Malle À Fantasmes: Libertinage 3 Initiation Femdom
Me replongeant dans mes problèmes professionnels, un quart d'heure plus tard, mon portable sonna.
- Allô... Bérengère ??? Lui-dis-je, étonné.
- Oui... Mon mignon... Tu peux m'ouvrir, je suis là... Me répondit-elle.
Euh... Oui, oui... J'arrive... lui-dis-je, surpris.
Après avoir vérifié par la caméra du portail, je reconnus l'Audi A4 noire, de Bérengère. Déclenchant l'ouverture du portail, et, sans même prendre le temps de changer ma tenue. C'est dans mon peignoir, largement ouvert, que je me présentais à elle, face à sa voiture, les mains dans les poches.
J'attendais sagement, qu'elle descende de voiture. Je la voyais se mouvoir dans l'habitacle. Puis, la portière s'ouvrit, d'où elle en sortit, pour me rejoindre.
Excuses-moi... J'avais un doute sur ma tenue... Qu'en penses-tu ??? Je trouve que mon leggings est de trop ??? s'interrogeait-elle.
Elle portait une liquette à fines rayures, blanches et bleues, largement ouverte, laissant libre sa lourde poitrine. Et une leggings blanche, chaussée d'escarpins noirs.
Mon regard se fixait sur cet entre-jambe, lui moulant sa vulve, bien dilatée, et enrobée d'un string blanc. Elle baissa le vêtement de trop, entravant ses cuisses galbées et nues. Pour m'offrir la vue de ce lycra, qui se faisait totalement dévorée l'entre-jambe, laissant même, échapper ses longues et grosses lèvres, reluisantes de glaire fraîche.
Alors, mon mignon... ça te plaît ??? Me demanda-t-elle, son regard tourné vers l'échancrure de mon peignoir.
La surprenant à me mater, dans un geste, rapide, j'ouvris les pans du peignoir, lui offrant à mon tour, mon érection surprise.
Qu'en penses-tu, ma grande ?? lui dis-je.
Tu confirmes ma décision... C'est de trop... Me dit-elle, en faisant rouler aux chevilles le vêtement, s'appuyant sur le capot de la voiture.
A demi-assise, elle se déchaussa.
Aussitôt, elle agrippa sa main droite dans mon épaisse chevelure. Pour attirer mon visage jusquà l'entre-jambe de son lycra parfumé par sa glaire cervicale. Y faisant un rapide passage, elle tira ma tête en arrière, lui faisant face.
J'adore dominer mes sujets... Allez... Sniffes... M'ordonna-t-elle. Mais avant retires cette éponge, ce n'est que de trop... Écartes tes cuisses... Que je puisse profiter la vue de cette belle queue...
Ne pouvant répondre, par le fait que sa main qui empoignait ma chevelure, enfonça mon visage dans son lycra.
Tant bien que mal, je me débarrassais de mon peignoir, mes cuisses ouvertes, m'appliquant.
En sachant que c'était une première pour moi, me faire dominer, et d'autrement plus, par ma future belle-mère.
Qui m'aurait dit, qu'un jour, celle qui au visage dange, représentait la douceur et soumission. Aujourd'hui, elle me rabaissait, mais jusqu'où, allait-elle me soumettre ?
Me prenant à son jeu, je m'appliquais à lui lécher, lui sucer chacune de ses grandes lèvres, ruisselantes de glaire, onctueuse, la faisant haleter. Je faisais glisser mon nez, à même le lycra, entre ses grandes lèvres dilatées. Restant totalement soumis à ses envies, pourquoi pas ??
Mouillant de plus bel, Bérengère avait du mal à reprendre son souffle, et pour cause !!
D'un geste brusque, elle retira mon visage de son entrecuisse. Pour m'obliger à la regarder, alors que sa glaire me maquillait le nez et la bouche.
C'est bien... Mon mignon... As-tu déjà pratiqué la soumission masculine ??? Me demanda-t-elle.
Euh... Non... lui-dis-je.
Durant ta séance de soumission, tu me répondras par Madame... C'est compris ??? M'ordonna-t-elle.
Oui... Ma
Madame...
Parfait... Pousses-toi.
Puis, sans perdre une seconde, elle se pencha sur moi.
