Les Fantasmes De Jane

Nous décidons un jour de nous dévergonder après 10 ans de mariage, après tout pourquoi pas ? Elle voudrait réaliser presque tous ses fantasmes, certains simples à réaliser, d’autre plus ardus. D’autant plus qu’on en parle toujours en baisant, c’est plus excitant, elle me décrit certaines de ses idées, elles tournent souvent autour de l’exhibition. Je laisse un peu trainer, elle me relance sans cesses.
Elle voudrai dans le désordre baiser avec deux hommes, dans un taxi même si le chauffeur la voit, dans la nature à condition de pouvoir être surprise, avec une autre femme à condition d’être la soumise etc...
Un soir Jane, ma femme donc, me demande de l’emmener au restaurant, je n’ai rien contre un diner en amoureux, au contraire. Je ne lui demande qu’une seule chose, être pile à l’heure. Quand j’arrive à la maison vers 20 heures, elle est prête : sauf qu’elle est habillée très sexy. Certes, elle est belle, sexy naturellement mais de la à porter une mini jupe en cuir très courte, comme dirait l’autre « ras de la touffe », oublier de mettre les sous vêtements, il y a une marge que sur le moment je n’arrive pas à encaisser. Elle sait bien me convaincre, je veux que tu me baise dehors, dans un endroit en ville éclairé pour qu’on nous surprenne. Je veux être vue même si en cours de route, au restaurant par exemple un homme me propose la botte que j’accepterai et que tu sois avec nous pour me voir jouir avec une autre bite que la tienne.
Ma femme devient folle. Enfin ce qui est dit est dit. Nous appelons un taxi, pour aller vers un de ses fantasmes. Nous demandons au taxi de nous mener à ce fameux restaurant où j’ai réservé les places, en faisant un grand tour en ville, sur les boulevards éclairés par exemple. Au bout de notre rue, ma femme m’agace en me passant la main sur le pantalon à un endroit que tout le monde peut imaginer. Bien sur le résultat est là, je commence à bander. Elle sort ma bite, se penche pour commencer une fellation.

Elle suce très bien, je la laisse faire, je regarde la chauffeur, il nous observe dans le rétroviseur. Je le dis à Jane qui du coup s’arrête non pas pour le chauffeur, mais pour elle. Elle vient sur moi, le dos contre ma poitrine. D’elle-même elle a soulevé sa jupette , le sexe à l’air, s’installe allongément, sans doute pour que le chauffeur puisse bien la voir quand elle prend ma bite pour se la mettre dans la chatte. Elle la fait rentrer à fond. Elle soupire, ce qu’elle ne fait pas habituellement, elle tient à passer pour une nymphomane, ce qu’elle n’est pas. Posée comme elle est, elle peut se masturber, aussi elle ne s’en prive pas. Ca elle le fait souvent, rien d’étonnant.
Elle pousse un cri de joie quand elle jouit. Elle s’adresse au chauffeur, allez en plein centre. Il n’est pas désobéissant, surtout en pensant aux € qu’il va gagner en plus du spectacle !
Ma femme décide de se mettre ne levrette pour que je la sodomise. Je lui enlève sa jupe, elle enlève le reste pout être nue devant tous les gens qui la verront se faire enculer. Je lui mouille l’entrée du petit trou, quoique chez elle il n’est pas si petit que ça, nous pratiquons souvent la sodomie. Au moment où je pose ma pine sur son cul, le taxi passe sur un accident de la toute. Du coup j’enfile Jane d’un seul coup. Je vois passer les gens qui nous regardent tellement le chauffeur roule lentement. Je vois même sa main droite s’agiter, il se branle en plus. Jane jouit souvent, comme à son habitude. Je ne sais pas pourquoi le désir que j’avais de jouir dans son cul disparait.
Jane se rhabille juste avant d’ arriver au restaurant, j’ai même pas le temps de me remettre. Je paye le taxi, sans laisser de pourboire : il a assez vue de baise et s’en est branl酅.;
Nous arrivons un peu tard, le maître d’hôtel ne nous voyant pas arriver doit nous trouver une autre place, pile au milieu de la salle. Jane en est satisfaite, elle pourra se montrer, qui sait rencontrer un futur amant ou amante. Elle choisit la place la plus exposée . Tous les regards sont tournés vers elle, c’est la but recherché. Bien sur les hommes seuls la reluquent avec des regards envieux. Surtout notre voisin qui, dès notre installation se penche pour en voir le plus possible. Jane s’en aperçoit bien vite. Elle en fait plus que nécessaire pour se faire passer pour une cocotte. Elle se tourne vers lui, pour faire tomber sa serviette et se penche pour la ramasser, alors que le maître d’hôtel venait pour ça. Elle a osé montrer ses seins en entier au voisin. Assise elle s’arrange pour écarter les cuisses pour bien montrer sa chatte encore mouillée.
