Seconde Partie : Le Sexe Shop
Seconde partie : le sexe shop, poursuite de mon dressage
Arrivés à la maison, ma soirée fut consacrée à la méditation, je vivais enfin ce dont javais rêvé depuis longtemps
Pierre était parfait, cette journée pleine de sensations nouvelles que jattendais depuis longtemps.
Pierre semblait respectueux à mon égard, il ne me dressait pas uniquement pour son plaisir, mais beaucoup pour le mien, et il savait sy prendre. Combien de femmes avait til dressées ?
Je me déshabillais et regardait mon corps dans le miroir, le fouet y avait laissé de belles traces.
Javais adoré le fouet qui donnait du plaisir, et je compris aussi pourquoi javais besoin du fouet pour me punir afin de me faire progresser.
Je cherchais une idée pour le lendemain faire plaisir à Pierre et faire preuve dinitiatives à ma propre domination.
Quallait il me faire vivre demain ?, quelles nouvelles sensations ?
Devrais-je me mettre nue devant dautres hommes ?, et des femmes ?, je redoutais peut être plus le regard des femmes.
Le lendemain, jétais impatiente de le rejoindre, je me préparais, pris bien soin de mettre une jupe courte et ample, mon collier, sans culotte.
Je pris ma voiture, arrivée chez lui, le portail était ouvert, je garais ma voiture, puisquil ny avait pas de vis-à-vis, je me mise nue devant la porte sonna, puis à genoux les mains derrière la tête.
La porte souvrit.
« je suis prêtre à vous obéir, à être utilisée comme bon vous le souhaiterez »
Il était vêtu dun genre de robe de chambre, en écarta les pans, je pris son sexe, léchais les bourses, décalottais soigneusement la verge, lenfonçai dans ma bouche et le suçais tout et le masturbant. Je portais ma main libre à ma chatte me caressais en même temps, je sentis la sève venir, cétait bon, jétais indécente sur ce perron mais jétais fière de moi
Pierre : Cest bien Patricia, je constate que tu commences à prendre des initiatives, continue sur cette voie.
Puis, nous nous préparions pour aller au magasin, Pierre me dit quil préférait aller dans un magasin plutôt que de commander sur internet, car jallais essayer des vêtement et que je devais assumer le regard des autres, les gadgets que nous allons acheter sont pour te donner du plaisir, donc, tu dois assumer.
Arrivés au magasin, jétais prise de panique, une femme telle que moi nétais jamais allée en sexe shop
Je remarquais que Pierre stationnait la voiture assez loin du magasin, il men donna la raison :
-cest pour que thabitues à te promener jupe courte et ample sans culotte, avec ton collier en public, avec le vent quil y a aujourdhui, il peut soulever ta jupe, dautre part, les passants pourront voir à ton collier quelle femme tu es.
En rejoignant le magasin, jévitais regard des passants, que pensaient tils ?.
Nous arrivions au magasin, Pierre poussa la porte, me fit passer devant, je ne savais ou porter mon regard, il y avait quelques clients, javais honte, ils me déshabillaient du regard avec un sourire narquois
Pierre me prit la main et nous nous dirigeâmes directement vers le gérant.
-Bonjour Christophe, comment vas-tu ?
-Bien, cest la femme dont tu mas parlé hier soir ?
-Oui, son dressage a commencé hier, nous venons pour lui acheter divers vêtements et gadgets qui lui seront personnels.
Jespérais que les clients navaient pas entendu, tout en ne me faisant aucune illusion.
Christophe était jeune, il devait avoir environ 35 ans, mignon, il devait bien connaître Pierre, Il appela une vendeuse:
Nadine, pourrais tu toccuper personnellement de cette dame, divers accessoires et vêtements soutien gorge laissant passer les tétons et une tenue très suggestive mais sans trop laisser apparaître les atouts de madame.
Nadine était un jeune femme qui devait avoir 24 ans au plus, très belle, blonde, cheveux longs, grands yeux dun bleu très clair, un visage doux, un visage dange, souriante, pantalon en cuir moulant, un chemise un peu à la cosaque, si javais eue un elle aurait pu être ma fille, que faisait une si jolie fille dans ce magasin ?
