Marie Et Moi
Voilà plus de 30 ans, jétais à Lomé au Togo à L'ambassade de France pour la réorganisation des services de sécurité de ce petit bout de France cétait ma mission. Je sortais dune période noire de ma vie, séparation perte dun bébé à venir, en réaction javais embrayé sur une vie peuplée dalcool et de rencontres gay, boites, back room etc. Cette mission m'éloignait dun environnement où tout me rappelait de mauvais souvenirs.
Arrivé sur place, on avait bien préparé ma venue et je dois dire sans doute le meilleur accueil que jai reçu dans ce genre daction. Jétais logé dans un bungalow inclus dans le parc de lambassade, jétais seul et il aurait convenu à une famille avec s. Encore mieux javais une employée de maison a mon service pour les tâches ménagères et mêle la cuisine si cétait nécessaire. Je nen attendais pas autant. On me présenta cette femme, Marie une jolie femme aux formes généreuses et je dois dire, à mon gout. Je nai pas immédiatement et instantanément conçu une envie delle, mais jai apprécié le sourire et la joie de vivre de cette jolie femme, pas une gamine, une femme qui était environ de mon âge, hors je me plantais lamentablement car elle a 10 ans de plus que moi, cet écart était absolument pas discernable a cette époque, peut être un peu plus aujourdhui mais surtout dans la perception qua Marie delle même. L'âge ne nous épargne pas et on change chez elle cest aussi lié à son ethnie et sa gourmandise, les kilos se sont installés pour moi et beaucoup dautres elle est totalement désirable et sensuelle, mais pour elle il nest plus question comme par le passé de se montrer dans une partouze hormis avec quelques vieux amis qui sont presque de la famille voir carrément de la famille comme ma nièce. Revenons 30 ans en arrière.
Ma mission m'absorbait totalement, passant des heures sur le terrain, je ne croisais Marie que le soir ou le matin parfois si je trainais un peu. Petit à petit le malaise qui me pourrissait la vie s'estompe, je commençais à avoir besoin de chaleur humaine et de sexe.
Marie devenait ma principale préoccupation, je suis comme çà, javais maintenant envie daller plus loin. Petit à petit elle aussi changea dattitude, elle ne portait plus ces jeans et t-shirts habituels, elle mettait des robes colorées au décolleté parfois avantageux.
Javais conçu pour Marie une attirance folle, jaime les peaux noires cest vrai, mais au delà de son physique avantageux cétait elle, son esprit, sa joie de vivre qui me faisait envie. Au fil des semaines ,nos relations avaient évolué, réservée au début et moi assez distant ce fut assez tristounet les 3 premières semaines. L'habitude, la routine presque nous dérident tous les deux. Elle tenait de façon impeccable la maison, mais elle allait plus loin, au bout de quelque temps elle me demanda si j'acceptais quelle soccupe de mes affaires. Elle me trouvait parfois trop fripé pour un bel homme comme moi Je riais à sa remarque et je la laissais prendre en charge ces contingences. Elle alla même jusqu'à me dire que les sous-vêtements feraient partie de ses attentions.
Ooops ! Pardon dit-elle
Mais elle restait sur le pas de la porte à me regarder. Jai failli lui demander de se joindre à moi. Contrairement à mes habitudes je ne lai pas fait, pas osé jai sans doute senti quavec elle ce nétait pas ce que je cherchais. Pourtant à peine avait-elle fermé la porte , je bandais et me branlait furieusement les yeux clos sur son image. Je la rejoins pour notre rituel apéro, a peine installé elle éclate de son rire sonore et me dit
Je suis désolée pour tout à l'heure je ne savais plus quoi faire
Fermer la porte était la seule solution dis-je.. un peu plus vite la prochaine fois
Ah je ne sais pas, ce que jai vu était agréable quand même dit elle dans un éclat de rire.
Ah bon tant que çà ?
Elle hocha la tête avec un sourire que je qualifierais de coquin. Je savais à quoi men tenir, la drôlesse me trouvait à son goût. Jen étais presque sûr mais là elle ne sen cachait pas.
- Oh oui vous savez vous êtes vraiment un bel homme
- Voilà une bonne nouvelle, et Marie arrête de me dire vous comme çà, on se tutoies.
- Si vou...tu veux, il faut shabi dit-elle en butant sur le mot.
