Mari Femelle

Homme marié de 41 ans, père de deux s étudiants, cadre supérieur, Marc était le prototype de l’homme qui semble avoir réussi sa vie. Pourtant il avait toujours aimé les hommes et la soumission et il comptait bien profiter de l’absence prolongée de sa famille pour réaliser quelques fantasmes.
C’est ainsi qu’il était entré en contact avec Mohammed sur un site internet. Il lui avait montré sa vraie nature de femelle et s’était exhibé devant sa webcam, prenant toutes les positions que lui ordonnait Mohammed.
Celui-ci lui avait indiqué qu’il cherchait à recruter une douzaine de femmes pour une croisière en Atlantique avec des clients dont il devait garder l’identité secrète. Ces femmes devaient nécessairement être belles et, surtout, extrêmement salopes et disponibles pour une durée de trois semaines.
Bien que Marc soit un homme, Mohammed pensait que son profil pourrait intéresser ses clients et qu’il ferait une excellente treizième femelle.
A cette idée, Marc s’était presque pâmé d’excitation et avait répondu qu’il se débrouillerait pour se rendre disponible trois semaines et ferait tout ce que Mohammed lui ordonnerait.
Mohammed lui dit de se trouver 8 jours plus tard au port d’Ars, dans l’Ile de Ré. Marc devait arriver en voiture à 3 heures précises du matin et rester dans son véhicule jusqu’à ce qu’un bateau qui l’attendrait en bas du quai lui fasse signe. Marc devait venir habillé en femme, ou plus précisément vêtu seulement d’une guêpière, d’un porte-jarretelles, de bas résille et de talons aiguille très hauts. Il ne devrait porter ni perruque, ni string ou culotte, devrait avoir une barbe de trois jours mais cependant se mettre sur les lèvres un rouge à lèvres éclatant. Il ne devait pas se raser le corps non plus, excepté la verge, les testicules et l’anus.
Marc acheta immédiatement les vêtements qu’il devrait porter et des escarpins à talons aiguille de 14 cm de haut. Se regardant dans un miroir, il ne put s’empêcher de se trouver ainsi sexuellement attirant.

Mince, assez musclé, peu poilu, bien monté, le cul rond et ferme, il ne put s’empêcher de bander en se voyant en tenue de pute. Il s’essaya à marcher, haut perché sur ses talons aiguille, essayant de bien onduler de la croupe comme une femme. C’était la première fois qu’il portait ce genre de tenue et il était excité au plus haut point.
Le jour J il arriva au port d’Ars un quart d’heure avant l’heure fixée. Il savait que les autres filles devaient embarquer avant lui mais il ne voyait aucun mouvement sur le quai. Il commençait à se demander s’il avait fait 500 kilomètres pour rien depuis Paris quand soudain il vit la lumière d’une lampe torche au ras du quai.
Il sortit aussitôt de sa voiture, la ferma soigneusement à clé puisqu’il devrait la laisser là peut-être trois semaines. Il sentit sur sa peau, sur ses fesses, ses testicules, la caresse du vent frais de cette nuit de septembre et marcha résolument vers le quai, sous la lumière crue d’un lampadaire. Il se demandait si on l’observait. Arrivé au bord du quai, il vit en contrebas un long canot à moteur. Sur le canot, une dizaine de filles et trois hommes d’équipage de type maghrébin.
L’un des hommes lui donna l’ordre de descendre l’échelle jusqu’au canot. Pas facile, avec des talons de 14 cm. Marc descendit lentement, sous les yeux des occupants du canot et l’éclairage de la lampe torche. Il sentait la lumière sur son cul, sur sa raie poilue de mec marié. Il essayait d’avoir bonne contenance, gêné et excité à la pensée de tous ces yeux de femmes et d’hommes braqués sur ses fesses tendues. Enfin il arriva à bord du canot et l’un des hommes lui montra en ricanant où il devait s’assoir : sur un énorme gode qu’il lui tendait avec un sourire narquois. Mort de honte, Marc s’assit avec précaution sur le gode et le sentit entrer peu à peu dans sa chatte. Heureusement qu’il l’avait bien graissée. Les filles l’observaient avec incrédulité, avec sa barbe de trois jours, sa bouche maquillée, ses longues jambes fuselées, sa queue en semi-érection.
Le matelot annonça : « la dernière salope est à bord, on peut y aller ».
Le canot démarra et fila vers le large dans le bruit feutré du moteur. Marc sentait les embruns battre son corps, les vibrations du moteur qui se répercutaient dans son anus et l’élargissaient. Le matelot s’avança et lui présenta sa queue raidie : « toujours ça de pris, une pipe par cette femelle ». Consciencieusement, Marc prit le sexe dans sa bouche et entreprit une fellation, s’appliquant jusqu’à ce que le mec jouisse d’un long jet crémeux en lui intimant l’ordre de ne pas avaler mais de garder sa semence en bouche. « Montre ta langue, salope, tu aimes ça, hein? Tu vas en manger, crois-moi. Avale tout maintenant et ne perds pas une goutte. Tu es une vraie femelle toi, tu n’es plus un homme à partir de maintenant, compris? ». Humblement, Marc acquiesça et baissa les yeux en se léchant les lèvres. La fille en face de lui le fixait des yeux.
Le canot avançait rapidement vers un long yacht illuminé, mouillé à deux ou trois kilomètres de la côte. Arrivé contre son bord, le canot stoppa. Au bastingage on distinguait plusieurs hommes accoudés, attendant avec curiosité et excitation ces femmes qui arrivaient pour se faire baiser pendant trois semaines.
Une échelle de coupée fut descendue. « Allez les femmes, on embarque », cria un des matelots.
Le coeur battant à tout rompre et se demandant ce qui allait lui arriver pendant ces trois semaines, paradis ou cauchemar, Marc commença à monter lentement la coupée, au milieu des autres femmes dont il faisait maintenant partie.

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