Une Journée À La Foire .......

Il est sept heure trente, je me réveille les sens en ébullitions , je viens de faire un rêve érotique , et le mot est faible , j’étais dans un état second et me faisais tout bonnement mettre par deux mecs vigoureux, en pleine rue , bizarrement , personne ne voyait rien , tout comme je ne voyais pas le visage de mes deux amants , mais par contre j’ai bien sentis leurs queues ,je les revoient encore, une très grosse et noueuse à souhait , l’autre très large et plate , je passe ma main entre mes cuisses , ma minette est trempée, je touche à coté de moi , zut !! Georges est déjà levé.
Je passe un teeshirt qui ne cache même pas mes fesses, je descends a la cuisine, mon mari est encore là, je lui saute au cou, il sent bon, je l’embrasse et me colle a lui
- Eh bien qu’est ce qui t’arrive ??
- Chéri, je viens de faire un rêve, j’ai envie …
- Mon amour, je suis déjà en retard, et puis retire toi, tu vas tacher mon pantalon, ce soir tu me racontes ton rêve et, c’est promis je m’occupe de ta chatte, en attendant prend une bonne douche çà va te calmer, bisous !! À ce soir…
Me calmer !! Il me connaît, ce n’est pas çà qui va calmer mon entre jambes, même si je me caresse sous la douche !! Ma moule crie famine et tant qu’elle n’aura pas sentit le mâle, je ne serais pas calmée !!
J’ai décidé d’aller marcher un peu, çà me feras surement du bien, aujourd’hui c’est jour de foire, je vais y aller, il fait très chaud et lourd, j’opte pour une tenue légère, une petite robe blanche, et un mini string, pas de soustif, c’est bien comme çà !! À neuf heures je gare ma voiture, il n’y a pas encore beaucoup de monde dans la rue principale, je déambule lentement
Je m’arrête à un stand tenu par deux hommes d’origine Turc, je le sais pour les avoir déjà entendu parler de leur origine avec d’autres personnes , le plus jeune , environ vingt cinq est très beau, il se prénomme Mehmet, l’autre c’est son oncle Hassan il a une bonne cinquantaine , mais ce n’est pas pour cela que je m’arrête , ils ont toujours de belles fringues, et aujourd’hui je flashe devant une petite robe très mimi.


- Un renseignement, la petite dame ?? c’est tout à fait votre taille, trente six trente huit, c’est çà ?? Vous pouvez essayer dans le fourgon si vous le désirez
- Merci, je vais voir ….je vais faire un tour d’abord.
Il est bien lui !! Je suis déjà à poil sous ma robe, et si l’envie lui prend de monter quand j’y serais ……..
Il fait de plus en plus lourd, et j’ai toujours cette envie au creux des cuisses, arrivée en haut de la rue je décide de m’arrêter à la terrasse du bar pour prendre un café, à trois mètres de moi il y a un homme à une table, pas mal …je le dévisage du coin de l’œil, lui aussi d’ailleurs !!Il fixe mes cuisses que ma robe ne cache pas suffisamment, il change même de chaise afin d’être plus dans l’axe, une voix me dit : Annie calme toi, et une autre plus impérieuse : ouvre un peu plus les genoux….
Et c’est la deuxième qui gagne !! Lentement mes genoux s’ouvrent, le mec passe une main sur la bosse qui s’est déjà formée à la hauteur de sa braguette, aperçoit- il mon mini triangle ?? Est-il déjà taché ?? Une douce chaleur me monte aux joues.
Je veux le faire bander à mort, une de mes jambes se soulève, je la pose sur mon autre genoux, là il doit tout voir, çà se confirme, sa main branle carrément la bosse énorme, un coup d’œil aux alentours nous sommes toujours seuls, je ferme les yeux, une de mes mains se pose sur ma cuisse et glisse vers ma fourche, puis ma pensée vagabonde …. je vais me lever , rentrer dans le bar , il va me suivre, je me dirige vers les toilettes , je ne referme la porte , il entre avec moi , sans perdre de temps il relève ma robe , sort son pénis , écarte mon string et me pénètre a fond, je vais enfin jouir….
Soudain une voix de charretier me ramène à la réalité, en vitesse je retire ma main d’entre mes cuisses.
- Eh bien qu’est ce que tu fous ?? Allez viens on s’en vas, quand tu auras finis de reluquer le cul de cette pétasse, on va régler çà à la maison, et dépêche toi il va pleuvoir
Une matrone au cul large comme la table vient d’arriver !! Sa femme sans doute, le pauvre me jette un regard malheureux, et moi je reste sur ma faim!!
Et là, un formidable éclair et un coup de tonnerre, l’orage éclate, des goutes grosses comme des pièces de deux euros commencent à tomber, je n’ai pas de parapluie, vite je remonte la rue en direction de me voiture, maintenant c’est des trombes, ma robe blanche devient vite transparente, les aréoles de mes seins sont nettement visibles ainsi que mon mini string…les deux vêtements que je porte sont a tordre, mon slip est trempé, et lui pour deux raisons !! Aveuglée, les cheveux dégoulinants, je cours entre les stands, une bâche se vide à mon passage, je prend dix litres d’eau a la fois sur la tête, et soudain une main vigoureuse m’att par le bras et me tire sous une bâche
- Venez petite madame, ne restez pas sous ce déluge vous allez attr la mort
C’est l’oncle Hassan qui m’a reconnue !!
- Vous allez monter dans le fourgon vous sécher, rien de mal ne peut vous arriver ….

