S'Ouvrir Les Yeux
C'étaient mes premières vacances depuis que je travaillais. Mes premières vacances aussi sans mes parents. Une fille du bureau avait lancé l'idée qu'on aillent tous pour le pont de l'Ascension au bord de la mer.
A vingt-deux ans, on n'est pas très riche et je ne voulais pas y dépenser tout mon argent mais la collègue avait des grands-parents qui possédaient une maison dans le Morbihan. Ne restait plus qu'à acheter un billet de train parce qu'on ne voulait pas perdre notre temps sur la route.
C'était pratique. On n'avait plus qu'à rejoindre la gare Montparnasse à Paris et en route pour l'aventure. Le mercredi soir, tout le monde était là et le TGV roulait vers la mer.
A ma grande surprise, il n'y avait pas que des filles. Une était venue avec son frère et celui-ci avait amené un ami, un beau brun très élégant et dans le train ce dernier a commencé à draguer et c'était très efficace.
Je le regardais faire. Il était debout et appuyé sur le siège des filles et leur racontait sa vie, vraie ou supposée à mes yeux, ses exploits avec des filles et ces gourdes buvaient ses paroles.
Pour moi, c'était des gourdes car comment autrement auraient-elles pu croire à ce qu'il racontait et j'ai fini par me demander comment on pouvait croire ce beau parleur.
Une heure après le départ, Serge s'est arrêté de draguer et il semblait s'être calmé quand il est venu me rejoindre. J'étais allée chercher un mouchoir dans mon bagage.
- J'espère que tu ne crois pas tout ce que je leur ai dit, m'a-t-il dit en premier ! C'était juste pour passer le temps et tu as vu comme elles gobaient tout ce que je leur disait !
Je lui ai répondu que j'avais vu mais pour le remettre à sa place, je lui ai demandé s'il était encore puceau et pour toute réponse, Serge a rougi et a tourné les talons.
C'était une facile victoire mais je m'en suis voulu tout de suite car il avait l'air bien mignon quand même. Un peu plus tard, alors qu'on redémarrait de Rennes, je suis allé aux toilettes et quand j'ai voulu refermer la porte, Serge m'a poussé et a refermé la porte sur nous.
J'allais hurler quand il a mis sa main sur ma bouche.
- Ecoute, a-t-il ajouté, je ne voulais pas être méchant et si tu promets de ne pas crier, je retire ma main !
J'ai promis en lui faisant signe des yeux et il a retiré sa main.
- Qu'est-ce que tu veux, lui ai-je demandé ? Tu ne vas tout de même pas me violer ?
- Je te demande pardon, mais tu me plais et j'ai envie de toi, m'a-t-il dit !
- Et toi, tu ne me plais pas, lui ai-je répondu ! Tu es un goujat !
Serge ne m'a pas répondu et je n'ai rien dit de plus. Quelqu'un a essayé d'ouvrir la porte et a pesté que c'était occupé. N'avait-il pas vu le rouge du loquet ?
- Ecoute, ai-je fini par lui dire, tu es trop brutal ! Tu me dis ça comme ça ! Laisse-moi le temps !
- On n'a pas le temps, m'a répondu Serge ! Je n'ai que quatre jours pour te convaincre !
Pour lui parler, j'étais obligée de lever les yeux parce qu'il faisait bien vingt centimètres de plus que moi. Il s'est penché et je n'ai rien vu venir. Sa bouche était sur ma bouche et on s'embrassait. C'était vraiment agréable et en plus Serge sentait bon.
- Laisse-toi faire, m'a-t-il dit quand il a arrêté son baiser !
Je sentais bien qu'il me retirait ma culotte et sa main sur mes cuisses étaient chaudes et j'étais incapable de réagir et il m'a dit de passer mes mains autour de son cou et de serrer fort et quand il s'est redressé, je me suis empalée sur son pénis.
Je n'avais pas fait l'amour depuis au moins... trois ans et depuis je me masturbais comme je le faisais avant ma première expérience avant un garçon, mais le pénis de Serge me semblait énorme et m'éventrait presque. Faute d'avoir eu beaucoup d'expérience, j'étais mal à l'aise, d'autant plus que son gland m'appuyait le col de l'utérus et me faisait mal.
