Journée En Cave
Ce jour-là, mon maître mavait ordonné de prendre un jour de congés. Je lavais fait, et le matin venu, il mavait réveillé en tirant sur mon collier, avec ces mots :
Aujourdhui, tu vas savoir ce que ressent un trou.
Maître, je suis votre trou, toujours à votre disposition.
Je nai pas dit que cétait moi qui te remplirais. »
Je me raidis, et me sentis mouiller presque aussitôt. Que comptait-il faire ? Je métais douté que ce ne serait pas anecdotique, pour quil prévoie toute une journée. Mais cela ne me donnait aucun détail.
Il choisit ma tenue pour la journée. De la lingerie, uniquement. Un string, un porte-jarretelles assorti, une paire de bas noirs, et des chaussures talons très hauts, qui se fermaient autour de la cheville. Il mordonna aussi de me maquiller ce qui narrive presque jamais.
Il mordonna de le sucer, et marrêta avant de jouir. Le sexe dans ma bouche, il me parla, en me regardant dans les yeux.
Quand nous en avons parlé, il y a un moment, tu mas dit que je pourrais te faire sucer un autre homme. Et tu las fait, plusieurs fois. Toujours à des moments où tu ne ty attendais pas. Aujourdhui, tu vas ty attendre. Tu vas passer la journée à sucer.
La journée ? Oh mon Dieu
comment ? Tant de questions me venaient à lesprit, javais peur
et, oui, daccord, jétais excitée. Mon corps appartenait à mon maître, cétait acquis depuis longtemps. Et si mon maître avait envie de prêter ma bouche, jétais heureuse de lui faire plaisir.
Le problème, continua-t-il, cétait de trouver assez dhommes à te faire sucer. Et un endroit. Enfin, ça, cétait assez simple. Tu vas passer la journée à la cave.
Nous vivons dans un immeuble parisien assez typique, avec un sous-sol de caves. A lancienne, avec un sol en terre, et assez exigües. Je savais que mon maître y avait déjà placé des anneaux et autres fixations, puisquil my avait déjà attachée et utilisée. Mais bien sûr, cela laissait une question.
Hier, expliqua mon maître, jai placé cinquante flyers sur des voitures du quartier. Comme celui-ci.
Il men tendit un. Je frémis. Une photo de moi, attachée, les yeux bandés, à genoux les cuisses écartées, bouche ouverte, le visage couvert de sperme. Avec la légende :
« Pipe gratuite Nathalie vous attend » puis les instructions pour arriver jusquà notre cave. Le verso annonçait que toute personne qui glissait ceci sous la porte se verrait reçu pour se faire sucer sans sélection, sans question.
Jen avais le vertige. Cinquante ?
Javais peine à y croire. Mon maître me ferait-il vraiment faire une chose pareille, après navoir sucé que quelques inconnus, jamais plus dun à la fois ? Comptait-il vraiment me soumettre à une telle épreuve ?
Je neus guère le temps dy penser. Il me glissa un crochet en métal dans lanus, attacha une chaîne jusquà mon collier. Je navais pas le choix, je devais rester droite, la tête relevée. Il me fit porter une veste, qui me couvrait les fesses mais pas les bas, et qui navait pas de boutons impossible de la fermer ! Je la tins du mieux possible, au cas où nous croiserions quelquun. Mais non. Lascenseur nous amena au sous-sol, et quand les portes souvrirent, mon maître mordonna de me mettre à quatre pattes. Jobéis, et il me traîna en laisse jusquà notre cave.
Il en déverrouilla la porte, et me fit entrer. Je vis un coussin par terre, où mon maître me fit magenouiller. Il était confortable, et je navais pas mal aux genoux. Il prit une barre décartement dans un coin de la cave, me lattacha aux chevilles, en mécartant beaucoup les jambes, puis fixa cette barre aux anneaux dans le sol. Mes jambes étaient écartées, mais je ne pouvais pas me lever, ni serrer les genoux. Je me sentais très vulnérable, dans cette position. Lidée dêtre présentée ainsi à quiconque passerait était très érotique et très humiliante ce qui était dautant plus érotique, pour moi.
