Relations Homosexuelles 3
Relations homosexuelles 3-
« Enlève ton veston et pose le sur la chaise à coté. »
Je m'exécute.
« Maintenant, couche-toi au centre du lit. »
« Vous voulez que j'enlève mes souliers ? »
« Non, je me réserve ce plaisir pour plus tard. »
L'homme se lève et se dégage d'entre mes jambes.
En me poussant de mes mains, je me glisse sur le lit de sorte que j'y repose au complet.
L'homme s'approche de moi et s'assied sur le bord du lit à la hauteur de mes hanches.
Il pose une main sur la braguette de mon pantalon et constate que mon pénis est toujours en pleine érection.
« Il semble impatient de se faire occuper de lui ? »
« Oui, il est impatient, il veut se donner à vous ! »
« Il va peut-être le regretter ? »
« Peut-être, mais il quand même s'abandonner à vous. »
« Je vais commencer par dégager complètement le haut de ton corps. »
L'homme sort le bas de ma chemise de l'intérieur de mon pantalon et il dénoue les boutons toujours attachés.
Il écarte les pans de ma chemise.
« Assieds-toi que je t'enlève ta chemise. »
Je m'assied.
L'homme retire ma chemise de mes épaules, il m'aide à dégager mes bras des manches et il la lance sur la chaise où se trouve déjà mon veston..
Je me retrouve complètement nu de la tête aux hanches.
L'homme me prend par les épaules et me recouche sur le lit.
D'une main, il relève légèrement ma tête et de l'autre, il glisse un oreiller.
« Tu vas être plus confortable ainsi. »
L'homme se penche vers moi : son thorax frôle le mien.
Je frissonne sous ce genre de contact.
Son visage s'approche du mien.
Je sens son haleine, elle est fraiche.
Il place ses mains de chaque coté de ma tête.
Son regard trahi ses intentions.
« Ferme tes yeux! »
« Pourquoi, j'aime regarder votre visage ? »
L'homme fixe mon regard »
« Tu as déjà été embrassé lascivement sur la bouche par un garçon ? »
« Non!»
« Tu n'as jamais été embrassé sur la bouche ? »
« Jamais! »
« Je vais donc être le premier homme à t'embrasser ? »
« Vous tenez absolument à m'embrasser ? »
« Oui, et même de force si nécessaire.
« Faites comme vous voulez ! »
Je ferme mes yeux.
L'homme passe une jambe par dessus mon corps et se couche sur moi.
En appuyant ses coudes sur le lit, il maintient un mince espace entre sa poitrine et la mienne tandis que tout le poids de son bassin pèse contre le mien.
Il approche son visage très près du mien.
Ses lèvres effleurent les miennes.
« Humidifie tes lèvres avec ta langue. »
Je passe ma langue sur mes lèvres.
« Ouvre légèrement ta bouche. »
J'obéis.
Ses lèvres frôlent les miennes.
J'essaie d'éviter le contact des ses lèvres en poussant ma tête contre l'oreiller au maximum.
Les mains de l'homme m'empêchent de faire le moindre mouvement pour échapper à son emprise.
Par réflexe, je ferme ma bouche.
L'homme soulève légèrement son bassin en s'appuyant sur ses jambes.
« Écarte tes jambes. »
J'écarte mes jambes.
Tout en maintenant son corps soulevé avec une jambe, il insère son autre jambe entre les miennes.
« Tu m'as désobéi en refermant ta bouche, voilà! »
L'homme m'assène un violent coup de genou entre les jambes. Le coup atteint mes testicules.
« Hhhaaaaa! Ça fait mal !
L'homme se régale de la douleur qu'il vient de m'infliger, douleur qui se reflète sur mon visage.
« Je vous en prie, laissez-moi reprendre mon souffle. »
L'homme me laisse quelques secondes pour récupérer.
L'homme se repositionne sur mon bassin tout en maintenant toujours sa jambe entre les miennes.
« Maintenant, tu acceptes de te faire embrasser sinon je t'assène un autre coup de genou. »
« Je vous en supplie, ne me donnez pas un autre coup de genou, je vais me laisser embrasser. »
J'ouvre ma bouche.
Sa langue passe sur toute mes lèvres en les humidifiant de salive puis, ses lèvres se posent contre les miennes.
Sa langue pénètre furtivement dans ma bouche, elle touche à ma langue avec avidité et même, avec agressivité puis nos lèvres se séparent.
« Sorts ta langue. »
Je sort le bout de ma langue.
« Sorts la encore plus. »
Je sort ma langue tant que je peux.
L'homme repose ses lèvres contre les miennes de sorte que le contact soit étanche.
Il crée une forte succion sur ma langue.
Ma salive est même aspiré dans sa bouche.
Le contact entre nos lèvres se soude.
Je sens ses dents toucher le dessus et le dessous de ma langue.
L'étau se resserre.
Ses dents mordent ma langue avec une certaine vigueur.
Le contact entre nos lèvres est tel que je ne peux même pas émettre le moindre murmure de douleur.
La succion de la bouche de l'homme augmente de sorte que ma langue pénètre encore un peu plus dans sa bouche.
Ses dents se referment une seconde fois sur ma langue.
Cette fois la morsure est encore un peu longue et surtout plus douloureuse.
Je me dois d'endurer cette seconde morsure en silence, mais des larmes perlent à mes yeux et coulent sur mes joues .
J'essuie mes larmes du revers de mes mains.
L'homme cesse sa succion permettant à ma langue de reprendre une position normale.
Mais, le contact entre nos lèvres devient de plus en plus lascif.
