1 + 2 = 3

A la demande de certains des lecteurs, voici une troisième histoire qui m’est arrivée.
Dans les histoires déjà publiées, je ne me suis pas présenté. Donc erreur à réparer : J’ai aujourd’hui 38 ans, je mesure 1m75 pour 65Kg. Je suis brun toujours coupé court, les yeux bleu vert. Je ne suis pas le genre Brad Pitt, mais pas non plus Elephant man. Je m’habille plutôt classique. Je suis en couple depuis 11 ans avec un homme merveilleux dont je suis très amoureux. Mon ami et mes amis qui me connaissent bien me disent que je suis « un bon coup », ce n’est pas moi qui le dis.
Aujourd’hui je suis exclusivement actif mon copain étant uniquement passif. Mais je peux être aussi passif, surtout quand j’avais 20 ans, suivant mes rencontres.
Voici donc une nouvelle histoire :
A l’époque j’avais 22 ans, c’était donc un de ces samedi soir où je partais à Toulouse (voir : Un samedi soir XXL). Ce soir là, j’étais tout seul, mes deux amis m’avaient fait faux bon. Arrivé au club sexe, pas de passage par la casse départ (bar), je me dirige directement vers le fond du club où se trouve l’endroit… Les couloirs, ses salles de repos ou vidéo, son labyrinthe etc. Je déambule dans ces corridors, il y a beaucoup de mecs et je matte, cherchant celui qui voudra bien passer un bon moment de sexe avec moi.
Après un bon quart d’heure d’attente, un mec brun, plus petit que moi et visiblement plus jeune (18 ans), s’approche de moi et me passe la main dans le dos puis descend sur mes fesses en disant avec un large sourire :
- tu as un très beau cul.
Il faut dire que je porte un jean assez serré qui met mes fesses en valeur.
Je ne répond pas, mais me rapproche un peu plus de lui et le regarde attentivement. Il est plutôt mignon de grand yeux vert, des cheveux courts et il a un corps bien dessiné dessous son T-shirt près du corps.
Mais à cette instant un mec, du même âge que l’autre, blond celui-ci, se colle à nous. Le brun me dit :
-c’est mon petit copain, on va dans une cabine tous les trois ?
Un peu surpris, je dis non et pars plus loin.

