Une Vieille Amie
J'ai croisé Anne dans la rue. Je ne l'avais pas vue depuis plus de vingt ans mais c'était toujours elle, ma meilleure amie que j'avais perdue de vue à la sortie du lycée et ce qui ne gâtait rien c'était qu'elle avançait précédée de son gros ventre parce qu'elle était enceinte jusqu'aux yeux.
Elle n'avait pas changé. M'aurait-elle reconnue si je ne l'avais pas abordée ? Pas sûr car j'ai eu l'impression qu'elle pensait à tout autre chose que moi.
- Hélène, m'a-t-elle fait ! Je n'en crois pas mes yeux ! Qu'est-ce que tu deviens ?
Vous imaginez tout ce qu'on peut se raconter après tant d'absence. Nous nous sommes attablés à la terrasse d'un café.
- Je n'en peux plus, m'a-t-elle dit ! Pourtant, il était temps que je m'y mette !
Il faisait chaud. Nous avons avalé notre diabolo menthe puis Anne m'a offert d'aller chez elle. Ce n'était pas très loin.
Elle était aussi étonnée que j'ai eu des s puis a ajouté qu'elle aimerait bien être aussi mince que moi après son accouchement.
Ils habitaient dans un pavillon au milieu d'un jardin mais ce dernier semblait à l'abandon.
- Chéri, je suis rentré, a hurlé Anne, une fois à l'intérieur.
La porte-fenêtre du salon était grande ouverte.
- Chéri, tu viens, a insisté Anne ! On a une visite !
Anne a retiré sa veste et j'ai vu qu'elle avait un tatouage en haut de chaque bras, une sorte de frise à la grecque mais différente sur chaque bras puis un homme en short et torse-nu, les pieds dans des espadrilles est entré dans le salon. Lui aussi avait des tatouages, plein les biceps et sur les épaules et aussi sur les cuisses.
- C'est Hélène, ma meilleure amie quand j'étais au lycée, m'a-t-elle présenté !
Le type m'a tendu la main et comme il n'avait pas d'alliance, j'ai pensé qu'ils n'étaient pas mariés.
- J'vais chercher à boire, a-t-il dit ! Installez-vous sur la terrasse !
L'homme a disparu du salon et Anne m'a dit qu'il était au chômage et qu'ils vivaient ensemble depuis un an.
- J'en ai d'autres, a ajouté Anne !
- Oh, oui, montre-les lui, a ajouté son ami ! Elle en a des superbes !
Anne a presque rougi et comme son ami insistait, elle a retiré sa robe. Elle n'avait rien en dessous et d'autres tatouages ornaient son corps comme cet oiseau qui s'envole sur le côté de son ventre et le tatouage tribal en bas de ses reins. Le plus étonnant étant ce lierre qui s'enroule autour de son sein gauche et qui devait être assez récent puisque les chairs étaient encore irritées.
- Ça ne vous donne pas envie, a encore ajouté son ami ?
J'ai répondu que je n'y avais jamais pensé et il m'a assuré que ça m'irait très bien.
N'étaient-ce ces décorations, Anne était magnifique et moi qui l'avais connue mince comme une planche, je la voyais avec des seins magnifiques qui rebondissaient sur le haut de son ventre et quand elle a repris sa robe pour la renfiler, son ami lui a dit qu'elle était très bien sans puis m'a dit à moi que ce n'était pas le corps d'une femme nue qui m'effrayait.
Je les ai donc suivis sur la terrasse. De même que le jardin sur le devant était abandonné, le jardin situé derrière la maison était une vraie friche et seule la terrasse permettait de s'installer. Anne s'est assise sur une vieille chaise de bistrot en métal et je me suis assis sur une autre. Quant à son ami, il est resté debout faute de chaise.
- Tu pouvais endurer ça, m'a dit Anne en me prenant à témoin ? Si j'avais su que ce serait aussi encombrant, je m'en serais passée !
Je n'ai pas répondu mais son ami avait son opinion :
- Ton ventre a encore le temps d'enfler en un mois, d'autant plus que c'est un garçon !
- Oh, toi, lui a répondu Anne, tout ce qui t'intéresse c'est de me baiser ! Tu es sûr qu'il est de toi ?
Son ami a fait la gueule en entendant ça mais Anne a rattrapé le coup en lui disant qu'il n'y avait que lui qui la baisait puis il a ajouté à mon intention qu'Anne était plus chaude qu'une chienne en chaleur.
