Le Contrat D'Alysha, Chapitre 4
J'étais toujours dans le buisson, hébété, bite à l'air dans ma main poisseuse. Je prenais lentement conscience de la déchéance de mon couple, de la tournure sordide qu'avait pris ma vie depuis que je n'avais pas osé intervenir lorsque j'avais entendu le client vanter les mérites des gros nichons de ma compagne. Si seulement j'avais tourné la poignée, si seulement j'étais entré à ce moment précis, pour signaler ma présence... je n'en serais pas là, figure pitoyable, à me branler pendant que ma femme se faisait troncher par le premier venu, et à y consentir par mon silence coupable.
Je remis mon sexe dans mon slip, fermai ma braguette, et me dirigeai vers la maison. Je retournai dans le bureau, rangeai les papiers d'Alysha bien en tas, avec l'avenant au sommet de la pile, et le chèque juste sous les conditions dudit avenant. Je ramassai le caraco jeté négligemment sur le sol par ma belle, et le pliai, juste à côté du contrat. Puis je montai changer mon pantalon souillé de sperme, avant de sortir et de revenir vers ma voiture.
Je souris intérieurement. Elle allait se demander si c'était elle qui avait rangé les documents et le caraco, ou si...
Ou si j'étais venu.
Et à quel moment.
Si je l'avais vue.
Si j'avais lu le contrat.
Si je savais tout.
Une sombre satisfaction m'envahit lorsque je démarrai la voiture. J'allais rentrer très tard, ce soir. Très tard. Elle aurait le temps de mariner dans le doute. Et elle n'en serait que plus douce quand je la baiserai !
***
Je poussai la porte d'entrée le coeur battant. Il était près de 22h, et je ne savais toujours pas comment j'allais réagir en voyant Alysha. Ou plutôt, je me méprisais de ne pas avoir les couilles de lui avouer que je savais tout. J'espérais vaguement qu'elle aurait deviné, en entrant dans son bureau, que j'étais venu, et que j'avais, au minimum, lu l'avenant du contrat qui stipulait qu'elle s'engageait à jouer la pute pour son client.
- Je suis rentré !
Elle me répondit dans un bruit de casserole.
- Je suis dans la cuisine. Tu as faim ?
La voix était un peu tremblante. Comme angoissée. Ou était-ce mon imagination ?Je posai ma mallette, ôtai mes chaussures, et allai la rejoindre.
Elle était devant la gazinière, de dos, penchée sur une casserole d'eau bouillante. Elle portait un tablier rouge foncé. Une jupe gris-souris très courte dessous. Et un soutif en dentelle, sans rien par-dessus, à part le tablier.
- Je te fais un peu de pâtes, et j'ai des steaks hachés, si tu veux.
Toujours cette voix mal assurée. Je ne me trompai pas, elle était inquiète. Je m'approchai, la pris par les hanches sous le tablier - elles étaient douces - et l'embrassai dans le cou. Mes mains descendirent sous sa jupe, et rencontrèrent les fesses nues. Pas de culotte.
- Mmmh, tu t'es faite belle pour moi... j'en conclus que ton contrat est signé ?
Elle baissa légèrement le feu et se tourna vers moi, les yeux incertains.
- Hum hum, oui, oui, ça c'est fait sans souci, j'ai hâte de fêter ça dignement... Et toi ? Tu... tu as passé la journée au tribunal ?
Je jubilais intérieurement. Elle était inquiète. Je ramenai le devant de son tablier vers son sternum, de façon à exposer ses deux gros seins que la dentelle du soutien-gorge cachait à peine et les caressai gentiment. Ma queue me faisait mal dans mon pantalon.
- Au tribunal et au bureau, et j'ai aussi eu ma ration de clients qui essayent de me baiser , crois-moi !
Elle me jeta un regard presque horrifié, de plus en plus incertaine. Je déboutonnai mon pantalon, et guidai une de ses mains dans mon slip. Sa main était fraîche sur mon membre raide.
- Tu es bien dur, dis-moi... tout va bien, alors ?