Il te manque quelques accessoires, pour parfaire la situation, dit-elle. Et surtout, ton éducation... Tout d'abord... Tu es mon toutou... Et comme tout bon toutou, que tu es... Tu te dois de te déplacer et rester à quatre pattes... Allez... Suis-moi...
C'est dans un mélange d'excitation et dengouasse, que je me soumettais à cette situation. Restant à quatre pattes, je m'exécutais, sans broncher.
Elle m'amena jusqu'à l'arrière de l'Audi. Alors que je restais à ses pieds, elle ouvrit le coffre pour en sortir un grand sac de voyage, cuir, noir.
Le posant devant moi, après avoir refermé le coffre. Elle se débarrassa de sa liquette, qu'elle laissa tomber sur mon dos, pour ne garder que son lycra.
Brutus... Je trouve que cela
Te va à ravir... Mon mignon... Me dit-elle, après s'être accroupie face à moi, cuisses ouvertes m'offrant ses grandes lèvres glaireuses.
Bien
Passons aux choses sérieuses
Quest-ce-que jai au fond de ce sac ??? Hum
Nous allons commencer par mettre un beau collier de cuir
Au cou
Voilà
Il te va à ravir
Mon Brutus
Une photo
Attends
Non
Madame
Pas la photo !!! Suppliais-je.
La réponse fut immédiate, elle me gifla, sans ménagement.
Je compris quil ne fallait pas la contredire. Elle mobligea à rester dans la position quatre pattes, puis, le flash de son portable se déclencha à plusieurs reprises. Sous toutes les coutures, elle me photographia, avant de revenir face à moi. Reprenant la pose, accroupie, cuisses ouvertes. Fouillant à nouveau son sac, où elle en sortit un plug avec une queue de chien et des chaussons en cuirs noirs.
- Allez
Donnez tes pattes
Mordonna-t-elle. Que je te donne un peu plus lallure dun animal
Mon Brutus
Poses la papatte sur ma cuisse
Obéissant, je lui donnais mes mains sur sa cuisse, quelle dissimula dans des chaussons attachés à chaque poignet.
- Voilà
Au passage, un petit coup dil à cette pine
Hum
Ta petite chienne a bien de la chance
Je serai elle
Je timposerai la ceinture de chasteté
Me dit-elle. Juste pour être certaine de ne pas la traîner ailleurs
Et dans un geste rapide, mais surtout assuré, elle magrippa la base de mes couilles et ma queue en érection. Entre le pouce et lindex, quelle serra, me faisant gémir de douleur étouffée. Ayant passé son bras entre mes cuisses ouvertes. Tirant le tout vers lentre-jambe. Mobligeant à écarteler au plus large, mes cuisses. Je ne cachais plus grand chose de mon orifice anal.
Ne lâchant rien de sa prise, la douleur se faisant de plus en plus forte. Mes avant-bras plantés à même le sol, je nosais donner un coup dil sur mon appareil génital, pour en voir létat.
Cétait trop fort, le visage entre mes bras, mes yeux trouvèrent mon sexe meurtri, couleur violacé, gonflé. Je ne sais comment jen arrive à supporter cette soumission.
Je ne suis pas de nature à me soumettre, vous avez pu le constater dans les deux chapitres précédents, mais je ne pense pas faire partie des dominateurs. Bref, dans la situation de cette soirée, qui commence, Bérengère ne me donne pas le choix.
Sa main venait de lâcher prise, se levant, elle fouilla de nouveau dans ce sac à accessoires. Et quallait-elle en sortir ?
- Je commence à avoir mal au bras
Tournes-toi sur le dos
mordonna-t-elle. Passes tes bras à lintérieur des cuisses et atts tes chevilles.
Elle était debout, alors que je mexécutais sagement. Je me retrouvais dans une position disgracieuse. Sur le dos, les cuisses totalement écartelées, mes mains entrecroisées mes chevilles, pour lui laisser libre champs à mon intimité. Mon pieu tendu, douloureux, restait en érection, et je ne vous parle pas de mes couilles. Je ne les sentais même plus, javais une impression quelles avaient doublé de volumes.
Docile, jattendais les yeux au ciel, je me demandais ce quelle allait bien minfliger ?
