La Femme Du Pressing (Un Samedi Suivant)
Ce jour là, lorsque jarrivais au pressing, Nathalie finissait de mettre sous film plastique un ensemble quune dame était venue chercher.
Elle raccompagna la cliente jusqu'à la porte puis la referma à clé avant de se tourner vers moi.
Me saisissant par un bras, elle mamena rapidement dans latelier ou travaillait Michelle.
Depuis plusieurs semaines, javais pris lhabitude des envies et fantasmes sexuelle de mes deux repasseuses, mais ce jour là, je les sentais particulièrement fébriles. Il faut dire quil était 12h00 que la température extérieure était au moins de 34 ° et que celle de latelier, remplie de latmosphère moite par la vapeur dégagé par les fers et la presse de repassage, devait avoisiner les 40.
Si je tenais compte des dires de Nathalie sur le fait que la chaleur et un parfait excitant, je comprenais mieux leur empressement à soccuper de moi. Toute les deux étaient habillées comme dhabitude dune blouse blanche en coton, mais je maperçus rapidement quelles ne portaient strictement rien dessous.
Nathalie me poussa contre sa table de repassage et commença, à laide de la brosse, à nettoyer mon pantalon au niveau de la ceinture et des fesses.
Elle approcha une chaise et me demanda de me mettre debout dessus, ceci lui permettant de brosser plus facilement lensemble du pantalon. Comme elle le souhaité, elle sentie au moment ou la brosse attaquait lentre jambe et la braguette du pantalon, un début de durcissement de mon sexe.
Ah dit-elle, je vais pouvoir commencer la mise en forme.
La mise en forme consistait à me faire assoir sur le bout de la table de repassage, à pousser sur mon torse pour que je me retrouve allongé, les jambes écartées laissant ainsi le champ libre à Michelle pour repasser avec précaution tout lentrejambe et la braguette du pantalon.
Je me retrouvais donc dans cette position, et le fer, dont la semelle était heureusement muni dune plaque en téflon, glisser sur les tissus, manier habillement par la main experte de Michelle.
Nathalie quand à elle, passer sa main sur ces même tissus entre deux repassages, sassurant ainsi que celui-ci produisait son effet question mise en forme.
Parfois tout sarrêtait là, mon éjaculation précoce, durant le passage du fer sur le tissu recouvrant ma verge, salissait lintérieur de mon slip au grand désarroi de mes repasseuses. Ceci se produisait immanquablement lorsque je nétais pas passer depuis longtemps au pressing.
Mais ce jour là, bien que mon excitation était fort importante, je me contenais. Nous étions Samedi et je dois dire que cétait la troisième fois que je passais au pressing depuis le début de la semaine.
Un nouveau repassage de la braguette, une nouvelle caresse de Nathalie sur le tissu très chaud et la constatation de ma raideur fit que Michelle descendit rapidement la fermeture éclaire du pantalon.
Après avoir passé lélastique de mon slip sous les testicules, elle sortie lensemble de mon appareil génital en ayant passé son pouce et son indexe derrière celui-ci. Elle me fit descendre de la table.
Nathalie qui avait remonté sa blouse, ce positionna jambes tendues et écartées face a la table de repassage. Elle allongea son buste sur cette table, offrant ainsi sa chatte humide à mon sexe tendu maintenue dune main ferme par Michelle. Mon guide me fit pénétrer Nathalie et me libéra de son étreinte. Au fur et à mesure que je menfonçais à lintérieure de Nathalie, je la sentais frémir du fait de la chaleur de ma verge qui venais de subir plusieurs repassage.
Cette chaleur semblais produire une excitation particulière et après quelque va et vient, elle demanda à Michelle de me repasser a nouveau avant que je la pénètre une nouvelle fois.
La table libérée par Nathalie, Michelle positionna ma verge sur le bout, installa une épaisseur de lainage sur le dessus et se mis à repasser la grosseur quelle deviné sous cette protection. La chaleur dégagé par la table et le fer qui glissé sur ma raideur me prenais la queue en sandwich entre deux surface très chaudes qui mamenèrent vite a la limite du supportable, moment ou je prévenais Michelle darrêter.
Reprenant nos positions initiales, Michelle maida à introduire ma verge brulante dans la chatte de Nathalie. Je lentendis criai de plaisir lorsque jenfonçais dun coup sec ma protubérance bouillante. Quelque vas et vient et jéjaculais au moment ou je la sentais jouir.
Elle se retira rapidement et je compris vite que son excitation était encore très grande. Elle saisie ma verge et me dis quaprès la phase "mise en forme", elle allait passer a la phase "maintien de la raideur".
Elle mamena prés de la presse de repassage, et ferma celle-ci. Je vis le plateau supérieur de la presse descendre rapidement sur le plateau fixe, ensuite elle procéda a la mise en pression des plateaux, les deux plateaux étant posé lun sur lautre je les vis se serrer fortement entre eux. Nathalie minforma que cétait a ce moment la que lon procédait a la vaporisation par lun ou lautre des plateaux ou par les deux en même temps, mais que cela nétait pas une obligation surtout pour la pièce quelle souhaitait presser. Elle ouvrit tout de même les vannes de vapeur réchauffant ainsi les plateaux de la presse
Les vannes de vaporisation de la presse nétaient pas tout à fait étanches, et on pouvait apercevoir certaine légères fuites de vapeur sortir du plateau fixe de la presse.
Nathalie y installa une couverture, et me fit m'installer à lextrémité de la presse sur une marche de bois. Prenant mon sexe dans sa main, elle installa ma verge sur le plateau et replia la couverture dessus. Le plateau supérieur descendit et Nathalie minforma que cétait la première opération. Je devais la prévenir dés que je sentirais la chaleur, ce que je fis rapidement compte tenu des fuites de vapeur.
Elle entama alors ce quelle appeler la deuxième opération.
Je vis Nathalie appuyer sur le bouton de pressage, sans ouvrir les électrovannes distribuant la vapeur. Le plateau supérieur appuya avec force mécrasant la verge. En trois seconde, la chaleur sur mon sexe devint insupportable et je criais pour quelle me libère.
Aussitôt libre, elle me fit mallonger sur le sol devant la presse et sempala sur moi. Elle gémissait de plaisir en sentant mon sexe brulant la pénétré.
Ce type de pressage ce renouvela a de nombreuse reprise, et afin que je puisse garder une érection malgré les éjaculations dus autant au repassage, pressages et aux empalements de Nathalie, Michelle avait passer un cordon sous mes testicules puis après lui avoir fait faire plusieurs tour elle serra fortement, les érections durée ainsi beaucoup plus longtemps et était surtout beaucoup plus violente en ce qui concerne la raideur.
La presse était maniée soit par Michelle soit par Nathalie, mais toujours en vue de la satisfaction de cette dernière qui semblait ne pas se lasser dêtre pénétré par un sexe chaud quelle souhaitait toujours plus brulant
. A la fin de cette après midi de repassage et de plaisir, Michelle dues enduire dhuile ma verge écarlate dune chaleur qui arrivait parfois a la limite du supportable et de la brulure.
Mes repasseuses connaissaient parfaitement le point de non retour par rapport au repassage avec des semelles en Téflon et surtout par rapport aux possibilités de vaporisation. Je leurs faisaient confiance à 100% dautant que mes jouissances étaient extraordinaires et que je percevais leurs extrêmes excitations lors des préparations de mon anatomie au repassage, excitation dont lapogée était atteint lorsquelles me sentaient me vider pendant et sous leur repassage.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!