- Cest quand même plus agréable non? Et puis maintenant que tu ma vu à poil tu peux.
- Oh la la ça devient coquin!!!
Sa respiration sétait accélérée, elle avait beaucoup de mal à me regarder droit dans les yeux. Elle était visiblement peu à laise. Sans doute se disait -elle que je lavais percée à jour. Je nétais pas mieux je redoutais daller trop loin, où pas assez de casser ce moment magique. Sa main était posée sur la table, je fis le geste dattr mon verre, mais je détournais la cible et posais mes doigts sur les siens. Marie leva les yeux, ils pétillaient brillants, intenses. Son regard sombre silluminait. Au lieu de retirer sa main, ses doigts s'enroulent autour des miens et les serraient comme si elle avait peur de les laisser partir. Elle poussait un petit soupir, ses lèvres entrouvertes tremblaient légèrement. Sa respiration avait encore accéléré tout comme la mienne. Jen étais pas pourtant à mon coup dessai. Je naurais pas dû être aussi tendu, je n'y pouvais rien, ce moment me paraissait trop important pour le gâcher. Mon inconscient savait sans doute que ce jouait une partie importante, cruciale même de ma vie. Ô temps suspend ton vol écrivait Lamartine. Nous étions dans un instant comparable. Cet instant semblait sétirer à linfini un instant durant lequel le prochain geste serait crucial, un instant de grâce. Je suis convaincu que si javais fait un autre geste la magie serait retombée. Je tirais légèrement sa main, approchant Marie de moi, je me penchais en avant mon regard dans le sien. Elle se laissait aller, approchant doucement son visage du mien. Ses yeux brillaient de mille feux, ses lèvres humectées par sa langue rose, brillaient. Doucement je continuais le mouvement nous étions maintenant presque nez à nez. elle me sourit, mes mains sur ses joues je lattire, nos lèvres se touchent, ma langue force a peine ses lèvres qui accueille lintruse, sa langue se glisse autour de la mienne puis explore ma bouche. Le baiser devient profond, les mains de Marie glissent dans ma chemise, ses doigts caressent ma peau avec une douceur infinie. Un petit doigt effleure mon téton. Une décharge de plaisir, je suis extrêmement sensible des bouts de seins. Instantanément, lérection que je ressentais devient impérieuse. Depuis Marie a bien compris que me toucher les tétons cest automatiquement me faire bander. Mes mains ont glissé et caressent ses seins, je sens les tétons tendus sous le fin tissu, elle frémit. Le baiser dure, dure elle et moi on aimerait que cela reste ainsi. Mais à moins de mourir asphyxiés nous devons rompre le contact à regret. Nous nous regardons, je vois une larme qui roule le long de sa joue. Je tends la main paume contre sa joue, jessuie la perle brillante du pouce. Marie incline sa tête dans la paume de ma main.
Quy a- t-il ? Marie?
Oh rien, cest trop bien, trop bien tu est génial.
Elle se jette dans mes bras assise à califourchon sur mes genoux. Elle menlace, je lenlace. Je pense que nous avons brisé la glace.
Si douce soit la position, elle est à califourchon sur mes genoux, membrassant voluptueusement. Nous avions envie de bien plus tous les deux. Je me levais, Marie , nouait ses jambes musclées autour de ma taille, mes mains sous ses fesses et toujours nos bouches se livrant à une bataille de baisers, je la menais vers la chambre. Javais besoin dun lit pour parachever ce moment délicieux. Je bandais comme un dingue. Près du lit, Marie sauta prestement sur ses pieds, me regardant dans les yeux elle souriait et fit glisser lépaule droite de sa robe, qui glissa sur son flanc, découvrant un sein magnifique rond et ferme, ses larges aréoles noires et ce gros téton trônant au centre appelait ma bouche. Lautre épaule glissa ) son tour la robe tombait à ses pieds me la dévoilant dans sa superbe nudité. Magnifique, une beauté qui ma vraiment sauté au visage. Cette poitrine magnifique, ses hanches marquées et larges, une taille harmonieuse, un petit ventre un peu rond comme je les aime. Se terminant sur le triangle dune toison luisante et bouclée. Ses cuisses sont musclées, je viens de le sentir quand elles enserrent ma taille. Elle à de très jolies jambes, elle ne fait pas 1m80, heureusement je ne suis pas si grand. Je la regarde longuement, elle laisse mon regard courir sur elle. Jai limpression que ce moment à duré, en fait il est bref, le temps sétire ou se compresse selon les moments que lon vit.