Je ne savais pas où me mettre et j'ai pensé que si c'était tous les jours comme ça entre eux, ils ne devaient pas s'ennuyer mais c'était ironique. J'ai plutôt pensé qu'il ne lui avait pas tapé dessus parce que j'étais présente mais Anne s'était levée de sa chaise et s'était approchée de son ami si près qu'il l'a enlacée autant qu'il a pu et Anne lui a dit que si elle était dans cet état c'était parce qu'il l'avait engrossée.
- S'il y a quelque chose que je ne peux pas lui reprocher, a ajouté Anne, c'est d'avoir une belle queue ! Tu ne me croirais pas si je te le disais ! Tu veux la voir ?
Que pouvais-je répondre à ça ? D'autant plus que Anne avait demandé à son ami de baisser son short parce que je voulais voir et son ami a baissé son short et j'ai vu la bite qui pendait entre les deux cuisses et dont le gland lui arrivait presque aux genoux. Un vrai tuyau d'arrosage. Un truc que je n'avais jamais vu ni même souhaité dans mes rêves les plus fous. Anne l'avait attrapé et le branlottait et riait presque en me disant que c'était en état que c'était le plus beau. Elle branlottait et le pénis de son ami raccourcissait et en contrepartie s'élargissait et se redressait jusqu'à se dresser droit sur son ventre. Anne s'amusa à le décalotter et à mettre en valeur le gland.
Je m'attendais à ce qu'elle me demande de l'essayer mais il n'en fut rien. Anne laissa son ami en l'état et se rassit sur sa chaise à côté de moi. Son copain qui n'avait rapporté que les verres rentra dans la maison pour aller chercher une boisson et en revint avec une bouteille de blanc. Tout ce que je déteste mais il a quand même rempli mon verre et a disparu. Anne m'a pris la main.
- On dirait pas que je suis secrétaire de direction en congé de maternité, a ajouté Anne ! Quand mon directeur a vu que je me faisais tatouer, il a été fou, mais je n'ai trouvé que ça pour qu'il arrête de me courir après et qu'il se contente de sa femme ! D'autant plus quand il a su que j'étais enceinte !
- Mais où as-tu trouver ce garçon, lui ai-je demandé ?
- Dans un bar, m'a répondu Anne ! Il m'a fait pitié tout d'abord puis j'ai vu en lui un moyen.
- Epuisée, lui ai-je demandé ?
- Epuisée de faire l'amour, encore que c'était lui qui a tout fait ! T'en connais des types qui te liment pendant une demi-heure ? J'ai eu mal au con pendant toute une semaine !
- Oh, moi, tu sais, lui ai-je répondu... il y a d'autres moyens...
- Moi aussi, m'a répondu Anne ! En un week-end, j'ai appris tout ce qu'il fallait pour satisfaire un homme ! Il m'a même enculée ! Et toi, ton mari, il te le fait ?
Je lui ai répondu que je ne m'attendais pas à aimer ça autant et que de penser que je me faisais enculer me donnait envie de le faire.
- Je le suce et j'avale quand il jouit dans ma bouche, a ajouté Anne !
- Je me fais prendre entre les seins et il m'éjacule sur le cou et sur le visage, ai-je ajouté !
- Je me masturbe devant lui pendant qu'il récupère, a continué Anne !
- Je... Tu as déjà fait un fisting, lui ai-je demandé ?
- Un fisting ? Non, m'a répondu Anne ! Tu veux dire le poignet dans la chatte ?
- Oui, c'est ça !
Elle n'a même pas pensé à me demander si je l'avais déjà fait. Elle a continué en disant qu'elle vivait dans une location et que son ami est propriétaire du pavillon.
- Tu en es sûre, lui ai-je demandé ?
Anne m'a répondu qu'elle avait vérifié. Je lui ai dit que ça serait bien de passer la débroussailleuse...
- Oui, je sais, m'a-t-elle fait ! Je lui ai déjà demandé plusieurs fois...
- Tu sais, c'est pas vrai, a repris Anne, je l'aime bien mon gros ventre ! Et aussi mes gros seins ! Je voudrais bien les garder après l'accouchement... Tu as allaité ?
Je l'ai rassurée.
- C'est comment, m'a demandé Anne ?