Je la scrutai des yeux.
Je réfléchis à sa question. Est-ce que tout allait bien ? Le problème, c'est que je n'acceptais pas de m'avouer que son infidélité m'excitait, que je ne voulais pas admettre que je m'éclatais pratiquement plus à la regarder me tromper qu'à la baiser, et que je refusais de voir en face que la compagne sodomite et nymphomane dont j'avais hérité depuis ce contrat me comblait au plus haut point. Peut-être était-il temps de le faire...?
- Oui, tout va bien, bien entendu. Ma femme vient de gagner cent mille euros et m'attend cul nu à la maison en espérant une sodomie, que pourrais-je souhaiter de plus ?
Elle sourit, les yeux toujours un peu fuyants, se demandant sans doute si elle avait rangé ses papiers sans s'en rendre compte ou si je lui mentais. Je poussai un peu plus loin le bouchon, autant pour ma satisfaction personnelle que pour voir sa réaction.
- Mmmh... ça sent bon. Steak et pâtes, c'est bien, mais je prendrais bien un peu de concombre, s'il en reste.
Elle sursauta légèrement. Sa main me serra la bite inconsciemment. Se doutait -elle de quelque chose ?
- Je crois qu'on en a un, dit-elle d'une petite voix confuse.
- Super ! Suce-moi un peu, et je m'occupe de la salade.
Elle s'agenouilla et en goba mon sexe lentement, un peu déstabilisée. Elle me branla sur sa langue et sourit.
- Ouh, une belle trique comme ça, il faut la cajoler !
Je continuai à enfoncer mon clou.
- Tu ne trouves pas qu'elle est un peu petite ?
Elle cacha sa confusion en me suçant habilement, me prenant au fond de sa gorge et léchant mes couilles facilement. Elle remonta avec douceur, et s'activa sur mon gland.
- Tu ne réponds pas ?
- Je... tu sais, ce n'est pas la taille qui compte. Tu m'as toujours comblée, même si ton sexe n'est pas en taille XL. Allez, mon chéri, laisse-toi faire.
- Tu n'as pas envie d'en goûter une plus grosse ? Peut-être que tu as eu des partenaires mieux montés, non ?
Elle hocha la tête imperceptiblement.
- Je ne veux rien te cacher, dit-elle.
Mon coeur manqua un battement.
- C'est-à-dire ?
- Je... oui. J'ai baisé avec des mecs "mieux montés", comme tu dis. Mais l'amour que j'ai pour toi... rend ton sexe plus précieux que ceux des garçons avec qui j'ai fricoté. J'aime te sucer, et te sentir en moi.
- Tu ne voudrais pas baiser avec d'autres hommes ?
Elle reprit sa fellation en me regardant droit dans les yeux. Je souris. Cela parut la rassurer. Suffisamment pour qu'elle me réponde:
- Quelle étrange question... tu es inquiet ?
Toujours pas de mensonge.
- Non, mais... je me disais que, si j'étais là, à te regarder... après tout, tu m'as avoué avoir eu des rapports à trois quand tu étais au Lycée...
Elle parut soulagée.
- Aah, c'est ça qui te turlupine... c'était il y a longtemps, mon poussin, et c'est arrivé un peu par hasard, au début, tu sais. Tu es choqué ?
J'insistai, sans répondre.
- Mais aujourd'hui ? Tu ne voudrais pas satisfaire un autre homme, si je suis d'accord ?
Elle lécha le bout de mon gland très lentement, en réfléchissant.
- Mmmh... je n'en ai pas vraiment besoin.... mais si c'est pour ton plaisir et que tu participes, alors... on peut y réfléchir.
- Vraiment ? Tu ferais l'amour à trois si je te le demandais ?
Elle hocha la tête en souriant.
- Oui, mon amour. Tu préfères le choisir, ou que ce soit moi qui t'amène quelqu'un ?
- Je ne sais pas... je disais ça comme ça... je... ?
- Mon amour, amène-moi un homme, je le baiserai devant toi si tu me le demandes. Laisse-toi faire maintenant.
