Ma Garce De Secrétaire
Dommage, mon réveil fait cesser un rêve dans lequel jétais avec deux jolies filles. Je me lève en vitesse, je vais être en retard aujourdhui. Je déjeune vite, me lave comme un chat et pars rapidement. Je suis en banlieue, il me faut prendre un bus, puis un train et un autre bus. Long, mais utile si je veux gagner ma croute.
Je suis employé dans une grande surface comme adjoint au directeur, une bonne place qui offre pas mal davantages. Je règne sur les « hôtesses » de caisses. Je nen profite jamais, cest un principe. Par contre ma secrétaire elle, sest donné à moi sans que jen soit responsable. Elle est mariée, assez peu fidèle et surtout très dévergondée. Il nous arrive quelques fois de nous « unir » soit dans son bureau, soit dans le mien. La plus part du temps, comme je naime pas mêler travail et baise, nous nous retrouvons sur le coup de 18 heures pour baiser dans un petit hôtel.
Elle ne porte jamais de sous vêtement que se soit au bureau ou ailleurs. Cest parait-il pour exciter son mari qui ne la baise que rarement. Au bureau, justement pour notre première fois quand elle est venue pour me faire signer du courrier, Elle nétait pas en face, comme dhabitude, mais à mes cotés. Elle sarrangeait en tournant les page du parafeur pour frotter ses seins sur moi. Bien sur je suis un homme et je regardais sa poitrine découverte. Quand je finissais mes signatures, elle fermait le parafeur et se penchait pour membrasser. Que faire dans ce cas: ouvrir sa bouche et recevoir sa langue. Je me levais et la prenais contre moi. Je sentais bien ses seins libres sous son t-shirt. Je passais ma main sous son vêtement pour caresser sa poitrine. Elle avait les seins durs, surtout les mamelons. Je passais mes mains en les caressant. Elle était libre puisque je ne la tenais pas. Elle restait contre moi, surtout son ventre qui ne cherchait quun seule chose: me faire bien bander. Cest vrai que je bandais plutôt bien. Quand je lâchais un sein, je mettais une mains sur ses fesse: je ne trouvais pas trace de slip.
Je la mettais nue: elle était sensationnelle et sexy au possible. Je me demande bien pourquoi son mari la délaissée. Pour me récompenser sans doute de ce que je venais de lui faire, elle se penchait pour sortir ma bite et me sucer. Sa façon de faire une fellation me faisait jouir rapidement: après tout je ne me gênais pas pour lâcher mon sperme dans la bouche. Je pensais quelle allait le cracher: pas du tout, elle le dégustait longtemps avant de lavaler à toutes petits gorgées. Cette fois nous arrêtions les frais.
La fois suivante se passait dans son bureau. Quand elle a vu que cétait moi, elle posait ses jambes sur le bureau, pour montrer son sexe. Elle commençait à mouiller. Comme si elle était pressée, elle posait une main sur son clitoris pour prendre de lavance. Je venais vers elle dans lintension de la baiser: elle prenait à nouveau ma bite pour me faire jouir.
Cest cette fois là que je lui demandais de ne plus samuser au bureau. Cest elle qui trouvait le lieu idéal, cet hôtel.
Donc nous nous y retrouvons chaque fin daprès midi. Nous retrouvons toujours la même chambre, nous sommes presque chez nous. Jusquà ce jour nous navions jamais baisé à proprement parler. Cette première fois, je la déshabillais lentement en lembrassant partout Quand elle était nue, je me déshabillais rapidement. Elle me voyait nu pour la première fois. Ce qui lintéressait en premier était ma bite. Elle aurai voulu me sucer encore. Je ne le voulais à aucun pris: je préférais la sucer. Aussi, un peu déçue de ne pas avoir ma semence dans la bouche, je passais ma langue un peu partout dans sa chatte.
Cette fois je bandais tellement que javais mal à la bite. Il me fallait absolument absolument la baiser. Je revenais sur elle, lécrasant un peu: ses seins se dégonflaient. Jétais bien juste au niveau de son sexe. Il était mouillée, comme jaime. Je posais ma bite sur sa chatte. Dun grand coup de rein jétais à son col de la matrice: elle grinçait il me semble. Je ne restais pas longtemps à cet endroit: je la limais violemment. Elle se plaignait sans arrêt comme si je la faisais souffrir, alors quelle ne demandait pas mieux davoir ma bite en elle. Je la limais, elle suivait mes mouvements de vas et viens. Nos lèvres étaient soudées, nos langues se livraient un grand combat dans nos bouches. Elle était drôlement dépravée, elle entrais deux doigts dans mon cul. Je renâclais jusqua moment où elle a réussi à me faire jouir.
Elle aussi jouissait souvent, elle était insatiable. Elle me faisait bander en me suçant la bite: il la lui fallait vite dans son corps, nimporte où, mais en elle. Quand après lavoir eu dans son con ou son cul, il lui fallait lécher la dernière goutte de sperme.
Une de nos baises était particulièrement relevée: elle avait porté une gode de bonne taille. Avant que nous baisions elle tenait absolument se le mettre dans le cul; directement, comme ça, sans préparation.
Jai eu une autre envie qui se poursuit encore: je la voulais avec une autre femme. Elle ne voulait pas ça. Je lobligeais tout simplement en ne lui faisant pas lamour pendant une huitaine de jour. Pourtant elle venait se masturber devant moi dans le bureau. Quand elle a compris quil fallait quelle trouve une comparse, elle a vite trouvé une autre fille sans doute moins sexy quelle, mais avec un air coquin qui semblait dénoter une certaine vulgarité et une sensualité à fleur de peau. Le plus étonné était le portier de lhôtel de nous voir à trois.
Dans la chambre je leur demandais de se mettre vite toute nue. Elles faisaient mieux que ça: chacune déshabillait lautre: cétait plus excitant pour moi. La nouvelle venue était bien comme je le prévoyait, sacrément dépravée comme ma secrétaire: pour elle le sexe était une nécessité.
Cest ainsi que jai pu les baiser toutes les deux, dabord la nouvelle qui était dessus pendant le 69 que jenculais et ensuite lautre que je baisant dans le con très mouillé. A peine je finissait de jouir que la deuxième fille venait sucer ma bite pleine de sperme et de cyprine.
Cela doit faire plus de deux ans que nous baisons à trois presque touts les jours
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