Que tu es belle, Marie, tu es magnifique.
Tais toi, tu va me troubler dit-elle approchant de moi
Marie, défaisait les derniers boutons de ma chemise, puis elle sattaquait à ma ceinture. Tout en uvrant, elle me couvrait le torse de baisers, je caressais ses épaules avec douceur, descendant le long de son buste, mes mains étaient sur ses hanches. Mon pantalon tombait, pas de sous vêtement il faisait bien trop chaud pour ça. Mon sexe était dur, plaqué contre mon ventre.
- Oooh !!!, il est encore plus beau que sous la douche dit elle en riant
- Et toi tu es plus belle sans robe ma chérie.
Premier mot intime, comme si nous étions déjà ensembles. Prémonitoire? Je fais toujours attention aux mots que jutilise pour éviter les méprises. Avec Marie je me sentais libre.
Elle posa ses lèvres sur les miennes, sa langue les dessina, puis sa bouche lentement descendit sur mon torse, le couvrait de baisers ou dessinait des arabesques avec sa langue humide sur ma peau. Elle taquinait mon nombril avec sa langue. Puis ses doigts, touchérent mon sexe, je frémis. Elle me regardait les yeux levés vers moi, elle guettait les réactions sur mon visage. Elle prit mon sexe en mains, dans ses mains lune au dessus de lautre, seul dépassait le gland.
Hmmm il est grand, et beau tu sais
Il est à toi Marie si tu le veux.
Oh oui !! Jen ai envie vraiment.
Pas trop fier de ma réponse, mais à cet instant je navais plus trop de réparties et je crevais denvie quelle me prenne dans sa bouche ce dont elle avait visiblement envie. Marie avait une mine de chatte devant une soucoupe de lait.
Elle tirait sur mon engin lapprochant de ses lèvres, je bandais encore plus fort maintenant quelle me manipule. Sa bouche frolait la tête de mon sexe. Cétait à la fois divin et une diabolique. Javais limpression quelle me faisait languir volontairement. Il y a un peu de ça quand même.Maintenant que je connais Marie de A à Z je sais ses tours et péchés mignons. Faire monter la pression lamuse énormément et elle y prend plaisir. Si javais touché une prise de courant je naurais pas tressaillis autant, sa langue léchait mon gland le mouillait abondamment. Ses yeux tentaient de garder le contact. Je voyais dans ses prunelles danser un jeu diabolique. Elle goutait le pouvoir quest celui dune femme qui vous tient de cette maniére.Javais beau avoir fait les 400 coups, javais pris des coups des blessures, combattu et tué sans véritable état dâme et là jétais le jouet volontaire dune jolie femme. Sa bouche sarrondit et enserra mon gland, elle me tenait dune main maintenant et lentement un centimètre après lautre elle descendait ses lèvres sur ma queue. Mes jambes tremblaient légèrement, Dieu que cétait bon, comme si cétait la première fois. En fait cétait une redécouverte, après une rupture aux conditions horribles je métais réfugié dans la fréquentation des mecs uniquement pendant plusieurs mois. Je retrouvais ce jour les caresses dune femme et je mesurait le manque que javais moi même provoqué.
