Le Journal Intime De Ma Femme (1)
Le journal intime de ma femme. (je suis cocu)
Un jour jai découvert (accidentellement )le journal intime (très très intime de ma femme )
Sa lecture au lieu de me mettre en colère, mexcita énormément.
Quand je dis à mon épouse que javais lu son journal, elle prit peur et se mit à trembler, mais je la rassurais très vite et Je lui avouai que cela mexcitait terriblement de me savoir cocu, que cétait un de mes fantasmes, que je ne lui en voulais pas, bien au contraire, quelle pouvait continuer.
(Et oui, je suis un cocu content)
Les premiers faits se sont déroulés il y a maintenant bien longtemps, En mille neuf cent quatre-vingt-un. Nous venions de nous marier un an auparavant. Ma femme Marine, un mètre soixante cinq, très jolie frimousse, cheveux blonds, teint de lait, yeux bleus, poitrine quatre-vingt-dix B, venait davoir vingt ans. Moi, jen avais vingt-cinq, blond au yeux bleus, le teint clair plutôt genre minet.
Je me suis toujours demandé pourquoi elle mavait épousé car son regard est toujours attiré par des hommes très bruns athlétiques au teint mat, ou de type magrebin.
Je suis plutôt doux et attentionné dans nos ébats.
Quand je lai connue, elle était vierge. Moi aussi, dailleurs. À cette époque, le sida ne sévissait pas encore, du moins chez nous, et nous pouvions nous permettre davoir des rapports non protégés. Ma femme travaillait dans une usine de confection, et moi je travaillais en poste dans une usine.
Pendant sa pause déjeuner, Marine, avec trois de ses copines, environ du même âge quelle, allait prendre le café dans un bar nommé lHacienda qui faisait aussi dancing. Là, elles avaient fait connaissance avec deux ou trois jeunes et discutaient souvent ensemble.
Lun deux, Amir, un beau jeune homme de dix-neuf ans dorigine marocaine, très séduisant, cheveux noirs , teint mat, yeux bruns, grand, musclé, larges épaules, leur plaisait particulièrement.
Lorsquils se faisaient la bise, il sarrangeait toujours pour lembrasser près des lèvres. Je pense que séduire une femme mariée et faire un cocu lexcitait.
Marine, comme ses copines, nétait pas insensible à son charme mais, répondait-elle aux remarques de ses copines, «je suis mariée et jaime mon mari ».
Un jour, alors quils discutaient de leurs chanteurs préférés, ma femme lui dit quelle aimait le groupe téléphone. Amir lui dit quil avait toute la collection de leur disques et quil pouvait lui en prêter. Ma femme accepta et ils se donnèrent rendez-vous à dix-sept heures devant chez lui. À dix-sept heures, mon épouse rejoignit Amir devant chez lui. Il vivait chez ses parents. Là, il la pria dentrer. Ma femme, dans un premier temps, refusa. Il insista :
__ Viens, jaimerais te faire entendre un disque que jaime beaucoup.
Marine finit par accepter mais précisa :
__Pas plus de 10 minutes, mon mari mattend.
Inconsciemment, elle savait quen qualité de femme mariée, Amir voulait se la faire. Dans lentrée, elle refusa plusieurs fois dentrer dans sa chambre où étaient ses disques puis finit par accepter. Amir la fit asseoir sur le lit, mit le disque et vint sasseoir près delle. Tout en discutant, il mit innocemment le bras autour de ses épaules. Au bout dun moment, il lembrassa sur la joue, puis dans le cou. Marine qui était très attirée par Amir sentit ses seins devenir durs, et lhumidité envahir son entrejambes. Dans un éclair de lucidité, elle dit quelle devait partir car je lattendais. Amir lui dit quelle lui plaisait beaucoup et lui demanda si elle était daccord pour le revoir le lendemain.
Mon épouse était tiraillée entre le désir et le fait quelle soit mariée.
Cette nuit la, elle ne dormit presque pas, elle sétait même branlée en pensant à Amir.
