Ma Voisine Fatou, Charmante Et Torride.
Ce récit date de l'époque où je vivais dans mon premier appartement, dans un petit immeuble moderne en région parisienne. Proche d'une gare, il s'agissait de l'une de ces constructions récentes pour les gens qui travaillent à la capitale, et qui ne rentrent que le soir pour y dormir.
Il y avait peu de locataires. Six familles, deux par palier. J'avais un petit deux pièces aménagé au dernier étage, tout comme ma voisine de palier. Elle s'appelait Fatou, était très sympathique, devait avoir 24 ou 25 ans, et était une femme indépendante. Nous nous croisions souvent, sans pour autant se connaître. Nous nous étions opposés à nos voisins directes, très bruyants, qui avaient l'appartement sous le mien. Leurs règles de vie en collectivité étaient assez douteuses, et ils ne respectaient pas les parties communes. Ce couple avait brillé par son impolitesse, et chaque requête qui leur était adressé n'avait comme réponse qu'agressivité et insultes. Fatou, et moi-même, sommes rapidement devenues solidaires dans cette lutte. Les voisins du rez de chaussée avaient vite prit partie contre nous, des jeunes trop exigeants à leur gout. Bien évidemment, Fatou était vite devenue bouc-émissaire.
Hormis ces rapports de voisinage, je n'avais rien de commun avec ma voisine. Je dois vous avouer que ses charmes ne me laissaient pas insensible. J'étais alors un jeune homme célibataire, et mes yeux traînaient souvent sur ses fesses. Mon grand plaisir était de monter derrière elle, nos escaliers, et je laissais mon regard fixé sur son derrière que trouvais aguicheur. Pourtant, elle ne laissait aucune ambiguïté sur nos rapports. Elle avait régulièrement des petits amis, mais ses relations ne duraient rarement plus d'un mois.
Physiquement, elle n'affichait aucun complexe. Elle était mince mais avait des formes qui en auraient fait fondre plus d'un, des seins assez petit, un ventre plat, et surtout une paire de fesses, qui bien que correctement proportionnée, ne tiendraient jamais dans mes mains.
Je lui trouvais un charme, un petit quelque chose de séduisant. Elle était plutôt petite, et avait des mimiques amusantes. Elle était passé maître dans l'Art de l'imitation de nos voisins ronchons, et, avec beaucoup d'humour et de finesse, elle égratignait leur bêtise. Elle respirait une certaine joie de vivre ; jolie, amusante, sympathique. Je dois vous l'avouer, je trouvais ma voisine sexy!
J'avais pour ma part, ma propre vie sentimentale, et nous vivions nos vies en parallèles.
Ces évènements se déroulent durant un mois de février absolument glacial. Le chauffage de Fatou était tombé en panne, et au passage, elle n'avait plus d'eau chaude. J'avais posé quelques jours pour me reposer, et récupérer un peu. Alors que je revenais de mon jogging, essoufflé et en sueur, je la trouvais donc, sur le palier, assise par terre, un cahier sur les genoux, le téléphone à l'oreille. je crus d'abords qu'elle s'était retrouvé à la porte de chez elle. Elle me fit le dessin de sa situation, le chauffagiste ne viendrait pas avant plusieurs jours, et les parties communes étaient correctement chauffées, il y faisait meilleur que chez elle. J'ouvrais alors la porte de chez moi, et avant que je ne la referme, je lui demandais donc, en bon voisin courtois, si je pouvais faire quelque chose pour elle. Notez bien qu'à ce moment précis, aucune arrière pensée ne m'anime.
Elle murmure alors, devenue soudainement timide, si je pouvais lui permettre de prendre une douche, ainsi qu'héberger temporairement sa flore d'appartement : deux plantes vertes. La teneur du service étant largement acceptable, je lui offrit donc temporairement l'asile, et elle partit immédiatement chercher serviette, gel douche et shampoing.
Elle revint quelques secondes plus tard, en frappa doucement à la porte. Je ne l'avais pas fermé, et elle entra dans mon appartement. J'avais profité inconsciemment de ce répit pour tenter de dissimuler le désordre, inhérent, semble-t-il, à la vie d'homme célibataire. Mes efforts furent vains, et elle s'en amusa. Elle s'amusa de beaucoup de choses d'ailleurs, comme pour dissimuler sa gêne. Nos deux appartement étaient identiques, mais elle fit mine de chercher la salle de bain. Je la guidais à travers mon royaume, et elle s'amusa de chaque détail, et faisait de ma déco, un véritable sujet de sketch. Je remerciais ma bonne étoile de m'avoir poussé à faire le ménage la veille, et donc un peu de rangement.