Je ne mis pas longtemps à attendre.
Elle sortit plusieurs accessoires du sac, avant de venir au-dessus de mon visage, quelle chevaucha. Me laissant une pleine vue sur son entre-jambe, totalement avalée par ses grandes lèvres vulvaires, pendantes. Je ne pouvais en rester indifférent. Malgré moi, et mon faible pour le lycra blanc, je bandais.
Dans chacune de ses mains, elle avait un bâillon en cuir noir, en forme dos, quelle me présenta, et de lautre, un accessoire .
- Cà, cest ton nonosse
Et çà ??? Me dit-elle
Mais là, jai une petite envie
Ouvres la bouche
Que je te rafraîchisse
Une tisane, çà te dirai ??? Allez
Je compris tout de suite ce quil allait marriver, la bouche ouverte, docile, jattendais. Alors quelle, tirant sur son lycra, afin den libérer sa vulve parfaitement épilée. Et dans la seconde qui suivit, tout en restant debout, elle laissa partir un long durine, cherchant à viser ma bouche.
Minondant le visage de sa tiède mixture iodée, que je dus avaler à grandes gorgées.
- Hum
Je commence toujours ma séance de femdom, par marquer mon territoire
Et pour continuer
Un petit face sitting
Le temps de redonner vigueur à ces coucougnettes
Et cette queue
Qui ont bien baissés de volume
Commenta-t-elle.
Ajoutant le geste à la parole, sans avoir retiré son lycra, elle vint sasseoir sur mon visage, me présentant sa vulve béante et ruisselante de glaire. Alors quune de ses mains empoigna la base de ma queue et mes couilles, y tirant fermement dessus. Me faisant réagir immédiatement par un cri de douleur, étouffé, lâchant ma cheville droite.
Je vins attr son poignet, cherchant à lui faire cesser sa prise. Ayant mes bras coincés par ses cuisses, je navais aucun recours pour me défendre. Résultat, elle réussit à me faire renoncer, mobligeant à subir.
- Je sais, mon Brutus
Il va te falloir souffrir pour être beau
Je veux faire de toi, le plus majestueux de mes étalons
Et, tu le seras
Me dit-elle.
Tout en mexpliquant, elle continuait son idée. Elle remplaça sa main par un accessoire, un anneau quelle glissa à la base de mon appareil sexuel.
Clipsant au plus fort, serrant lanneau à létranglement de mon appareil génital. Mais le plus insupportable fût le moment où, pour la première fois, elle se permit de me doigter lanus, sans même le préparer avec du gel.
- Tu es encore serré du cul
Mais je vais te le tartiner de façon que ton première ancrage, soit mémorable
Me dit-elle.
Ancrage ?? Ancrage ??? Vous avez dit ancrage. Alors quelle mintroduit un embout plastifié, vidant son gel, au plus profonde de mon anus. Je compris ce quil allait en suivre.
Mais dun coup, Bérengère me relâchant, se leva.
- Debout, mon cochon
Regardes sur ta droite
Tu connais ?? Me demanda-t-elle ??
- Euh !! Oui
Répondis-je.
Elle me gifla à pleine volée, à en perdre équilibre.
- Quest-ce-que je tai dit
- Euh !! Oui Madame
Me repris-je.
- Ah, voilà
Je préfère çà
Me dit-elle. Eh bien, nous allons lui rendre une petite visite. Mais dabord, je vais finir ce que jai commencé, avec toi. Tournes toi et montres ton cul.
Ne pouvant quobéir, je me tournais vers la voiture, pour lui présenter mes fesses. Restant debout, Bérengère vint à ma droite, pour se pencher sur mon fessier. Une main entre mes cuisses, pour en Attr lanneau pénien quelle ramena sur mon entre-jambe. Elle y fixa une chainette, et, dans un même geste, elle menfila un plug en métal dans lanus dilaté+++
Difficilement supportable, pour une première, je grimaçais. Et cest ainsi, Bérengère, dans son lycra, pour seul vêtement, et nu pour ma part, que nous nous sommes rendus chez Gilbert. Bérengère avait pris son sac de cuir.
Voilà, pour cette première partie dune séance de femdom. En espérant que vous vous êtes fait plaisir. A très bientôt.
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