Le lendemain, à dix-sept heures, elle se rendit chez lui. Dans le vestiaire, elle sétait habillée très sexy, soutien gorge à ballonnets, chemisier moulant entrouvert, bas et porte jarretelles et la jupe noire fendue, celle quelle ne mettait habituellement que chez nous lors de nos soirées intimes. Puis avait enfilé par dessus son imper pour dissimuler sa tenue. Ils entrèrent directement dans la chambre. Amir avait fermé les volets, allumé une petite lampe rouge qui créait une ambiance très intime. Ils sassirent côte-à-côte sur le lit. La fente de la jupe découvrit sa cuisse gainée de Nylon laissant apparaître une jarretelle rouge. Amir prit ses lèvres, et posa sa main sur le haut de cette cuisse offerte, leurs langues se nouèrent, pendant que le jeune homme avec lautre main lui caressait le dos. À ce stade, Marine était complètement séduite, elle soffrait, sans retenue à ce beau brun quelle désirait ardemment.
Puis la main de Amir glissa sur son corsage, lui prit un sein. Les boutons du corsage ne tardèrent pas à sauter et ses deux seins blancs dans un soutien-gorge à ballonnets noir et rouge apparurent. Au bout dun moment, Amir, tout en lembrassant, lui ôta son corsage et dégrafa son soutien-gorge. Les seins étaient durs et les bouts pointaient au centre de la large aréole brune. Marine haletait, elle était brûlante Puis Amir la coucha sur le lit et entreprit de lui retirer sa jupe. Marine attendait, les yeux fermés, avec, malgré tout un reste de pudeur (simulée ?), Et quelques secondes plus tard elle était entièrement nue, excepté ses bas et ses portes jarretelles, quelle avait mis pour loccasion. Dans une discussion antérieure il avait dit quil aimait les bas.
Amir couvrit son corps de baisers, lui malaxa les seins, suça les bouts érigés, ce qui fit gémir Marine, puis au bout dun moment il lui dit :
__ Déshabille-moi.
Ils se levèrent et ma femme, lui ôta lentement sa chemise, découvrant sa poitrine velue, puis son pantalon. Une énorme bosse distendait le slip et le gland de son sexe en érection dépassait de celui-ci. Marine sarrêta, regardant Amir dans les yeux, la main posée sur la grosseur déformant le sous-vêtement.
Puis lentement, le regardant toujours dans les yeux elle fit glisser le slip qui tombât sur les chevilles de Amir.
Elle venait de découvrir une longue et grosse bite très sombre, (émergeant dune foret de poils noirs) surmontée dun énorme gland circoncis. Lengin, en pleine érection, presque à la verticale, était de dimension impressionnante (aux dires de Marine). __ __Suce, ordonna Amir.
Elle saisit la bite tendue, sa petite main en faisait difficilement le tour, elle était dure comme du fer. Elle commença à le branler, puis posa ses lèvres sur le gland ou pointait une goutte de liquide préseminal, et commença une fellation en sappliquant. (Marine navait pas beaucoup dexpérience dans ce domaine.)
Amir la saisit par les cheveux la forçant à aller plus profond dans sa bouche.
__ Oui, comme ça, tu suces bien.
Au bout dun moment, Amir la poussât sur le lit.
Le jeune homme caressait le corps nu et Marine cherchait constamment les lèvres de son jeune amant, avide de sa langue. Au bout dun moment, caressant sa chatte, Amir lui introduisit un doigt quil ressortit trempé. Comme ma dit Marine : « il a compris que jétais à point, que je nen pouvais plus, que javais envie et que je voulais me faire tirer ». Amir demanda :
__Tu prends la pilule ?
__Non, répondit Marine, Jai toujours été fidèle à mon mari, nous faisons attention, il se retire, si un accident arrivait ce ne serait pas grave, nous sommes mariés.
__Jessaierai de faire attention, dit Amir, mais je ne te garantis rien il y a toujours un risque.
__ Tant pis. Viens, jai trop envie, je veux que tu me prennes, que tu me baises.
Dune main, Amir fit pression sur lintérieur des cuisses, et ma jeune épouse écarta largement ses jambes, les genoux légèrement fléchis.
Tu veux vraiment faire cocu ton mari ? demanda Amir, dominateur triomphant et sûr de lui en vrai mâle viril comme le sont la plupart des arabes
__ Oui, répondit Marine dans un souffle à peine audible, je veux que tu me prennes.
Amir promena sa bite le long de la fente rose de la chatte de Marine, agaçant le clito. Puis il la présenta à lentrée de son con, le gros gland écarta la chatte et senfonça lentement, dilatant létroit vagin lubrifié, jusquà lutérus. Un long gémissement de mon épouse accompagna la pénétration de son intimité que moi seul avait connue. Amir se mit à limer lentement sur toute la longueur de son engin, se retirant presque entièrement, pour replonger dans lintimité du ventre de Marine. On nentendait dans la pièce que le clapotement de laccouplement dû à la chatte dégoulinante de liqueur, et les gémissements étouffés de Marine qui ondulait du bassin pour accompagner le rythme que lui imposait son amant pour mieux épouser la bite qui la travaillait.
