Jours De Match
Les jours de match cest pour moi, comme pour la plus part des femmes, le moment de se distraire autrement. Heureusement quun deuxième téléviseur, dans ma chambre me permet de voir ce que jaime. Quelques fois Paul, le copain de Jean, mon époux, vient aussi chez nous. Je suis une bonne hôtesse : je leur laisse des pizzas et des bières.
Paul est le mari de ma cousine Colette, nous sommes parents par alliance. Ils arrivent souvent que les deux hommes aillent au stade. Dans ce cas il partent vers 14 heures pour ne revenir quaprès 19 heures. Comme Colette est aussi allergique que moi au foot, un après midi nous décidons de venir nous retrouver chez moi pour passer laprès midi à bavarder, plutôt que de rester seules.
Nous voilà tranquille pour un bon moment. Je propose toujours le café, un jour elle vient avec moi dans la cuisine pour maider. En sortant elle me demande si Jean me baise bien (nous sommes libres dans nos propos) Je réponds la vérité, je suis satisfaite de ma vie sexuelle avec mon mari. Je lui retourne la question, elle aussi est satisfaire, sauf quelle a un fantasme : elle voudrait essayer avec une autre fille. Elle ne pense quà ça depuis pas mal de temps. Paul à qui elle sen est ouverte se moque delle : baiser une autre femme, tu es folle. Folle ou pas, cette envie ne la quitte pas.
Je ne sais quoi dire. Aussi quelle idée de se voir entre les bras dune autre. Puis lentement cette idée folle me parait presque normale. Jai brusquement moi aussi envie de baiser une autre femme. Colette nest pas mal après tout.
Je dois avoir le visage qui change brusquement, surtout quand je regarde Colette dans les yeux tout en lui souriant.
Elle comprend que je ne suis pas contre un essai avec elle. Elle se lève pour entamer un déshabillage en règle : elle montre son corps petit à petit, je maperçois quelle na pas changer depuis la dernière fois que nous étions nues à la plage il doit y avoir 5 ou6 ans.
Nous nous approchons lune de lautre. Nos lèvres se rencontrent et nos langues ne se gênent pas pour aller dans la bouche de lautre.
Elle est un peu plus petite que moi, plus maigre aussi, avec des seins ne dépassant pas un 85 B. Par contre ses fesses sont très belles , à peine un peu tombantes, juste ce quil faut, son ventre plat nest pas desservi par son pubis rasé soigneusement. Je suis plus grande de 10cm environ, je suis un peu plus forte quelle, mes seins font un bon 90c. Par contre mon ventre est légèrement bombé et mon pubis est resté comme au début, je suis légèrement velue. Nous quittons nos strings, nous ne nous rhabillerons que bien plus tard dans laprès midi.
Une de ses mains est venue vers mon entrejambe, jouvre mes cuisses pour quelle accède à mon intimité. Elle passe sa main à la recherche de mon clitoris, quant elle le trouve elle me branle doucement, comme si elle avait peur de me faire mal. Je me laisse faire, ce qui ne signifie pas que je nagis pas : jai pris dans ma bouche un téton que je lèche dabord avant de le sucer. Elle commence à gémir :
- Tu me fais du bien, tu me suces comme mon homme-.
-Et toi tu me branles trop doucement, vas plus vite.
- Que diraient nos maris en nous voyant aussi ?
- Ils voudraient bous baiser illico.
- Pour le moment je préfère que ce soit toi qui me fasse lamour.
Elle a raison, bien que nous nous ne sommes pas encore fait lamour. Je la fait venir sur le divan, elle sassoit sans que je le lui demande. Elle a une envie non dite : il me semble quelle veux que je la masturbe. Je lembrasse encore sur la bouche. Je vais directement sur son bouton que je caresse comme je le fait pour moi. Elle recommence à gémir.
- Oui, continues ne tarrête pas, fais moi jouir.
