Mon Premier Mec

J’avais fait la connaissance de Medhi par internet. Mec bi qui recherchait un travesti pour première expérience. Moi je recherchais aussi une première expérience mais en étant travesti. Etre dans la peau d’une femme m'a toujours attiré pour savoir ce qu'elles ressentaient quand elles étaient possedées par un homme.
Dans ses messages, Medhi avait des mots assez autoritaires qui me plaisaient assez.
Apres avoir longuement discuté, on décida de franchir le cap.
Je me pointai chez lui en mini jupe, bas, bottes et petit décolté. Lui me reçu en boxer. A peine entrée dans son salon il fit le tour de moi pour me regarder des pieds à la tête et alors qu’il bandait déjà,il me colla par derrière et j’ai pu sentir son gros sexe contre mes fesses. Il me retourna, me malaxant les fesses et me chuchota à l’oreille un « suce-moi ». Je lui dis d’un ton ferme, NON.
Mais il n’apprécia pas. Alors il m’entraina sur le canapé, m’allongea sur lui, me mit une claque sur les fesses pour calmer mes ardeur, puis apres avoir relevé ma jupe, m'en remet d’autres, au moins une vingtaine. Puis s’exclame : tu es prêt à m’écouter ? Je répondis oui sans hésiter. Je me reculai et sortit sa queue pour l’engloutir dans ma bouche. Il se pencha vers mes fesses et on se fit un 69, lui me léchant l’anus pour me préparer. Je le suçai tellement fort qu’il sortit sa queue de ma bouche en me disant arrête sinon je vais venir. Il me releva les fesses pour me mettre à quatre pattes, m’engluât des fesses de gel, sa queue aussi et posa son gland sur mon œillet. Il poussa mais sa queue était trop grosse et je le stoppais net. Il voulu continuer mais je lui attrapais la queue de la main pour qu’il ne continue pas. Alors il m’attrapa par les hanches, s’assis sur le canapé et m’attira d’un coup net sur lui, ce qui eu pour effet de rentrer sa queue entière dans mes fesses.
Je poussais un cri qui dut s’entendre dans toute la résidence vu que la fenêtre du salon était ouverte.

Lui, ca ne l'a pas gêné vu qu’il continuait à faire bouger sa queue, me tenant les fesses en hauteur.
Au bout d’un moment je commençais à me décrisper et c’est sa queue entière qui put coulisser. Sentant que ca allait mieux, il me demanda de me mettre à 4 pattes sur le plancher.
En position, il me la remit sans problème. Je commençais à gémir, alors il accéléra. Je commençais à remuer du cul alors il se pencha vers moi et me dit : tu commences à apprécier ma salope. Dommage que tu ne sois pas une vraie femme sinon je t’aurais bien mis comme ma copine.
Il se releva et augmenta l’allure à me sodomiser de toute la longueur de sa queue. On s’encouragea et s’excita par mots crus. Ce qui le fit redoubler d’ardeur. J’en prenais pour mon grade mais j’aimais beaucoup.
Le plaisir montait de plus en plus jusqu’au moment où mon anus se contracta en même temps que tout mon corps. Je poussais un grand cri et lui se vida dans la capote bien au fond de mon cul.
Dans un dernier coup de rein violent, épuisé, il me fit tomber par terre. Il s’allongea sur moi, et sortit sa queue de mon anus encore endolori. Il m’avoua qu’il n'avait jamais autant joui d'une sodomie.
Pour une première, j’ai beaucoup aimé. Il me demanda si je voulais revenir je lui répondis que oui surement.
Quelques minutes après je fus dehors pour rentrer chez moi. Mais en passant dans la cours entourée par les immeubles, en me dirigeant vers le hall d’entrée de la résidence pour rentrer chez moi je croisais un homme.
Il me dit bonjour je lui répondis timidement bonjour on baissant la tête. Et il me répondit :
- Je vous ai entendu tout à l’heure.
Il se penche vers moi et me rajoute.
- Je sais que vous n’êtes pas une femme mais vous me plaisez beaucoup, j’adore ce que vous êtes et j’aimerai faire connaissance avec vous.
- Heu… oui ok.
- Je m’appelle jean. Voici ma carte. Appelez moi si ca vous dit.
Au moment de repartir, il me demanda s’il pouvait me faire la bise.
Je lui dis ok.
Mais au moment de passer à l’autre joue il posa ses lèvres sur les miennes. Je fus réticente mais il tenta de glisser sa langue dans la mienne. Je cédais et nos langues se mêlèrent.
Ce fut si bon que je me laissais aller et que ses mains me caressèrent les fesses avec insistance.
Je le stoppais et lui dit que je l’appellerai dans la semaine. Mais je fis mieux que l’appeler...

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