Une Autre Lettre (Authentique) De Mon Amant Marocain

C’est une soirée que nous passons ensemble loin des yeux, dans une chambre que tu as louée pour y être fertilisée, loin de Laurence et des gosses, auxquels tu auras dit qui tu allais être pris toute la nuit.

Et effectivement, tu seras pris, non pas par ton travail, mais parce que tu décides de te féminiser, inaugurer les nouvelles robes et maquillage que tu viens de te procurer.

Et c’est dans cette chambre que, t’étant baignée la première, tu te consacres à te changer dans tes vêtements de femme, te maquiller, te faire belle, pendant que moi je me baigne à mon tour.

Sous la douche, j’entends que tu es en train de répéter, à voix basse, les refrains d’une chanson qui te plaît particulièrement. Et je comprends que tu es contente et fière de te faire belle pour moi.

Ton maquillage fini, tu te regardes dans la glace plusieurs fois, tu te relèves, tu t’admires de face, puis de profil avant d’aller t’installer dans le fauteuil, jambes croisées, regard fixé sur tes chaussures noires, talons aiguilles.

Très contente de ton nouveau look, et attendant que je te rejoigne, sous l’excitation agréable qui te gagne, tes pensées vagabondent et tes mains s’insinuent sous le coton de ton corsage aéré et éveillent un désir en de lentes caresses qui doucement te font soupirer. Tes seins se dressent et durcissent. Bientôt tu les caresses du bout des doigts. Déjà, les tétons se dressent comme par enchantement…

Tu t’impatientes car tu as moralement et physiquement hâte d’être bouffée.

Et moi, conscient de ton état d’âme et de ta hâte à être saisie, harassée, e, violée, je me fais délibérament attendre pour augmenter en toi ce suspens agréable, ce désir grandissant d’être attaquée .

Ta main effleure ton ventre lentement. Partie de ta poitrine, elle parcourt tout en finesse ta peau douce et chaude. Elle descend, descend… Enfin, trouve son chemin et glisse progressivement sous le tissu de ta culotte de dentelles…

Les cinq minutes que je mets à te rejoindre te semblent une année : tellement tu as envie de t’exhiber devant moi (fière de tes vêtements de femme et de ton maquillage soigné) et de te jeter dans mes bras.

Tu sens ton coeur battre un peu plus vite. Un frisson ne peut être réprimé et une convulsion que tu connais bien se répand dans tes reins. Tu te concentres sur une vague de chaleur qui te traverse intensément et la moiteur gagne du chemin. Doucement la porte de la douche grince et s'ouvre… Tu gardes les yeux mi-clos mais tu sais que je suis là. Ta chatte qui mouille, ton instinct de femme t’indiquent ma présence et mes yeux posés sur toi !!

Dans l'air flotte la fragrance de ton parfum de femme. Je la reconnais immédiatement. Un frisson me parcourt, mon membre s'éveille. Je te vois, invitante sur le fauteuil, maintenant seulement vêtue pour tout vêtement de ton chemisier grand ouvert, tes soutiens noirs, et d'une courte petite culotte noires de dentelle. Tes mains en parties cachées par les tissus ondulent doucement sur ta peau. Je me sens durcir et me trouve à l'étroit dans mes vêtements. Lentement, j'avance vers toi.
Tes yeux s'ouvrent, et tu me souris… Tu te redresses et replies tes jambes sous tes fesses. Ma main se pose sur une de tes cuisses et la parcourt lentement d'abord vers ta cheville… Puis, je remonte vers ton pubis interminablement. Le grain de ta peau épaissit et se transforme en chair de poule. Tes yeux à la hauteur de ma braguette ne peuvent se détacher de cette bosse que tu apprécies tant. Tu sens déjà, malgré les 10cm qui nous séparent encore, l'objet de mon désir qui vit. Il palpite à coups et s'anime visiblement.

De tes mains fines, tu déboutonnes mon pantalon puis extrais doucement la queue enflée des plis de mon slip. Je pose doucement ma main sur ta tête, tu ouvres la bouche de toi-même et, gourmande, engloutit ma bite déjà bien dressée.