J'avais croisé les jambes derrière les fesses de Serge et je restais suspendu et il a recommencé à m'embrasser. Sa langue envahissait ma bouche et avec la mienne je ne pouvais pas lutter.
- Ça te plaît, m'a dit Serge en arrêtant son baiser ! Ça me plaît à moi aussi et je te jure que je ne baiserais plus jamais avec une autre fille !
La poignée de la porte a bougé et une fois encore quelqu'un a frappé à la porte et cette fois c'était une voix d'homme qui a presque hurlé qu'il avait envie de pisser.
- Qu'est-ce que vous foutez là-dedans, a-t-il ajouté ?
On a rien répondu puis le silence revenu, Serge m'a dit que j'avais des fesses faites pour la fessée et il m'a mis une tape du bout des doigts sur les fesses puis il a ajouté qu'il avait vraiment envie et m'a soulevé sur le lavabos et m'a fait l'amour. J'avais l'impression que son pénis allait me ressortir par la bouche. J'ai eu un orgasme puis Serge m'a demandé si je ne risquais pas de... Je ne risquais rien et il a joui dans mon ventre. J'ai senti les jets me remplir puis comme quelqu'un frappait encore à la porte des toilettes, Serge s'est retiré. On n'avait plus qu'à s'essuyer et à se rhabiller puis a sortir discrètement.
Le train arrivait à Lorient quand nous sommes sortis. Des voyageurs attendaient déjà avec leurs bagages mais nos amis étaient restés à leur sièges et s'inquiétaient de nous. Serge a dit que nous étions allés boire un verre au bar du TGV. Nous avons ramassés nos bagages en vitesse et nous sommes descendus. Il n'y avait plus qu'à trouver le car.
Une heure après, nous étions au bord de la mer et nous installions dans la maison.
Serge ne m'avait pas reparlé mais je ne me faisais pas d'illusion. Une fois tirée, je ne l'intéressait sans doute plus. En tout cas moins que Carole que je l'avais vu regarder dans le car. C'était une fille de la compta et que je ne lui avais jamais parlé et tout ce que je savais c'était qu'elle était toujours en pull et je supputais que c'était pour dissimuler sa grosse poitrine. C'était aussi une jolie fille et j'ai pu le vérifier le vendredi soir en entrant dans la salle de bains.
- Tu es vraiment bien faite, l'ai-je complimentée !
Je ne sais toujours pas pourquoi je lui avais dit ça. Ça semblait si convenu mais s'appliquait si bien à son corps parfait. Je lui ai ensuite demandé son âge. Vingt-sept ans.
- Tu as vu Serge, m'a-t-elle demandé ?
- Pourquoi, lui ai-je répondu, pleine de jalousie, tu couches avec lui ?
- Non, m'a répondu Carole, tu ne veux pas comprendre ma question ! Il voulait te parler !
Je ne l'avais pas vu. Carole a continué et a dit qu'il valait mieux attendre qu'il me parle puis elle a enfilé une nuisette et a disparu. J'ai attaqué ma toilette et à peine avais-je commencé que la porte de la salle de bains s'est entrebâillée. J'ai tourné la tête. C'était Serge.
- Tu as quelque chose à me dire, lui ai-je demandé ?
- Oui, m'a répondu Serge, je veux te proposer un truc et je ne suis pas sûr que ça te plaira...
- Dis toujours, l'ai-je engagé...
- Oh, tu as vraiment de beaux seins toi aussi ! J'aime bien ce genre de poitrine...
- Qu'est-ce qu'ils ont mes seins ?
- Eh bien, tu ne te souviens pas que je les ai touchés dans le train ?
- Si...
- Tu as les seins mous, a continué Serge...
- Et tombants, ai-je continué ! Je les déteste depuis que je les ai ! J'ai toujours eu des nichons comme ça !
- Et plantés bas, a insisté Serge, et longs et il ne faudrait pas tirer beaucoup sur leurs mamelons pour que ça t'arrive au nombril !
- Et c'est ça que tu aimes, ai-je conclu ? J'ai vingt-deux ans et des seins de grand-mère !
- Oui, c'est ça, mais ça te rend très sexy, a rajouté Serge ! Carole m'a dit que tu avais pu voir les siens !
- Et alors ?
- Vous avez la même poitrine, a insisté Serge ! Vous allez bien l'une avec l'autre ! La blonde et la brune...
Je l'ai regardé et je ne comprenais pas où il voulait en arriver.