Je regardais Pierre comme pour le supplier « non pas avec elle »
Allons y, Nadine me prit la main et mentraîna vers une pièce à lautre bout du magasin, ouvrit une porte qui était fermée a clef, alluma la lumière.
Je vis différents instruments de domination et punitions: croix de St André, Table gynéco, et divers dautres objet dimmobilisation, de s que javais vu sur internet mais dont je ne connaissais pas le nom, et un très grand miroir prenant presque un mur complet.
-Je vous laisse je vais chercher des tenues pour votre condition me dit Nadine avec un sourire malicieux, et attendant, vous pouvez vous déshabiller.
Je regardais tous ces instruments, je cherchais une cabine pour me déshabiller, mais ne la trouvais pas, Nadine revint.
-Alors, toujours pas nue, comprenez vous le Français ?
Je cherchais la cabine.
La cabine cest la pièce, auriez vous honte que je vous vois nue ?
-Oui, un peu
Eh bien, vous allez tout de même vous déshabiller devant moi, ou préférez vous que jappelle votre ami ?
Non, je vous en prie, pas cela.
Alors à poil, et je vais te regarder faire ton streap tease devant moi, cela mamuse.
Jadore voir les femmes de ton style un peu BCBG, sophistiquée, être obligées de se déshabiller devant moi. Elle sadossa à une table et croisa les bras, elle ne voulait rien perdre du spectacle que jallais lui offrir.
Je mexécutais avec honte, une fois nue, elle me demanda de mettre mains sur mes hanches, tourna autour de moi,
Pas mal, tu as de belles traces récentes, quas-tu fait ou pas fait pour avoir été fouettée.
Je répondis comme une petite fille reconnaissant ses fautes parce que je ne mabandonne pas assez, je ne suce pas correctement, et ne prends pas assez dinitiatives.
Cette situation semble te plaire puisque tu as le bout des seins déjà en érection, je suis sure que ton sexe doit être humide, jolie cette fente bien en avant.
Elle sapprocha de moi, samusa avec le bout de mes seins, les pinça, les fit rouler entre ses doigts, tout en conservant une main soccupant du bout dun de mes seins, son autre main descendit vers mon sexe (jécartais les jambes comme Pierre me lavait appris), et elle me pénétra sans ménagement.
Cest bien ce que je pensais, tu nes pas humide, elle est trempée Marie Chantale , être humiliée de la sorte, te mettre nue devant moi, te faire fouiller sans que tu puisses protester semble te plaire énormément, quen penses tu Patricia ?
Moi : je dois admettre que cela est nouveau pour moi, et que cela mexcite, de toute façon vous vous en rendez bien compte.
Nadine : jaime les bourgeoises de ton genre devenir de véritables femelles.
Puis nous passions aux essayages, elle me choisit un soutien gorge et une tenue sexy provocante sans laisser apparaître réellement mes seins et mon sexe, mais les laissant deviner, facilement accessibles en me demandant mon avis, à ce moment, je la sentis devenir très « copine » ce qui me décontracta, je commençais à aimer être « prise en main par elle »
Elle sabsenta puis revint accompagnée de Pierre et de Christophe.
-Quen pensez vous demanda Nadine ?, cette tenue peut sôter en deux secondes , joignant le geste à la parole, elle dégrafa un bouton, et je me retrouvais entièrement nue devant eux et elle.
Pierre :Vous avez bon goût Nadine, cela est parfait .
Nadine : Jai limpression que madame est aussi bien clitoridienne que vaginale et quil en faut peu pour la faire jouir.
Pierre : Effectivement, vous êtres réellement experte.
Nadine : alors je vous conseille ce godemiché, il est de bon diamètre car jai constaté que madame souvrait facilement, il fait 24 centimètres, et est munis de petits picots à sa base, c'est-à-dire que lorsqu il ira et viendra en elle, les picots souples viendront exciter son clitoris.
Pierre : excellente idée.
Je vous présente aussi un nouvel ustensile : cest une genre de brosse à dents avec des poils très doux pour exciter le clitoris, il fait beaucoup deffets.