Il ne fallut que quelques courtes minutes pour que les gémissements de ma femme deviennent rauques, que son visage sassombrisse et quelle explose dans un orgasme dévastateur, les contractions de son vagin électrifiant tout son corps.
_ Tu aimes être prise par un vrai mâle hein !
__Oh ! Oui cest bon tu me baise bien, tu vas profond, jai joui très fort.
Puis Amir la fit mettre en levrette, cuisses écartées, la position préférée de ma femme et la prenant par les hanches se remit à tringler Marine qui cambrait les reins pour soffrir complètement à la pine qui la dilatait, la remplissant jusquau plus profond de son intimité.
Ils baisèrent ainsi longtemps, Amir la limant tantôt lentement et tantôt plus voilement, lui tordant le bout des seins, et lui claquant voilement les fesses, Marine gémissant :
__ Oh ! ouiii, encore, frappe encore salaud, oooh ouiii.
__ Tu aimes ça, hein !
__ Oh ouiii
Amir, cest
cest
boooonnn, ça
ça
mexciiiite !
__ Mais tes une vraie salope.
__ Oui je suis ta salope, cest toi qui mas fait salope.
__ Je peux te faire devenir encore plus salope si tu veux.
Puis Amir la fit recoucher sur le dos, lui glissa un coussin sous le cul, lui replia les jambes, passant ses bras sous celles-ci se renfonça en elle dun seul coup, et recommença à la tringler, cette fois beaucoup plus violement.
Il la baisa longtemps, ralentissant quand il sentait sa semence monter, puis recommençant quand la tension retombait. Au bout de longues minutes de va-et-vient, il accéléra le rythme, pour se déchaîner, la baisant sauvagement en la traitant de salope et de pute blonde. Ce traitement projeta mon épouse dans un dernier orgasme qui fit trembler tout son être, se mordant les lèvres pour ne pas crier. Amir poussa un râle et après un dernier assaut se retira au tout dernier moment, envoyant un puissant premier jet de sperme dans le vagin et projetant le reste de labondante semence sur le corps épuisé et comblé de Marine, entièrement conquise et soumise à son amant.
Avant que Marine ne parte il la saisit contre lui, lui roula un long patin, et lui dit :
__ Avoue que tu nas jamais été baisée comme ça.
__ Oui cest vrai jai beaucoup joui.
__ Tu aimes ma bite, elle est plus grosse que celle de ton mari, avoue.
__ Oh ! Oui elle est bien meilleure.
__ On remet ça quand ma petite salope ?
__ Samedi matin, viens chez moi, mon mari commence le travail à 4 heures, on sera tranquilles jusqu'à midi.
__ Ok, ma poule.
Et ils sembrasserent longuement avant de se séparer.
Marine lui donnait rendez-vous chez nous le samedi matin, et ils baisaient toute la matinée dans le lit conjugal.
Un samedi matin, Amir sest présenté chez nous avec un de ses potes, Malik, soit disant pour boire le café.
Celui-ci était un maghrébin très typé qui devait avoir presque 40 ans.
Marine ne portait quun déshabillé léger, presque transparent.
Gênée et rouge de confusion, ma femme voulut aller se changer, mais Amir la retint et lui dit :
__ Non reste comme tu es, Je veux que Malik te voie ainsi, il sait que tu es mariée et que tu es ma maîtresse. Je veux quil voie comme tu es bien roulée.
Marine voulut protester, mais Amir la fit taire en lui roulant un baiser coquin.
Ma femme alla préparer le café.
Quand elle revint au salon, Amir et Malik étaient assis sur le canapé.
Elle les servit, puis Amir la prenant par la main, la fit asseoir entre eux. Amir a sa gauche et Malik a sa droite.
Mon épouse devint cramoisie mais sexécuta.
Ils commencèrent à boire le café, quand Amir commença à embrasser ma femme, en lui caressant la cuisse, Gauche écartant peu a peu le léger vêtement, découvrant sa jambe presque jusquau pubis.
Marine était très gênée, pourtant la situation lexistait mais elle évitait de regarder MaliK.
Soudain elle sursautât. Elle avait senti la main de Malik se poser sur son genoux droit.
Elle allait se lever, mais Amir la retint en lembrassant longuement, faisant signe à Malik de continuer.