Arrivé dans la salle de bain, il y eu un moment de flottement. J'aurais du la laisser seule, mais je lui montrais comment se servir d'une douche, eau chaude, eau froide, ce à quoi, elle répondit, qu'elle avait la même, en riant. Définitivement ridicule, je la laissais à sa toilette, attendant mon tour, encore trempé de mon sport. Elle attaqua donc sa douche, et je commençais à sentir la chaleur habiter l'appartement. En effet, la ventilation était une blague dans cet immeuble, et je commençais à imaginer son corps au milieu de la vapeur. Je commençais à la voir sous un il nouveau, ment érotique. Elle sifflotait tout en s'affairant à sa préparation. Elle me parlait mais je n'entendais rien. je lui proposais un café, et identifiait une réponse positive au milieu des bruits d'eau.
Elle prit son temps, je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir, pas de douche depuis 2 jours, elle devait savourer l'instant. Mais j'eus le temps de refroidir. Elle sortit, tout fraîche, affichant un grand sourire. Elle sentait bon. Je lui servais une grande tasse de café. Elle posa ses affaires sur le canapé, et étendit négligemment sa serviette sur un dossier de siège. Elle prit la tasse, et rajouta au moins 3 sucres. Tout sourire, elle constata qu'il faisait très bon chez moi.
Je me rendais bien compte que je n'avais pas grand chose à lui dire. Elle ne semblait pas vraiment souffrir de la situation, et n'affichait aucune gêne. Après avoir pesté contre la corporation des chauffagistes, puis épuisé les anecdotes sur nos voisins, nous n'avions plus rien à nous dire. Je pris donc sur moi d'en apprendre plus d'elle. Célibataire depuis près d'un mois, et en fin de contrat, elle aurait toutes les raisons de sombrer dans la déprime, mais il n'en était rien. Elle me raconta mille anecdotes, en passant toujours d'un sujet à l'autre. Elle paraissait terriblement séduisante, en sirotant son café. Je pris cinq minutes pour aller, à mon tour, me laver.
Quand on est chez soit, on ne ferme pas la porte à clé. après tout, les femmes qui passaient chez moi, avaient déjà tout vu de mon anatomie au moment de prendre la douche. Je laissais donc la porte fermée, sans pour autant l'avoir verrouillé. Je m'aperçus rapidement de mon oubli quand, entre les volutes de vapeurs, j'aperçus Fatou, adossée au chambranle, qui me détaillait. Le détail qui achevait de me mettre mal à l'aise, c'était mon érection. Nu dans la douche, c'est difficile à dissimuler, et, évidemment, ça trahissait mon attirance pour elle. Elle s'amusa de mon sexe, et la pensée d'être comparé aux hommes noirs me mit un doute en tête, ce qui eu pour conséquence d'entamer un peu mon assurance. Elle avait gardé son aisance et son naturel, et prenait l'ascendant sur moi. je ne savais pas vraiment quoi dire, après tout, ça ne me dérangeait pas.
Fatou, guillerette, partit se resservir du café. Je restais, le sexe dressé, le doute en moi. Après m'être séché, je traversais, la serviette nouée à la taille, à la cuisine. Fatou notait des choses sur son cahier, concentrée sur son étude.
Satisfait de la tournure des choses, je m'exécutais. Du bout des doigts, elle observa mon sexe bandé, et m'assura très sérieusement, qu'il était bien. Cette réponse ne voulait rien dire, et nous en avons rigolé quelques minutes. Toujours est-il que j'étais nu dans mon canapé, face à une très jolie, et sexy, jeune femme noire qui me plaisait beaucoup. D'ailleurs, je n'avais jamais couché avec une femme, ni africaine, ni antillaise, et mon excitation à l'idée de concrétiser ce fantasme m'électrisait. Fatou s'était replongé dans sa lecture, mais je voyais bien qu'elle relisait la même ligne en boucle.
"Qu'est ce qu'on fait maintenant?"
Elle ne répondit pas à ma question. Elle leva juste les yeux, le regard songeur, la tête appuyée sur sa main. Elle tenait mon amour propre au bout de ses doigts. Elle en était, à l'évidence, consciente. J'étais certain qu'elle savourait chaque seconde, à me voir, assis en face, nue, et donc plus vulnérable. Elle se leva, et se planta devant moi, debout. Elle allait ment prendre les choses en main, et dans ma posture, je ne voyais pas d'autres alternatives que de la laisser dominer nos ébats. Elle me toisait, pensive. Son regard allait et venait de mon sexe vers mes yeux pour se plonger dans mon regard. Ses cheveux, courts, commençaient à sécher, et à reprendre du volume. Ils partaient d'habitude dans tous les sens, mais là, ils étaient disciplinés. Son regard était brûlant, et son silence était très excitant. Seuls nos souffles raisonnaient dans la pièce, ce qui ajoutait à l'atmosphère devenu très sensuelle.