Un peu hébétée j’obéis, dans le fourgon Mehmet est là, il referme la porte et me tend une serviette
- Il faut enlever cette robe …vous ne pouvez garder çà sur vous ….
Ne sachant trop que faire je prends ma robe par le bas mais le tissu mouillé colle à ma peau, impossible de la remonter
- Attends jolie madame, je vais t’aider.
Positionné derrière moi il baisse la fermeture éclair, puis doucement pour ne pas le craquer, relève le tissus encore goutant vers le haut, me voilà en string seule avec cet inconnu ,avec sa serviette il éponge mes cheveux , les épaules mon dos …puis ….mes seins seule la serviette sépare ses mains de ma poitrine , ce qui ne l’empêche pas de me peloter voluptueusement.
Le volcan qui n’est toujours pas éteint se réveille, Cela suffit à me faire craquer, ma tête vient se poser sur son torse il est chaud, je ferme les yeux, la serviette tombe, mais les mains restent sur mes seins, je tourne un peu la tête, sa bouche est là, nos langues se mélangent, une main glisse vers mon entre jambe ouvert, se faufile sous la culotte mouillée, et atteint ma motte, deux doigts me pénètrent, sa virilité se fait vite sentir sur mes fesses , je m’y appuie.
- OOHH ouiii, c’est Bon !
Il me fait faire demis tour, débarrasse mon intimité du string devenu gênant, ses doigts reprennent leurs place dans ma motte brulante, moi je cherche la fermeture pour avoir entre mes doigts sa queue, je saisie une bitte très large et circoncise, il me pousse sur des cartons, je m’y allonge, pas confortable, mais très jouissif … Mehmet ouvre ma moule avec ses doigts ; sa langue pointue fouille mon intimité, soudain la porte latérale du fourgon s’ouvre et se referme aussitôt.
- Voilà les fringues sont à l’ abri …
C’est l’oncle… le silence retombe mais soudain, une queue longue et noueuse comme un cep de vigne se balance au dessus de mon visage….. çà y est je comprends tout !! .... ce matin, j’ai fait un rêve prémonitoire ….

