Un Petit Beur
Cette histoire mest arrivée quand javais 25 ans, je mangeais avec quatre amis gays comme moi dans un restaurant perdu au milieu de nulle part. Ce restaurant nétait pas charmant, mais comme un de mes amis connaissait les patrons nous avons décidé de sy rendre un vendredi soir. Arrivé au restaurent, rien dextraordinaire, un restau comme tous les autres. Les patrons nous on servit plusieurs apéritifs, ce qui nous fit aller à table assez tard. Plus que quatre tables étaient en train de finir de manger. On étaient placés à coté dun groupe de quatre gars, black, blanc, beurs. Un blanc, un black et deux rebeux. Mes amis et moi ne sommes pas des folles, mais notre look nous trahi souvent. Nos discussions de table sont basées sur un peu tout, mais pas centrées sur des discussions dhomo pour ne pas attirer lattention.
Le repas, puis la soirée séternisent. A cette époque les fumeurs pouvaient fumer à table. Plus que deux tables celle des quatre et la notre. Tous fument, moi pas et la fumée commence à me déranger. De plus, les apéritifs, le vin à table, les digestifs qui se multiplient, la tête commence à me tourner. Je décide daller faire un tour dans le jardin du restaurant, cest plutôt un parc avec de grands arbres lourds et sombres. La fraîcheur de la nuit me fait du bien, je respire et fait quelques pas et je marrête au pied dun grand chêne. Tout à coup, je sens une présence derrière moi qui me fait sursauter, je me retourne et je reconnais un des rebeux qui était à la table voisine de la nôtre. Il a lair très jeune, je pense que cest le plus jeune des quatre.
Je ne sais pas ce quil veut, il me dit :
- je tai fait peur ?
Je réponds :
- oui, un peu, tu arrives comme ça derrière moi sans bruit, jai été surpris.
Il me sourit, il a un très large sourire qui le rend encore plus beau (je ne lavais pas encore bien vu). Il me dit :
- dhabitude je préfère que lon vienne derrière moi.
Je ne comprends pas très bien le sens de sa phrase, je crois quil veut me railler sur mon homosexualité.
- tes potes et toi, vous êtes des pédés ?
Et voila ça commence.
- écoute je suis venu ici pour passer une bonne soirée et je veux pas dembrouilles !
Il prend un air très sérieux et me dit :
- moi non plus jen veux pas je demande cest tout !
- bien oui tu las vu, maintenant tu sais, alors laisse moi sil te plait.
Dun coup il me prend le bras et memmène avec force dans un coin un peu plus sombre, je suis effrayé je reste muet de peur. Il sen rend compte il me dit :
- nai pas peur je ne veut pas te faire de mal.
Je lui rétorque :
- cest sûr ça ?
- oui, il faut êtres un peu caché si tu veux me sucer.
Exaspéré dêtre pris pour un suceur, je dis :
- non je ne suce pas !
Là il se passe une chose incroyable, il me dit :
- si tu ne le fait pas, moi si !
Il se jette à genoux devant moi et sattaque aux boutons de mon jean. Il le baisse sur mes cuisses découvrant mon slip bien remplit quil descend aussitôt. Ma queue surgit et il la gobe avec gourmandise, elle grossit à grande vitesse, due à lexcitation que me procure la situation. Il sy prend bien il lèche le gland et avale goulûment ma queue jusquà la base. Une fois ma bite arrivée à sa taille limite, elle est très grosse avec le gland rouge vif. Il sarrête un instant pour ladmirer :
- elle est super ta teub
Je suis fier et il recommence a me sucer de plus belle. Je commence à pousser de petits gémissements de plaisirs.
Après cinq minutes de suçage intensif, il se relève. Je pense quil veut que je lui fasse la même chose, je lui dois bien ça. Mais non il me dit :
- jai envie de ta grosse bite dans mon cul.
Je nai pas de préservatifs sur moi, mais jen ai toujours un ou deux dans mon sac. Je lui dit que je vais les chercher il est daccord en me disant de me dépêcher et dêtre hyper discret. Je me presse, impatient de la suite des opérations.
Je reviens vers lui, heureusement jai même des petites doses de gel.
Il prend appui sur un arbre et cambre son cul. De ce côté-là il est superbe, un petit cul que la lumière de la lune met bien en évidence. Il passe sa main entre ses fesses pour se caresser lanus. Je me sens super ardent. Je me poste derrière lui, déroule un préservatif sur ma bite bandée à mort et la lubrifie puis la pose sur son anus.
Je pousse doucement, lais il se recule dun coup ses, je me retrouve entièrement en lui. Il est super chaud ce petit mec, il me demande de le baiser et de bien lui faire le cul. Ces paroles crues mexcitent et je ne me fais pas prié. Je le lime avec ferveur et lui, il continu a mencourager employant toujours des mots de plus en plus cru. Je vois quil se branle vivement. Tous les deux on devient super torride, cette baise est dune dureté et dun fougue inhabituelle pour moi.
Puis il me dit dune vois fébrile :
- « putain » je vais juter !
- vasy oui !
Dans des deniers coup de reins brutaux, je gicle dans son cul brûlant en étouffant mes cris de bête en rut. Le sperme se repend dans le bout du préservatif avec force, tandis que lui, en gémissant, lance son jus qui macule le pied de larbre. On reste immobile quelque instante histoire de revenir sur terre. Puis il sessuie les fesses, moi ma queue (jai aussi prévu des mouchoirs en papier) puis on se rhabille.
Avant de revenir dans la salle du restaurant, il me demande dattendre un peu après lui et de ne surtout ne rien dire à personne, sinon il me casse la gueule. Je lui fais un grand sourire en lui promettant de me taire. Il repart dans le restau, jattends quelques minutes et rejoins mes amis qui ne se sont rendu compte de rien.
Aujourdhui, je viens de trahir ma promesse.
Seithan
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