Inévitablement, il lui parle comme si je n’étais pas là. Il la baratine et elle le laisse la draguer. Arrive le moment à la fin du repas où carrément il lui propose la botte. Elle minaude un peu en posant ses conditions : elle veux baiser avec deux hommes dont moi. Ce type excitée par ma femme accepte de tirer un coup à trois.
Je demande au maitre d’hôtel s’il a une chambre. La bonne réponse satisfait ma femme. Arrivée dans la chambre elle ne fait pas dans le détail, elle est nue à peine le premier pied dans la pièce. Elle s’installe sur le lit pour se caresser les seins. Elle ne nous demande rien, à nous les hommes, sans mot nous sommes rapidement nus aussi. Nous bandons, nous nous regardons, les bites bien droites, il est à peine un peu plus petit que moi. Elle Lui demande de venir se faire sucer, bien sur il pose sa bite dans la bouche ouverte. Elle commence à le sucer et m’attire pour que je la suce. Je connais tous le recoins de son con, je la fais jouir alors qu’elle se garde bien de faire jouir son amant.
Elle lui demande de venir se mettre sur la dos pour la baise. I! s’y met, elle se met la bite dans la chatte avant de se pencher sur lui. Elle me fait signe de venir la lui mettre dans la cul. Je n’ai jamais fais ce genre d’exercice et j’en suis tenté. J’entre facilement, sauf que je sens la présence de l’autre bite. Je ne sais pas pour lui, mais pour moi c’est très excitant. Elle jouit plusieurs fois. Quand je jouis en elle, je sens la pine de l’autre qui éjacule. Jane comprend que la fin est proche, elle veut quand même lui faire une petit faveur : elle lui prend la bite dans la bouche d’abord pour le faire bander et ensuite une fois bien droite lui sucer la pine. Dès qu’il a fini de jouir, elle le chasse comme un chien, le pauvre ne comprend pas et s’en va..
Pendant plusieurs semaines Jane ne me parle plus de ses envies tordues. Je crois que ça la reprend maintenant...

Un soir Jane, ma femme donc, me demande de l’emmener au restaurant, je n’ai rien contre un diner en amoureux, au contraire. Je ne lui demande qu’une seule chose, être pile à l’heure. Quand j’arrive à la maison vers 20 heures, elle est prête : sauf qu’elle est habillée très sexy. Certes, elle est belle, sexy naturellement mais de la à porter une mini jupe en cuir très courte, comme dirait l’autre « ras de la touffe », oublier de mettre les sous vêtements, il y a une marge que sur le moment je n’arrive pas à encaisser. Elle sait bien me convaincre, je veux que tu me baise dehors, dans un endroit en ville éclairé pour qu’on nous surprenne. Je veux être vue même si en cours de route, au restaurant par exemple un homme me propose la botte que j’accepterai et que tu sois avec nous pour me voir jouir avec une autre bite que la tienne.
Ma femme devient folle. Enfin ce qui est dit est dit. Nous appelons un taxi, pour aller vers un de ses fantasmes. Nous demandons au taxi de nous mener à ce fameux restaurant où j’ai réservé les places, en faisant un grand tour en ville, sur les boulevards éclairés par exemple. Au bout de notre rue, ma femme m’agace en me passant la main sur le pantalon à un endroit que tout le monde peut imaginer. Bien sur le résultat est là, je commence à bander. Elle sort ma bite, se penche pour commencer une fellation. Elle suce très bien, je la laisse faire, je regarde la chauffeur, il nous observe dans le rétroviseur. Je le dis à Jane qui du coup s’arrête non pas pour le chauffeur, mais pour elle. Elle vient sur moi, le dos contre ma poitrine. D’elle-même elle a soulevé sa jupette , le sexe à l’air, s’installe allongément, sans doute pour que le chauffeur puisse bien la voir quand elle prend ma bite pour se la mettre dans la chatte. Elle la fait rentrer à fond. Elle soupire, ce qu’elle ne fait pas habituellement, elle tient à passer pour une nymphomane, ce qu’elle n’est pas. Posée comme elle est, elle peut se masturber, aussi elle ne s’en prive pas. Ca elle le fait souvent, rien d’étonnant.