Elle me suça encore longuement, sans me faire venir (elle tenait à sa sodomie après le repas) me jetant un oeil circonspect de temps à autres, se demandant clairement si je savais ou non qu'elle me trompait.
***
Après le repas, j'étais passablement éméché, mais moins qu'Alysha, qui tient difficilement l'alcool en général, et le champagne en particulier. Nous étions presque entièrement nus dans la cuisine, nous nous étions embrassés longuement durant le repas, et, au fur et à mesure qu'elle tombait dans l'ivresse, Alysha m'ôtait vêtement sur vêtement, l'esprit focalisé sur ma bite, qu'elle caressait, suçait, ou sur laquelle elle se frottait les seins ou le cul, à tel point que l'érection commençait à être douloureuse. Elle n'avait conservé que son soutif, très érotique, que j'avais largement mouillé avec de l'eau - il lui collait aux seins sans plus rien en cacher, et sa fraîcheur avait fait dresser les tétons proéminents de ma belle, que je titillai avec bonheur à travers la fine dentelle. Je ne lui avais encore rien dit sur les marques rouges qu'elle avait sur le cul. Plus tard.
- Le concombre, me dit-elle en souriant.
- Quoi, le concombre ?
- Le concombre, répéta-t-elle, la voix pâteuse. Tu veux que je me le mette dans la chatte ?
Je fis comme si j'étais étonné de la proposition. Même bourrée, elle travaillait à satisfaire Bléry. Ou peut-être faisait-elle semblant d'être ivre ?
- Comment ça, dans la chatte ?
Elle écarta les lèvres de sa petite moule et y enfonça un doigt.
- Tu sais, comme un gros gode. Dans la chatte, ça serait marrant, ça l'exciterait sûrement.
Si. Elle était ivre. Au point de se trahir.
- ça exciterait qui ?
- Toi, quoi, tu veux pas que me goder avec le concombre ? Viens, on va se marrer !
Elle ouvrit le frigo, en sortit un concombre massif et le frotta entre ses cuisses.
- Dans la chambre, ce sera mieux, viens.
Je la laissai sortir de la cuisine, faisant mine d'éteindre les lumières et de vérifier que le feu du gaz était bien éteint. Je la suivis dans le couloir, et, au bas de l'escalier, je fouillai rapidement dans le tiroir de la commode où nous rangeons le fourre-tout quotidien, et j'en sortis l'appareil-photo. Je savais qu'elle me l'aurait demandé de toutes façons, et le fait d'en prendre l'initiative m'excitait et me mettait en rage, une dichotomie qui commençait à m'être familière.
Mais l'excitation était la plus forte - et je savais que celle de Bléry serait paroxystique lorsqu'il saurait que c'était moi qui avait pris les clichés que lui enverrait mon Alysha. Je montai les escaliers rapidement, et entrai dans la chambre.
Alysha était assise au bord du lit, cuisses écartées, et frottait le concombre contre son bourgeon rose, un sourire béat aux lèvres, yeux fermés.
- Je peux te prendre en photo comme ça ?
Elle ouvrit les yeux, coquine, et fit semblant de réfléchir - comme si ça ne servait pas son but. La salope.
- D'accord. Mais à une condition.
Elle ouvrit davantage ses jambes, et appuya l'extrémité du concombre juste sous son petit bourgeon, à l'entrée de sa fente très humide.
- Laquelle ?
- Tu ne montres ces photos à personne. Juste toi et moi. D'accord ?
Elle abusait. Elle allait donner ces clichés à Bléry, et jouait la prude ! Je pris mon premier cliché.
- D'accord.
Elle glissa le concombre entre les lèvres de son sexe et l'y enfonça, en faisant des va-et-vient, les yeux fermés. Je fis un gros plan sur le légume qui la pénétrait aux trois-quarts et pris un second cliché. Alysha respirait profondément, elle semblait se faire plaisir, et chuchotait inconsciemment, toute à son ivresse.
- Ouh... la grosse bite... ouh... oui...
