L'Abandon D'Une Femme Amoureuse Pour Un Jeune Collègue Devant Son Mari (Fin)
L'abandon d'une femme amoureuse pour un jeune collègue devant son mari
Devant mes yeux le tableau est irréel : Chantal est affalée sur le canapé du salon, nue des épaules à la ceinture, sa jupe roulée sur ses hanches qui découvre ses jambes, son sexe et son ventre. Dans cette position ses seins restent fermes, pointés fièrement par lexcitation. Pas très gros certes mais bien dessinés. Elle regarde son amant devant elle, en train denlever son pantalon et son slip, pour finir par se mettre complètement nu. Il est sûr de lui, il va baiser ! A son tour, se soulevant, elle se débarrasse de sa jupe pour ne garder que ses bas qui tiennent seuls. Elle sallonge sur le dossier du fauteuil, les fesses au bord du fauteuil et je la vois qui tend les bras vers son amant pour lui demander de venir à elle.
Ce simple geste mest insupportable, ma bite encore enfermée me fait mal et dun seul coup, je sens que je jouis ; lentement, du sperme séchappe sans me toucher. Lexcitation est si forte que jai limpression que je ne vais pas marrêter. Ce ne sont pas des jets mais un écoulement continu accompagné dondes de chaleur le long de mes jambes. Je ne crois pas avoir déjà joui aussi fort.
Devant moi, lhomme sest agenouillé entre les cuisses de Chantal quil tient ouvertes. Sa bite décalottée, toute gluante de son jus et de la salive de Chantal, pointe à lentrée de la caverne sacrée de mon épouse. Il va la prendre. Mais il se ravise et glisse ses mains le long de lintérieur des cuisses, lentement remonte vers le sexe. Ses doigts se saisissent des lèvres toutes luisantes également, les écartes et semparent du petit bouton turgescent à leur sommet. Il le dégage des petites lèvres, tendrement, amoureusement. Chantal a un mignon petit clitoris bien individualisé. Il joue avec lui entre ses doigts avec délicatesse. Ma femme secoue sa tête de droite à gauche en poussant des petits gémissements de plaisir. Elle soulève son ventre à la rencontre de ces doigts qui la caressent.
Lhomme collé entre ses cuisses donne de la tête à droit et à gauche de plus en plus vite. Il la chauffe, la fait senflammer dattouchements. Pour bien la pendre il a passé ses mains sous les fesses nues et la maintien contre lui pour appuyer sa manuvre.
Soudain jentends ma femme lui dire :
- Vient, vient, vite prend moi, je suis à toi.
Chantal a dit cela dune voix tremblante, chaude, amoureuse. Cest elle qui attire lhomme en elle. Elle se saisit de son membre dressé, dur, brutal, violent et le guide vers son sexe ouvert. Devant lentrée, elle ôte sa main, libère le bâton de chair et son amant senfonce en elle dun seul coup. Dun seul coup il se plante au fond de son ventre. Chantal pousse un cri, elle se livre. Très vite lhomme ressort et commence des va et vient contrôlés, la limant posément, calmement, sûr de son fait et de son effet sur sa femelle quil possède, quil soumet. Chantal a son visage qui se crispe comme dans la douleur. Elle a les yeux grands ouverts maintenant et regarde son amant dans les yeux. Elle lui dit de cette façon quelle laime aussi, quil va la faire jouir comme jamais. Dans un souffle je lentends soudain qui lui dit :
- Je taime
souille-moi
remplis moi de ta semence
e-moi. Je te veux
lui est silencieux, tout à la prendre, à laimer.
Moi, jassiste, je jouis aussi. Ma bite est habitée de spasmes, mes jambes tremblent. Jai chaud, jai froid, je nen peux plus de jouir et de souffrir en même temps. Elle me fait mal. Je nai plus rien à éjaculer mais je jouis encore. Je jouis dêtre cocu. Je jouis de voir cette queue plus grosse que la mienne soutirer des cris de bonheur, de jouissance à ma femme. Je la voulais mienne pour toujours. En cet instant elle se donne à un autre. Je nexiste plus ni pour lun ni pour lautre.
A cet instant lhomme commence à crier, il senfonce de plus en plus profond, accélère son mouvement. Ils nen terminent pas de jouir. Pour aller encore plus loin en elle, il lui prend les chevilles et lève ses cuisses quil dépose sur ses propres épaules. Chantal est maintenant écartelée et plus rien nempêche cette queue de la féconder, de la rendre mère quand elle va déverser dans son ventre tout son sperme, tout son foutre toute sa purée ! Et dun coup lhomme et la femme se crispent, Chantal se mord les lèvres et dans de longs râles il se vide en elle. Je jouis encore une fois en même temps queux.
Au bout de quelques instants pendant lesquels les deux amants reprennent leur souffle, un lourd silence sinstalle dans notre salon.
Chantal me regarde et très vite détourne son regard.
Culpabilité ? Mépris ? Indifférence ?
Je ne sais pas, je nen sais plus rien. Jai mal au cur maintenant. Au cur qui aime, celui quon garde pour une seule femme.
Je crois que tout est fini, quelle va reprendre ses esprits et me revenir.
Son amant sest allongé à ses côtés, repus, exténué.
Chantal avec une infinie tendresse lui caresse les cheveux. De la tendresse maintenant. Le cauchemar continue.
Dun seul coup, elle se lève brutalement et sans un regard pour nous, elle sen va vers sa chambre, notre chambre. Très vite on entend le bruit dune douche.
Tous les deux restés au salon, on se regarde. Son amant semble comblé mais il ne sait pas ce qui va advenir après cette soirée.
Et comment Chantal va t-elle vivre demain ? Culpabilisée ? La réponse ne se fait pas attendre. Elle revient nous rejoindre tout souriante. Elle a passé un peignoir de bain, et comme si de rien elle nous lance :
- Je vais me coucher, bonne nuit !
Et nous on reste là comme deux imbéciles. Et cest comme cela qua commencé une période de ménage à trois (jai des images), qui sest terminée par la défaite de lamant parti faire sa vie à létranger. Moi, jai récupéré lamour de ma femme et je conserve aujourdhui encore le souvenir intact de cette soirée de folie.
Fin
Un mail et je vous montre.
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