Sous la chaleur du baiser, Marine avait noué ses deux bras autour du cou dAmir, et continuait denrouler sa langue autour de celle dAmir, exigée par ma main de Malik qui, après avoir dégagé le fin tissu lui caressait sa cuisse nue jusqua effleurer son mont de venus.
Instinctivement elle ouvrit les jambes, sabandonnant a la caresse de Malik.
Ses seins étaient maintenant durs, les tétins érigés semblaient crever le tissu, et elle sentait lhumidité gluante de sa chatte.
Amir, abandonnant ses lèvres dit à Malik :
__ Roule-lui un patin, tu verras comme elle sait bien faire. ,puis sadressant à Marine Qui se raidissait :
__ Juste un pour me faire plaisir. Ma femme se tourna ver Malik, et soudain se figeât.
Malik avait sorti une queue longue et large de pantalon et se branlait.
Il attira Marine à lui et commençât à lembrasser.
Marine sabandonnât à la caresse buccale, Malik en homme dexpérience embrassait bien, même mieux quAmir.
Celui-ci pendant ce temps avait dénoué les cordons du déshabillé et lavait ouvert complètement et caressait le sein de mon épouse.
Malik saisir tout en lembrassant la petite main de Marine te la posa sur son engin
Distendu par lérection.
Ma femme enroula ses doigts autour de la verge et commença à le masturber.
Au bout de quelques minutes Amir souleva Marine, fit tomber le peignoir et la portât sur le lit
Elle restât là, immobile, offerte pendant que les deux mâles se déshabillaient.
Elle admirait Malik homme mur aux pectoraux saillants, la poitrine entièrement couverte de poils noirs. Et surtout son sexe aux dimensions impressionnantes ou était accroché une énorme paire de couilles.
Ce fut Amir qui lui présenta sa bite pour une fellation.
Pendant ce temps Malik lui avait écarté les jambes et lui léchait la chatte, et il savait y faire, car Marine commença à gémir.
__ Tu aimes ça hein ! salope. Tu as su tout de suite quand tu as vu Malik ce qui allait arriver, Je lai vu à ton regard, petite pûte. Puis sadressant à MaliK :
__ Vas y, baise la.
__ Demande à Malik de te baiser , dis-lui que tes une salope qui fait cocu son mari et que tu veux quil te possède.
Marine, maintenant complètement excitée, la chatte dégoulinante, se déchaînait :
__ Malik, baise-moi Malik je suis une salope, je fais cocu mon mari et ça mexcite, depuis quAmir ma baisée je ne peux plus me passer de sa grosse queue, enfile-moi Malik, je suis une salope, une vraie salope ! ! !
__ Ecarte bien jarrive. Puis il dit des paroles en arabe en regardant Amir.
Malik vint sur elle, son corps brun, son buste couvert de poils noirs contrastait avec la peau laiteuse de ma femme.
Malik, prit sa bite en main et dirigea le gland a lentrée du con de Marine déjà bien dilaté par Amir.
La queue sombre, presque noire commença à pénétrer la chatte rose de ma femme.
Amir guettait la réaction de mon épouse qui elle-même sétait appuyée sur les coudes
Pour voir lengin la pénétrer lentement, son nouvel amant faisant durer le plaisir
Sous la poussée sentant son vagin se dilater à lextrême, Marine ouvrit la bouche et écarquilla les yeux.
Soudain, Malik, poussa violemment son instrument à fond, et Marine poussa un cri et eut un mouvement de recul quand le sexe de son dominateur vint buter au fond de son ventre.
Puis la bite de Malik se mit a coulisser dans la chatte offerte de ma femme., qui avait enroulé ses jambes autour des reins de son nouvel amant.
Amir les regardait saccoupler en se branlant, se délectant avec un sourire malicieux des râles et des cris de plaisir de cette femelle blonde.
Il sapprocha delle et tous deux se mirent à sembrasser vicieusement, langue entièrement sortie de la bouche, puis marine poussa un hurlement de plaisir, explosant dans un orgasme qui la terrassait.
Voyant cela, Malik sabandonnât aussi, envoyant au plus profond de la chatte dans le ventre fécond de mon épouse, de longs et puissants jets de semence chaude et épaisse.
Quand il se retira, un flot de sperme séchappa de la chatte dilatée, pour sécouler sur le drap, pendant que marine, le corps parcouru de spasmes, gisait sur le lit bras et jambes écartées, épuisée de plaisir.
A suivre.
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