La Secrétaire 5

Ce matin je suis au bureau tôt pour finaliser un projet important pour ma société. Le courrier n’étant pas encore arrivé sur mon bureau, j’appelle Catherine.

-Chiennasse, où est le courrier ? il y à un problème ?
-Non monsieur, il est prêt, mais je ne voulais pas vous déranger durant la clôture de dossier.
-Oui c’est bien, alors amène le courrier maintenant.

Catherine arrive immédiatement dans le bureau et me présente le courrier du jour.

- Approche-toi, à côtés de moi, là. lui dis-je.

Elle s’approche et se positionne à mes côtés. Je lève la jupe pour vérifier qu’elle respecte bien ses engagements du début. Il y a tellement longtemps que nous ne lui avons pas vérifié cet état d’être.

-Mais ! c’est quoi ça ?

Je découvre que Catherine porte une petite culotte.

-Heu !! je suis indisposée cette semaine.
-Comment indisposé ?
-Oui monsieur, je ne peux pas.
-Ah ! tu as tes règles, mais ce n’est pas une raison. Nous ne t’avons pas, même dans ces moments autorisé à porter une culotte. Je te veux dans mon bureau à 12h30 sans culotte, tu poses la protection qui s’impose.
-Mais monsieur…..
-Allez 12h30.

Elle repart embarrassée. 12H30, Catherine frappe à la porte.

-Entrée, ah ! tu es ponctuelle, ferme la porte et viens ici. Lève ta jupe.

Cette chienne s’exécute, ce qui me permet de découvrir enfin son sexe poilu sans culotte.

-Bon bien voilà, et comment as-tu fait ?
-J’ai mis une protection.
-C'est-à-dire ?
-J’ai mis unnnn…
-Quoi un ?
-Un tampax.
-Ah enfin. Cela veut dire qu’à chaque fois que tu as tes règles tu transgresses notre règle, et nous ne nous en sommes même rendu compte ?
-Bah non, enfin oui.
-Bon là par contre tu te moques de nous, cela mérite immédiatement une correction.

Je l’att par le bras, la dirige vers ma table de réunion, lui fait poser les mains sur la table et cambrer le dos, puis lui lève la jupe.

Une première claque fuse sur ses fesses, puis une deuxième….

-Aie ! non s’il vous plait, non.
Je suis furieux qu’elle se soit moquée de nous. Mes mains frappes violement et sans retenue ce cul qui rougit rapidement, la trace de mes doigts apparaissent sur ces fesses blanches.

-Tient, cela t’apprendra à te foutre de nous.
-Aiiieee

A la vingtième claque, ma main prend un élan et frappe pour une dernière fois ce cul bien rouge.

-Allez retourne travailler maintenant et ne refait plus jamais cela.

Elle repart, la tête baissée et le fessier rougit.
Une fois seul dans le bureau, j’entretien Nathalie de cette découverte. En faisant cela, je savais qu’elle allait trouver une idée pour apporter sa petite touche pour soit corriger ou humilier cette chienne de Catherine.



Ce même jour, il est 20h30. Ma Nath à trouvée une petite idée que vous allez découvrir et qui va vous être relaté par elle, je n’étais pas présent :

-Bonsoir chiennasse.
-Bonsoir madame.
-J’ai besoin de tes services ce soir.
-Mais madame, ce soir j’ai des amis à la maison.
-Et bien ce n’est pas grave, tu peux quand même me recevoir.
-Euh ! enfin oui si vous voulez
-OUI je le veux et je suis là dans 20 minutes.
-Bien madame.

Vingt minutes plus tard, je suis devant l’interphone de Catherine, je sonne.

-Oui ?
-C’est Nathalie.
-Je vous ouvre, deuxième étage, deuxième gauche.

Je sonne. Catherine m’ouvre. Elle est habillée décontracté et perçois nettement qu’elle ne porte pas de soutient gorge. J’entre et découvre son appartement et les amis présents. Courtoisement je me présente et m’excuse du dérangement dû à ma présence, mais que le dossier je devais m’entretenir avec Catherine était très important.

-Il est possible de s’isoler pour parler du dossier ?
-Oui, enfin c’est pas grand chez moi et …
-Tu as une chambre ?
-Bah oui
-Et bien ce sera parfait pour voir ce dossier.


Catherine reste sans voix de la façon dont j’ai imposée mes choix. Ces amis sont très compréhensifs et nous demandent de prendre le temps nécessaire pour ces papiers.

Nous nous retrouvons dans la chambre de Catherine. Je ferme la porte derrière moi, saisie l’oreille de cette dernière.
-Alors petite salope, tu nous as trompés depuis tous ce temps. Ce n’est pas bien de faire ça, surtout à nous, nous qui t’aimons, te choyons.

