Pour Le Prix D'Un Pain

Je me demande toujours comment j’ai pu me faire embarquer dans cette histoire. Je suis tranquille dans mon coin et ne demande rien à personne, j’aime ma tranquillité sans doute que mon âge , pensez donc 40 berges !!! Je vis seul dans mon appartement du dernier étage d’un immeuble cossu, mes moyens le permettent. J’ai une vue splendide avec ma terrasse. Je connais de vue une jolie voisine que je rencontre souvent à la boulangerie. Un simple sourire pour nous dire bonjour, je ne connais même pas le son de sa voix. Je fais la queue, aujourd’hui, je ne sais pourquoi il y a du monde. Ma voisine est devant moi. Au moment de payer, surprise, elle a oublié son porte monnaie. Sans argent, pas de pain, surtout au moment d’affluence. Elle est gênée et m’aperçoit : d’une voix douce, elle me demande si je ne peux pas lui payer son achat. Pourquoi refuser ce menu service, surtout pour un €. Le lendemain après midi, un samedi, la sonnette fait son office : c’est elle qui vient me rembourser. Je la fait entrer.
- Ce n’était pas la peine pour une si petite somme.
- Si je tiens toujours à payer mes dettes.
- La valeur d’un pain n’est pas une dette, on a passé depuis longtemps celui de Jean Val jean. Puisque vous insistez, entrez que je vous offre un café. Elle entre un peu rougissante. Elle est belle ainsi. Elle me plais, surtout que c’est la première fois que je la vois de près. En plus vêtue comme d’habitude peut être, mais très court. Elle a une poitrine qui me donne des idées.
Je la fais s’installer sur le canapé du salon, et je vais préparer deux cafés. Je reviens 5 minutes plus tard, elle est toujours assise sagement, elle a pris un journal sur la petite table qui sépare le canapé d’un fauteuil. C’est une revue plutôt olé olé. Je pose la tasse pendant qu’elle pose la revue. Elle me demande si j’ai encore de telles publications. Je n’en ai qu’assez peu. (à dire vrai-je me régale de voir de belles filles nues et quelques fois je me………) Nous buvons le café, elle me félicite de son corsé.