- Les autres sont partis, a continué Serge ! Il n'y a plus que Carole et toi.
- Oui, et alors, lui ai-je fait ?
- On pourrait s'amuser tous les trois, a-t-il insisté ?
Je n'avais pas besoin qu'il insiste pour comprendre.
- Tu veux que je baise avec une femme, lui ai-je demandé ?
- Tu sais que tu plais beaucoup à Carole, a insisté Serge et elle a bien vu que tu lui plais !
J'ai senti que j'étais au bout de ma résistance. J'ai encore dit que je n'étais pas une gouine, mais Serge m'a répondu que j'étais bisexuelle comme Carole et qu'il voulait nous regarder baiser ensemble et qu'il ne nous oublierait pas. Je sentais encore la trace de sa bite magnifique qui m'avait envahie dans le train et la semence dont il m'avait gratifié.
Serge m'a interdit d'enfiler ma chemise de nuit et m'a dit de garder ma petite culotte et il m'a pris la main et m'a entraîné dans la chambre où se trouvait Carole. Elle était allongée sur le lit et quand elle m'a vue, elle m'a souri.
- Je n'osais pas te le proposer, m'a ensuite dit Carole ! Il y a longtemps que je t'ai repérée et aussi longtemps que je me masturbe en pensant à toi ! Tu te masturbes ?
Elle n'avait pas attendu ma réponse pour glisser sa main sous ma culotte et ses doigts m'ont semblés plus agréables que les miens. Quand je me caressais, j'avais toujours besoin que ça se termine au plus vite mais là, les doigts de Carole, si j'avais été réticente, m'auraient fait capitulé. Serge s'était assis dans le fauteuil.
- Ne vous occupez pas de moi, nous a-t-il dit ! Je vous regarde ! Embrassez-vous !
Je n'avais jamais embrassé une fille pour de vrai, à part la tante qui m'avait initiée au baiser. Je gardais encore sur mes lèvres la pression des siennes et sur ma langue, la pression de sa langue. Elle m'avait repoussée brièvement pour me dire de lui toucher les seins puis avait repris son baiser et elle n'avait pas tardé à guider mes doigts sur sa chatte. Une fois encore, elle m'avait repoussé avant de me serrer à nouveau contre elle et elle m'avait dit cette fois qu'elle voulait faire l'amour avec moi mais elle s'était contentée de la masturbation que je lui avais fait. Elle devait avoir honte de ce quelle était parce qu'une fois qu'elle a eu joui, elle m'avait dit que j'étais une sale petite cochonne et qu'elle ne voulait plus me revoir.
J'ai glissé mes doigts dans la culotte de Carole et elle a ouvert ses cuisses pour me laisser la caresser. Elle était trempée.
- Lèche-moi, m'a-t-elle intimé !
Je me suis glissée entre ses cuisses et j'ai collé ma bouche sur sa vulve. Elle sentait bon le sexe. J'ai sucé son clitoris et j'ai plongé ma langue dans son vagin. Plus tard, elle me dire que c'était comme un vrai baiser. Serge me racontera qu'elle faisait des grimaces tout en enfonçant ses ongles dans ses seins.
- Mettez-vous en soixante-neuf, nous a intimé Serge mais je ne voulais pas lui obéir. J'avais envie de coller ma tête contre la poitrine de Carole et de me perdre entre ses seins, de les embrasser et de mordiller ses mamelons. Bref, de la téter. Ma mère m'avait si souvent raconté que j'étais accro, et qu'elle m'avait donné le sein jusqu'à l'âge de deux ans, et que j'y étais revenue encore longtemps lorsqu'elle avait des poussées de lait. Je me souviens encore que j'étais encore gamine. J'étais entrée dans la salle de bains. Ma mère pressait ses seins entre ses doigts et du lait en avait giclé et elle n'avait pas pu me refuser de téter et moi, depuis que j'avais de la poitrine, je n'avais eu de cesse d'arriver à me téter moi aussi mais sans que j'ai encore pu avoir de lait.
J'ai fini par me mettre en soixante-neuf avec Carole et j'ai commencé à avoir des orgasmes. Elle savait s'y prendre et m'épuisait puis tout à coup, j'ai senti des mains sur mes hanches. C'était Serge.
- Qu'est-ce que tu fais, lui ai-je demandé ?
