Baise À Copacabana

Depuis longtemps je rêvais de Rio de Janeiro dont un ami m’avait dit que c’était le paradis de la queue. Cette fois ci, c’était décidé nous allions aller nous vider les burnes dans l’autre hémisphère.
Une petite recherche Google « Location studio copacabana gay friendly »…
Bingo ! Le premier site proposé correspond à ce que je cherche (en plus la musique diffusée est vraiment géniale) Je contacte le propriétaire. Quelques précisions quant au prix et aux modalités de règlement et je suis sur le point de conclure, lorsque mon interlocuteur tient à me préciser que le « Help » vient de fermer. Comme j’ignore tout de ce « Help », il me précise que c’était la plus grande boite à putes d’Amérique du Sud et que comme nous étions deux garçons nous risquions d’être déçus si notre but était de goûter aux brésiliennes. Je le rassure en lui indiquant qu’en matière de félins nous préférions les minets et n’aimions pas les chattes.
- Alors si vous aimez la bite vous allez être servis à Rio ! Si vous n’avez pas froid aux yeux et avez chaud aux couilles je vous passerai quelques tuyaux !

Deux semaines plus tard nous débarquons à Rio. A la sortie de la zone sous douane une pancarte « Florent & Franck » nous accueille. C’est le taxi qui nous attend pour nous conduire à l’appartement.
Une demi-heure et de nombreux feux rouges brûlés plus tard, nous arrivons au 1250 Avenida Nossa Senhora de Copacabana. A ’évidence le « porteiro » savait qui nous étions car dès que Franck lui eut montré notre contrat, il nous conduisit jusqu’à l’ascenseur et nous expédia à l’étage souhaité.
Là, surprise ! Un mec d’au maximum 25 ans, 1m85, musclé à souhait nous attend. C’est le représentant de l’agence qui est chargé de nous accueillir. En dépit des douze heures de voyage et du décalage horaire, je me sens brusquement à l’étroit dans mon slip. Visiblement la queue de Franck est, elle aussi, en pleine expansion.
Nous faisons le tour du propriétaire et Silvio, c’est son nom, nous explique le fonctionnement des divers éléments de confort, téléviseur, chaîne, jeux de lumière…
Après avoir allumé les deux splits qui immédiatement rafraîchissent l’appart il met en route l’ordinateur.

Le proprio m’avait précisé qu’il y avait un accès spécial pédé, protégé par un mot de passe. Je montre à Silvio l’accès « YAG », sur lequel il clique en rigolant : à l’évidence le mot de passe lui est familier !
La session s’ouvre et le fond d’écran ne prête à aucune confusion : sur les 24 pouces de l’écran s’étale une superbe queue dégoulinante de sperme. Silvio nous montre l’accès aux différents films d’art et d’essai disponible et lance finalement une œuvre brésilienne ou cinq mecs s’enculent et se pompent à qui mieux mieux.
Un rapide coup d’œil à l’entrejambe de Silvio me confirme que nous sommes désormais trois à bander comme des ânes.
Apparemment l’outil do senhor mérite le détour et est de fort belle taille. Je tends le doigt vers sa bite et je lui demande « portugues ? », ce qui dans mon esprit signifie « comment dit-on bite en portugais ». Apparement il ne comprend pas et m’indique du geste que ma demande est ambiguë. J’ouvre alors ma braguette et sort mon braquemart qui a déjà la larme à l’œil.
Il s’en saisi et très pédagogue me dit ca-ce-tchi (je saurai plus tard que cela s‘écrit cacete)
Puis il me prend les couilles : bo-las. Les boules, ça au moins c’est facile à mémoriser !
Afin de vérifier que j’ai bien compris, il se débarrasse de son short. Avant même qu’il ait ôté son slip, je peu m’emparer de son « cacete » qui dépasse généreusement.
Le slip au bas des chevilles, c’est l’apothéose : 23 cm de chaire, surplombant une majestueuse paire de couilles. Devant un tel spectacle on ne peut que s’agenouiller. C’est ce que je fais.
Une queue pareille on aimerait l’accueillir simultanément dans tous ses trous. Pour l’instant mon trou le plus proche étant ma bouche…Dans un premier temps je me contente du gland et savoure à petits coups de langues les gouttelettes qui s’échappent d’un méat généreux. Mais le garçon a envie d’approfondire et s’enfonce peu à peu en gémissant.
Franck qui s’était éclipsé pour prendre une douche est revenu.
Il se glisse derrière moi et glisse à l’oreille : tu veux que je te la mette ?
Mon éducation m’interdisant de répondre la bouche pleine, je me borne à me reculer légèrement pour acquiescer à un enculage dont je sais qu’il sera parfait. Sa queue gourmande cherche le chemin qui lui est si familier. Elle pénètre lentement mais efficacement. Il l’a enduite d’un lubrifiant mentholé et l’effet est divin. A grands coups de bassin, il me lime amoureusement.
L’excitation est à son comble et je pompe Silvio de plus en plus vite. Je reprends position sur le gland car je veux apprécier son lait de mâle avec ma bouche et ma langue et ne l’avaler qu’après l’avoir longuement dégusté. Se faire décharger au fond de la gorge c’est gâcher une précieuse marchandise et aucun véritable amateur de sperme ne s’y résoudrait !
Je suis partagé entre le désir de sentir Silvio exploser rapidement et celui de voir Franck prolonger éternellement son enculage.
Mon copain a commencé à me branler avec maestria. Je mouille comme la Jeanne d’Arc en rade de Brest.
Nous haletons de plus en plus rapidement et il est clair que l’un de nous va prochainement libérer son jus, ce qui nous incite à accélérer la cadence.
C’est Silvio qui le premier lâche la rampe, un cri… et sa purée. Quel nectar, quelle sublime liqueur. J’apprécie pour la première fois une jute brésilienne : quantité et qualité. Ah ça valait bien le voyage !
Silvio ne me laisse pas le temps d’avaler et me roule une pelle juteuse. C’est trop. Je ne peux plus résister et à mon tour je déclenche le feu d’artifice. Fort à propos Franck récupère ma sève dans le creux de sa main et la propose à Silvio qui ne se fait pas prier.
Nous reprenons notre pelle et finalement avalons chacun la moitié du précieux cocktail.
C’est le moment que choisi Franck pour se vider en moi… avec, sa discrétion sonore habituelle.
Silvio range son équipement et nous fait comprendre que si nous avons besoin de quoi que ce soit, il est notre homme.
Par geste je lui explique nous allons dormir un peu, mais qu’il peut revenir quand il veut se vider les couilles…