Je referme les yeux pour mieux ressentir tes lèvres qui se referment sur mon membre tendu. Tu l'aspires, le suce comme pour le vider de sa substance. Lorsque tu te retires un instant, ta langue court sur mon gland exposé, l'enrobe, l'enroule, avant de l'enfourner à nouveau dans le foyer brûlant de ta bouche. De l’une de mes mains je caresse tes cheveux doux et de l’autre je te caresses les seins que je sens durcir vite sous mes mains brunes et rudes. De temps en temps nos regards se croisent… Je lis au fond de tes yeux le désir qui te dévore. Ton incontrôlable envie de moi, de mes mains, de ma bite.

Je suis fasciné par la manière dont tu as pu te transformer d’un mec, père de famille et chef d’entreprise en une des plus adorables et plus féminines des femmes. Ton visage tourné vers moi et la pulsion animale de mon désir me hante déjà. Une folle envie de te detruire, démanteler, réduire à néant, me perce. Tu sais reconnaître cette envie destructrice en moi et tu me souris comme pour m’y encourager…

Comme par assentiment, tu partages le même feu, le même désir. Ta bouche court sur ma bite tendue avec adresse. Mes soupirs se font de plus en plus rapides et précis, tes lèvres n’abandonnent mon membre que pour venir m’embrasser, en signe de gratitude… Tu sais que l'éjaculation est imminente et tu saisis ma queue à pleine main pour me branler très fort. Ma tête est renversée à l'arrière, mes rugissements enflent dans l'air… Mon ventre me fait mal, mes couilles sont dures et pleines… Je jute en permanence et ta langue passe récolter ce nectar sur ma verge à intervalles réguliers. Sur une dernière sollicitation de tes doigts experts, je jouis. D'un coup mon sperme surgit avec force et te frappe sur le nez !! Tu recules sous le coup, surprise et admirante… Tes seins sont atteints en tout premier puis une réplique s'amollie sur ton ventre. Mais vite, tu reviens sur ma bite, bouche suppliante et entrouverte. C’est là qu'une 2ème gorgée de lait chaud et salé trouve refuge dans ta bouche, et, puisque ça semble plus que ta ptite bouche ne peut contenir tu en avales les ¾ et continues à en ruminer (comme une chèvre) le quart restant dans ta cavité buccale.

Posant ma bite sur ta pommette, tu commences à me lecher les couilles une à une, pendant que tu te doigtes en gémissant et en faisant l’éloge de ma bite brune.

Je te laisse faire, beaucoup d'application dans tes mouvements permet à ta poitrine de prendre un volume des plus réjouissant pour mon œil. Et lorsque je juge que tu es prête à être fécondée, fertilisée, je me baisse vers toi et prends tes lèvres entre les miennes pour t’inviter au lit.

Je glisse ma langue dans ta bouche chaude et l'explore avec passion et douceur.
Maintenant c'est à mon tour de faire courir ma langue au creux de ton cou. Je descends lentement vers tes seins pointus et fébriles. Tu me regardes lécher tes tétons durcis et encore luisants de mon propre sperme. Tu te laisses volontiers exciter et lâches un petit gémissement en entrouvrant toutes grandes les cuisses. Du bout de la langue, je goûte ta poitrine sur laquelle quelques gouttes de mon sperme demeurent. Je savoure la chaleur moite de ta chair tendue par l'excitation, je ressens chaque sursaut électrique de tes nerfs impatients. Je te lèche, déguste jusqu'à plus soif… Ma langue dessine un chemin humide sur ton ventre offert et tendu. Mes mains font descendre peu à peu ta petite culotte imprégnée de tes saveurs du jour.

Basculant la tête en arrière, tu t'abandonnes à cette caresse mouillée. Tu sens cette langue s'ingérer entre tes cuisses ouvertes. Tu retiens ton souffle, t'abandonnes et frémis. Je joue au creux de ton aine, autour des plis de ta chatte offerte, hume l'odeur animale de ton désir débordant.