Je m'approchai d'elle et glissait ma queue dans sa bouche. Je pris plusieurs clichés de la fellation, avec plongée sur les seins gonflés d'Alysha et le concombre-gode en arrière-plan, bien planté dans la chatte sauvage. Bléry allait adorer.
Je dégageai ma bite de la bouche très active, et reculai.
- Retourne-toi, dis-je. A genoux, sur le lit, cul en l'air.
Elle obéit, dans une demi-transe, et, une fois en position, recommença à se goder avec le concombre, la tête enfouie dans les oreillers. La vision était féérique, son cul blanc ondulait au rythme des vagues de plaisir, ses mains enserraient le concombre fermement et le faisaient aller et venir sans discontinuer dans le minou rasé, je pris une dizaine de clichés tous plus bandants les un que les autres. Je m'approchai à nouveau, posai ma bite entre les deux lobes écartés, et l'appuyai contre l'anus souple et rougi. Je fessai Alysha à droite et à gauche, plusieurs fois. Elle sursauta, se tendit, et se mit à gémir plus fort dans le coussin en se godant de plus belle. J'augmentai l'intensité des claques que je prodiguais, en alternant avec des caresses enveloppantes. Alysha jouissait, criait, se tordait de plaisir. Je photographiai ma bite au bord de son anus, on devinait le concombre en arrière-plan, légèrement flou, puis je pénétrai la pastille tendre, qui céda immédiatement, bien préparée par Bléry.
Mon sexe glissa tout seul dans l'antre étroit, humide d'un liquide blanchâtre que je savais être le foutre de Bléry. J'éprouvais un léger dégoût en réalisant que je trempais ma queue dans la jute d'un autre homme, mais ma compagne me fit bien vite oublier cette gêne passagère. Elle s'enfonçait le concombre énergiquement dans la chatte et agitait son corps de manière erratique pour que je la pénètre plus loin. Je perçus les mouvement du concombre contre la paroi étroite du cul d'Alysha, lé légume venait me caresser la bite à l'intérieur même des boyaux de ma belle, et me procurait une sensation incroyable, c'était comme si je baisais en me branlant et en me faisant sucer en même temps.
Je tâchais de prendre une photo de côté, pour Bléry, espérant qu'il aimerait me voir chevaucher la montagne formée par le cul en l'air d'Alysha pendant qu'elle se godait avec acharnement.
Les gémissements de mon infidèle devinrent des cris, elle releva la tête pour respirer en jouissant bruyamment. Porté par son enthousiasme, je la fessai encore puis attrapai ses hanches, je l'enculai au plus profond de son petit trou, jusqu'à sentir mes couilles buter contre le concombre, et, me délectant de la sensation des lobes nus contre mon ventre, j'éjaculai en elle, mêlant mon foutre à celui de Bléry. Alysha appuya ses fesses contre moi, me laissant jouir en saccades contrôlées, jusqu'à la dernière goutte. Je quittai son cul rapidement, et pris le concombre entre mes doigts. Elle ondula, pensant que je voulais la goder, mais je sortis le légume trempé du jus intime de ma belle, et, sans ménagement, le lui enfonçait dans l'anus. Elle se tendit, mais ne protesta pas. Le légume s'enfonça, lentement, jusqu'à la moitié, puis aux trois-quarts, puis finalement presque entièrement.
- Ne bouge pas.
Je repris l'appareil-photo et la photographiai ainsi. Bléry serait content. Très content.
***
Je me réveillai au milieu de la nuit.
Alysha n'était pas à côté de moi.
J'allumai la lumière.
Me levai silencieusement.
Descendis les escaliers.
La porte du bureau d'Alysha était entrouverte. Je jetai un oeil sans me manifester.
Elle était nue, devant l'ordinateur, l'air concentré.
L'appareil photo était à côté d'elle.
Elle tapait un mail.
Je remontai dans la chambre, mi-amusé, mi-furieux.
Elle était déjà en train de faire son rapport à son amant. Lui envoyer les photos commandées.
Je me promis de regarder ce qu'elle lui avait écrit à la première heure le lendemain.
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