Elle pousse un cri de joie quand elle jouit. Elle s’adresse au chauffeur, allez en plein centre. Il n’est pas désobéissant, surtout en pensant aux € qu’il va gagner en plus du spectacle !
Ma femme décide de se mettre ne levrette pour que je la sodomise. Je lui enlève sa jupe, elle enlève le reste pout être nue devant tous les gens qui la verront se faire enculer. Je lui mouille l’entrée du petit trou, quoique chez elle il n’est pas si petit que ça, nous pratiquons souvent la sodomie. Au moment où je pose ma pine sur son cul, le taxi passe sur un accident de la toute. Du coup j’enfile Jane d’un seul coup. Je vois passer les gens qui nous regardent tellement le chauffeur roule lentement. Je vois même sa main droite s’agiter, il se branle en plus. Jane jouit souvent, comme à son habitude. Je ne sais pas pourquoi le désir que j’avais de jouir dans son cul disparait.
Jane se rhabille juste avant d’ arriver au restaurant, j’ai même pas le temps de me remettre. Je paye le taxi, sans laisser de pourboire : il a assez vue de baise et s’en est branl酅.;
Nous arrivons un peu tard, le maître d’hôtel ne nous voyant pas arriver doit nous trouver une autre place, pile au milieu de la salle. Jane en est satisfaite, elle pourra se montrer, qui sait rencontrer un futur amant ou amante. Elle choisit la place la plus exposée . Tous les regards sont tournés vers elle, c’est la but recherché. Bien sur les hommes seuls la reluquent avec des regards envieux. Surtout notre voisin qui, dès notre installation se penche pour en voir le plus possible. Jane s’en aperçoit bien vite. Elle en fait plus que nécessaire pour se faire passer pour une cocotte. Elle se tourne vers lui, pour faire tomber sa serviette et se penche pour la ramasser, alors que le maître d’hôtel venait pour ça. Elle a osé montrer ses seins en entier au voisin. Assise elle s’arrange pour écarter les cuisses pour bien montrer sa chatte encore mouillée.
Inévitablement, il lui parle comme si je n’étais pas là. Il la baratine et elle le laisse la draguer. Arrive le moment à la fin du repas où carrément il lui propose la botte. Elle minaude un peu en posant ses conditions : elle veux baiser avec deux hommes dont moi. Ce type excitée par ma femme accepte de tirer un coup à trois.
Je demande au maitre d’hôtel s’il a une chambre. La bonne réponse satisfait ma femme. Arrivée dans la chambre elle ne fait pas dans le détail, elle est nue à peine le premier pied dans la pièce. Elle s’installe sur le lit pour se caresser les seins. Elle ne nous demande rien, à nous les hommes, sans mot nous sommes rapidement nus aussi. Nous bandons, nous nous regardons, les bites bien droites, il est à peine un peu plus petit que moi. Elle Lui demande de venir se faire sucer, bien sur il pose sa bite dans la bouche ouverte. Elle commence à le sucer et m’attire pour que je la suce. Je connais tous le recoins de son con, je la fais jouir alors qu’elle se garde bien de faire jouir son amant.
Elle lui demande de venir se mettre sur la dos pour la baise. I! s’y met, elle se met la bite dans la chatte avant de se pencher sur lui. Elle me fait signe de venir la lui mettre dans la cul. Je n’ai jamais fais ce genre d’exercice et j’en suis tenté. J’entre facilement, sauf que je sens la présence de l’autre bite. Je ne sais pas pour lui, mais pour moi c’est très excitant. Elle jouit plusieurs fois. Quand je jouis en elle, je sens la pine de l’autre qui éjacule. Jane comprend que la fin est proche, elle veut quand même lui faire une petit faveur : elle lui prend la bite dans la bouche d’abord pour le faire bander et ensuite une fois bien droite lui sucer la pine. Dès qu’il a fini de jouir, elle le chasse comme un chien, le pauvre ne comprend pas et s’en va..
Pendant plusieurs semaines Jane ne me parle plus de ses envies tordues. Je crois que ça la reprend maintenant...