J’ai une envie tenaillante de te castrer, pour en finir avec ton passé de mec viril !! Je plonge ma langue dans ton petit cul et ce faisant, je vois que tes yeux commencent à rouler entre tes paupières quitte à n’en plus remarquer les pupilles noires, tellement éperdue, tellement inattentive au monde exterieur à notre lit conjugal…

Le seul signe de vie que tu donnes encore vient quand tu exhales un soupir et me saisis de la tête pour me faire enfoncer ma langue davantage dans ton trou. Tu te laisses emporter loin, très loin. Te caressant, te léchant, te suçant, je te sens vibrer et frémir. Enivré par la chaleur de ton corps, mon membre durcit presque douloureusement. Je te tiens par les jambes que j’élève fermement en l’air.

Hélas, exactement en ce moment, et transportée par les vagues de ton désir, ton portable (que tu avais oublié d’éteindre), sonne sans arrêt. C’est ta femme, ou l’un de tes gosses, qui veut s’enquerir de toi. Pauvre d’elle, ou de lui !!! Elle (ou il) ne sait pas ce à quoi tu es occupée now. Elle (ou il) ne sait sûrement pas que XX est maintenant révolu, inexistant en tant que XX. Elle (ou il) ne sait pas que XX a donné naissance d’abord à Mecbidocile, puis définitivement et irrévocablement à Madame Nadia épouse Y.

Bref, loin de répondre à l’appel, tu saisis le telephone, le jettes de toute ta force pour le voir aller s’ecraser en miettes contre le mur.

T’étant débarrassée du téléphone intrus, tu te jettes ensuite sur mon gland que tu suces avec zèle. Ton souffle s'accélère, ta langue aspire, fouille… Sans que tu puisses le contrôler, ton corps se redresse, ton dos s'arc-boute et tes mains se joignent autour de mon dos…

Tu regardes ma bite tendue comme un arc bandé et prêt à faire feu. Tu glisses une main entre nos corps chauffés à blanc par l'incendie qui nous ravage et saisit ma queue, dure et offerte. Un sourire malicieux et complice éclaire ton visage… L'intensité du désir dans tes yeux brûle plus fort encore. Doucement, je me place aux portes de ton trou qui, béant m'attend. Tu relèves les jambes et dans un souffle, à mon oreille, tu me dis :

-« Baise-moi, fort !! Youssef, mon chéri. »

Alors le feu s'empare de moi. D'un mouvement de reins je m'enfonce presque brutal en toi, on dirait un animal affamé de la chair humaine. Trop emporté pour penser, trop chaud pour raisonner, je ne suis plus qu'un animal marocain qui veut primitivement s’emparer de toi et de ton corps si feminin, et si raffiné.

Tu gémis mon nom, encore plusieurs fois, lorsque tu sens que ma bite s’est bien et complétement posée au fond de ton cul ; tu cries fort, quitte à te faire entendre les voisins : -« Baise-moi, fort !! Youssef, mon chéri, encore plus fort ; giffle-moi ; insulte-moi, appelle-moi Nadia ; je veux oublier qu'un jour j’ai été XX. »

Une tempête sexuelle t'emporte. Et je me vois obligé de te fermer la bouche par un mouchoir de peur que les voisins n’entendent tes cris et gémissements.

Je sens émerger d'entre tes jambes le comble de ton désir.

Posant mes mains sur tes cuisses, je t'ouvre encore davantage et te défonce de tout mon membre dur comme du granit.

Tu as beau crier de peine, pleurer de douleur, je suis indifférent et je veux absolument atterrir au plus profond de ton cul.

Mais je remarque que malgré la peine et la douleur, tu ne veux pas que j’arrête mon invasion, ni mettre fin à mon assaut.

Je remarque toute cette atmosphère qui te transporte comme un orage, ces sensations violentes et délicieuses qui te parcourent, plus que soupirs saccadés et marqués au rythme des coups de ma bite. Tu es remplie de moi et par moi, et tu sembles perdre la tête…

Voyant que tu ne veux plus (ou ne peux plus) arrêter de crier et de gémir, je te fais de quoi crier davantage.