- Je le fait autant de fois que tu veux, à condition que tu me branles aussi.
- Tant que tu voudras et après nous nous ferons jouir autrement.
Je ne sais pas quelle sera « lautrement » et je men fiche, du moment que je jouirai.
Après ces hors duvres nous passons aux choses plus sérieuses.
Elle me fait coucher sur le divan, la tête sur un coussin pour que je puisse voir. Je la vois écarter mes jambes et sa bouche sapproche du sexe. Je sens enfin sa langue venir sur ma chatte. Elle cherche ce qui me fait jouir le plus : si elle savait tout ce que jaime !!
Elle commence par me lécher le clitoris. Je réagis en me penchant en arrière et en jouissant. Elle ne sarrête pas en si bon chemin : elle rentre dans ma moule et cherche comme je lai fait mon point g. Cest délicieux. Elle en profite pour me caresser le clitoris. Enfin sa langue va en bas, vers mon cul. Elle le caresse dabord avant dy mettre le bout le plus profond possible. Cette garce de Colette me fait encore jouir.
Je veux lui retourner ce quelle ma fait. Je lui suce le con. Elle jouit comme moi, plusieurs fois. Je veux continuer : je la fait mettre sur le dossier, les jambes bien pendantes, je lève ma tête vers elle. Je vois tout son sexe, ainsi que son anus. Je pose ma bouche sur son clitoris, jentre deux doigts dans son vagin et met mon pouce dans son cul. Elle commence à cirer tellement elle jouit.
Jarrête là mes léchages au moins pour le moment : jai une idée, je vais prendre dans ma chambre le chapelet dont se sert mon mari pour me le mettre au cul.
Quand je reviens elle est couchée sur le divan les cuisses ouvertes et elle se masturbe sans pudeur. Je massois à coté de ses jambes. Je la laisse se donner du plaisir. Quand elle jouit je lui demande de se pencher pour que jai accès à son arrière train.
Je commence à sortir les billes une à une. Je vois son anus souvrir et se refermer à chaque passage: pour moi ce nest excitant pour elle, cest une orgasme à chaque passage. Je vais très doucement pur quelle jouisse davantage. Elle est comme folle : ses mains caressent sa poitrine pour finalement se masturber. Elle mexcite tant que je lui demande de me sucer encore une fois au moins.
Elle me suce juste un instant puis elle se met sur le dos, les jambes écartées pour que je vienne sur elle: nous allons faire un 69. Je me met sur elle, mon minou contre sa bouche. Cette fois nos langues ont du travail de fond à accomplir. Nous ne cessons pas de nous sucer pendant une bonne demi heure, nous nous mettons des doigts dans lautre orifice arrière. Je ne saurais dire combien de fois nous avons joui. Nous nous caressons partout, surtout les fesses.
Nous avons mal aux langues. Il est encore temps de nous aimer, nos époux ne rentreront pas avant deux bonnes heures. Nous restons couchées lune contre lautre à nous dire des mots doux, comme deus jeunes mariés. Nous néprouvons aucun sentiment sinon que physique. Colette brusquement a envie de se servir du bracelet. A mon tour de me mettre tournée sur le dos, pas totalement mais presque. Elle a une iridée de génie: me mettre tout le bracelet dans ma chatte pour le mouiller: comme elle nest pas satisfaite tu résultat, elle le met aussi en elle. Enfin elle enfile les perles comme je le lui ai fait, avec plus de rapidité. Elle viens sur moi pour membrasser et me peloter. Je crois quelle ma fait garder les billes plus dune demi heure. Cest très agréable davoir ces choses dans mon intérieur.
Je me demande à un moment donné si mon mari ma donné tant de plaisir. Je ne crois pas et pourtant jaime sa queue quand il me baise. Les plaisirs sont différents tout simplement.
Il en est pareille pour Colette.
La conclusion est facile à trouver : nous recommencerons pour chaque match.
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