Quatre heures plus tard on sonne. Queue au vent je vais lui ouvrir, mais ce n’est pas lui. C’est le porteiro qui vient vérifier le fonctionnement de l’interphone. Il a un petit sourire et un regard très appuyé sur mes mâles attributs. Comme pour m’indiquer qu’il à l’équivalent en stock, il remet en place son attirail… avec une telle insistance que la bête semble se réveiller.
Comme le jeune bougre est plutôt appétissant, je peux difficilement contrôler mon érection naissante. Afin de mettre en pratique mes connaissances linguistiques je plaque ma main sur sa queue et énonce fièrement « ca-ce-te ». Il se mare et commence à me branler : « pû-nhe-tar ».
Mon vocabulaire portugais s’améliore !
Quelques instants plus tard, il est à poil et je peu admirer une teube un peu plus courte que celle de Silvio, mais nettement plus épaisse. Décidément, ils sont très bien montés ces brésiliens ! Je l’entraîne dans la chambre et nous nous lançons dans un somptueux 69. Il me doigte avec dextérité et je lui rends le même service. Franck dort encore, mais bande comme un turc. On sonne ! Je le secoue et il se lève pour aller ouvrir.
Retour de Silvio qui se retrouve vite dans le plus simple appareil…et dans le lit. Je n’ai pas besoin de lui expliquer qu’il ne me reste plus qu’un trou de disponible. Il m’enfonce doucement son pieu dans le cul et je sens bientôt son gland qui vient me masser la prostate. C’est bon. C’est vraiment trop bon !
Franck, sans doute dans un souci de symétrie, s’est empalé dans le porteiro qui ne s’est pas fait prier et me pompe de plus belle, ce qui lui vaut un légitime traitement réciproque.
De temps à autre, Silvio sort complètement de mon trou qui frémit au passage de l’énorme gland. L’immédiate réinsertion est tout aussi jouissive. Et dire qu’une majorité d’hommes ne s ‘est jamais fait enculer ! Quel effroyable gâchis ! Vivement qu’une sérieuse réforme de l’enseignement vienne remettre les pendules à l’heure…
Je gobe les bolas du porteiro, et m’attarde successivement sur chaque couille que je masse de la pointe de la langue.
Je sens mon sucé frémir et comprends qu’il ne va pas tarder à éjaculer. Je retourne donc à l’extrremité turgescente car je ne voudrais pas en perdre une goutte. Il est le premier à décharger, suivi presque simultanément des six autres couilles qui se vident de leur sperme. Celui du porteiro est tiède à souhait et est d’une saveur exquise. Ce n’est qu’après de longues minutes de dégustation que je me résous à l’avaler. Je me pique d’être un grand connaisseur en matiere de jute et celle là est un de ces très grands crus que l’on a rarement l’occasion de siroter.
Toutes munitions épuisées, nos deux invités se rhabillent et nous quittent, non sans nous avoir fait comprendre qu’ils n’étaient pas le moins du monde pédés.
Franck me rassure : « mais nous non plus mon chéri, on n’est pas du tout pédés. Ce n’est pas par ce qu’on aime prendre des bites dans le cul qu’il faut en tirer des conclusions …»
Rasséréné, je m’assoupi en rêvassant aux queues que nous allons pouvoir sucer demain à la « Festa du Apê ».
Le proprio nous a fait parvenir une invitation pour cette orgie qui se déroule alternativement dans cinq saunas de Rio. Demain c’est au « Boy », à moins de 100 metres de l’appart. On est prévenus : tout le monde à poil et serviette prohibée.
Si vous êtes sages je vous raconterai…

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