Je frissonnait tandis que sa bouche montait et descendait sur ma queue, la rendant luisante de salive. Jai la chance davoir un sexe disons avantageux par rapport à la moyenne nationale, mais il est surtout épais, un peu noueux les veines sont trés saillantes et pour peu quil soit étranglé on croirait quelles sont prêtes à exploser. Marie ne semble pas avoir de soucis avec ma taille, elle mavale même à plus de la moitié de mon sexe. Sa langue sactive, elle maspire littéralement. Je dois dire que parmi les assez nombreuses femmes que jai connues bibliquement, Marie est une des meilleures pompeuses que jai connu. Nombre de nos amis lont constaté également par la suite. Si je me laissais aller à mon seul plaisir, je laurais laissé continuer. Mais mon plus grand plaisir cest den donner. Et je retardais aussi le moment qui pour moi est symbolique, la pénétration. Dans mon inconscient, rien ne cest passé avec une femme tant que je ne lai pas possédée, tant que je nai pas jouis en elle. Nous avons eu quelques moments de plaisirs mais je nai limpression davoir fait lamour avec une femme que lorsque cet acte est consommé. Je suppose que cest un vieil atavisme qui revient. Le mâle possédant la femelle, cest totalement involontaire et ce nest absolument pas irrévérencieux, ni la marque dun machisme latent. Dailleurs bien que cela puisse paraître étrange jai le plus grand respect pour les femmes en général et encore plus pour celles avec lesquelles jai partagé des moments dintimité. Jen ai connu beaucoup au point de perdre le compte exact surtout après des années d'échangistes de boites à partouze et autres amusement. Je nai eu recours à une professionnelle tarifée quune seule fois dans ma vie et encore cest pas tout à fait vrai car nous avons sympathisé et sommes devenus amis et le sommes encore.
Je relevais Marie de sa position dadoration. Je la soulevais facilement, puis la posait sur le lit. Elle pensait que jallais la pénétrer, au lieu de ça je m'agenouillai entre ses cuisses largement écartées qui me laissait apercevoir les rose nacré et luisant des chairs de sa chatte. Quelle vision que ce rose éclatant tranchant sur sa peau noire, et sa toison de jais touffue et bouclée. Elle releva ses genoux et sécartela totalement. Offerte de cette façon, elle était superbe, ma queue en tressaillait d'impatience. Japprochais doucement de son sex offert.Posant mes mains sur le haut de ses cuisses, mes pouces écartent les grandes lèvres charnues, dévoilant de petites lévres crénelées, et délicates qui se rejoignent en un magnifique capuchon qui cache presque une grosse perle de chair dun rose tendre. Un clitoris dune taille peu habituelle chez les femmes européennes. Ma belle est déjà très très humide, ses poils même accrochent de petites perles transparentes. Le rose vif de sa chatte est luisant, trempé déjà. Japproche ma bouche, quel parfum, je ne men lasserais jamais, mélange épicé, poivré. Ma langue dessine ce sexe offert, cest doux, jaime ce goût, la chaleur moite qui ne fait quaumenter. Marie gémis doucement, elle est parcourue de frissons, Je lappe consciencieusement sa conque. Cest une des choses que je préfère, je ne men lasse jamais et si jen crois toutes celles qui ont partagé mon lit, je serais plutôt doué de ce côté. Plus dune fois on ma déclaré que javais une langue de velours. Sans doute est ce dû au fait que contrairement à beaucoup de mecs, ce nest pas pour faire plaisir un petit coup en passant, mon seul but est de faire jouir ma partenaire. Jadore quelles jouissent dans ma bouche, même les plus humides que jai connu cest un plaisir rare que certains hommes ne savent pas apprécier.
Je mène une danse infernale, ma langue la pénètre profondément. Va et vient du haut en bas, jai pris garde de ne pas encore toucher son clitoris qui gonfle sortant de son capuchon. Il est beau et gros je ne pouvais rêver mieux. Jai toujours adoré les femmes avec un clitoris énorme. Même les culturistes dont pourtant je trouve la plastique plutôt désagréable me plaisent car elles ont un clito hypertrophié à cause des produits dopants qu'elles utilisent. Marie est naturelle, cest comme çà que dieu la faite et ce jour là le barbu était inspiré.Ne pensez pas que ma vie dissolue est une preuve attestant de mon impiété. Je suis catholique et croyant, je le dois bien ) mes aïeux qui allèrent en terre sainte, pour libérer le tombeau du Christ du joug musulman.
Cette fois Marie gémis plus fort, son bassin oscille, elle lance son pubis à la rencontre de ma bouche. Ses doigts sont posés sur ma tête, elle ne peut guère jouer avec mes boucles dorées vu que je me coiffe à la tondeuse.
Oh cest bon !! Oui là, comme ça Hmmm encore encore!!
Conversation hachée de soupirs, de tremblements, de crispation de ses doigts sur ma tête quand cela devient très fort. Pour ma part ma queue est de nouveau plaquée contre mon ventre, je suis de plus en plus tendu. Je sens monter dans ma queue ces quelques gouttes transparentes qui vont couler sur mon gland. Cest selon les hommes plus ou moins important, chez moi cest trés présent, je mouille énormément, au point que çà coule le long de mon sexe. bien sur si je suis excité et que cela dure longtemps.