Elle paraissait soudain effrayée.
- Est-ce que ça a déjà commencé, lui ai-je demandé ?
Anne m'a regardé avec des yeux ronds et je lui ai demandé si elle avait déjà taché ses vêtements à la hauteur de ses mamelons.
- Eh bien, tu n'as qu'à essayer ! Tu presse tes seins et comme ils sont assez longs, tu les tète !
J'avais l'impression d'être une vieille combattante en lui disant ça. Je l'avais fait et je le faisais encore parfois pour me rassurer et suprême bonheur, il m'arrivait , vingt ans après mes grossesses, d'avoir encore du lait.
- Tu es folle, m'a répondu Anne, mais elle a quand même pressé son sein gauche et une perle blanche est apparue au bout de son mamelon.
Elle m'a sourit et je lui ai dit qu'elle le ferait et que ce serait très excitant. J'ai même ajouté que j'avais aussi allaité mon mari.
Anne me regardait bizarrement tout à coup puis j'ai compris qu'elle voulait me confier quelque chose qui lui tenait à cur. Elle jeté un regard dans la maison puis elle m'a dit que son ami était parti regarder un match de foot.
- Tu ne le diras à personne, a commencé Anne, mais à la mort de mes parents j'ai été recueillie par une femme, j'étais majeure quand même mais incapable de m'occuper de moi, et j'ai couché avec elle ! Le pire c'est qu'elle ne voulait plus que je la quitte mais en tout cas, elle m'a e à continuer mes études...
Je regardais mon amie et elle me regardait puis elle a posé la main sur mon bras.
- Je ne sais pas si elle m'a convaincue ou si je le suis, mais j'aime les femmes, a continué Anne ! J'aime les seins, j'aime les culs, j'aime les chattes et j'aime sa bite aussi !
J'avais compris. La bite c'était celle de son ami, celle que j'avais vue tout à l'heure, magnifique et je me suis imaginée qu'elle descendait tout droit dans ma bouche et s'enfonçait dans ma gorge. J'étais comme une avaleuse de serpents.
- Tu m'as entendue, m'a demandé Anne en me secouant le bras ?
Je lui ai répondu que je l'avais entendue mais je voyais bien qu'elle avait encore quelque chose à me dire.
- Est-ce que tu as jamais eu envie de moi, a-t-elle insisté ?
- Moi, envie de toi, lui ai-je fait ?
- Oui, moi, j'étais amoureuse de toi ! Depuis le début ! Depuis qu'on se connaît !
J'ai rougi. Jamais encore une femme ne m'avait fait une telle proposition. Anne avait des larmes dans les yeux.
- Touche-moi, ma-t-elle imploré en tirant sur mon bras !
Ma main s'est retrouvée sur son ventre mais ça n'avait rien de compromettant. J'ai touché son ventre du bout des doigts, toute sa rondeur et je me suis souvenue que je me faisais ça quand j'étais enceinte moi aussi, a tenir mon ventre.
- Touche-moi les seins, m'a encore supplié Anne !
Ça devenait compromettant. J'ai regardé dans la maison et Anne m'a dit qu'on ne risquait rien et que son ami ne redescendrait pas avant un moment et du coup, j'ai posé les doigts sur ses seins et là encore je me suis souvenue de moi quand je me regardais dans le miroir de la chambre ou que je me penchais sur le lavabos pour faire pendre ma poitrine et que je me disais que j'avais toujours désiré avoir des seins aussi gros. Que je les malaxais et que j'en faisais sortir du lait qui s'écrasait en jets fins sur le miroir.
- Je voudrais qu'on s'embrasse, m'a dit ensuite Anne et comme je ne m'y attendais pas, elle a collé ses lèvres sur les miennes.
Elle a essayé d'y mettre la langue mais j'ai fait barrage avec mes dents. Mais quand même, c'était très agréable.
- Touche-moi, a-t-elle encore ajouté et comme elle a écarté les cuisses, j'ai compris tout de suite ce qu'elle voulait.
Anne m'a saisi la main et l'a guidée entre ses cuisses et j'ai touché son minou du bout des doigts.
- Tu vois bien que je mouille à cause de toi, a ajouté Anne pendant qu'elle guidait mes doigts sur sa fente. Il y a que toi que je laisserai me fister, a-t-elle ajouté ! On pourrait faire l'amour toutes les deux !