Fatou enleva ses lunettes, déboutonna son jean, et le fit glisser rapidement à ses pieds. Elle les leva l'un après l'autre pour s'en débarrasser. Je voulais réagir, mais j'étais comme hypnotisé par ses jambes fines. Sa culotte est en dentelles d'un blanc immaculé, elle la fit glisser légèrement, et elle tomba à ses pieds. Je découvrais un pubis aux proportions quasi militaires, bien taillé, en rectangle autour de son sexe. Il était à la hauteur de mes yeux. Elle se pencha pour prendre mes mains, et me tira vers elle. Elle bomba le torse, et leva une jambe sur le canapé. Elle prit mon visage et le plaqua contre son sexe. j'entamais alors la découverte de son intimité. Son odeur était fraiche et sucrée, sa peau douce et brûlante. Ma langue s'insinua entre ses lèvres, légèrement humides. Je les écartais sans y mettre les doigts, et découvrait un sexe rosâtre, un clitoris plus vif. J'entrepris alors de l'effleurer de mes lèvres, puis de ma langue, ce qui là fit soupirer. Elle tenait fermement ma tête, mais dés les premiers gestes pour lui donner du plaisir, elle se pencha légèrement, et prit appuis sur moi. Mes mains se posèrent sur ses fesses, fermes et rebondies. Un délice!
Ma voisine ne partageait pas son plaisir de façon sonore. J'entendais son souffle, et l'imaginait se mordre les lèvres. Tout du moins, j'espérais bien lui donner du plaisir. En revanche, son sexe se mit à suinter légèrement, un liquide visqueux et odorant. Ses secrétions me faisaient tourner la tête, elle tenait ma nuque, et plus j'allais en elle, plus sa main tirait ma tête vers elle. Je sentais son sexe de détendre, et laisser entrer le bout de ma langue en elle. Ses fesses se contractaient à chaque avancée, et je sentais sa transpiration commencer à rendre ses globes glissants. Je m'appliquais à faire monter son excitation, et sa seconde main, s'agrippa alors à mes cheveux. Elle contrôlait son souffle, mais chaque soupir était plus profond. Elle levait un peu plus la jambe, pour me faciliter l'accès au plus profond de son être.
Elle dut être frustrée par la taille de ma langue, ou alors elle en voulait plus mais elle me repoussa violemment. Elle resta un moment les yeux fermés, et eut un frisson. Lorsqu'elle les rouvrit, je lui montrais une petite boite sur la table du salon. Elle retrouva son sourire en l'ouvrant et détailla le choix de préservatifs. Elle en choisit un extra-fin, elle se mit à genoux, déchira le sachet, et m'enfila la protection de latex. Elle se pencha vers moi, pris mes bourses en main, et les malaxa vigoureusement. Elle prit alors mon sexe entre ses doigts, et cracha dessus, puis dans sa main. Elle se releva, et passa sa main entre ses jambes, constata que la zone était correctement lubrifiée, étala, tout de même sa salive, puis elle se lécha les doigts pour enlever le surplus de nos salives, et de sa mouille. Elle vint doucement se planter sur moi, les yeux dans les miens. J'aurais pu tomber amoureux dans l'instant.
Elle fit quelques allers retours, et son vagin étroit était alors détendu. Son sexe était brûlant, j'avais l'impression d'avoir glissé ma queue dans un seau de braise. Il était aussi humide qu'il était chaud, et elle coulissait aisément sautillant sur mon sexe. Son regard pétillait, et son large sourire montrait qu'elle prenait son pied. Je lui découvrait une âme de baiseuse, presque de croqueuse d'homme. Cette idée la rendait encore plus belle, elle, qui se déchaînait désormais sur mon sexe, à son rythme, m'utilisant comme un jouet. Dés que ses cuisses commencèrent à fatiguer, elle se retira, me prit par la main, et me dit de la prendre en levrette. Mon sexe entrait en elle d'un coup, et mon pubis vint se coller contre ses fesses, qui étaient secouées à chaque coup de reins. Je donnais alors le rythme, et accélérais la cadence.
Fatou enfouit sa tête dans les coussins, et commença à gémir. L'orgasme vint très vite, et j'éjaculais en longs jets dans le préservatif qui devenait trop petit pour moi. J'achevais mon orgasme en donnant des coups de reins violent, comme pour me vider intégralement, coups qu'elle encaissait en miaulant, la tête dans le coussin. Je me retirais, et elle se releva, en sueur, le regard dans le vague, et un autre sourire aux lèvres, plus crispés, qui trahissait le plaisir, et l'épuisement. Sa chatte luisait, et ses lèvres sont restés écartées. Un peu de chair rose était visible. Elle reprit ses esprits, et s'amusa de la situation.
Elle fila reprendre une douche. Je lui offrait l'asile pour la nuit (qui fut torride), le lendemain matin, à mon grand regret, le chauffagiste rappelait pour lui proposer un créneau le jour même.
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