La Redoute
Cétait il y a 3 ans environ. Soucieuse davoir toujours un intérieur chaleureux et glamour, javais commandé dans un magasin de VPC deux jolies chaises en bois dont le dossier rappelait un peu une lyre.
Bien évidemment, un délai de livraison important accompagnait la commande que javais passée à partir du catalogue.
1 ou 2 mois plus tard, un message dans ma boite aux lettres me prévenait que mes chaises étaient disponibles et quil fallait appeler un certain numéro pour que la livraison puisse mêtre effectuée à un moment où je serai chez moi ; jappelais donc et rendez-vous fut pris pour une fin de matinée proche.
Je me réjouissais à lavance de ces meubles sans mimaginer où me pousserait mon esprit pervers.
Le jour dit et à lheure convenue, la sonnette de linterphone retentit, le livreur sannonçait. Une fois renseigné sur létage et la porte, il mapporta 2 gros cartons que jentrepris de déballer afin de vérifier le bon état des marchandises puis il me demanda de signer les bons de livraison.
Je mattablais donc pour bien lire et ne pas signer nimporte quoi le laissant debout près de moi.
Si près de moi-même car en cochant les cases nécessaires, mon bras heurta son corps à une hauteur et un endroit que vous devinez sans mal. Il ne broncha pas et je fis de même, quand me vint lidée de jouer avec son esprit et son corps dans lespoir de créer une excitation chez lui alors que chez moi le jeu en question apportait déjà une chaleur au creux de mon ventre.
Je traînais donc à signer le bon de livraison tout en rapprochant de lui mon épaule et frottant nonchalamment son sexe bien enfermé dans son jean ; puisquil ne bougeait pas, je menhardis, effectuais un quart de tour sur mon siège et entrepris de masser de mes mains ce qui commençait à devenir une protubérance.
Je me décidai à déboutonner sa braguette et à aller chercher au fond du boxer ce sur quoi mes mains et mes ongles sattardèrent, massèrent jusquà ce que son membre ait pris une belle taille.
Sans le quitter de mes mains, je repoussais mon siège et m'agenouillais devant lui. Cest ma position préférée pour sucer une belle de queue dont jattends une gratification que jadore. Une fois à ses pieds, jenrobais délicatement son membre de mes lèvres et lenfournait dans ma bouche, agaçant au passage ses bourses bien lisses de mes ongles.
Je jouais quelques temps à ce petit jeu, délaissant parfois sa verge pour gober ses testicules et les mâchouiller doucement et revenant à sa queue entre-temps. Puis ny tenant plus, mes mains remplacèrent ma bouche pour le masturber énergiquement jusquà ce quenfin, pour son plaisir et - surtout- pour le mien - il minonda en bonne quantité, le visage dun jus bien épais et bien masculin.
A la fois honteuse et ravie, je courus devant une glace pour admirer mon visage magnifiquement maculé
Quand je me retournai, il avait disparu
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