Mon Espagnole
Ouf, jarrive enfin chez moi. Je suis dehors depuis 2 mois et il me tarde de retrouver mes aises, surtout mon lit au matelas assez dur. Je travaille pour la commission européenne comme expert. Je suis envoyé à peu près partout dans le monde pour des enquêtes. Je ne suis jamais seul, une personne au moins maccompagne. Cette fois jai eu une collègue. Elle est espagnole. Elle ne me déplais pas du tout. Je sais que linverses est vrai. Pourtant, cest une règle chez nous : pas de coucheries pendant les missions. Elle sappelle Rémédios, que jai simplifié en Rémé. Elle ma demandé de faire escale à Madrid. Nous avons pu passer une nuit ensemble. Et quelle nuit ! jy pense encore à tel point que je dois ma masturber rien qu'en me souvenant. Je le fait dautant plus que je suis dans le bain chaud que jai fait couler dès mon arrivée. Jaime particulièrement me branler dans leau chaude, il me semble que tout mon corps est sous une caresse inconnue.
Jai en tête sa dernière jouissance quand jétais en elle. Elle était sur la dos, les jambes autour de ma taille, jétais enfoncé au fond de sa chatte, quand je sentais pour cette dernière fois son sexe avoir des spasmes autour de ma queue, jai pu jouir en même temps. Elle ma dit de venir lundi et nous sommes vendredi. Après demain elle devrait être là, sur mon lit. Il me tarde.
Jai commandé un bon repas chez le meilleur traiteur de ma ville : il servira vers 20 heures dimanche. En attendant je vis sur les nerfs. Je crois que je ne me suis jamais branlé autant, le couché, le midi, laprès midi, avant le diner, après le diner, en me couchant, dans la nuit sans oublié dans le bain. Je dois avoir les couilles presque vides.
Enfin dimanche après midi, elle sonne : elle est là, toujours aussi sexy avec sa valise et son imper. Je ne sais pourquoi elle a ce « machin » : il ne pleut presque jamais chez moi. Nous ne pouvons résister, nous nous embrassons longuement comme si nous ne nous étions pas vu depuis une éternité.
Je mets ma main sur ses fesses, je sais quelle aime ça. Je soulève sa robe. Jai une bonne surprise : elle ne porte pas de slip. Tant mieux. Je peux aller à la rencontre de son cul, je sais aussi quelle aime ça et même un peu plus, sur son cul. Je ne cherche même pas à y entrer, je le caresse lentement. Elle me laisse faire et sacharne à ouvrir ma braguette. Elle y arrive, sort ma bite, la prends à pleine main et commence à me masturber. Je ferme les yeux sous la caresse. Elle est assez bonne baiseuse pour sarrêter avant de me faire jouir.
Moi aussi je lui fait tomber la robe, cest extrêmes simple : un gros bouton et la ceinture, en haut sur le dos de la robe suffi. Je le défait : la robe tombe directement sur la carrelage. Elle est totalement nue. Jadmire tout son corps. Je léloigne de moi pour mieux la regarder. Elle aussi regarde, mais ma bite bien dressée.
Elle a envie de moi, elle sapproche pour faire tomber tous les vêtements. Quand je suis nu, elle vient contre moi pour que nos corps se retrouvent. Je sens ses seins durcir comme ses mamelons qui bandent. Je lemmène dans la chambre où elle se couche sur le lit, sans demander son reste. De toutes façons cest moi qui ai le reste. Elle écarte ses jambes pour que je la baise. Jai toujours autant envie de ce corps offert ainsi. Pourtant jai besoin de sentir le goût de sa cyprine. Je pose ma bouche sur son entrejambes. Elle écarte encore un peu les cuisses, Je peux y mettre ma tête. Je sors ma langiez pour la lécher depuis les genoux jusquà cet endroit merveilleux quont les femmes. Ma langue vas avant tour dans son vagin: jaime toujours commencer par là: elles jouissent toujours facilement ainsi.
Avec Rémé, jai la chance de tomber sur un clito assez long. Je peux le prendre dans la bouche et le caresse avec le bout de la langue. Jai son odeur qui envahi mes narines. Je men délecte. Enfin quand elle a jouit elle me fait venir sur elle. Je ne me gêne plus: je pose mon corps sur le sien, elle prend ma pine pour la guider dans son con. Jentre en elle facilement tellement elle est mouillée. Elle met à nouveau ses jambes autour de ma taille. Je peux ainsi plonger profondément en elle. Nous en avons tellement envie que nous jouissons pratiquement ensemble. Elle ne veux pas que je sorte: je débande dans son sexe. Je reste ainsi dans son ventre un moment qui me semble très long: nos lèvres soccupent entre elles. Ce doit être la chaleur de son vagin et nos baisers qui me font bander à nouveau.
Fière delle cette fois elle me demande daller plus bas. Elle me fais sortir delle juste pour que je me déplace de quelques centimètres.
Nous sommes dérangés par le traiteur. Nous grignotons toujours nus en nous branlant. Enfin nous allons nous recoucher, elle est toujours sur le dos. Jai peur de la sodomiser ainsi. Pourtant sa cyprine a abondement couler sur son anus: je nai plus quà lenculer. Je me met sur son entrée culière, la bite bien posée. Jentre en elle sans dommage, elle gémit: « baisa me, bassa me » en espagnol : baises moi, baises moi en français. Je vais et viens dans son cul. Elle jouit encore plusieurs fois encore. heureusement pour moi, je ne jouis pas;. Je me réserve pour la suite.
Quand je sors de son cul, nos lèvres toujours unies dans un grand baiser, elle demande un instant de repos. Elle pose sa tête sur mon épaule : te quiero; « je taime » Je la crois dautant plus que pendant notre dernier voyage nous ne pouvions rien nous dire de personnel.
Elle veut me prouver son amour, elle se tourne la tête au pied; Elle veux faire un 69: cest le premier que nous allons faire.
Cette fois nous nous endormons pour la nuit, enfin théoriquement: nous ne sommes pas habitués à dormir dans le même lit. Cest elle que se réveille vers 5 heures du matin. Elle me réveille de la meilleurs des façon, sa bouche a pris ma pine et la suce lentement. Elle est fière delle: je suis réveillé et je bande. Elle me fait mettre sur le dos, monte sur moi prend ma bite pour se la mettre toute seule, comme une grande dans son vagin. Elle resta assise sur moi. Elle monte et descend sans arrêt: elle arrive à nous faire jouir ensemble. Je sens que nos spasmes ont lieu ensemble.
Elle sort ma bite, se couche et se rendort. Je reste un peu sur ma faim. Ce nest que vers 9 heures, quand nous nous éveillons pour de bon, quelle décide daller préparer le petit déjeuner. Je la suis à la cuisine: nous sommes nus: elle passe un petit tablier Elle est adorable ainsi. Ma bite la trouve aussi agréable: je bande. Je vais près delle, me met contre son dos, ma bite bandée contre la raie de ses fesses. Ses mouvements font que ma bite va et vient dans sa raie. Elle en rajoute un peu. Je vais me trouver mal si elle ne me contente pas dans les minutes qui suivent.
Elle retarde au maximum alors que je sais quelle mouille comme ne fontaine. Elle arrête ce quelle faisait pour venir sassoir sur la table, les jambes ouvertes vers moi.
Nous passons les deux jours suivant à ne penser quà ne seule chose : baiser.
Le reste de notre vie sen trouve changé, nous baisons tous les jours depuis notre mariage. Hélas, nous ne faisons plus de missions ensemble.
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