Oh Temps, Susprends Ton Vol...
Les jambes largement écartées et les pieds bien en appui sur le tableau arrière du hors-bord, je savourais la divine fellation que me prodiguait cette sublime créature, regardant sa crinière brune monter et descendre au fur et à mesure que sa bouche engloutissait mon membre tendu.
Nous étions partis le matin même du petit port dAix les Bains en Savoie où un ami de sa mère nous avait prêté en cette belle journée dété un magnifique canot tout en bois muni dun puissant moteur hors-bord. Après nous être promenés longtemps le long des berges du vaste et somptueux lac du Bourget qui a tant inspiré Lamartine, nous décidâmes de stopper en plein milieu. Josiane enleva le short et le débardeur à fines bretelles quelle portait et je pus admirer ses dessous en dentelle noire qui mettaient en valeur ses très jolies formes. Mesurant environ 1m60, une taille fine et des hanches galbées, de très beaux seins bonnet C, une chevelure brune et ondulée jusquaux épaules et de magnifiques yeux verts, Josiane était une très belle femme qui attirait le regard. Elle venait juste davoir quarante ans et ce fameux regard mavait attiré lors de la cérémonie de mariage dun de mes collègue de travail. Jétais arrivé la veille en voiture dans la région de St Etienne et je logeais dans un petit hôtel familial comme on en rencontre dans les petits villages de notre douce France. En congé pour tout le mois je navais pas établi de programme bien précis et je profitais du calme de la terrasse inondée de soleil.
Le lendemain, je rejoignis la mairie où allait se dérouler la cérémonie. Je minstallai au fond de la pièce, laissant les places de devant à la famille. Cest alors quelle entra et mon cur chavira instantanément, happé par son regard si vert au milieu de cette crinière brune. Elle me sourit et vînt sasseoir à côté de moi, ne semblant pas accompagnée. En attendant le début de la cérémonie, nous échangeâmes quelques mots et jappris quelle était une amie de la mère de la mariée et quelle résidait en Savoie.
De retour à mon hôtel non loin de là, je narrivais pas à dormir, ce regard envoûteur maccompagnant encore. Mû par une poussée subite, je retournai sur les lieux de la fête et trouvai sa voiture garée là. Toutes les lumières de la bâtisse étaient éteintes et je décidai de lui laisser un mot sur son pare-brise lui disant que nous nous étions quittés trop vite et jaimerais bien la revoir. Jindiquai le nom de mon hôtel et rentrai me coucher. Le lendemain matin, vers les dix heures et alors que jétais encore au lit, jentendis frapper à la porte. Je me levai et entrouvris la porte. Cétait elle. Me rendant compte que jétais nu, je courus me réfugier sous les draps. Ma belle entra et sassit sagement sur une chaise à côté du lit. Elle me dit que mon petit mot découvert sur son pare-brise lavait agréablement surprise et quelle sétait fait violence pour venir toquer ainsi à ma porte. Nous bavardâmes longtemps sans jamais oser aller plus loin.
Cette jolie femme mûre me semblait tellement inaccessible et jespérais quelle fît le premier pas. Sirotant ma boisson, laprès-midi sétirant, la patronne de lhôtel vint me chercher en disant quil y avait un appel pour moi. Cétait Josiane qui mexpliqua quelle rentrait le lendemain chez elle et qu'elle proposait de me faire visiter sa jolie région si je le souhaitais. Jacceptai et cest le cur sur un petit nuage mais avec une boule au ventre que je passai la nuit suivante. Arrivé au rendez-vous fixé, je fis la bise à cette beauté et elle me proposa de la suivre avec mon véhicule. Je traversai de sublimes paysages, suivant la voiture de cette inconnue vers un avenir encore plus inconnu. Arrivé sur les bords du lac du Bourget, je pris une chambre dans un très bel hôtel que Josiane mavait conseillé et nous décidâmes de nous retrouver le soir même sur le port dAix les Bains pour dîner ensemble.
La nuit était tombée lorsque ma belle arriva, moulée dans une très jolie jupe noire courte et de belles sandales assorties mettant en valeur ses jambes et le galbe de ses hanches. Les boutons de son chemisier blanc avaient du mal à retenir sa poitrine orgueilleuse et les trois premiers détachés offraient une vue magnifique sur un très joli décolleté. Nous marchâmes côte à côte le long du lac, la soirée était très douce et soudain sa main vînt se blottir dans la mienne. Je tournai la tête et elle moffrit un très joli sourire rassurant. Au bout de quelques minutes nous nous assîmes sur un banc et Josiane sallongea, sa tête reposant sur mes cuisses. Nous discutions et elle me demanda soudain quel était mon âge. Je le lui donnai et dans un soupir elle me dit quaprès tout ça navait que peu dimportance. Je sentais bien quil fallait que je passe à laction malgré la timidité que jéprouvais sous peine de passer pour un benêt.
Le soleil était très haut et notre vedette bougeait tout doucement sous leffet du faible clapotis. Les jolis doigts aux ongles longs vernis de rouge brillant accompagnaient la bouche de Josiane qui maspirait. Agenouillée entre mes cuisses, je pouvais admirer ses magnifiques seins se balançant au rythme de sa fellation. Sa peau était maintenant cuivrée suite aux nombreuses journées passées à nous prélasser nus au soleil depuis le début de ce deuxième été après notre rencontre lannée précédente. A sa taille et à sa cheville, je pouvais admirer les très jolies chaînes en argent ramenées de Taxco lors de mon dernier voyage au Mexique. Très attiré par ce type de bijoux, javais exprimé mon désir de lui en offrir et elle mavait répondu quelle les porterait avec plaisir car elle aussi trouvait ça très esthétique et sensuel. Josiane se redressa et vînt se mettre à quatre pattes sur lautre banc à larrière de lembarcation et de ses deux mains écarta ses fesses telle une offrande. Je me positionnai derrière elle et, saisissant ses hanches, je lempalai dun seul mouvement, sa chatte brûlante et trempée de désir avalant ma queue tendue. Quel délice de limer ainsi cette très belle femme dans un décor aussi majestueux. Je continuais à pilonner ce fourreau si chaud lorsquun avion de patrouille maritime italien passa juste au dessus de nous à basse altitude et je me dis que son équipage avait dû avoir un très joli et fugitif spectacle.
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