Provocation Nocturne
Je suis quelqu'un de plutôt fidèle. Plutôt parce que je suis faible face au pêché de chair. J'aime les femmes, parfois les hommes, les rencontres nouvelles, furtives, intenses. Je vais donc vous raconter, ce récit est vrai encore une fois, d'un dérapage très contrôlé, et d'une fellation sublime.
Ma vie amoureuse alterne entre de longue phase de célibat et de très longues années de vie en couple. Et même si je suis très à l'aise dans mes pantoufles d'homme "casé", ma vie sexuelle a connu des passages mouvementés.
A l'époque de ce récit, je venais de me mettre en couple avec mon amie, couple que je souhaitais durable, et pourtant. Après avoir passé quelques mois à découvrir les sites de rencontres sur internet, j'avais commencé plusieurs relations de natures variées avec plusieurs demoiselles. Bien que le plupart de ces relations étaient basées sur une séduction très mécanique, dans l'optique d'une relation à long terme, j'avais tout de même trouvé quelques partenaires animés par la même ambition de pimenter nos nuits. Alors même que je me mettais en couple et entamais une toute nouvelle relation, et la découverte d'un nouveau corps, j'annonçais donc mon bonheur tout frais à mes contacts dont la plupart me tournèrent le dos.
La plupart, mais pas toutes. L'une d'entre elle, avait entamé avec moi un jeu de séduction purement coquin. Un rapport de confiance s'était mis en place, et nous nous narrions gaiement nos ébats, avec toujours l'envie d'exciter l'autre. L'évidente conclusion de ce jeu coquin fut de transformer l'autre en objet de fantasme. L'annonce de ma soudaine et nouvelle stabilité affective ne sembla pas la déstabiliser une seconde, et elle prit le taureau par les cornes.
"Il va falloir en finir une bonne fois pour toute alors, avant que tu me tournes le dos."
Bien évidemment, moi, fidèle et honnête, et ayant déjà "entamé" ma nouvelle relation, je répondais tout de go:
"Cela s'impose en effet!"
La prise de rendez-vous fut rapide.
Le mardi soir, vers 21h, je reçu un message sur mon téléphone. Ma compagne d'un soir, objet de fantasme depuis des mois, était fin prête, et attendait mon feu vert. je pris donc une douche rapide, et me tint prêt pour le rendez-vous nocturne.
23h sonnées, je sortit de chez moi. Ma belle m'attendait au coin de la rue, dans la voiture de son mâle, partit en déplacement quelques jours (ou? quand? comment? A vrai dire, est-ce vraiment intéressant?). Notre premier contact physique fut électrique. Ne nous connaissant Que par visio, je craignais une déception à chaud, mais il n'en fut rien. Elle noua ses bras autour de mon cou, un grand sourire aux lèvres:
"Bonjour, mon cher inconnue"
Elle m'embrassa longuement, puis nous montâmes à bord de sa voiture. Elle s'était faite coquine pour ce soir là: Des bas, probablement des dim Up, jupe et haut noir, avec un décolleté plongeant, tout du moins, dans lequel mon regard plongea. Je touchais sa cuisse, ce à quoi elle répondit par un petit "ho!" de surprise feinte, tout en n'esquissant à aucun moment, un quelconque geste de recul. Elle avait un charme fou: de jolies yeux marrons, des cheveux longs attachés châtains clairs. Elle n'était pas réellement mince, tout juste ces quelques kilos que les femmes haïssent après une grossesse. Elle arborait tout de même fièrement un beau 95C naturel, et avait des formes là où les hommes en rêvent.
Elle me regarda un instant gênée, et me demanda le regard dans le vide, si elle devait ou non enlever son alliance. Ne sachant répondre, je la laissais choisir elle même, elle l'enleva sans forcer, la rangea dans le cendrier devenue fourre tout, alluma une cigarette, et fenêtre grande ouverte, démarra en trombe.
Elle m'emmena dans un endroit qu'elle connaissait, et qu'elle savait tranquille, en lisière de fôret, à l'abris des regards indiscrets. Malgré nos longues discussions virtuelles, nous ne dîmes pas à un mot durant le trajet, si ce n'est des phrases d'une grande banalité. Une fois arrivé sur place, elle coupa le moteur, et dans la pénombre vint m'embrasser. Elle sentait un mélange de parfum de qualité, de cigarette, et d'un petit verre pour se donner du courage. Elle m'offrit d'ailleurs une gorgée d'un whisky bon marché. puis nous nous embrassâmes. L'alcool rendait le baiser brûlant. je lui embrassais le cou, et risquais une main sur ses seins superbes... elle me laissa faire, et se cala à sa place, profitant du câlin.