Je sors ma ceinture de mon pantalon et commence à te fouetter sur les fesses, au point de les faire rougir ; ton désir ne fait qu’augmenter en sentant la chaleur de la ceinture sur ta peau, je vois tes levres se convulser, tes joues se contracter et je comprends que ton orgasme en est accéléré.

Sous moi et mes mouvements je sens chaque muscle de ton corps se contracter et se dilater sous moi. Alors je reprends et te pistonne de plus belle. Je te ravage et les souffles de plaisir qui sortent de ta gorge me rendent encore plus fou. … Mes mains caressent tes fesses tendues, jouissent de leur rondeur, mon regard glisse sur les courbes de ton ventre, sur la tête inclinée de laquelle s'exhalent tes soupirs. Puis mes yeux se ferment… J'ai senti que tu t'ouvrais plus encore. Alors, lâchant la bride de mon désir, j'empoigne tes hanches rondes et te martèle à grands coups de reins, mes couilles tapent fort sur tes fesses offertes.

Ainsi assiégée, tu agrippes tes seins dans lesquels résonnent les ondes de choc et les fais se balancer follement. Tu t'abandonnes à ce plaisir animal, comme une proie se résignerait à son prédateur. Tu déverses un torrent de mots décousus m'invitant à te prendre encore et toujours, à te labourer, à te ravager. Je m'amuse alors et ralentis la cadence, tu gémis, impatiente et délicieusement soumise. Le temps semble suspendu pour toi et tu ne sembles plus vouloir exister hors de ce lit conjugal … Je te poignarde à nouveau brutalement, te traitant de poufiasse Française, t’appelant de tous les noms dégradants. Ma queue tendue et gonflée s'affaire avec frénésie, je te besogne sauvagement te tirant par les cheveux très fort d’une main, et, de l’autre, te donnant une giffle comme tu n’en avais jamais reçu de ta vie.

Ainsi, battue, gifflée,humiliée, la jouissance jaillit en toi et tu t'abandonnes sans retenue au flux de ma semence qui, par vagues, vient s'égarer dans ta grotte merveilleuse et obscure.

Tu sens le liquide chaud se répandre dans ton antre malicieux, enivrée… Au contact de mes jets successifs, ton plaisir contenu jusque-là, éclate!! Tu pousses de petits cris tandis que vient à son tour ta libération tant attendue et espérée…

Assouvie, relaxée, libérée de tous tes refoulements grace à ces séries d’orgasmes, tu te sens rajeunie d’une dizaine d’annees, beaucoup mieux équipée pour aller à ton boulot demain matin, munie d’une force nouvelle, une énérgie sans égal.

Tu commences à rire d’une manière passionnée, contente de l’exploit que tu viens de réaliser, et qu'il n’est pas donné à tout le monde de réaliser, même pas les plus salopes des femmes.

Et là, tu restes allongée sur le lit conjugal, haletante, essoufflée d’avoir été baisée si longuement, mais heureuse, tres heureuse d’avoir été au niveau des attentes de ton mari marocain, tellement heureuse que tu recommences à rire comme une fillette irresponsable, innocente et insouciante.

Soudain !!!!

Je vois que tu pleures, encore comme une fillette irresponsable, innocente MAIS soucieuse.

Je te demande :

- pourquoi pleures-tu Nadia ?

Tu cours vers moi, te jettes dans mes bras, toujours pleurnichante, et me dit d’un ton faible mais tendre et aimant :

- je pleure de regret pour avoir perdu tant d’années sans toi et hors de ton emprise.

Je t’embrasse longuement sur le cou puis dans la bouche. Je t’aide à te démaquiller et à te revêtir en homme. Tu ranges tes affaires de nana dans un tiroir, et tu pars à la rencontre de Laurence qui vient de passer la nuit, seule, dans un lit trop vaste pour elle.

A table, au déjeuner, tu lui dis que tu as beaucoup travaillé la nuit, mais que tu as achevé cette nuit-là un gros dossier que tu avez longtemps mis en instance.

Et c’est pourtant vrai , Nadia, n’est-ce-pas ?