Ma langue part à lassaut du clito, cette petite queue miniature, cest encore plus flagrant quand il est gros comme celui de Marie, il est évident que la différenciation mâle ou femelle se fait sur des bases communes. Dailleurs moi qui goûte autant les hommes que les femmes, je ne fais guère de différence entre les sensations que lon ressent avec lun ou lautre des sexes
Quand je touche cette perle damour, Marie pousse un cri, ses mains me plaquent contre sa chatte comme si elle essayait de me faire entrer en elle.
Ohhhhhh ouiiii!!!! cest bon !!! Oh chéri.
Marie sagite de plus en plus, elle enserre ma tête avec ses cuisses, mes lèvres semparent du clito et de son capuchon, je le suce, laspire tout en le taquinant du bout de la langue. Sur mon menton je sens couler son plaisir, venant du fond de son sexe ce suc délicieux sécoule, je lappe et savoure son nectar. Ma queue est agitée daccès de tension, mon anus s'agite, s'ouvre et se resserre. Je sens quelle voudrait que je vienne la prendre, mais elle sent quelle va bientôt jouir si je continue ainsi. Je choisis de satisfaire nos envies, je poursuis mon léchage et adjoint deux doigts qui la pénètrent. Ils glissent avec aisance dans son antre maintenant dégoulinant. Encore une chose que jaime, les femmes humides jadore çà. Peu importe le lit, les draps en portent les stigmates. Pas plus tard quhier après-midi nous avons dû changer les draps suite à un trio coquin avec Eve. Je masse doucement ce point à quelques centimètres de lentrée du vagin, vers le haut. Ne me demandez pas si cest le point G mais je sais que toutes les femmes en général ont une sensibilité particulière aux caresses à cet endroit, un peu comme nous avons une sensibilité importante au niveau de la prostate. En tout cas, Marie réagit presque violemment à cette caresse. Elle gémit de plus belle, ses mains ont quitté mon crâne, elle se caresse les seins et le ventre. Elle est parcourue de frissons, elle sarc boute sur ses talons, montant son pubis très haut, au point que ma bouche perds le contact, mais elle revient avant de se tendre comme un arc. Jai introduit un troisième doigt qui glisse avec les autres, ma main est luisante et mouillée, lintérieur de ses cuisses et ses fesses semblent un miroir donyx. Dans son sexe, il semble sécouler du petit lait, qui devient mousseux autour de mes phalanges. Un petit ruisselet blanc glisse jusquà son anus que je vois distinctement palpiter. Un instant je suis tenté dinvestir la place, mais ne pas la brusquer je veux que tout se passe à merveille. Pour le moment, je pense que Marie exulte réellement. Elle nest pas de celles qui simulent, dailleurs il faudrait être très forte pour simuler autant dhumidité, de contractions, de frissons. Ses cris ont augmenté de volume, sa respiration se fait plus saccadée. Mes doigts en elle massent ce point si sensible. Ma bouche aspire sa perle, ma langue tourne et retourne sur ce bouton gorgé de sève. jai le menton inondé, je me sens si bien, je dose mes mouvements, la faisant glisser vers le plaisir, temporisant en ralentissant, puis une accélération booste ce plaisir qui monte en vagues qui refluent puis remontent. Marie pousse de petits cris, elle semble parler mais rien dintelligible. Ses seins montent et descendent au rythme dune respiration qui accélère. Je sens sous ma bouche soon sexe qui se contracte et serre mes doigts avant de souvrir en grand. Cela me soulage, a plusieurs reprises jai eu des problèmes de taille avec mon sexe, il est vrai quelles étaient asiatiques ou eurasiennes, donc de petit gabarits. Rien de plus pénible que de faire mal alors quon veut donner du plaisir. Je nai pourtant pas un sexe démesuré même si il est au dessus de la moyenne. 18cm (ou 20 selon le point de départ de la mesure) et 16cm de circonférence ce qui est là très au-dessus de la moyenne. Là je me dis que tout va bien aller. Je ne me reconnaît pas, habituellement je ne suis pas agité de telles pensées, je crois que mon sevrage récent ma joué des tours et je me questionne trop. Peut être que je sentais inconsciemment, que ce qui débutait là était important, la suite me donne raison, Marie est là pas loin, endormie sans doute et Eve aussi.