Considérant que cet échauffement avait assez duré, elle me fit passer à l'arrière.. elle avança les sièges avant afin d'avoir toute la place nécessaire. Elle me proposa à nouveau de tremper mes lèvres dans son breuvage, et insista pour que je me cale confortablement en travers du siège. Après quelques baisers fougueux, elle me dit enfin:
"Un petit cadeau pour éviter que tu m'oublies !"
Puis elle se pencha et saisit à ses pieds un sac en plastique duquel elle sortit un préservatif, du gel, et un petit sextoy. Elle m'enleva mon jean, mon caleçon.. me fit enlever mon t-shirts, et, commença à embrasser mon ventre. Ses caresses étaient douces et délicates, et j'en vint rapidement à avoir une solide érection. Elle commença alors à caresser mon sexe, puis m'enfila le préservatif, et entama alors une fellation divine. Probablement même une des plus belles de ma vie!
Elle n'oublia rien, et me confirma dans les faits, qu'elle était réellement experte. Elle joua respectivement avec mes testicules, les prenant tour à tour dans la bouche, puis, elle me léchait tout le long de la verge, de la base jusqu'au prépuce, jusqu'à enfin prendre le gland dans sa bouche. Et enfin, la cerises sur le gâteau, à engloutir toute la longueur de mon sexe dans sa bouche, ses yeux dans les miens.
A force d'agiles caresses, elle eu finalement raison de toute résistance de mon anus. Moi, parfaitement détendu, je sentais son doigt étranger pénétrer en moi. Elle l'avait soigneusement enduit d'un gel comestible au préalable, et toute la zone, de mon gland, jusqu'à la raie des fesses était trempée de son lubrifiant. Totalement offert à ses mains expertes, je la laissais mener les débats, tentant tout de même quelques caresses, ses seins, ses cuisses. Elle repoussait mes mains gentiment, sortait mon sexe de sa bouche:
"Juste avec les yeux, mon amour!"
Elle écarta les cuisses et remonta un peu sa jupe, et je vis qu'elle ne portait pas de culotte, laissant à mes yeux rouge d'excitation la vue d'un sexe luisant, totalement rasé. Comme ultime provocation, elle prit la peine de bien écarter les lèvres, me fit gouter sa sécrétion intime, puis me regarda dans les yeux, en englobant totalement mon sexe dans sa bouche. Elle prit tout de même une petite pause afin de préparer mon anus à l'entrée d'un fin sextoy métallique. Une fois en moi, elle activa la fonction de vibration, et je sentis ma rondelle se détendre légèrement.
Je lui avait raconté mes aventures homosexuelles, et je savais que ça ne l'avait pas laissé indifférente. Elle retira son outil de mon trou, puis le remplaça par son index et son majeur qu'elle replia en moi, afin de chercher le point qui allait me faire jouir à coup sur.
N'étant pas adepte de l'exhibitionnisme, ni de l'amour en pleine nature, je n'étais pas très rassuré, et la peur d'être surpris me laissa en fait un répit avant l'orgasme qui me réservait cette fellation sublime.
Une fois que ses doigts avaient atteint mon "point g", elle entreprit d'accélérer le rythme, accentuant la pression sur mon point faible, et resserrant l'étreinte de ses lèvres sur mon sexe. Elle se mit à me sucer plus rapidement, activant sa main, rapidement et précisément. Elle glissait, pleine de lubrifiant, qu'elle avait mit en quantité.
L'orgasme n'a pas tardé à arriver, violent. Elle voulait me voir jouir, et enleva mon préservatif. Le jet fut étonnement violent et gicla sur les sièges en cuir, ainsi qu'en partie sur son haut, désormais tâchée de blanc. Elle éclata de rire, bu une gorgée d'alcool, et alluma une cigarette. Le temps de reprendre mes esprits, elle avait finit de fumer. Nous étions partit depuis plus d'une heure, il était presque 00h30.
Nous avons parlé, de sexe, de manière débridée depuis une heure, sans que jamais je ne puisse la toucher. j'avais à nouveau un début d'érection, mais elle décida d'écourter nos ébats. Elle me ramena chez moi, je l'embrassais longuement, elle sentait le latex, la clope, le whisky, le gel, mais ça ne m'écurait en rien. En partant, elle me fit un clin d'il et me dit:
"comme ça tu ne m'oublieras pas!"
Je crois qu'elle avait raison!
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