Et peu à peu la conversation devient des plus banales. Je lui demande :
- Avez-vous un petit ami ?
- Non, j’en avais un, mais je l’ai quitté.
- Dommage pour vous.
- Pour moi, non, bon débarras.
-Vous semblez bien prendre la chose.
- Non, il satisfaisait des besoins naturels.
Besoins naturels ? Pour moi ça signifie qu’on va se soulager aux toilettes. Il semble que pour elle se soit différent, sans doute une question de vocabulaire.
- Donc maintenant vous ne pouvez les satisfaire ?
- Si, mais ce n’est pas la même chose quand on est seule.
- Je peux vous aider, s’il le faut.
J’aurais mieux fait de me taire. Elle répond :
- Oui, avec plaisir. J’ai des besoins, comment dire……….sexuels. Alors puisque vous voulez m’aider, je suis d’accord : vous avez l’âge qui me convient.
- Comment là, sans préparation ?
- Qui a dit sans préparation ? C’est sans doute le plus important.
Elle arrête de parler pour faire un striptease intégral, avec la même grâce qu’un professionnelle. J’admire ses formes plus que féminines, des seins comme sur les statues grecques, des fesses qui attirent les mains, un pubis sans rasage, comme je les aime et tout le reste d’un corps parfait. Je me demande bien pourquoi elle a largué son petit ami.
Elle commence à me faire bander, moi qui n’ai pas touché de fille depuis je ne sais combien de temps. Je me lève pour la prendre dans mes bras. Elle a bien vu que j’étais en érection. Elle viens à me toucher, je l’embrasse sur la bouche, nos langues se mangent. Elle pousse son ventre contre moi, son abdomen vient me caresser la bite à travers mon pantalon. Ca ne dure pas longtemps, elle s’emploie à ma déshabiller de la tête au pieds. Nous revenons ensemble pour continuer notre embrassade. Ses seins sont durs contre ma poitrine. Je pose mes deux mains sur ses fesses. Elle semble aimer cela. J’en profite pour passer un doigts vers son anus : elle ouvre ses fesses pour me laisser passer.
Je trouve l’entrée de son cul. Je rentre mon doigt facilement, elle a l’habitude de se faire sodomiser, certainement. Elle lâche mes lèvres pour m’embrasser dans le cou. Comme j’ai mon doigt dans son anus, elle prend ma bite pour me branler légèrement. Elle commence à gémir pas très fort. J’accentue mon aller et venue dans son cul, elle gémit plus fort et d’un seul coup, sans que rien ne le laisse paraitre je sens son anus se fermer et s’ouvrir en cadence : elle jouit.
Elle me fait encore bander un peu plus. Elle arrête pourtant sa petite caresse sur ma queue. Elle retourne sur le canapé, s’assoit les jambes ouvertes en me demandant de venir la sucer, elle adore une langue sur son sexe.
J’aime bien les goûts et odeurs d’un sexe féminin. Je ne me précipite pas pour être correct, je mets ma tête juste sur son vagin. Ma langue commence toujours pas là. J’entre deux ou trois centimètres, je la fait jouir rapidement. Ensuite j’explore toute sa fente, depuis le bouton que je fais ressortit en écartant les petites lèvres. Je lèche longtemps pour qu’elle puisse jouir plusieurs fois. Pour finir je vais vers son anus. Ma langue entre assez facilement, je la ramone jusqu’à ce qu’elle jouisse une autre fois.
C‘est une machine à orgasmes.
En attendant je ne suis même pas entré dans son ventre. Elle le sait et en a besoin. Elle m’appelle pour cette nouvelle action que j’attends depuis un moment. Elle se couche sur le dos, ouvre ses jambes, prend ma pine dans une main pour la diriger vers son vagin. Dès que je suis à quelques millimètres elle donne un coup de reins qui fait que je me trouve au plus profond d’elle. J’aurai voulu arrêter un bref instant pour savourer sa chatte. Elle ne me laisse pas de répit, elle me fait aller et venir dans sa moule. Nos poils du pubis s’entremêlent sans arrêt, c’est extraordinaire comme elle baise bien. Elle jouit bien avant moi, qui en ai pourtant très envie, elle se tourne, me donne son cul. Je ne peux me dérober, si son anus est aussi agréable que son con, je suis verni, Elle écarte déjà ses fesses, me donne son cul déjà ouvert.
Je rentre bien vitré, là aussi. Si son cul est plus serré que son vagin, je m’y sens encore mieux, je vais et vient en elle à l’aise. Quand je suis à fond dans son cul, elle recommence à gémir, plus fort que dans son vagin Elle jouit je ne sais combien de fois. En tout cas je ne peux plus me retenir : je jouis dans ce cul. Je reste en elle, tellement elle serre les fesses, elle ne me lâche pas quand elle se branle le clitoris. Elle arrive à me faire bander. Je peux enfin sortir de cet endroit. Elle en profite pour me demander de faire un 69. Comme elle n’est pas certaine que je puisse bander très fortement, elle s’accroupit sur moi pour me pisser dessus, un long jet chaud, qui s’il me surprend au début, me fait bien bander. Elle m’enjambe me donne son con encore mouillé d’urine et prend ma bite dans la bouche. J’avoue apprécier les deux chose : sa nouvelle odeur et son goût ainsi que sa bouche sur mon vit. Elle a une façon de sucer que je ne connais pas du tout. En tout cas elle sait m’emmener au seuil de l’orgasme sans jamais me faire jouir. Je n’ai pas ces scrupule, je la lèche pour mon plaisir et le sien. Quand je jouis dans sa bouche elle avale le tout avec un plaisir évident.
Notre baise a duré tout l’après midi. Le soir elle était encore là.
Depuis nous baisons toujours autant à tel point que je suis souvent sur les genoux. Elle a acheté un gode vibrant, ce qui me soulage un peu, même si quelques fois elle me veux dans son con, avec le gode dans le cul.

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