Mobilier D'Intérieur
Je rentrai à la maison, un soir après le travail. Mon maître était déjà là, assis sur le canapé, à lire un livre. Je fermai la porte derrière moi et entrai dans le salon. Il ferma son livre, sourit, puis claqua des doigts en indiquant le sol à ses pieds.
Cela faisait un moment que je portais mon collier en permanence. En général, je le cache sous un foulard ou une écharpe. Mon maître me veut à sa disposition à tout moment. Et je létais, dès quil mappelait.
À son claquement de doigts, javais à peine retiré mon manteau que jétais à genoux à ses pieds, face à lui. Les yeux baissés, jattendais un ordre. Ce ne fut pas long.
Retire ton chemisier et écarte les cuisses.
Sans lever le nez, jôtai mon chemisier, dénudant ainsi mes seins puisque je porte mon collier en permanence, le reste de ma tenue est au diapason. Pas de sous-vêtements, et des bas avec un porte-jarretelles. Javais écarté les cuisses, et senti ma jupe remonter. Torse nu, je restai ainsi et attendis.
Ta jupe, maintenant. Garde tes chaussures et tes bas.
Jobéis. Nue, je restai à genoux devant lui, les yeux baissés.
Tu es une chose. Ma chose. Nest-ce pas ?
Oui maître. Votre chose.
Ce soir, tu seras vraiment une chose, un objet. Pas même la petite putain que tu es dhabitude pour moi. Tu ne répondras pas quand je te parlerai, tu ne réagiras pas et ne jouiras pas quand je te parlerai. Pas du tout. Cest bien clair ?
Oui, maître.
Bien. Attends à quatre pattes sur le canapé, je reviens.
Je minstallai comme il le demandait. Quelques minutes plus tard, il revint. Il avait dû partir chercher quelques accessoires.
Pour commencer, il glissa un bandeau sur mes yeux, puis me fit descendre du canapé. Le reste, je le devinai au fur et à mesure. Sur mes poignets et mes chevilles, il attacha les menottes de cuir dotées dun anneau de métal. À mes poignets, il attacha quelque chose, que je reconnus vite comme une barre décartement.
Mayant ainsi attachée, il sassit sur le canapé devant moi, sans un mot. Au milieu dun bruit de papier, je lentendis composer un numéro de téléphone.
Bonsoir, jaimerais commander une livraison, sil vous plaît. Oui
Il commanda des plats japonais, sans doute chez notre traiteur habituel. Quand il eut raccroché, il prépara largent, le posa sur mon dos. Puis il alla à la cuisine pour sortir quelque chose du frigo.
Ma chérie, dit-il, ce soir tu seras donc une table. Ne tinquiète pas, tu mangeras aussi. Jai commandé quelques makis pour toi, et sorti ta gamelle. Tu pourras manger comme une chienne, quand jaurai fini de me servir de toi. Mais dabord, je vais boire une bière en attendant. Pose la tête par terre, et lève le cul. Tu es une table modulaire.
Sans comprendre son intention, jessayai de me placer comme il lavait demandé. Le collier me rendait la position très inconfortable, jusquà ce que je comprenne comment cambrer le dos, et ainsi tendre le cul au maximum. Alors, je sentis un contact froid sur ma chatte. Froid, dur, et qui appuyait. Il essayait denfoncer sa bouteille de bière entre mes cuisses, pour en faire un repose-bouteille ! Après quelques efforts, la bouteille entra jétais très excitée à lidée de le servir ainsi, dêtre un objet utile, plutôt quun jouet de désir.
Ne bouge pas dun muscle. La bouteille nest pas vide, et je serai très mécontent si tu salis.
Jobtempérai et restai immobile, avec une incroyable sensation dêtre pleine. Mon maître tendit les jambes et me titilla les seins du bout du pied : il les poussa doucement pour les faire gigoter.
Quelques minutes plus tard, la sonnette retentit. Sans doute la livraison. Mon maître posa son verre sur mon cul, et me répéta linterdiction de bouger.
Il alla ouvrir la porte. Accueillit le livreur, prit le repas, et expliqua quil avait laissé largent sur la table. Il revint donc chercher les billets laissés sur mon dos. Je ne sais pas si le livreur me vit ou non. Mais jimaginai que oui, et sentis ma chatte se réchauffer. Mon maître revint, remplit son verre et sortit la bouteille de ma chatte dun geste vif. Surprise de ce vide soudain, je manquai gémir.
Redresse-toi, comme au début.
Faible, je poussai sur mes bras et remis mon dos à plat. Mon maître posa plusieurs objets sur moi, dont un chaud. Il préparait sans doute la table pour son repas. Jentendis un bruit métallique sous ma tête, sans doute ma gamelle. Il avait dit que je mangerais plus tard, jattendis donc.
Une fois la table mise, mon maître partit quelques minutes. Puis il revint, dit quil était content davoir une table aussi pratique, et sagenouilla devant moi. Son sexe me poussa la joue, puis appuya contre mes lèvres. Jouvris la bouche, ce qui me compliqua encore la respiration. Je sentis son sexe glisser dans ma bouche et ma gorge. Alors, tout en prenant ma gorge, il commença à manger. Je sentais ses poussées contre le fond de ma gorge, le sentis sy attarder parfois pour m, et tout du long, jentendis ses baguettes sur mon dos, et quelques bruits de mastication.
Quelques minutes plus tard, il se leva, me contourna, sagenouilla derrière moi et me prit avant de reprendre son repas. Je sentais lexcitation monter, il me pilonnait aussi fort quil le pouvait sans renverser son repas, tout en continuant de manger. Puis il dit :
Et maintenant, le dessert. Ça tombe bien, jai presque fini.
Et en effet, quelques minutes plus tard, je le sentis jouir en moi. Il ne mavait jamais prise de manière aussi égoïste, aussi indifférente à ce que je ressentais, ce dont javais besoin. Cétait pour moi une nouvelle étape dans mon rôle desclave, de chose, de jouet. Il me servait de moi, littéralement, pour son seul plaisir, pas du tout parce que cela mexcitait ou me faisait jouir, mais parce quil en avait envie. Pas pour me faire jouir plus fort, mais parce quil me possédait, et que je nétais rien.
Peu après sêtre vidé en moi, avec un grognement qui indiquait aussi une absence de réserve ou de retenue, il se retira et me détacha les chevilles. Mordonna décarter les jambes, aussi loin que possible. Je le fis, et jentendis ma gamelle glisser par terre. Il la traîna jusque sous ma chatte. Puis il essuya son gland sur mon visage et mes cheveux, et me laissa là. Je lentendis revenir quelques instants plus tard. Il me donna une claque forte sur la fesse et dit :
Eh bien, on dirait que tu es vide. Très bien. Mange.
Il ramena ma gamelle devant moi, et me retira mon bandeau. Je vis lourlet de son pantalon. Il mavait laissée pour retourner shabiller. Comme je men étais doutée, son sperme avait coulé de mon sexe jusque dans ma gamelle. Jy vis une dizaine de makis, et tous étaient plus ou moins éclaboussés de sperme.
Mange, répéta-t-il.
Alors je mangeai. Je léchai ma gamelle jusquà ce quil ne reste rien, comme mon maître me lavait appris. Je sentis sa semence, chaude sur les rouleaux froids, et sentis son sel sur ma langue.
Tu étais une chienne, tu es devenue un meuble. Je suis fier de toi, ma putain.
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