- Je profite un peu, lui ai-je répondu !
Il s'est enfoncé dans mon vagin sans hésiter et il me possédait comme il m'avait possédée dans le train.
- J'ai su tout de suite qu'Hélène était une bonne gouine, a ajouté Carole !
- Une bonne gouine, tu as raison, lui a répondu Serge ! Une bonne gouine qui aime aussi la queue !
Tout d'un coup, j'ai eu horriblement mal. Il avait quitté mon vagin pour s'enfoncer entre mes fesses.
- Qu'est-ce que tu fais, ai-je répété ?
- Je t'encule, m'a répondu Serge de sa voix assurée ! Rassure-toi, Carole y aura droit elle aussi !
J'avais l'impression qu'il me fendait avec une hache et je me suis mise à crier mais Carole a écrasé sa chatte sur ma bouche et m'a faite taire.
C'était ça et l'énorme machin de Serge me défonçait et je ravalais ma rage. Que pouvais-je faire d'autre que de me laisser faire ? J'ai accepté du mieux que j'ai pu pendant qu'il me labourait et son foutre a jailli au fond de mon sphincter et il est resté planté dans mon fondement avant de me soulever pour jouer avec ma poitrine. J'imaginais que Carole avait tout vu et moi je voyais ses cuisses et sous ma bouche j'avais son clitoris que j'ai mordu. Elle a poussé un cri. Serge s'est retiré.
- Vous savez, nous a-t-elle dit, j'ai attendu le lendemain de mes dix-huit ans pour baiser avec un garçon et ça ne m'a pas plu !
- Et avec une fille, lui ai-je demandé ? Je ne suis pas la première ?
- Non, m'a répondu Carole ! En dix ans j'ai beaucoup navigué, avec des femmes de tous les âges...
- Des vieilles, ai-je demandé ?
- Oui, des vieilles ! Certaines auraient pu être ma mère ou ma... grand-mère !
- Et ça t'a plu, lui ai-je demandé ?
- Oh, oui, m'a répondu Carole ! Il y a des femmes formidables !
Je sentais son souffle sur ma chatte pendant qu'elle me répondait. Je l'ai suppliée de me faire jouir et elle a enfoncé des doigts dans ma chatte.
- Qu'est-ce que tu fais, lui ai-je demandé ?
- Je te fiste ! Je suis sûre que tu vas aimer !
Elle m'a chassée de sur elle et m'a retournée sur le lit puis m'a relevé les cuisses et a remis ses doigts dans mon vagin puis m'a enfoncé tout sa main et sa main était déjà à l'intérieur quand j'ai eu mal.
- Tu sais, a ajouté Carole, on m'a appris à me fister et je me le fais souvent !
Elle a écarté ses doigts et j'ai pu sentir le pointu de ses ongles. C'était horrible et très efficace à la fois et j'aurais pu avoir des orgasmes pendant des heures si elle ne m'avait pas abandonnée.
- Je suppose que maintenant je dois m'occuper de toi, a-t-elle dit à Serge qui s'était remis dans le fauteuil ?
Carole s'est agenouillé entre ses cuisses et a englouti son pénis. C'était facile au début parce qu'il ne bandait pas beaucoup mais ça m'a semblé encore plus facile quand il s'est mis à bander et qu'elle avait la bouche collée dans ses poils et la front sur le ventre de Serge. Elle l'avait complètement englouti et quand elle le laissait ressortir, c'était pour mieux le ravaler.
- Comment peux-tu t'avaler un pénis de plus de vingt centimètres de long, lui ai-je demandé ? Tu ne me feras pas croire que tu ne l'a jamais fait !
- J'ai vu ça dans un porno, m'a répondu Carole en laissant échapper la bite de Serge brièvement !
C'était si étonnant que j'ai quitté le couple des yeux et quand je les ai rouvert, elle continuait à le sucer mais j'ai vu l'appareil photo qu'elle avait apporté et qu'elle avait posé sur la cheminée de la chambre et je l'ai pris et je les ai fusillés.
- Qu'est-ce que tu fais, m'a demandé Carole ?
- Des souvenirs, lui ai-je répondu ! Ne vous occupez pas de moi !
