Je la sentais chaude contre ma peau. Je me rappelais que ma femme navait plus de culotte, puisquelle lavait donné au serveur. Je sus alors quil ne se contentait pas de la caresser, ses gémissements résonnais dans ma bouche, il ne faisait aucun doute quant à léventuelle pénétration par les doigts de Jacques. Je glissais à mon tour une main comme pour vérifier. Il me céda la place quelques instants dans le puits humide de mon épouse, puis il me repoussa pour en reprendre la possession. Ma femme distribuait ses baisers généreusement entre moi et Jacques.
Après de longues minutes dune torride sensualité pendant lequel Jacques semparait de plus en plus de ma femme, ne me laissant quune place de spectateur, Claire me demanda de monter à notre chambre avec Jacques pour essayer le jacuzzi. Lui ne demandait que cela et je dois dire que cette situation mexcitait autant quelle me troublait. Dans lascenseur, elle se jeta à mon cou et me remerciant pour cette soirée. Elle plongea sa langue dans ma bouche pour un baiser plein damour. Jen profitais pour soulever le derrière de sa robe pour lui caresser enfin ses petites fesses Notre invité se mit à genou et en profita pour les embrasser et même glisser sa langue profondément dans le sillon fessier. Claire me murmurait à loreille sa progression. De sa langue, il lutinait le cercle plissé. Puis il déposa ses lèvres sur sa chatte épilée. Arrêt de lascenseur et des privautés.
Une fois rendus dans la chambre, nous nous déshabillions pour aller dans le bain bouillonnant. Jhésitais devant linconnu. Pas Jacques, il se mit nu directement, sans gêne, sans fioriture. Je maperçus que son sexe était bien plus gros et plus long que le mien, raison de son assurance et de son impudeur, je pense. Claire me regarda en souriant, elle aussi avait remarqué ce détail. Déjà nue également, elle se glissa dans leau, la main assurée par notre ami. Elle se colle à lui. Les peaux se frottent, se cherchent. Je me presse de le rejoindre.
Ma bien aimée se mit assise entre notre invité et moi. À peine était-elle installée quelle prit nos sexes en mains. Elle nous branlait en même temps. Jacques caressait sa volumineuse poitrine. Elle lui demanda de se poser sur le bord du bassin et lorsque sa queue fut sortie de leau, elle se pencha pour le prendre en bouche. Je nen revenais pas de ce que je voyais. Elle, si passive dans nos actes amoureux, prenait les devants avec un inconnu.
Je regardais ses lèvres coulisser sur le gland de son amant. Je navais pas bandé autant depuis très longtemps. Elle descendait le long de la hampe pour gober lun après lautre les grosses couilles velues de notre nouvel ami. Elle remontait le long de son torse pour atteindre ses lèvres et y plonger sa langue tout en taquinant le gros gland de ses tétons, faisait coulisser sa queue entre ses seins. Elle lui donnait le meilleur delle-même et il savait en profiter. Et pendant quelle repipait très ardemment la grosse queue de son amant, je me déplaçai pour être à la hauteur de son cul déjà hors des eaux bouillonnantes, voulant glisser ma langue sur sa chatte débordante dune mouille onctueuse et épaisse. Un doigt prenait déjà possession des lieux. Je regardais le doigt coulissé dans lantre que je devinais si chaud. Jen profitais pour lui lécher sa petite rosette, ce quelle aime particulièrement. Elle se laissa aller et joui des douceurs que je lui prodiguais.
Elle se redressa et sortit du jacuzzi en tirant Jacques par son gros sexe. Elle le poussa sur le lit pour quil sallonge sur le dos. Elle le chevaucha, reprit le pénis en main et lappuya à lentrée de son vagin gluant dexcitation. Je mapprochai pour voir cette grosse bite fourrer ma femme. Elle descendit doucement comme pour apprécier une grosseur quelle na jamais connue. Elle gémissait de cette pénétration si profonde. Voir ses petites lèvres intimes étirées comme je ne pourrais jamais les dilater. Voir son cul monter et descendre en rythme sur une autre queue que la mienne me rendait dingue. Je me branlais comme un forcené. Elle sactivait de plus en plus rapidement, aidée par les violents coups de rein de Jacques. Elle criait maintenant son plaisir et eu un orgasme puissant. Ne pouvant tenir plus longtemps, jéjaculais sur le dos de ma femme.