Il me revient des souvenirs douloureux. Quand j’avais 19 ans je suis tombé amoureux d’un mec plus âgé que moi. Il me forçait à coucher a trois sinon il me quittait. Même s‘il n‘y avait pas de pénétration, moi je n’aimais pas du tout ça, lui se régalait, de plus on ne faisait l’amour tout les deux que rarement.
Adossé à un mur d’un des couloirs du club, le brun revient à la charge avec un sourire encore plus racoleur :
- tu es sur que ne veux pas ? On veut juste te faire du bien.
Je réfléchi quelques secondes, je me dit. : Les deux mecs sont pas mal, ensuite, je ne suis pas , j’aime bien les nouvelles expériences et cette fois ci c’est moi le « troisième ». Donc ok.
On se dirige vers ne salle où on s’enferme. Le brun se colle à moi et me roule une pelle magistrale, sans oublier de me caresser les fesses. Le blond sans un mot se met à genoux à nos côtés, il me défait la ceinture et les boutons de mon pantalon pour le baisser sur mes chevilles. Il découvre un slip déformé par mon sexe qui commence à être serré. Il sort ma bite de son carcan et la gobe d’un coup pour la sucer. Mon corps et parcouru d’un frisson qui part se mon sexe et fini dans le dos. Le brun qui ressent mon trouble me dit :
- il suce bien mon copain !
Je ne dis rien mais acquiesce avec un air de bien être sur le visage, et le brun reprend son baiser.
Je vois le blond qui s’attaque maintenant au jean de son mec. Il lui descend pantalon et caleçon sur les chevilles et se met à le sucer vivement. Je distingue dans la pénombre une grosse tige avec un gros gland bien rouge qui apparaît et disparaît de la bouche de notre suceur. Il alterne sa pipe entre les deux pieux qui lui sont offert et dont il se régal.
Après quelques bonnes minutes de baisers, de caresses du brun sur et entre mes fesses, accompagné de la fameuse fellation du blond je demande :
- alors quelle est la suite des festivités ?
Le brun :
- j’aimerais te prendre pendant que tu fais la même chose à mon copain.
Je réponds d’accord, tout content de cette nouvelle expérience excitante.
Le blond, toujours sans un mot se relève, part chercher des préservatifs, se remet à genoux et l’un après l’autre les déroulent sur nos deux queues bandés à mort sans oublier de bien les lubrifiées avec sa bouche. Il se relève, se déshabille et prends appuie sur la banquette en bombant son petit cul. Je vois qu’il passe une main entre ses cuisses pour se masser l’anus avec du gel. Cette vision me rend dingue, de suite, je me met derrière luit place mon gros gland sur sa rondelle bien lubrifiée. Je pousse et je m’enfonce en lui. Il pousse un gémissement sourd de plaisir ou de douleur ou des deux.
Cela rentre bien jusqu’au fond, il est bien ouvert. Je pense qu’il a du en voir passer bien d’autre pour son jeune âge.
Le brun ne perd pas son temps et se place vite derrière moi. Je sens son gros calibre chercher l’entrée de mon cul. Il est terriblement excité il dit que j’ai un cul superbe.
Il essaie de rentré, mais son excitation est telle, qu’il glisse vers le bas, puis vers le haut, il n’arête pas de bouger sans me mettre un seul centimètre. Je lui demande de ne plus bouger, je lui prend la bite dans une main, pointe son gland sur mon anus et pousse mon cul en arrière. C’est gros, mais le gland ouvre mon orifice lentement mais sûrement. Le gland passe, et là il me glisse entièrement son gourdin dans mon cul. On soupir d’aise tous les deux.
On ne bouge plus un instant pour que tous le monde soit bien placé, puis le brun me dit :
- va s’y bouge !
Je commence à balancer mon bassin d’avant en arrière. La sensation est exquise : alors que je rentre mon pieu dans le blond, le brun sort presque entièrement de moi. Puis quand je sors ma bite du cul du blond, le mandrin du brun me transperce profondément.
Il commence à faire très chaud dans cette petite pièce, le blond est docile, le brun est torride et moi je suis fébrile. Des gémissements à peine étouffés emplissent la cabine.
Puis, après un bon limage montant en intensité et en vitesse, ma cadence devient frénétique, le plaisir est trop fort. Dans un dernier coup de rein brutal, je jouis dans le petit cul du blond, mon corps et parcouru de soubresauts de satisfaction et je pousse un cri comme celui d’une bête en rut.
Le blond se « détache » de moi et va s’asseoir sur la banquette. Il n’a pas l’air d’avoir pris son pied, pourtant, quand je baise les mecs ils aiment ça.
Le brun est toujours en moi et continu à me limer. D’un coup de bassin plus rude que les autres il me pousse vers l’avant, je fais trois pas, je manque de tomber entravé par mon pantalon et mon slip toujours à mes chevilles. Heureusement le blond me ratt, mais il fait une salle tête.
Le brun sortit de moi revient pour me rentrer à nouveau sa bite mais je lui dis :
- ton mec n’a pas l’air très content ?
Il me répond :
- t’occupe pas ! Je veux me finir dans ton joli cul !
Un peu gêné, je prends appuie sur un mur dos au blond, pour ne pas croiser son regard et le brun se place à nouveau derrière moi. Cette fois ci il trouve de suite le chemin. Il commence ses va et viens assez rude. Ma bite, qui avait débandé, reprend une taille plus que convenable. Je la prends en main et commence à me branler, mais mon baiseur me retire ma main et met la sienne à la lace et me masturbe vivement.
Après quelques minutes de bourrages intensifs, le corps du brun est pris de spasmes et je sens qu’il éjacule dans mon ventre, alors que moi je macule ses doigts de mon sperme en jouissant une deuxième fois.
On reste quelques instants sans bouger et j’entends pour la première fois la voix du blond (je l’avais oublié celui la) :
- bon ça y est ! Vous avez terminé !
Nous ne répondons rien. On s’essuie, se rhabille et le couple s’en va.
Le brun revient vers moi il m’embrasse en me disant :
- merci, j’ai adoré, j’aimerai te revoir.
Moi :
- écoute tu aimes ton mec ?
- oui je l’aime !
- alors va le rejoindre et dis le lui.
- ok, salut !
- salut et au hasard des rencontres.
Voila une histoire qui se termine bien. En sortant du club je les ai vu entrain de s’embrasser goulûment. Je ne voudrais pas avoir cassé un couple.
Par contre, j’aimerais bien à nouveau être la saucisse d’un « hot dog »…
Cela c’est reproduit deux fois, avec d’autre mecs, mais ça sera pour d’autres histoires, si vous êtes sage (rires).

Seithan