Pierre : vous allez me vendre le magasin, les avez-vous essayés.
Nadine : un grand rire, cela marrive, mais certains clients me demandent de tester ici même certains gadgets sur leur femme sur la table gynéco, dautres me demandent si je désire participer en spectatrice et conseillère à leur domicile.
Ayant pu constater que Patricia était rapidement excitable, je pense que cette brosse lui procurera beaucoup de plaisirs, elle est dune efficacité redoutable.
Nadine : Je crois savoir que vous êtes déjà équipé de pinces, fouets etc
. mais je vous conseille tout de même ce modèle de fouet à un seul brin, la lanière nest ni trop longue ni trop courte, il permet de fouetter exactement à lendroit désiré et avec la puissance désiré il laisse des traces bien nettes et bien visibles sur les parties fouettées, cest très sexy.
Il peut être très douloureux et donc efficace pour un dressage.
Nadine : Jai pensé aussi aux boules de geisha, naturellement. Ce modèle est vibrant, vous pouvez le déclencher à distance jusquà 6 mètres, dans les lieux publics cela peut être amusant, particulièrement au restaurant.
Je ressentis comme une complicité entre Pierre et Nadine, intuition féminine, jétais un objet et ils décidaient ce qui était bon pour moi, pour me faire jouir, pour me soumettre, pour mutiliser et la façon de mutiliser suivant mes capacités, de mhumilier.
Pierre je navais jamais utilisé les vibrants, expérience à faire effectivement, dailleurs, pouvez vous lui installer dès à présent sil vous plait.
Nadine : mets toi sur cette table Patricia.
Je me mise à plat dos sur la table, relevant les jambes et écartais les lèvres de mon vagin
Javais honte de me mettre en cette position de moi-même, sans que lon me lordonne, mais je me devais de participer à ma propre domination.
Je mimaginais Pierre, et ces deux inconnus Nadine et Christophe mobserver en cette position parfaitement indécente.
Nadine : Très bien Patricia, tu es parfaite, je vais un peu te faire mouiller pour les introduire plus facilement car elles sont de bonnes tailles.
Elle me pinça les seins, les étirant, les faisant rouler entre ses doigts, puis, une de ses mains se dirigeât vers mon sexe, décalotta mon clitoris me le caressa, me pénétra dun doigt deux doigts, trois doigts, quatre, je commençais à gémir, je ne pouvais me retenir.
Nadine : sa chatte souvre de plus en plus et rapidement, cest un plaisir, madame doit avoir subie de longues frustrations, je suis sure quen insistant un peu ma main pourrait la pénétrer, elle est réellement faite pour cela, elle fit pénétrer une boule, puis la deuxième,
Je pensais que je devenais de plus un jouet vivant, que lon pouvait faire obéir, faire hurler de plaisir, de souffrances, qui éprouvait du plaisir à tout cela, en deux jours de dressage, voilà ou jen étais arrivée.
Voilà, madame est prête, levez vous.
Je me mise debout,
Elle voulu essayer lappareil en mettant en action les vibrations : je les sentis en moi, le plaisir monter peu à peu, je grimaçais, elle sen amusa en voyant les rictus sur mon visage.
Pierre : mets toi à genoux Patricia, je vis Christophe sapprocher de moi, je compris tout de suite que je devais faire glisser sa fermeture éclair, lui demandais la permission de le sucer, après acceptation de sa part, je fis descendre son pantalon, son slip.
Son sexe était très dur, long et épais, je me mis à le sucer mais Christophe madossa le dos contre le mur, jétais accroupie, les cuisses écartées, luf vibrait en moi, il se servait de ma bouche comme dun vagin, il se vida en moi par saccades.
Nadine mobservait avec attention, jen avais plein la bouche, j avalais.
Christophe : elle promet, elle sera une bonne salope.
Nadine : jallais oublier une chose importante : le plug, je vous présente celui-ci il nest pas de grande taille car jai remarqué que son petit trou était étroit, il na pas du servir beaucoup encore, puis-je me permettre de lui mettre, je vous loffre.
Pierre :je vous en remercie, de sa part.
