Notre Ile

Nous ne sommes pas naufragés. Nous avons loué une petite embarcation pour la journée pour être isolés sur ce bout de terre à un kilomètre de la côte.
Revenons à l’origine : cet été nous nous sommes rencontrés sur la plage où elle bronzait. Elle était loin, de tous, égarée dans une petite clairière d’une pinède. Je sable étouffait mes pas. J’avais un besoin urgent et je choisissais le même endroit. Je la voyais nue, offerte au caresses du soleil, les jambes ouvertes sa main qui bougeait pas mal entre ses cuisses ouvertes. Elle profitait de la solitude pour se faire du bien. J’oubliais mon envie pressante pour la regarder. Je ne sais si tous les hommes sont comme moi, voir une fille se masturber me fait toujours bander. J’ai marché sur un branchage et j’ai fait un bruit qui la faite arrêter. Elle ne pouvait pas cacher sa nudité, alors elle est restée comme elle était, les jambes ouvertes. Je me suis approché d’elle, la queue bien droite. Elle savait fort bien que j’allais lui imposer un contact qu’elle désirait sans doute. J’étais très près quand elle a tendu les bras. L’invitation était évidente.
Je me suis penché pour l’embrasser, nos langues se sont enroulées et le reste a suivi. Nous avons baisé comme des bêtes, elle était très chaude. Nous avons décidé de partir loin le lendemain matin très tôt. Et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés sur cet ilot. A peine arrivés j’amarre le bateau, nous portons nos vivres et une couverture. Nous trouvons un endroit douillet. La couverture installée, nous mettons nus. Il est encore tôt, pas plus de 9 heures 30 Le fond de l’air est encore frais. Nous frissonnons un peu. Pour nous réchauffer la seule solution que nous avons est de faire l’amour. Cette fois nous prenons notre temps. Elle est contre moi, une jambe sur la mienne, sa tête sur mon épaule. Je profite de sa position pour commencer à la caresser un peu. Je trouve un sein bien dur et un téton qui commence à bander. Je me penche vers elle pour poser mes lèvres sur les siennes.

Nous ouvrons presque ensemble nos bouches: nos langues se caressent, ou plutôt se disputent longuement. Je lâche le seins que je tenais dans ma main qui descend vers son paradis. J’arrive enfin dans sa fente. Elle écarte déjà les cuisses me laissant maître de la situation. Je commence par lui caresser la chatte en entier avant de mettre deux doigts dans son vagin. Je les fait aller et venir: elle me dit d’une voix rauque que je lui fait du bien. Je veux allez partout. Je laisse mes deux doigts en elle et déplace mon pouce vers son petit trou. Je ne force qu’à peine pour le rentrer. Elle soupire sans arrêt jusqu’au moment où je sens les spasmes de son orgasme.
Je l’ai faite jouir, à mon tour d’y passer. Elle prend mon dard pour le caresser de haut en bas, sans pour autant me branler. Elle me caresse les couilles lentement et surtout en m’excitant encore plus. Je ne sais pas encore ce qu’elle veut faire: me branler, me sucer ? Elle me rend la pareille en mettant un doigt dans mon cul. Au début je ne fait que sentir sa présence, elle arriverai à me faire jouir ainsi. Pourtant tout en gardant son doigt là où elle l’a mit, elle prend ma bite à pleine main, juste à la base. Je pense qu’elle va me faire jouir en me branlant. Elle laisse sa main là où elle est pour prendre la queue dans sa bouche. Elle entame une fellations d’anthologie: elle décalotte le gland sans se servir de ses mains, le lèche pendant un bon moment. Elle doit aimer les gout d’une bite. Enfin elle enfourne ma pine dans la bouche. Elle en met tellement que je sens le fond de sa gorge. Sa tête fait des vas et viens. Elle arrête tout pour reprendre un moment plus tard. Je l’avertis que je vais jouir; je ne veux pas qu’elle soit dégoûtée. Elle me fait un petit signe. J’éclate sans sa bouche; elle attend que j’ai fini de lâcher tout mon sperme pour se relever. Un peu de semence est encore autour de sa bouche, elle l’essuie avec sa langue et lentement avale le tout.
Je n’avais jamais connu un tel pompier.
Elle sait que je suis hors jeu pour un moment. Elle garde ma bite dans une main, la serre longuement et y pose encore sa bouche. Elle me fait bander. Cette fois nous passons aux choses plus sérieuses: nous allons baiser. Nous baiserons à sa façon, c’est une fille de caractère. Elle me veut en elle, elle m’enjambe pour se mettre sur moi. A genoux, elle vient présenter sa chatte à mon pieu. Elle se positionne juste au dessus de ma bite. Doucement elle se laisse aller. Quand je suis à la hauteur de son clitoris, elle le masturbe un momen avec ma bite. Enfin elle se laisse totalement aller. Je suis au fond d’elle. Je sens qu’elle ne peut plus en rentrer. Elle remonte un peu pour redescendre. Je me laisse faire sans bouger. Ses vas et vient sont lents, réguliers, et toujours profond. Soudain elle accélère sa cadence et je sens les spasme de son sexe autour du mien. Elle ne part pas elle attend simplement de finir de jouir pour recommencer. Je serre le dents pour ne pas partir à mon tour. Enfin elle se relève pour présenter sa moule sur ma bouche: elle est presque assise sur moi, dirige ma langue là où elle veut entre autre sur son anus. J’y ai mis tout à l’heure mon pouce, c’est autour de ma langue d’y pénétrer. Telle qu’elle est mise je peux entrer la moitié de ma langue: elle gémit enfin et prononce des mots sans suite: Oui, j’aime ta langue, mets moi là profond dans le cul, j’en veux encore plus. Tout à l’heure te me mettre ta bite.
Quand elle jouit elle n’en peut plus. Le temps a passé depuis notre arrivée. Nous déjeunons comme de véritable amoureux, nous partageons les vivres entre nos bouches de façon à finir toujours par une baiser plus ou moins profond. Elle veut recommencer une autre séance. Cette fois je veux commander. Elle me dit qu’elle n’est qu’un frêle fille et que je fasse attention en la prenant. Mon intention est de a sodomiser. Je met deux doigts dans son anus, petit à petit j’y entre quatre doigts? Elle me laisse faire jusqu’au moment où j’estime qu’elle est assez ouverte.
Je passe ma main sur sa chatte pour y recueillir sa cyprine: Je lui en tartine le cul. Quand je pose à peine ma pine sur le cul, elle pousse en arrière pour que j’entre profond. Je suis à peine dans son anus qu’elle commence à jouir. Je crois qu’elle a du jouir 5 ou 6 fois pendant que je la sodomisais. Nous sommes fatigués. Nous cessons notre baise. Pourtant avant de rentrer au port elle veut une dernière masturbation à conditions que nous nous branlions l’un devant l’autre. Nous ne manquons pas d’observer la main de l’autre : c’est beau de voir unie masturbation comme la notre.
Nous nous allons souvent sur notre ile. Au moment du départ définitif, nous échangeons nos adresses: nous habitons à moins de 500 mètres l’un de l’autre. La date de notre prochaine encontre est fixée.

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