L'Abandon D'Une Femme Amoureuse Pour Un Jeune Collègue Devant Son Mari
Le collègue amoureux 2
Les jours qui suivirent cette soirée, j'ai beaucoup parlé avec Chantal de sa conduite en présence de son collègue et combien il mavait été agréable de la savoir si gonflée elle si bloquée d'habitude. Elle a fini par m'apprendre qu'elle se doutait qu'elle lui plaisait beaucoup ce qui la flattait et c'est ce qui l'avait incitée à se livrer si librement. En poussant plus loin mes questions j'apprends même que ce collègue lui avait fait une déclaration à mi mots puis carrément claire à laquelle elle n'avait bien sûr pas répondu. Plus tard j'apprends qu'il lui avait écrit une lettre de déclaration. Je suis intrigué et jaloux, j'ai peur car je sens que ma femme me cache ou m'a caché quelque chose. Et en pensant à rétro que j'ai exhibé l'être aimé à cet homme, j'en ai froid dans le dos. Surtout qu'elle finit par m'avouer qu'ils ont échangé un baiser. Tout s'écroule pour moi, ma femme me trompe. Je suis fou de douleur et c'est ce qui m'excite. Que faire. Je linterroge. Et je lui fais l'amour comme un fou comme pour me rassurer et me prouver qu'elle m'aime encore. Mais la jalousie me tenaille. Je n'apprends rien de plus mais je lui fais jurer de tout me dire sur l'évolution de ses rapports avec son collègue qu'elle voit de fait tous les jours au collège.
J'ai saisi alors le supplice que j'ai infligé à cet amoureux en faisant l'amour à celle qu'il aime, ma femme. Mais c'était à mon tour d'être pris au piège et je n'étais pas sûr dêtre le gagnant. Surtout qu'il m'était interdit de savoir si Chantal n'était pas un peu ou même beaucoup amoureuse de cet homme.
Ma jalousie est au plus fort quand un soir elle m'apprend qu'ils ont déjeuné ensemble. Il lui a réitéré sa déclaration en lui avouant même que la soirée passée chez nous lavait confirmé dans son amour. Apparemment il n'avait pas trahi notre secret. Elle m'avoue aussi qu'elle a été sous le charme et qu'il ne lui est pas insensible. Il est doux, patient et sait la mettre en valeur en la positivant.
Ma femme a un petit coup de cur pour un de ses collègues.
J'étais fou de jalousie et j'ai voulu jouer encore plus avec le feu. Je partageais un secret avec cet homme : javais fait l'amour à ma femme, à son insu devant lui.
J'ai décidé de l'inviter à déjeuner pour lui parler et en savoir plus.
Je lui ai appris tout de suite que je savais tout. Il s'en doutait bien mais cela lui importait peu car il ne voulait pas briser mon ménage mais simplement aimer ma femme comme il l'aimait depuis bien longtemps. Et puis on avait la complicité du fameux soir ! Il me confirme qu'il n'a rien manqué du spectacle et qu'il avait joui par deux fois dans la soirée. Il aime Chantal et s'en excuse même. Je lui propose alors de laider à se rapprocher delle mais aussi pour mon plaisir, mon vice. Javais confiance en lui et jeter ma femme dans ses bras ceux de son amoureux mexcitait trop pour ne pas prendre de risque. Jaime Chantal par dessus tout et cest peut-être un des paramètres de ce jeu bien dangereux. Je lui précise que c'est moi qui dirige la musique.
Quand j'annonce à Chantal mon invitation elle est d'abord surprise et inquiète. Elle redoute mes réactions. Mais vite je la rassure sur mes intentions. Je lui explique que je suis bien dans ces rapports et que cest loccasion pour elle de faire le point sur cette aventure en ma présence. Elle accepte rassurée mais surtout je crois quelle a envie de rencontrer cet homme. Et que j'ai envie de contrôler la situation. Ma femme m'aime et elle semble maintenant ravie de ma décision. Je lui propose de se faire belle comme bon lui semblera.
Le soir venu, il arrive avec un énorme bouquet de fleurs. Il sait le rustre la faiblesse que Chantal porte aux fleurs. Elle trouve un vase, place ses roses et autres fleurs, ravie. On sinstalle lun à côté de lautre dans un fauteuil du salon pour la regarder faire. Il est très détendu, je le suis moins. Voir Chantal si heureuse attise déjà ma jalousie. Cest sûr elle est heureuse de la présence de son collège, de son amoureux, de mon rival et complice
Elle sest bien faite belle : un chemisier blanc, une jupe à fleurs sage. Ses jambes sont recouvertes de bas couleur chair, ses pieds habillés de chaussures à hauts talons. En souvenir de notre première soirée elle a voulu se montrer à la fois classe et sexy en évitant la vulgarité.
Je propose de prendre lapéritif, et elle passe en cuisine le temps de servir. Mon regard croise celui de notre invité. Il ny a aucune ambiguïté : il sait pourquoi il est là et moi aussi. Sil veut Chantal il ne veut pas mexclure. Je joue rassuré et terriblement excité. Chantal ne se doute visiblement de rien.
Elle nous rejoint pour nous accompagner à boire.
Pour tenter le diable je mabsente prétextant aller chercher le vin. Jécoute caché. Un silence lourd sétend dans le salon. Ils ne parlent pas, jimagine ; je les ai laissés lun près de lautre, à portée de bouche. Je reste caché, dresse loreille à laffût du moindre bruit. Rien et pourtant je suis sûr quils doivent sembrasser. Le whisky aidant elle doit être plus libérée. Je bande déjà et je souffre
je remonte en me raclant la gorge pour avertir de ma venue. Ils sont toujours lun près de lautre mais très sages. Pourtant je trouve que les joues de Chantal sont plus rouges que roses. Je suis persuadé quils ont du sembrasser. Je cache comme je le peux mon érection mais elle néchappe ni à lun ni à lautre. Ils comprennent et surtout Chantal que cette situation ne me déplait pas et je crois comprendre quils sont décidés à en profiter.
Quand elle nous invite à passer à table latmosphère est très détendue et sérieuse. On est bien tous les trois. En passant près de moi Chantal me donne un baiser dans le cou, un baiser de tendresse. Quand elle passe en cuisine, je la suis et la questionne sils se sont embrassés. Elle rougit très fort, détourne son regard. Jinsiste. Elle senfuit dans la salle à manger retrouver notre invité. Le repas se passe en banalités. Chantal parle beaucoup, bois bien, se détends de plus en plus. Au dessert ses yeux brillent et elle a le rire facile, un peu fou. Je crois bien quelle est saoule.
On passe au salon. Je propose de faire les cafés. Je laisse Chantal près de son collègue affalée dans le grand canapé.
Alors, il se penche sur elle, me regarde encore une dernière fois, et délicatement il dépose un baiser sur ses lèvres. Chantal ne bouge pas mais ne rend pas le baiser. Les cafés attendront, je vais masseoir en face immobile, attentif et voyeur de ce qui va se passer.
(à suivre)
Des photos si vous demandez
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