Et jusqu'à ce que Serge arrive à ses fins avec elle, j'ai pris des photos. Elle continuait à le sucer et j'ai fouillé dans le sac de Carole. En plus de ses habits, il y avait deux godemichés tout au fond, presque aussi gros que la bite de Serge et un plug anal. Les deux amants ont changé de position et Carole s'est agenouillée sur le fauteuil et Serge en a profité pour la pénétrer. C'était ce qu'il fallait pour les photos. D'où j'étais, je voyais entre les jambes de Serge et je voyais aussi son pénis qui allait dans la fente de Carole. C'était vraiment sexy.
- Qu'est-ce que tu fais, lui a demandé Carole ?
- Je t'encule comme je te l'avais promis, lui a répondu Serge !
Il était sorti de son vagin et droit sur elle, il s'est enfoncé dans son anus. Carole n'a même pas poussé un cri. C'était comme un pieu qu'on enfonce pour les fondations. A chaque fois que Serge s'enfonçait, Carole poussait un soupir.
Quand il se retirait, elle semblait soulagée mais il se renfonçait, vertical, dans son anus et elle poussait un autre soupir. Sans doute avais-je fait ça quand il m'avait sodomisé mais de le voir faire me fascinait. Carole acceptait son sort sans se plaindre et l'énorme pieu disparaissait entre ses fesses et en ressortait et replongeait et je n'entendais que le souffle de ma collègue.
Serge lui aussi fini par pousser des soupirs avant de dire qu'il n'en pouvait plus de se retenir et je me suis approché d'eux pour les photographier en gros plan. Carole a poussé un long soupir et Serge a tremblé et ils n'ont plus bougé. Quand il s'est retiré, je n'ai vu que l'anus dilaté mais quand elle s'est relevée, le foutre s'est échappé de son anus et a coulé entre ses jambes sur le tapis.
- Elles te l'ont déjà fait, lui a dit Serge !
- Les godemichés sont faits pour ça, lui a répondu Carole !
Elle a mis sa main entre ses cuisses et s'est sauvée dans la salle de bains et quand elle est revenue, j'étais encore occupé à lécher le foutre qui était resté sur le pénis de Serge.
- Tu couches ici, avec Carole, m'a dit Serge ! Les autres comprendront !
J'avais envie de lui demander ce que les autres comprendraient mais il avait déjà refermé la porte de la chambre. Je n'avais pas vu que mon sac était là que déjà Carole me tirait sous les draps.
- Viens chéri, a-t-elle ajouté en éteignant la lumière ! Laisse-moi faire !
Elle avait pris les godes dans son sac et m'a enfoncé le plug dans l'anus puis m'a rempli le vagin avec un des godes puis elle m'a demandé de lui enfoncer l'autre parce que c'était à moi de le faire et je l'ai fait. Le lendemain matin, j'avais toujours mon plug mais j'avais perdu le gode dans le drap. Carole était déjà levée. J'ai enfilé une culotte et un T-shirt et j'ai rejoint les autres. Ils étaient aussi peu réveillés que moi. J'ai pris mon déjeuner puis je suis retournée dans ma chambre. Carole y était et j'ai fermé la porte.
- Tu ne feras pas de moi une gouine, lui ai-je dite ! Je n'en serais jamais une !
J'avais soudain la rage mais elle ne me répondait pas. Au contraire, elle avait ramassé sa serviette et avec juste sa petite culotte, elle partait pour se laver. Je l'ai suivie dans la salle de bains.
- Tu pourrais me répondre, lui ai-je répondu !
Carole a fermé la porte et m'attrapée par les bras et m'a embrassée sur la bouche puis m'a repoussée.
- Tu n'as pas compris, m'a-t-elle dit ? C'est pour toi que je me fais sauter par Serge, mais ne t'avise pas de traîner avec une de ces gourdasses ! Tu es à moi !
Imaginez ce que vous voulez mais au retour de ce week-end, je suis allée habiter chez Carole et Serge vient de temps en temps nous visiter, un peu comme un petit Savoyard qui viendrait nous ramener et nous huiler les conduits. D'ailleurs, il est né à Chambéry et c'est avec lui que nous nous sommes retrouvées enceintes presque en même temps.
Officiellement nous n'avons pas fait notre coming out et ça me plaît bien de dissimuler ce que je suis devenue. Serge, à cause de notre état, vient nous voir presque tous les soirs et s'occupe de l'une de nous deux.
C'est le minimum qu'on peut lui demander.
FIN
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