Elle grimace, mais ne peu rien dire, ne peu pas crier, il y a du monde dans la pièce d’à côté. Je la plaque contre le mur, la regarde droit dans les yeux. Mes mains prennent délicatement son visage, mes lèvres s’approchent des siennes et je force l’entrée de sa bouche. Nos langues se trouvent et s’entremêle. Nous échangeons un long baiser, un baiser comme j’aime partager avec une, avec les femmes. Oui les femmes s’est mon péché mignon. Durant cet échange, mes mains se sont dirigées vers ses seins, libres sous son vêtement. Je malaxe, masse, caresse ses seins, titille ses mamelons, j’adore, mais je me reprends. Je ne suis pas avec une de mes femmes avec qui je fais l’amour, je suis avec ma chienne.
Mes mains passent sous son vêtement que je retire. Ses seins pointent le plaisir. Je roule fermement le bout des seins entre mes doigts, elle grimace, je tire sur ses mamelles, la grimace s’intensifie.

-Hum, regarde ses mamelles de pétasse, ils aiment être étirés.
-Oh madame, ca fait maaallll
-Je ne suis pas là pour te donner que du plaisir.

Je lâche les seins de Catherine. Je lui retire le vêtement du bas, elle ne porte pas de culotte, un petit lien dépasse de sa chatte.

-Bien, tu as respecté les ordres du Maitre. Tu as un tampax dans ton trou à bite.
-Oui madame, la correction m’a fait comprendre.

Je lève ma jupe.

-Aller, lèche moi la chatte, je l’ai rasée juste avant de venir te voir, pour mieux sentir ta langue.

Catherine se met à genoux et sa langue commence à me lécher le pubis imberbe.
Sa langue vient titiller mes lèvres, puis mon clitoris. J’écarte mes jambes. J’écarte mes lèvres et lui offre mon intimité à lécher, à mordiller, à laper.

-Humm ! vas-y petite chienne. Baises moi avec ta langue. Dépêche-toi si tu ne veux pas que tes amis se doutent de quelques choses.

Elle accélère sa langue sur et dans mon intimité, mais je ne veux pas jouir comme cela. Je l’arrête, la couche sur son lit. Je me place sur elle afin d’avoir également accès à son intimité, enfin plus précisément à sa rondelle.
Je sors de mon sac à mains un plug, le mouille de ma bave et l’introduit délicatement dans son cul. Quelques vas et vient et j’accélère mes allers retours, je veux la faire jouir rapidement, d’autant que plus j’accélère, plus elle me lape le clitoris avec vigueur. Je sens mon plaisir monter, monter. Pour Catherine c’est pareil, sa respiration est rapide et forte.

-Aller garce tu vas jouir du cul, allez mais…..

Je pars sous les mouvements de sa langue et me pinces les lèvres pour ne pas exalher mon plaisir. Je continue à lui tirailler le fondement avec le plug, vite encore plus vite et je finis par entendre un grondement sourd. Cette chienne a jouie de la rondelle.

-Bon maintenant retournons voir tes amis, mais avant, ce plug, tu le gardes dans ton cul jusqu’à demain matin. C’est ton Maitre qui le retirera.
-Oui madame.

En regardant ma montre, je m’aperçois que nous nous sommes absentées plus de 50 minutes.

Nous retrouvons les amis de Catherine. Certains disent : Ca été long, vous avez pris votre temps, nous pensions que vous vous étiez endormis……..

-Catherine, vous allez bien m’offrir un verre.
-Euh oui bien sur, madame.

Je prends place parmi ses amis tout en buvant une petite coupe de champagne. Durant la conversation et pour répondre à certaines questions, je place des phrases ambigue pour Catherine.
-C’est une parfaite secrétaire bien dévouée aux ordres.

-Elle est à croquer avec sa nouvelle coupe de mec.
-Sa garde robes est superbe, toujours en jupe bien courte.
-Toujours à l’heure pour satisfaire le patron. Prête à se donner corps et âme…..etc.

Joignant les gestes à la parole, parfois ma main se pose sur son épaule, des fois sur le genou. Je dois partir, il est presque 23h00. Catherine me raccompagne à la porte. Avant de partir, je lui glisse à l’oreille un petit mot.
-Merci petite chienne, j’espère que tes amis ont bien compris que tu étais dévouée. Ah n’oublis pas, tu gardes le plug jusqu’au bureau demain matin, c’est ton maitre qui le retirera.
Je quitte les lieux et vais rejoindre mon cher et tendre avec qui j’ai passé une nuit très chaude et agréable.

J’espère que ce petit moment vous a été agréable.

A SUIVRE

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