Attachée là, jétais peut-être à vingt centimètres de la porte.
Là, il y a une caméra. Je te regarderai, de temps en temps. Tu devras sucer tous ceux qui viendront te voir, et les laisser jouir où ils veulent. Tu ne dois jamais te cacher, ni te nettoyer, quoi quil arrive. Tu ne parles que si on te parle, et toujours avec respect. Tous ceux qui viendront tutiliser valent mieux que toi. Aujourdhui, tu nes quune bouche, et tu vas me rendre fier, putain.
Oui, maître.
Il prit ma veste, sortit et ferma la porte, sans la verrouiller. Alors commença lattente.
Elle commença, mais ne dura guère. Peut-être cinq minutes plus tard, je vis un des flyers se glisser sous la porte. Je frissonnai et le regardai un instant, jusquà ce quune voix de lautre côté me ramène à moi.
Alors ? Il y a quelquun ?
Jouvris la porte. Un homme dune quarantaine dannées, en costume. Un attaché-case à la main, un journal sans doute allait-il au travail. Quelquun du quartier, qui avait tenté sa chance.
Alors ça. Nathalie, jimagine ?
Oui, monsieur, cest moi.
Et quest-ce que tu fais là ?
Je supposai quil voulait me lentendre dire. Mon maître me regardait, et je voulais passer cette épreuve. Je voulais lui plaire.
Je suis là pour sucer, monsieur. Voulez-vous que je vous suce ?
Il sourit, savança, puis ouvrit sa braguette et me mit son sexe sous le nez.
Oui. Suce, vite. Jai plus important à faire.
Voilà, tout était dit. Jouvris la bouche et commençai à le sucer. Je lui caressai les couilles, tout en allant et venant sur son sexe. Il ne dura pas très longtemps, sans doute très excité par la situation. Il se retira, jouit sur mes seins et dit :
Voilà. Je voulais tavoir pendant que tu seras encore propre. Pour les autres, tu seras déjà sale. Amuse-toi bien.
Il prit mes cheveux, sessuya dessus et se rhabilla.
À nouveau seule, je commença à comprendre à quoi ressemblerait le reste de la journée. Comment un homme pourrait-il arriver ici, me trouver attachée, à moitié nue, mouillée de sperme, et ne pas avoir envie de me dominer à son tour, de mhumilier ? Toute la journée, jallais subir différentes formes de sévices. Ce serait sans doute une journée épuisante. Mais en même temps
Oui, la situation mexcitait déjà, et mes pensées saffolaient.
Un autre flyer glissa sous la porte. Jouvris. Le même genre dhomme, mais lui ne dit rien. Il avait le sexe en main, entra et me prit la bouche. Son sexe assez long se glissa jusque dans ma gorge, et il me laissa à peine la place, de temps en temps, de respirer. Très bientôt, ses saillies énergiques le firent éjaculer dans ma gorge, et il repartit. Je me rendis compte en voyant la porte se fermer quil ne mavait même pas regardée dans les yeux une seule fois, et je sentis mon vagin se serrer.
Il y en eut dautres. Je ne les comptai pas. Ils jouirent sur mon visage, sur mes seins, souvent dans ma gorge. Certains me dire de laisser leur sperme couler de ma bouche sur mes seins. Certains jouirent dans mes cheveux. Un ou deux se masturbèrent devant moi, la plupart se firent sucer. Quelques-uns me baisèrent la bouche, forte, vite, en minsultant. Ils essayaient de me couvrir de honte, et pas seulement de sperme. Cela mexcita à chaque fois, et je pensais à mon maître, qui me regardait peut-être.
Un groupe de trois adolescents arriva, à un moment. Ils arrivèrent en gloussant et en se poussant du coude. Je les aurais sans doute dits vierges. Ou au moins pas très expérimentés. Ils se turent en me voyant, et me regardèrent sans rien dire. Lun deux finit par trouver le courage de me toucher le sein. Il le pinça et le tira, ce qui me fit gémir. Jai les seins sensibles, je suis très facilement excitée quand on les pince, et ils étaient déjà assez durs de tout ce que javais subi. Le garçon me lâcha, et sessuya la main dans mes cheveux.