Marie sagite.. Elle à posé ses mains sur la main qui écarte ses lèvres. Elle serre mes doigts presque convulsivement. Elle frissonne, tremble de plus en plus fort sa tête fait des droite, gauche en cadence son sexe souvre et se ferme, expulsant une créme onctueuse, qui vient du fond de son sexe, lemplit presque jai ai plein les lévres plein la bouche je nai pas pu mempêcher de laper au fond de ce coquillage rose. Ce suc est épais, chaud et suave, je navais pas eu souvent loccasion de goûter ce plaisir avec dautres. Deux ou trois fois et en régle générale des femmes de couleur.
Marie ce tends, comme un arc, en criant comme une damnée.
- Ohhhh ouiiii!!! je jouiss je jouiss!! Cest bon .. cest bon .
Je continues à lécher son sexe, et je la sens a nouveau frémir, ses mains agrippent les draps, tire en tout sens, elle se cambre à nouveau.
Ouiiiiii Ouiiiii ouiii
Marie, jouis encore, en fait cest plutôt son orgasme qui se prolonge, Marie est ainsi faite une fois le point de lorgasme atteint elle peut avoir 3 ou 4 décharges orgasmiques de suite. avant de retrouver son calme. La voir ainsi mexcitait terriblement et ma queue piaffait dimpatience. Javais cette fois un impérieux besoin de prendre du plaisir. Je me rendis compte que Marie était trempée de sueur, encore plus belle, luisante comme si je lavais huilée, chose que nous faisons souvent dailleurs. Elle est toujours les cuisses écartée, largement son sexe rose et brillant coule de plaisir, ses fesses sont striées de ruisselets blanchatres de son nectar. Je suis à genoux dans le compas de ses jambes. Je la regarde, avec tendresse, envie et fierté quelle belle femme, pour quelle soit mienne l faut maintenant que je ma posséde, il faut que jentre en elle, que je jouisse en elle pour avoir vraiment le sentiment de lui avoir fait lamour. Il est vrai que nombre de fois, jai donné le même plaisir à des femmes parfois inconnues dans des clubs ou boîtes échangistes. Je nai pourtant pas limpression de leur avoir fait lamour.
Marie tend ses mains vers moi, je prend ses mains, elle serre et me tire vers elle.
Viens amour, viens en moi jai envie viens.
Je mapproche, me penche vers son visage, nos lèvres se joignent en un baiser fougueux. Mes mains sur ses seins que je pétris, les tétons chatouillent mes paumes, ils sont durs et dressés. Ma queue est posée sur sa toison, le gland frotte sur son clito, elle pousse un petit cri, je suis vraiment en forme, j' ai mal à la queue tellement je suis tendu. Ses hanches son ventre se meuvent lentement, elle essaie de capter ce sexe quelle désire. Je ne vais pas la faire languir, surtout que si on continuait comme ça je finirais par gicler sur son ventre. Je taquine son gros clito en frottant mon gland contre lui. Marie réagit presque violemment poussant des cris de plaisir. Puis je guide ma queue, je sens la chaleur moite de ce sexe quelle moffre, couvrir mon gland, puis lentement, je la pénétre. Impression de glisser mon sexe dans une soie mouillée. Marie la tête rejetée en arrère, pousse une plainte rauque tout le temps que mon sexe la pénétre. La voir ainsi est magnifique. Je sens tout le plaisir quelle prend à me sentir en elle. Je ne suis pas certain que les hommes uniquement hétéro puissent se faire une idée du plaisir de la pénétration, cet instant ou un sexe étranger entre dans mon corp. Il mest arrivé de jouir simplement de la pénétration. Mon sexe emplis totalement sa chatte, je sens son clito qui frotte sur le dessus de ma queue. Tout est fait pour que Marie connaisse à nouveau le plaisir. Mes couilles sont contre ses fesses. Je me retire lentement, ressortant totalement ma queue. Son con reste grand ouvert, je reponge mon sexe cette fois dun coup de rein vif et menfile jusqua la garde en elle. Marie pousse un ohh de surprise, elle se redresse un peu ses mains att mes hanches, ses jambes se croisent sur mon dos suivant le rythme elle maide me serre contre elle.
