Na Leslie Tr 83

Leslie à Paris – P83 – Stéphanie, bondage la suite.

Stéphanie me détache des attaches qui me liaient aux montants du lit et s’allonge lascivement sur le lit en me regardant dans les yeux d’un air provocateur.
J’enjambe son corps pour m’asseoir sur sa poitrine tout en lui présentant mon sexe à ses lèvres, elle entrouvre docilement les lèvres et j’introduis mon sexe brûlant dans sa bouche. Je commence alors à faire l’amour à sa bouche en faisant des va et vient entre ses lèvres, puis je ressors et elle me lèche le gland et creuse ses joues pour mieux m’aspirer lorsqu’elle me reprend en bouche.
Je prends ses mains une après l’autre et les lui entrave aux montants du lit tout comme je l’étais précédemment, puis je me tourne sur le côté, le sexe toujours fiché entre ses lèvres et lui caresse l’intérieur des cuisses, instinctivement Stéphanie les écarte et je peux plonger ma main entre à la recherche du plug toujours fiché en elle. Lorsque je le tien du bout des doigts et l’enfonce plus profondément en elle, Stéphanie gémit de plaisir en contractant ses muscles intimes sur l’objet qui lui force les reins.
Très excitée, elle s’agite et tire sur ses liens. Je continue de la stimuler en jouant avec le plug et ses contractions anales se rapprochent et deviennent plus fortes.

Les yeux toujours bandés, allongée entre ses jambes, je prends son sexe entre mes lèvres, dans un premier temps, je descends lentement mes lèvres sur son sexe dressé en jouant avec ma langue sur son frein, ce qui la fait gémir et bandes encore plus ;
- Je vais te faire jouir du cul, ma chérie lui dis-je.
Tout en lui suçant le sexe, je vois ses fesses s’activer en cadence sue le plug gémir de plus en plus. Je continue ma fellation en effleurant son frein avec ma langue, j’ai une envie folle de la sodomiser alors je la laisse allongée et entravée, puis je mets à genoux face à elle entre ses jambes et pose ses cuissardes sur mes épaules.

Je lui ôte le plug de son anus et pose mon sexe dessus pour m’enfoncer en elle. La pression de mon sexe efface peu à peu les plis de sa rosette qui cède rapidement à mon ardeur. Aspirée par son cul sublime, mon sexe s’engouffre entièrement en elle, dans ses fesses accueillantes.
Tandis que je fais des allées et venues je contemple son anneau qui se déroule sur ma hampe quand je me retire lentement et s’enroule à nouveau dessus quand je m’enfonce en elle.
Elle contracte son muscle anal entraîné qui me serre puissamment le sexe.
Au moment crucial, elle me dit :
- Je t’aime.
Ce qui me fait décharger convulsivement toute ma semence dans ses reins.
Je reste un instant immobile au fond de ses reins, lorsqu’elle me dit :
- J’ai envie de Charlie !
Charlie est un gode réaliste, un gode monstrueux que Stéphanie utilise parfois dans ses instant de délire sans limite, veiné et très gros elle ne l’utilise que très rarement.
- Je veux le sentir au plus profond de moi et sentir ses sculptures sur mes parois, me dit-elle avec perversité.
Je la d’étrave et elle se met sur le ventre en écartant largement ses fesses dans la position idéale pour accueillir Charlie.
Je pose le gland de Charlie à l’orée de sa pastille et m’aide de tout mon poids pour forcer le passage, son œillet s’élargit démesurément et j’éprouve un certain plaisir quand le membre rugueux progresse en elle.
Je l’enfonce lentement en entendant Stéphanie souffler de plus en plus fort en remarquant que son regard se voile légèrement,
Elle se trouble quand le gode est entièrement en elle et je vois des gouttes de sperme perler au bout de son gland. Elle se redresse légèrement à la recherche de mes lèvres et je colle mes lèvres aux siennes pour ses plaintes. Je l’encule à fond avec un frisson d’excitation, elle ouvre ses jambes et s’abandonne totalement à son plaisir, alors elle me dit :
- C’est douloureux mais c’est si bon.

Elle se branle en hurlant son plaisir et me demande de jouir sur ses reins.
Je vois son anneau se contracter de plus en plus rapidement et sait qu’elle va bientôt jouir, je redouble mon branle afin de jouir en même temps qu’elle, puis ses cuisses se mettent à trembler et elle jouit sur les draps tandis que j’explose en lui inondant les reins.
Stéphanie gémit de plaisir quand elle sent ma semence sur ses reins, elle se redresse le pal toujours fiché en elle et me retourne sur le ventre en disant :
- J’ai maintenant une envie folle de te baiser.
Stéphanie n’a pas débandée, la queue bien dure, elle pose son gland sur ma rosette et commence à me pénétrer et s’arrête dès que la couronne de son gland passe mon anneau et elle me dit :
- Cambre-toi bien mon ange pour que je puisse t’enfiler le plus loin possible.
La tête dans l’oreiller, chavirée par ce moment de folie, je fais ressortir ma croupe en contractant mon œillet pour la serrer et lui donner un plaisir total, elle plonge alors lentement son pieu en moi jusqu’à la garde. Le souffle court, je sens qu’elle écarte mes fesses pour s’enfoncer toujours plus profondément en moi en m’achevant de puissants coups de rein.
Avec ardeur, elle me laboure les reins en me pelotant les seins. Totalement comblée par ce pieu qui me fouille, je vis pleinement ma féminité. Au moment voulu, elle s’effondre sur mon dos et se vide abondamment en moi.

Je me sens heureuse et comblée et peu de temps plus tard je m’endors dans les bras de Stéphanie ;
Dans la nuit je suis réveillée par Stéphanie qui me suce le sexe.
Endormie je contemple son visage qui exprime l’enie.
- Je vais te violer, me dit-elle.
Je ne résiste pas, elle me lèche et gobe mes bourses en alternance avec mon sexe tandis que l’un de ses doigts me pénètre l’anus. De son autre main, elle me masturbe sur des rythmes lents et rapides. Au bout d’un moment, me voyant suffisamment excitée, elle me dit d’une voix rauque :
- Donne-moi tes fesses maintenant, ma chérie.
Je les écarte à deux mains et lui offre mon anneau encore bien ouvert par la pénétration précédente. Elle m’empale avec facilité du premier coup. Soumise, je relève mes jambes afin qu’elle saisisse mes chevilles pour mieux me fouiller le ventre.
Ainsi, à sa guise, elle ouvre mes cuisses, plie mes genoux, place mes talons à la hauteur de mon visage pour me prendre de toutes les façons, en cherchant surtout à me pénétrer le profondément possible. Martelant mon œillet, elle me fixe du regard pour suivre la montée de mon orgasme.
Totalement empalée, je vois mon sexe se durcir et s’allonger et je gémis de plaisir. J’accompagne chacun de ses coups de boutoir et cambre mes reins pour mieux me donner. Stéphanie me sourit, satisfaite d’avoir enfin trouvé mon point sensible qu’elle pilonne avec précision en accélérant la cadence. Simultanément, elle me masturbe jusqu’à ce que j’éclabousse son ventre de longues giclées de sperme. Lors de mes derniers spasmes, elle s’effondre sur mes seins en vidant sa liqueur brûlante dans mes reins.
Je croise alors mes jambes dans son dos pour la garder en moi et sentir ses ultimes contractions.

A suivre….