Le premier qui lui jute sur la bouche a gagné !
Je ne saurais pas vous dire lequel cétait, mais la course fut serrée. Je les entendis haleter tous les trois, et sentis du sperme méclabousser le visage, comme si cela nallait jamais fini. Je sentis leur semence couler sur mon visage, goutter sur mes cuisses. Je rouvris les yeux, et ils me regardaient en souriant. Puis ils se relayèrent pour se prendre en photo à côté de moi avec leur téléphone. Jallais sans doute faire sensation à la cantine ! Le dernier me pinça de nouveau les seins, et rit à mes gémissements.
La vache, quelle pute !
Ils partirent sans fermer la porte. Maître mavait interdit de la fermer si cela se produisait, aussi la laissai-je ouverte, malgré la peur quon me trouve. Si quelquun venait, mais pas pour moi
ce serait ment un voisin. Je tendis loreille. Des pas approchaient. Je les trouvai bizarres, mais jétais trop sonnée/excitée/effrayée pour réfléchir vraiment. Quand la personne sarrêta devant moi, je compris : cétait une femme, en chaussures à talons. Elle resta là à me regarder, et je me vis dans ses yeux. Attachée, presque nue, le visage, les seins, le ventre et les cuisses éclaboussés de sperme. Je repensai au maquillage que mon maître mavait fait mettre avant de mamener ici. Il ne devait guère embellir le tableau. Que ce spectacle lui plaise ou non, elle avait ment conscience que jétais une traînée. Jétais devenue une traînée pour mon maître, et je sentis un élan de fierté. Jétais si obéissante que je navais pas hésité un seul instant à mavilir de la sorte. Je navais pas reculé devant un seul des sexes qui sétaient tendus vers ma bouche ce jour-là.
Mais larrivée de cette femme changeait tout. Je nétais plus un objet de désir, quelquun que mon état pouvait excitée. Jétais la salope, la mauvaise femme, celle qui faisait passer toutes les autres pour des putes. Je sentis la honte monter. Puis elle glissa la main dans sa veste et en tira un flyer ! Elle remonta sa jupe, baissa son collant et sa culotte, et me montra sa chatte impeccablement épilée.
Tu sais quoi, Nathalie ? Quand jai vu ça, je me suis dit que tu étais une pute. ment. Mais là, je te vois couverte de foutre, et il ny a même pas cinq centimes par terre. Alors quoi, tu aimes ça ? Tu aimes te faire décharger dessus par tout le monde ? Tu aimes être un kleenex à disposition, comme ça, pour que les mecs puissent venir se branler ?
Oui, madame. Mon maître ma ordonné dêtre un trou, et je laime.
Ah, je comprends. Une petite soumise, bien sage, une qui mouille sa culotte en faisant ce quon lui dit ?
Oui, madame.
Très bien. Alors voilà un ordre. Bouffe-moi la moule.
Et elle me fourra son sexe sur le visage.
Je la léchai du mieux que je pus. Jessayai de glisser ma langue en elle, de lui lécher les lèvres et le clitoris, mais elle recula dun pas.
Nathalie, tu es sale, tu es couverte du foutre de je ne sais pas combien dhommes. NE tapproche pas de ma moule. Lèches-moi le clito et fais-moi jouir, un point cest tout.
Je lui demandai pardon, et recommençai, comme elle me lavait dit. Je la fis jouir en quelques minutes, après quoi elle grogna, et remit sa jupe.
Oooh. Paul avait raison, tu es bonne
Elle prit son sac à main, en sortit une pièce de deux euros et la laissa tomber entre mes genoux, en me regardant dans les yeux.
Tu as été heureuse et fière de faire ça pour tamuser ? Et pour amuser ton maître ? Eh bien moi, je dis que tu es une pute à deux euros. Voilà ce que ça maura coûté de jouir sur ton nez. Je me fous que tu aies aimé ou pas, jai payé pour jouir.