-Oh cest bon!! tu es gros je te sens bien, oui encore vas y!!
Mon bas ventre se mouille petit à petit, ma queue est totalement couverte de mouille luisante. Je pose ma main droite sur son pubis et mon pouce trouve facilement son clito. Je ne la quitte pas des yeux, quand je touche sa perle sa bouche souvre, comme pour happer plus dair comme si elle suffoquait. Son sexe musclé se referme sur ma pine comme si il cherchait à lécraser., puis se relâche. Elle se contracte chaque fois que je taquine son clitoris puis souvre largement au point que je pénètre en elle sans grand frottement. Marie est musclée et est capable de vous serrer la queue avec les mouvements de son vagin elle vous masse au point de vous amener à jouir. Combien de fois avons-nous joué à cela, elle chevauchant ma queue bien calée en elle, elle me fait partir sans mouvement de ma part, sauf les caresses sur les seins et les baisers. Elle a essayé avec Eve, mais çà marche beaucoup moins bien car la gamine à un sexe de petite taille.
Les ongles de Marie par moment sincrustent dans mes bras. Ma queue massée par ce sexe vorace, est toujours tendue à lextrême. Je sens mes couilles se serrer, remonter à la base de mon sexe, et le fourmillement annonciateur de lorgasme se précise. Cest bien, tôt, trop rapide, mais je suis vraiment en rut si je puis dire. Je ny peut plus grand chose. Marie gémit et accompagne mes mouvements , mettant son bassin au diapason du mien. Les baisers pleuvent sur sa bouche, ses seins, je tête ses gros tétons. Soudain je ne tiens plus, je sens monter lorage dans ma queue. Je retiens autant que possible mon plaisir, mais avec brutalité même je plate mon sexe au fond du sien, tandis que je gicle abondamment, 6 ou 7 grosses giclées suivies de plus modestes, je me vide totalement en elle. Dans le regard de Marie je distingue une lueur de désarroi, elle aurait aimé que cela dure bien plus. Je continue mon va et viens, je connais bien ma nature. Quelques instant mon sexe à légérement dégonflé, mais mes mouvements lui redonnent sa pleine consistance en peu de temps. Je patauge litérallement dans son sexe. Non seulement elle est ruisselante mais mon sperme abondant fait un lit douillet à ma queue. Marie sourit, elle comprend que ce nest pas terminé. Elle goutte la caresse de mon pouce sur son clito, jaccentue même mes rotations sur son joyau. Ma queue maintenant se couvre dune sorte de crème un peu comme si nous avions joué avec la bombe de chantilly. Le mélange entre son nectar et mon sperme, oh ne vous y trompez pas jai déjà goûté ce mélange et jadore, même si le sperme nest pas le mien dailleurs.
Marie, halète, elle est en train de gravir de nouveau la pente vers son plaisir. Les mouvements de son sexe sont de plus en plus désordonnés, erratiques, de lalternance de pression puis relachement de ses muscles, cest une sucession de soubresauts, parfois elle me serre tellement quelle me ferait presque mal, sa tête dodeline à nouveau tandis que la bouche ouverte elle cries cette fois vraiment fort. Le plaisir est en train de la submerger, la sueur ruisselle sur son visage, entre ses seins. Je me dis dun coup que javais eu assez peu souvent une partenaire aussi vivante que Marie, je sens partout les endroits où ses ongles se sont enfoncés dans ma peau. Jaurais adoré quelle m'att le bout des seins, jadore ça.mais nous ne sommes quaux prémices de cette relation nous devons apprendre à nous connaître. Je pense quen ces instants, je tombais follement amoureux delle, inexplicable car jai tellement fait lamour a des femmes sans que je ne ressente autre chose quun grand plaisir. Là cest différent ne demandez pas pourquoi, cest ainsi. Comme disait le poète parce que c'était elle, parce que cétait moi. depuis 34 ans maintenant nous sommes toujours aussi amoureux, bien sur nos 10 ans de différence sont toujours là mais peu importe. Je regrette quelle soit maintenant si frileuse en ce qui concerne les soirées à plusieurs pour la raison quelle à vieillis et quelle trouve son image désormais désagréable. Une hérésie, certes Marie à pris du poids, elle est plutôt du style BBW maintenant. Elle se compare toujours à moi qui nai quasiment pas bougé depuis notre rencontre. La différence est que je fais encore 50 pompes tous les matins et autant de tractions, que je cours au minimum une heure par jour. Elle nest pas du tout sportive, mais gourmande et se laisse aller à ses envies.