Sa langue pénètre à nouveau dans ma bouche. Elle en fouille tous les recoins intérieurs.
Je sens qu'un important filet de salive coule sur toute la longueur de ma langue et glisse au fond de ma gorge.
J'avale cette salive non sans un peu de dédain.
Finalement l'homme desserre quelque peu son emprise et se dégage de ma bouche non sans laisser couler sur ma langue, un second filet de salive.
J'avale cet autre filet de salive.
« C'était bon? »
« Pour vous, oui ? »
« Pour toi ? »
« Pas vraiment! Vous m'avez fait très mal ! »
« Tu accepterais que je t'embrasse à nouveau sans que je t'y force ? »
« Oui. »
« Je vais maintenant essayer de me faire pardonner un peu. »
L'homme, tout en demeurant allongé sur moi de tout son poids, de ses mains, il tourne légèrement mon visage vers la gauche.
Il approche ses lèvres du lobe de mon oreille gauche et le suce tendrement pendant quelques secondes.
Je me détends.
Il pose ensuite sa bouche sur mon oreille.
Plusieurs souffles chauds irradient tout l'intérieur de mon oreille.
« C'est bon! »
Je sens ensuite le bout de sa langue parcourir l'intérieur de mon oreille et pénétré dans le canal auditif.
Je frissonne de bien-être.
Un filet de salive coule à l'intérieur du canal auditif de mon oreille gauche et atteint le fond du canal.
« Vous me rendez bien. »
« Ce n'est que le début d'un mélange de jouissance et souffrance par lequel je vais te faire passer. »
« Vous allez encore me faire mal ? »
« La souffrance que je vais te faire endurer va être à la mesure de la jouissance que je vais te prodiguer. »
L'homme me tourne la tête du coté droit et me fait connaître les mêmes jouissances que celles que j'ai connues dans mon oreille gauche.
« Maintenant, ouvre tes yeux et regarde-moi! »
J'ouvre les yeux et je fixe ceux de l'homme.
« Je vais maintenant te faire connaître des sensations sexuelles beaucoup plus intenses. »
De ses mains, l'homme soulève son thorax du mien et se dégage de mon corps.
Il débarque du lit et il s'agenouille sur le plancher, à coté du lit.
« Tasse-toi sur le bord du lit. »
Je m'exécute.
L'homme passe ses mains sur mon thorax: ses doigts frôlent mes mamelons à plusieurs reprises puis, ils glissent vers le bas de mon ventre.
Un ou deux doigts frôlent mon nombril, s'y insèrent et créent une pression interne qui est soutenable.
Ses mains glissent maintenant vers le bas de mon ventre et atteignent le niveau de ma ceinture.
Je ne peux dissimuler le bien-être que me prodiguent ces attouchements: ma respiration s'accélère, mon corps frissonne et se couvre de chair de poule.
Le regard de l'homme et le mien se croisent :
« Relax et profite du moment qui passe, mon jeune garçon ! »
« Vous me faites connaître des sensations que je n'ai jamais ressenties avant.
Les muscles de mon ventre se contractent laissant place aux doigts de l'homme qui glissent sous ma ceinture et s'introduisent à l'intérieur de mon pantalon.
Le bout de ses doigts frôlent le gland de mon pénis.
Je sursaute:
« Ooouuiiiii, faites-moi jouir! »
« Oui, je vais te faire jouir comme tu n'as jamais joui mais, tu dois mériter que je te fasse jouir. »
L'homme fait tournoyer le bout de mon pénis entrer ses doigts.
« Ooouuiiii, continuer! Je veux vite mériter que vous me fassiez jouir. »
Les doigts de l'homme cessent de caresser le gland de mon pénis. Ses mains remontent lentement sur mon ventre et atteignent à nouveau mes mamelons.
Il passe rapidement le bout de ses doigts sur le bout de mes mamelons.
Ils durcissent instantanément.
De la façon que ses deux doigts saisissent mes mamelons, je devine ses intentions:
« Vous allez les pincer ? »
« Prends une profonde respiration et serre les dents. »
Je m'exécute et je commence aussitôt à sentir une vive douleur qui va en s'accroissant.
« Aaaahhhhh! »
« Tu es beau quand tu souffres. »
L'homme pince soudainement mes mamelons aussi fort qu'il peut.
« Noooonnnnn! »
« J'aime ça te faire souffrir et te voir te tordre de douleur. »
L'étau se desserre.
L'homme approche sa tête de mon thorax et il lèche lascivement mes mamelons gauche et droit à tour de rôle.
La douleur s'estompe tranquillement laissant place à un certain bien-être.
Il s'intensifie par la suite, quand l'homme commence à les sucer avec délicatesse pendant qu'une main se dirige à nouveau vers le bas de mon ventre.
La jouissance ressentie par les différents attouchements qui me sont prodigués font que mon ventre se contracte à nouveau en laissant une ouverture encore plus béante à la main qui se glisse à nouveau sous la ceinture de mon pantalon pour s'y introduire.
L'homme me regarde et mes yeux croisent son regard.
Je sens qu'une main se glisse sur mon pénis toujours en pleine érection malgré les souffrances ressenties.
Des doigts se positionnent tout autour.
Tous les muscles de mon corps se crispent à nouveau.
« Je vous en prie : masturbez-moi, faites-moi jouir! »
L'homme me masturbe pendant quelques secondes puis il s'arrête.
Tout mon corps est en attente de caresse.
« Continuez, je vous en prie! »
« Oui, je vais continuer mais avant je vais te dévêtir entièrement pour me permettre de découvrir les plus belles et les plus sensibles parties de ton corps. »
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