Douche À Plusieurs

Nous nous préparons à prendre une douche à la sortie du gymnase. Nous sommes les derniers à partir.
Je sens que Martine a des envies à satisfaire. Ses besoins à la suite d'une dépense physique sont les mêmes : jouir. Je ne tiens pas à nous faire remarquer. Dans la pièce des douches une seule des stalles est occupée. Nous entendons deux rires féminins, c'est chose rare, en principe les client ne peuvent être que seul. Que diable ces filles fabriquent-elles ? Martine à la réponse : elle doivent se caresser pour avoir un bel orgasme. Martine sait de quoi elle parle, étant bisexuelle. Elle arrive à entrouvrir les vitres opaques pour regarder. Elle me fait signe d'approcher pour voir. Je suis attiré par la vue de deux nanas qui se caressent les seins et les fesses. Je bande aussitôt. Martine le sens:
- Coquin, tu voudrais voir jusqu'à la fin.
- Bien sur, j'aime voir deux filles s'aimer.
- Et moi, tu croix que je n'aime pas ?
- Toi, tu es plutôt attirée par les deux nanas pour te joindre à elles.
- Chiche,
- Chiche.
Il ne lui en faut pas plus pour enlever le peu de vêtements. Nue, belle comme une étoile dans le ciel, avec ses cuisses bien proportionnées, ses seins pointus et sa chevelure rousse, elle donnerai envie à un ermite des temps anciens. Sans se gêner, elle entre directement chez les deux filles qui poussent un cri perçant. Elle les rassure, je l'entends leur dire qu'elle veut se joindre à leur petit jeu. Il me semble même qu'elle leur propose ma bite en cas de besoin. Elle ouvre la porte pour qu'elles puissent me voir. Je bande déjà pas mal. Je peux moi aussi voir le trio de nanas en chaleur. Ma présence les excite plus qu'autre chose. Il me semble même qu'elles osent plus que des lesbiennes confirmées. Les trois filles s'embrassent comme si elles n'avaient jamais fait ça, elles font durer les baisers un temps qui me parais très long. Maintenant elles sortent les langues pour les caresser hors de leurs bouches.