Elle partit, en fermant la porte derrière elle.
Jétais stupéfaite. Je savais que cétait son intention, mais cette pièce était vraiment humiliante, je me sentais petite. Je savais que je nétais pas une prostituée, et pourtant
mais lhumiliation redevint bientôt de lexcitation. Oui, jétais facile. Si facile que jétais gratuite, même pas une pute à deux sous. Gratuite, pour tous ceux qui entreraient ici. Cette pièce faisait une différence, mais en même temps pas vraiment. Mais je sentis ma chatte frissonner. Jétais trempée, trempée depuis le matin, si trempée que jétais épuisée dêtre si excitée. Je me rappelai lautre chose quelle avait dite. Qui était ce Paul ? Sans doute un de ceux qui avaient utilisé ma bouche. Et il lui avait parlé de moi. Il lui avait dit que jétais bonne. Jespérais que mon maître avait été devant lécran pour entendre cela.
Je ne savais pas combien de temps avait pu passer. Parfois, il y avait une pause entre deux « visites », et parfois les sexes paraissaient senchaîner. Je sais que trois hommes se croisèrent, lun entrant au moment où lautre sortait, et le troisième arrivant à temps pouvoir voir comment le deuxième me baisait la gorge avec force. Je navais pas encore repris ma respiration quand le troisième me posa le gland sur les lèvres.
Un moment plus tard, je vis que quelquun avait scotché un flyer sur la porte. Je sais que les hommes qui mavaient utilisée ne mavaient pas tous montré le flyer. Je ne sais pas sils étaient venus parce quils en avaient trouvé un, ou parce quon leur avait parlé de lavaleuse de sperme. Quant à moi
Jétais comme folle. Je ne sentais rien dautre que du sperme, depuis des heures. Les queues se succédaient, les insultes, les pincements et les claques sur mes seins
je voulais jouir !! Je voulais quon me prenne, quon me doigte, quon me lèche, nimporte quoi ! Javais tellement faim de jouir que ça en faisait mal. Je finissais par sauter au devant des hommes quand ils arrivaient, pour avoir leur queue. Mon maître avait-il su que je réagirais ainsi ? Que je serais si impatiente de sucer des dizaines dinconnus, et dafficher mon impudeur, ma dépravation ? Sans doute. Jai limpression quil sait tout de ce que jaime et de ce que jaimerai. De ce qui mexcitera. Et ce jour-là, il mavait montré une facette de moi-même que jignorais totalement. Je laimais tellement. Je navais pas limpression de le tromper. Déjà, cest lui qui mavait amenée là. Et je ne les considérais pas comme des gens, ces hommes qui se vidaient dans ma bouche ou sur moi. Je nétais quune bouche, et eux que des sexes. Via eux, cétait mon maître qui se servait de moi, cétait évident. Dune certaine façon, ce nétaient que des jouets, des accessoires, comme les pinces ou vibromasseurs quil utilisait sur moi. Mais vivants, pleins de sperme, quils giclaient sur moi sans relâche.
Je me rappelle le dernier. Cétait le premier, sans doute rentré du travail. Il eut un sifflement ironique en me voyant.
Eh bien, Nathalie, on dirait que tu as été bien occupée. Combien dhommes as-tu vidées ?
Je ne sais pas, monsieur. Jai perdu le compte. Sans doute plus dune vingtaine.
Une vingtaine ? Tu te rends compte quil y a des femmes qui ne couchent pas avec autant dhomme en toute une vie ? Et toi, tu viens de leur vider les couilles en une journée, sans les connaître.
Oui, monsieur. Je suis une chienne, je porte le collier de mon maître, et il me dresse à cela.
Il te dresse ? Eh bien jolie chienne, jai pensé à toi toute la journée, et jai un os à te donner, tiens.
Il me tendit à nouveau sa queue, et prit ma bouche. Je le suçai du mieux que je pus. Javais mal à la mâchoire et à la langue. Javais la voix cassée parce que ma gorge était irritée. Mais jétais si excitée, je lui donnai ma bouche comme je lavais fait le matin même.