Il lui demanda de se mettre en levrette pour la prendre plus profondément encore, ce quelle accepta avec un peu trop denthousiasme à mon goût. Elle se mit en place rapidement malgré la fatigue du précédent orgasme. Il plaça son gland sur le bord du vagin, puis il la pénétra doucement en la saisissant par les hanches. Il coulissait dans son sexe avec une extrême lenteur, il voulait vraiment apprécier ce moment. Il posa sa main sur les omoplates de Claire afin de la contraindre à plaquer son visage sur le lit. Elle se cambra et avait alors ses jolies fesses très relevées. Elle était belle et soumise à son amant. Il me semblait voir un film, javais limpression de ne plus exister pour eux. Il accéléra la cadence et ma femme ondula de plus en plus son bassin. Je voyais ce gros pénis aller et venir dans le vagin élargit de mon épouse. Javais repris une masturbation frénétique. Je voyais létoile de mon épouse, sa petite pastille brune, sanimé tellement le vagin dilaté prenait de la place. Jacques recueillit de ma semence qui coulait sur le dos de Claire et glissa son pouce dans létroit passage. De son autre main, il stimula le clitoris de ma belle et tendre. Position que je narrive jamais à faire car à chaque fois mon sexe sort de son minou lorsque je penche trop en avant. Ça ne semblait pas causer de difficulté à notre ami.
Avec un tel traitement, elle ne tarda pas à avoir un nouvel orgasme puissant et très bruyant. Il profita du moment intense de plaisir que prit ma femme pour retirer le doigt de son anus. Il plaça son gland à la place. Javais déjà essayé de sodomiser Claire, mais se fut un échec car elle avait eu trop mal. Il ne nous laissa pas le temps de réagir, bien que je compris que ma femme nen eu pas lenvie. Il la posséda de tout son long avec une déconcertante facilité. Il commença de lent va-et-vient. Ma femme se faisait dépuceler lanus devant moi par un pratiquement inconnu et ma seule réaction était de me branler devant ce spectacle, le plus torride quil métait donné de voir. Il la sodomisa lentement, lui faisant ressentir toute sa longueur, sa puissance. Je le ressentais moi aussi. Puis, progressivement, il accéléra la cadence, semblant se caler aux sensations quil donnait à ma femme. Si belle à cet instant.
Il continua ainsi jusquà la pilonner sévèrement. Ma femme criait, hurlait sans que je sache si cétait de douleur ou de plaisir, jétais ahuri de la voir aussi soumise, aussi ouverte. Elle semblait nêtre quun amas de jouissance. Les mouvements de Jacques commencèrent à être désordonnés, il faisait tourner son bassin pour la dilaté encore plus. Soudain, il se crispa et sortie de lanus de Claire pour se replanter dans la chatte ruisselante. Il éjacula très profondément en elle. Elle eut, je crois, un dernier et très puissant orgasme, un long gémissement séchappait de sa gorge, un gémissement que je ne lui connaissais pas. Moi jéjaculais piteusement sur la moquette de la chambre.
Il coulissa quelques minutes en elle, la laissant reprendre tranquillement ses esprits. Après un baiser trop passionné, trop amoureux, Jacques nous quitta. Les yeux pétillants, elle me demanda à ses côtés. Elle me gratifia du même baiser quà son amant. Ouvrant ses jambes, ma femme me demanda de lécher son minou. Je regardais les grandes lèvres enflées de désir ou davoir été maltraitée et le vagin dilaté débordant de sperme. Jhésitais. Elle appuya sur ma nuque, je me lassais guider sur son sexe dégoulinant de semence. Je plongeais ma langue dans cette mixture et pris un plaisir étrange à avaler les souillures dun autre homme. Mais épuisée par les émotions et par lalcool, Claire sendormit sous mes douces caresses buccales.
Le réveil fut très dur, pas seulement à cause de la gueule de bois, mais parce que ce week-end était prévu pour mettre en route notre deuxième , Claire était en pleine ovulation et ne prenait plus la pilule depuis trois mois. Avec livresse, nous avions oublié ce « détail». Claire sest donc retrouvée enceinte de son amant dun jour. Craintive des opérations chirurgicales et ne voulant pas lui infliger de traumatisme, nous avons décidé de garder cet . Il nétait pas le fruit de mon sperme, mais le fruit de notre amour, peut importe la semence. Pour nous et pour tous, il est mon fils.
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