J'avais envie de partir ou plutôt mon cerveau me disait de partir et de trouver une raison de partir mais je n'y arrivais pas. Je laissais Anne guider mes doigts. Ses chairs étaient toutes chaudes et humides.
- Fais-moi jouir, m'a-t-elle demandé ?
Elle soufflait comme si elle allait accoucher à l'instant et me tenait la main fermement.
- Pourquoi n'as-tu pas compris que je t'aimais, a insisté Anne ? On serait heureuses toutes les deux !
J'ai argué que j'avais un mari mais je n'avais pas non plus envie de faire de la peine à mon amie. Je m'abandonnais et je voyais bien qu'elle allait avoir un orgasme et je l'ai laissée aller jusqu'au bout et juste avant l'explosion, elle m'a demandé de l'embrasser et je me suis laissée faire. Sa langue a trouvé la mienne puis ses dents m'ont mordu la langue.
- Je te demande pardon, m'a dit Anne !
Pendant qu'elle reprenait son souffle, je lui ai demandé pourquoi elle me voulait puisqu'elle semblait si heureuse avec son copain. Anne ne m'a pas répondu puis elle a insisté pour que je revienne le lendemain puisque son ami devait aller aux assedics.
- On aura deux heures à nous, a continué Anne !
(En fait, notre rencontre s'est arrêtée là puisque je n'ai jamais encore revue Anne, mais j'ai imaginé une autre fin, où je reviendrai la voir et où nous ferions l'amour ensemble toutes les deux.)
Elle m'accompagne à sa porte et me dit à demain et elle m'embrasse encore et me roule un patin. Le lendemain, je demande mon après-midi à mon patron qui ne peut rien me refuser et qui me l'accorde et à l'heure dite, je frappe à la porte de mon amie Anne qui m'accueille complètement nue derrière sa porte et m'emmène directement dans sa chambre.
- Dépêche-toi, me dit-elle ! On n'a pas beaucoup de temps et j'ai plein de choses à faire avec toi !
Elle m'arrache presque ma robe. Je suis toute nue en dessous et rasée de frais et du coup Anne me pousse sur le lit et m'enjambe et m'embrasse sur la bouche puis sur les seins puis sur le ventre puis se cale entre mes cuisses et me dévore la chatte. Là voilà qui me dit que j'ai une belle vulve et qu'elle m'envie puis on se met en soixante-neuf et elle me suce et me doigte. Elle va si vite que j'ai l'impression qu'elle veut que je jouisse toute de suite et je suis trop occupé à mordiller ses petites lèvres et son clitoris puis la voilà qui me fait mettre sur les genoux et m'enfonce la main dans le vagin sans m'en demander la permission et qui une fois dedans écarte les doigts et me fait avoir un orgasme. Anne laisse sa main et se redresse pour m'embrasser la poitrine et avaler mon mamelon gauche qu'elle suce avec force.
- A toi, me dit Anne tout en me repoussant aussi rapidement qu'elle m'avait capturée !
Elle me prend le poignet et le guide entre ses cuisses, sur sa fente et m'enfonce la main dans le vagin jusqu'à ce qu'elle y disparaisse puis me dit que c'est mille fois mieux qu'une bite.
Attends, me dit-elle en s'échappant ! J'ai une autre idée !
Anne disparaît puis revient avec une corde et m'attache les mains dans le dos et aux pieds et je suis comme un arc qu'on tend, incapable de résister à ce qu'elle me fait.
- Petite garce, me fait-elle en me plaquant une gifle sur les seins, pourquoi m'as-tu abandonnée !
Elle me frappe encore la poitrine puis me fait rouler de façon à ce que je sois sur les genoux et frappe sur ma coupe avec une badine. A chaque cri que je pousse, Anne répond par un autre coup mais ça ne me fait pas mal et tout ce que je ressens c'est que je vais avoir un orgasme. Les coups pleuvent et mon orgasme me traverse le corps avant d'exploser dans mon ventre.
Mon amie est tout sourire et me donne encore un coup sur les seins.
- Tu vois, me dit-elle, je vais faire graver mon prénom sur ton sein pour que tu ne m'oublies plus !
Le lendemain, quand je me réveille chez moi, je vais me regarder dans le miroir et sur mon sein gauche, bien au-dessus, le prénom de Anne est gravé.
FIN
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