Il continua de me parler en activant les hanches.
Marianne ma dit que tu léchais bien, aussi. Nathalie, tu devrais dire à ton maître que sil veut te prêter un jour, je connais des gens qui seraient très heureux de tutiliser.
Il retira son membre, et jouit sur mon front. Le sperme coula sur mes paupières et mes joues.
Tu sais quoi ? Je te laisse ma carte.
Je sentis quelque chose appuyer sur mon front. Il venait de coller sa carte sur le sperme quil avait déposé sur ma peau. Je sentis le carton rester là, tandis que quelques gouttes de sperme saccumulaient sur ma lèvre.
Un peu après que cet homme était parti, mon maître vint me rejoindre. Il avait quelque chose à la main.
Un miroir carré, quil brandit devant moi.
Regarde-toi, Nathalie. Regarde ce quils ont vu, toute la journée.
Jétais
je ne sais pas quoi dire. Cest indescriptible. Les cheveux collés, plaqués à mon front et à mes tempes. Les joues et le menton luisant, blanchâtres, avec des traînées de couleur à cause du maquillage, la carte de visite collée sur le front, un peu de travers. Le sperme imprégnait déjà le carton. Mais le maquillage
ce rimmel qui restait encore un peu autour de mes yeux, et qui avait coulé
cest limage que je garde de la perversion.
Mes seins et mon ventre étaient dans le même état, et mes bas étaient tachés, auréolés. Et la première pensée qui me vint fut : « Ça aurait pu être pire. Jen ai avalé beaucoup. » Jétais fascinée par ce reflet. Le sperme accumulé sur les épaules, sur la première côte un peu saillante
Le sperme sur mon cou, retenu par mon collier
Je narrivais pas à men détourner. Cétait à cause de ce collier que jétais couverte de sperme. Cétait lorigine et laccessoire de ma
de ma liberté, cétait ce qui me permettait dêtre moi, telle que je ne métais même jamais rêvée. Je sentis une telle chaleur, un tel amour, pour lhomme qui venait de moffrir ceci. Il fallait que je lui dise.
Cest vous qui mavez fait tout cela, maître. Je vous aime.
Je taime, putain. Maintenant, à la maison.
Il passa derrière moi, et détacha la barre de mes chevilles.
Nathalie, tu sais combien dhommes sont venus ici, aujourdhui ?
Non, maître. Pas du tout. Beaucoup. Il y en a un qui est revenu.
Oui, jai vu. Tu as dû lui faire bonne impression. Je garde sa carte, on ne sait jamais. Son amie avait lair charmante. Ramasse ta pièce, au fait. Tu las méritée. Mais donc
vingt-huit hommes. Plus une femme. Debout.
Je me levai. Jeus beaucoup de mal, après être restée à genoux toute la journée. Mais je navais pas mal aux genoux, du tout. Je regardai le coussin, bêtement impressionnée. Quand je fus debout, mon maître passa la main sur ma chatte. Je glapis, et commençai à remuer les hanches contre sa main.
Ne bouge pas, chienne. (Avec un grognement, je marrêtai, tremblante.) Je vois que tu tes bien amusée. Tu es trempée. Jai une bonne nouvelle pour toi, dans ce cas.
Il attacha ma laisse au collier. Puis glissa un uf vibrant en moi, et lalluma. Puis il tira sur ma laisse et me fit sortir de la cave. Cest là que je remarquai quil ne mavait pas apporté de manteau.
Marche bien droite, regarde les gens quon croisera en face, et je tautoriserai à jouir vite.
Dans mon état, je navais pas besoin dautre encouragement. Jobéis, le dos bien droit, nue et couverte de sperme, dont lodeur me suivait partout. Nous ne croisâmes personne. Je jouis comme une folle dans lascenseur, je tombai accroupie, prise de grands tremblements qui ressemblaient à des sanglots, sans même que mon maître me touche.
À la maison, il mamena sous la douche, et jouit dans mon cul pendant que leau chaude emportait le sperme de mon corps et de mes sous-vêtements.
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