Je vais bien en train de me faire baiser en pleine rue et personne ne vois rien ….même, le descriptif pour les queues çà colle !!!
Je me saisis de cet engin destructeur, je le porte d’abord a mes narines, çà va il sent le propre !!Alors comme une affamée je mets le gland (circoncis lui aussi) dans ma bouche, c’est le pied, je suce et me fait sucer !!, mais très vite le plus jeune a envie de me tringler
- Met toi à plat ventre sur les cartons, j’ai trop envie de te prendre la chatte, tu peux continuer à sucer tonton.
Sa queue large frotte merveilleusement bien sur mes parois vaginales, elle me remplie merveilleusement bien, mais celle qui me baise la bouche m’étouffe et je ne peu prendre que le gland
- Fiston, il n’y a pas une petite place pour moi ??
- Oncle Hassan !! Il faudrait peut être lui demander son avis ….
- Mais tu vois bien qu’elle est complètement partie, elle ne demande que çà …
- Oui, j’ai trop envie, baisez moi tous les deux
- Tu vois !!!
L’oncle se retire de ma bouche, bouscule quelques cartonne, enlève son pantalon et s’allonge sur le plancher
- Aller, vient là petite, tu va voir comme elle est bonne ….
Il tient son zob bandé à pleine mains et m’invite à m’assoir dessus, a regret Mehmet se retire de mon vagin, dans un semis léthargie je me relève, enjambe l’homme, et je frotte ma moule sur cette bitte, mes lèvres déjà ouvertes je n’ai aucun mal à trouver l’ouverture, lentement je me laisse descendre, mais la queue est énorme, c’est par à-coups que je la sens entrer dans mon ventre , une bonne partie est en moi, maintenant , alors je m’allonge sur se torse puissant , mon postérieur offert , le jeune homme immédiatement s’occupe de mon petit trou avec ses doigts , mon anus n’oppose pas de résistance ,il veut sa part lui aussi , bientôt deux doigts fouillent mon intestin ,
- Attend un peu mon oncle, ne bouge plus, je viens ….
Le gland mafflu titille mon anneau ouvert, il pousse, je me relaxe au maximum, j’ai un peu la trouille j’ai rarement pris deux queues aussi grosses à la fois ….

- Aie !! Attend çà brule ….
Mais il n’entend pas !! il continue de progresser, heureusement la douleur s’estompe vite, d’ailleurs je lui fait comprendre en poussant mon cul vers lui, les deux hommes ont compris le signal et ils commencent a ma pistonner les trous en cadence, les veines de la grosse bitte frottent en moi comme des billes qui se déplacent, un vrai bonheur, et l’autre dans mon cul m’ouvre littéralement en deux, tant pis si on m’entend de l’extérieur mais je ne peut m’empêcher de m’exprimer
- OOOOHHHHH que c’est booooonnnnnnn, ouiii défoncez moi les trous, j’en ai envie depuis ce matin Ouiiiii baisez moi salauds !!! Je jouiiiiiiiiiii
Mon jus chaud coule hors de ma chatte, mon corps est à nouveau trempé, mais cette fois c’est de sueur
Mes deux amants je laboure encore un bon moment, ils sont résistants ces deux là, enfin, Mehmet me cramponne les hanches, et dans un feulement étouffé se vide dans mon boyau, quelques giclées puissantes, et puis sa queue ramollie glisse hors de moi
Maintenant seul en moi Hassan se déchaine, il me propulse en l’air par de puissants coups de reins, si ma moule n’est pas ouverte maintenant, elle ne le sera jamais !!Et puis, l’apothéose une deuxième fois je joui pendant que son foutre inonde ma matrice, la place manque pour retenir une telle quantité de liquide, nos jus mélangés coule sur ses couilles,
Là je suis vraiment apaisée !! Mais la réalité est là, je suis a poil mes vêtements sont trempés ….
- Tiens, petite madame, enfile cette robe, c’est celle que tu regardais ce matin, je l’avais mise de coté, accepte là, je te l’offre, quant au cache sexe, je ne fait pas çà, tu va être obligée de partir sans culotte !!!Je peu garder celui qui est mouillé, malgré tout il sent bon, et çà me feras un souvenir !!!
Titubante, je sors du fourgon, quelques hommes me regardent avec un petit sourire …. Il fait un soleil magnifique, je regarde l’heure, il est midi passé, le temps ne m’a pas duré !! Et je suis d’une humeur excellente !!
Le soir arrive et Georges aussi …
- Alors chérie tu me le racontes ce rêve ….
- Eh bien voilà, j’étais en ville à la foire, un gros orage est arrivé ………bla bla bla !! Et deux hommes m’ont baisée….
- Et, tu es calmée maintenant ??
- Oui, un peu ? mais si tu veux je peu enlever ma petite culotte ….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!