Elles se tiennent enlacées sous la douche. Martine prend la direction des opérations, elle prend le jet de la douche le met à quelques centimètres du clitoris. Il faut croire que ça fait rapidement son effet : je vois la fille presque défaillir en subissant un orgasme sans précédent. Martine qui n'est pas pressée s'occupe de la deuxième fille qui elle aussi jouit en hurlant. Reste Martine : elle n'a pas joui. Les deux filles veulent lui rendre la pareille avec jet. Ce n'est pas de qu'elle veut. Les filles comprennent vite qu'elle désire être réellement aimée. Elles sortent de la douche. Martine se fait essuyer pas moi, qui sait bien l'exciter en le lui faisant : je passe toujours la serviette entre ses jambes, en appuyant plus sur son sexe et son cul.
Martine est fin prête à se transformer en disciple de Lesbos. Elle ne peut pas baiser les deux à la fois dans ce lieu. Elle en prend une en l'embrassant sur la bouche. Je sens que les langues ne chôment pas. Les mains s'égarent sur les seins d'abord et le bas ventre ensuite. C'est Martine qui mène la danse. Elle passe une seule main entre les cuisses de sa nouvelle amie. Je vois cette main aller et venir sur la chatte. Elle se sert de son autre main pour la mettre dans la raie de fesses. L'autre fille se laisse faire. Elle fait juste un sursaut quand un doigt la pénètre dans l'anus, sans plus.
Celle qui est en attente commence à trouver le temps long. Elle se touche la moule pour se masturber. C'est bête, je suis là. Je m'approche d'elle, la prends dans mes bras, l'embrasse, et commence mes caresses. Il faut croire que ce que je fais lui plait assez puisqu'elle me guide vers son bouton. Je le caresse jusque ce qu'il faut pour une jouissance. Je garde ma main sur son sexe, je descends mes doigts vers sa vulve. Je commence à la doigter en mettant trois doigts. Elle se tend vers moi. Cette fois quand elle jouit je garde ma main sans bouger, pour reprendre dès la fin de son orgasme. Elle semble s'apercevoir que j'ai une bite, enfin.
Elle me la touche avec précautions, comme si cet engin mordait. Pourtant ce n'est pas la première qu'elle voit... elle n'est pas vierge, alors ?
En rougissant elle avoue que c'est sa copine qui l'a dépucelée avec un gode. Je vais la forcer à goûter à une vraie queue. Je l'allonge sur le sol humide, lui fait écarter les cuisses. Elle pense que je vais me précipiter sur son sexe, comme ça. Quand elle sent ma tête entre ses cuisses, elle soupire, surtout quand ma langue entre en scène Je ne la ménage pas, de l'anus au clitoris avec arrêt obligatoire dans son vagin. Elle jouit je ne sais combien de fois.
Je suis tellement excité que je pourrai jouir d'un rien. Je me retiens au maximum, au moins le temps de la baiser. Cette fois je le lui annonce. Martine qui suce sa nouvelle conquête m'entend, elle encourage la fille :
- Fais toi mettre, il baise bien.
- J'ai peur, c'est ma première fois avec une vraie bite.
- Et alors ce sera bien meilleur et plus vivant qu'un gode.
- J'ai encore peur.
Je la fais taire en l'embrassant, je me pose sur elle, lui caresse le visage, et pose ma pine sur son con. J'y entre doucement. Elle se laisse faite avec réticence. Ce n'ai que quand je suis au fond de son vagin qu'elle commence à réagir. Elle gémit de plus ne plus fort. Je la sens jouir. Je sais que je ne vais pas tarder. Je pense à tout à fait autre chose : les impôts, les notes à régler, à ce que je doit faire le lendemain... J'arrive ainsi à tenir le coup. Je lui annonce qu'elle va me faire jouir. Elle voudrai me voir. Trop tard je jouis en elle. Elle reçoit son premier jet de sperme.
Martine la félicite, elle lève sa tête qui suçais le clitoris de l'autre pour le dire. Je débande un peu. Cette fille voudrai bien tirer encore un coup. Martine réserve la prochaine baise, comme dans un bal, avant. Elle vient vers moi, me fait encore bander à sa façon, toujours la même, se montrer pendant qu'elle se branle. Le remède fait vite son effet.
Martin me met sur le dos, viens sur moi me chevaucher. Dans ce cas là, je sais d'avance où elle va se la mettre : au cul. Elle incite celle que j'ai baisée à venir poser sa chatte sur ma figure. Pour Martine la présence de l'autre est nécessaire : elle pourra se faire branler par l'autre, un vrai délice pour elle. Je sais qu'elles vont s'embrasser et se caresser les seins. Je reste concentré sur son cul. Elle monte et descend sur ma colonne sans arrêt. J'ai "oublié" de l'enculer depuis hier au soir. Je sens la cyprine de celle que je suce me couler sur le visage, et je sens un bien être monter en moi, je ne vais pas tarder à jouir. Ce n'est pas grave dans ce cas je ne débande pas. Quand Martine et l'autre jouissent elles se lèvent. J'ai enfin droit au sexe de la dernière. Martine me prévient qu'elle est très gourmande.Je vais vers elle qui se masturbait en nous regardant. Je la laisse se faire du bien en l'embrassant. Je ne fais que poser ma main sur la sienne, celle qui lui donne du plaisir. Je ne veux pas qu'elle arrête à cause de moi. Par contre je lui passe deux doigts dans sa raie du cul. J'arrive sur son anus. Elle l'ouvre un peu. J'y entre un seul doigt au début puis le deuxième. Je les fais aller et venir. Elle se cabre en jouissant. Cette fois, écoutant les conseil de Martine, je la couche, je la monte, elle écarte les cuisses me donnant son sexe. Elle est trempée, de sa mouille, de la salive de Martine. J'entre en elle rapidement : dès le début elle suit mes aller et venues. Je sens les crispations de l'entrée de sa vulve quand elle jouit. Au bout d'un moment de la tourne en levrette. Elle comprend aussitôt mon désir, elle ouvre ses fesses. Je croyais qu'elle n'aimait pas ça, je me trompais totalement. Je pouvais entrer à fond dans son cul. Je sentais mes couilles battre contre ses fesses. Je sentais aussi son anus se resserrer souvent : c'est ce qui m'a fait jouir.J'arrête là quand Martine me demande de partir...

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