Je la besogne furieusement cette fois, je bute au fond de son sexe, chaque coup la fait frémir, crier, son bouton est dur sous mon pouce que je mouille dans son sexe pour quil glisse bien. Un instant jai la tentation de me glisser dans son anus, lubrifié comme il lest ça passerait sûrement sans trop de soucis, mais je ne peux marrêter et lui demander si elle veut bien. On verra à un autre moment. Soudain elle me cramponne le cou, me tire vers elle, sa bouche mange la mienne. Elle se cambre sous moi, elle jouit et crie dans ma bouche. Je me joins à elle, encore une fois je décharge longuement tout mon foutre dans son sexe. je me retire après un moment. je vois son sexe rose béant, vomissant le sperme que jai déposé en elle. Vision magnifique, jadore ce genre de scène. Je suis très visuel, voyeur? Oui mais surtout si je peux être acteur. Mon sexe est toujours dur et dressé. Je mapprête à continuer le combat mais Marie me dit.
Attends un peu chéri, tu mépuise !!! Prends-moi dans tes bras.
Je caresse sa joue, dessine sa bouche du bout de mes doigts que sensuellement elle prend entre ses lèvres les suçotant un instant.
Marie de blottis contre moi, sa main caresse mon visage, ma poitrine, elle se presse contre moi et mélange nos jambes. Mon sexe se frotte à sa peau, aussi tendu que si il ne sétait rien passé.
Tu bandes encore, cest fou!! Comment tu fais?
Je ne sais pas, j'ai toujours été comme ça. Avec toi cest facile tu est si belle et excitante.
Mon dieu, je crois que jamais je nai jouis aussi fort. Et ta langue je navais jamais connu çà. Quelle chance jai !!!
Allons allons, ma douce, je ne suis quun mec comme les autres.
Ah non !! Ne dis pas çà, jamais un homme na passé autant de temps à s'occuper de moi. Tu es un ange !
Un diable plutôt non?
Je vends mon âme au diable alors, enfin tant quil sera là
.
Je sentais une pointe de regret dans sa voix, elle regardait vers demain, elle savait que jétais là pour un temps limité. Jen conclus quelle aurait aimé que nous ayons une relation qui dure. ( Je condense les choses car il à fallu plus de temps pour arriver à cette question et à sa résolution. )
Marie avait un petit sourire presque triste. Plus je la regardais, plus je la trouvais belle. Elle me lavait dit, elle est mon aînée de 10 ans, et alors quand javais à peine 20 ans jai eu une amie qui en avait 55, et tout allait bien. Surtout que Marie fait 10 à 15 ans de moins que son âge. Même aujourdhui avec ses kilos superflus et ses 76 ans, elle est totalement désirable. Oui le temps à passé, moi aussi jai vieilli même si ma condition physique est presque aussi bonne qu'à l'époque où je lai rencontrée. Enfin jaime à le croire, peut être que sur le terrain jaurais une sérieuse désillusion.
A ce moment enlacés, nous ne disons rien un moment. Je nai pas répondu à son questionnement. Je ne le peux pas, cest trop frais, trop rapide, même si je sens au fond de moi que je peux passer à côté de quelque chose. Et puis un câlin entraîne une caresse, puis une autre et en fait nous avons fait lamour jusquau petit matin. Tout le temps que dura mon séjour, je ne me trouvais jamais seul le soir. Ce fut une sorte de révélation, nous étions un couple, rapidement toute lambassade était au courant. Loin de juger ou de trouver la situation anormale, je trouvais des appuis et même en fin de compte de laide quand il fallu rentrer. Et je ne suis pas rentré seul. Non, Marie était avec moi, elle avait tout ce quil lui fallait pour devenir française, elle avait toujours voulu venir en France ou au moins en Europe. Jamais je nai eu à regretter cette décision un peu rapide. 33 ans ont passé je ne pense pas quon en fera autant mais 10 ou 15 ans feraient notre bonheur. Dailleurs je ne veux pas penser à demain, jai trop à perdre.
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