Elle me fit mettre à quatre pattes, la tête en bas et les fesses en lair, me demanda de bien écarter mes fesses avec laide de mes mains, mis un peu de vaseline quelle fit pénétrer dans le petit trou et enfonça doucement le plug.
Voilà, il est en place, deux trous sur trois sont garnis.
Arrivés à la maison, Pierre me demanda de téléphoner à Nadine et la remercier pour sêtre si bien occupée de moi, et que si elle désirait tester le nouveau fouet sur ma personne je lui en réservait lexclusivité, et surtout, tu dois la convaincre de venir demain en début daprès midi, sinon en soirée.
Il décrocha le téléphone, composa le numéro du magasin, mis le haut parleur et me tendis le téléphone :
-Bonjour pourrais je parler à Nadine sil vous plaît.
-de la part de qui ?
-Patricia.
-Bonjour Patricia.
-Je tenais à vous remercier vivement de vous être occupée de moi avec autant dattention, et pour savoir si vous étiez disponible demain en début daprès midi, pourriez vous me faire lhonneur de tester sur moi le fouet que vous nous avez conseillé ?
Demain cest mon jour de congé, mais jai rendez vous avec un cousin, si il peut venir, cela sera avec grand plaisir, pourriez vous me passer Pierre si il est présent.
Je tendis le téléphone à Pierre.
Bonjour Nadine, votre cousin est cordialement invité sil nest pas vulgaire, ni brutal et respectueux, je serai ravi que vous puissiez venir, vous êtes de bons conseils, dailleurs, comme a pu vous dire Patricia, elle vous réserve la primeur de ce fouet.
Nadine : au sujet de mon cousin, aucun problème, il a cet état desprit. je tiens tout de même à vous dire que je suis dominante avec les femmes, et soumise avec les hommes mais uniquement avec ceux que je choisi moi-même, et je serai heureuse de venir vous assister au dressage de Patricia.
Pierre : cest bien compris, alors, nous comptons sur vous pour demain après midi de 14 heures à 17 h je vous souhaite une bonne journée, puis raccrocha.
Pierre me fit mettre nue, la tête reposant sur la table, les seins pendant, la croupe bien cambée, môta le plug, me dit quil allait me déflorer le petit trou, il prit beaucoup de temps à lubrifier ce trou, me tendis mon téléphone et me dit :
-Appelle ton mari pour savoir comment il va, pendant ce temps, je vais tintroduire.
Non, Pierre pas cela.
Pierre : noublie pas Patricia, tu me dois parfaite obéissance.
Jobtempérais.
-Allo, cest Patricia, je tappelais pour savoir comment allais tu ?, la conversation sentamait.
-Pierre me pénétra en douceur une fois le passage « élargi », puis, allait en venait en moi, cétais la première fois que je me faisais prendre par ce trou, javais du mal a retenir mon plaisir, ne pas le faire entendre, en même temps il me pinçait le bout des seins, caressait mon clitoris, introduisait ses doigts dans mon vagin ; javais hâte que la conversation cesse, dailleurs jabrégeais, je tembrasse, a bientôt.
Je pouvais enfin exprimer ma jouissance, je me lâchais.
Pierre mamena dans la chambre, mattacha fermement sur le dos au lit, un coussin sous mes reins, et soccupa uniquement de mon plaisir, je ne sais combien de fois il ma faite jouir, il adore me faire arriver à mon presque orgasme, sans me le donner, cétais horrible, frustrant, mais un supplice tellement bon, tout en jouant avec mon corps, mon esprit, images mentales.
Il mannonçait les situations dans lesquelles il pourrait me mettre : viol organisé, en passant par être attachée et fouettée nue en forêt, mamenant chez un gynéco spécial, me mettant à une vente aux enchères pour une soirée ou quelques heures, me dit jallais devoir téléphoner à un de ses amis pour lui demander si il voulait bien de moi pour quelques heures afin de parfaire mon dressage
Sous les frustrations dorgasmes jacceptais toutes ces situations pourvu quil me donne cet orgasme tant attendu, oui, je le ferai, mais jusquou allait til mamener ?, pour son plaisir, pour le mien, mais javais confiance en lui.
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