La Directrice D'Hôtel

Elle vint à ma rencontre d’une démarche voluptueuse, les hauts talons de ses sandales claquant et rythmant ses pas sur le carrelage.
C’était vraiment une très jolie femme et j’étais heureux de revenir dans cet hôtel pour compléter une installation commencée quelques jours plus tôt.
De taille moyenne, brune avec une coupe de cheveux courte et au carré, cette femme d’une quarantaine d’années savait parfaitement mettre en valeur son corps mince par des tenues ajustées.
La jupe noire courte mettait en valeur ses jolies jambes et son chemisier blanc échancré mettait en valeur sa poitrine ne dépassant pas à mon sens le 85 B.
De jolies lunettes rectangulaires et de discrets bijoux aux oreilles et au cou venaient compléter le tableau et lui conférait un charme discret et indéniable.

Elle s’installa à l’ordinateur voisin pendant que je m’escrimais à paramétrer le logiciel que je venais d’installer.
Elle était juchée sur un tabouret assez haut et je pouvais voir du coin de l’œil ses jambes largement dégagées, la pointe de ses sandales noires reposant sur le repose pied, les talons longs et fins dansant au rythme du mouvement de balancier qu’elle imprimait à ses jambes.
Parfois elle posait un pied au sol pour attr un document sur la table voisine et je voyais alors sa jupe remontant jusqu’en haut de sa cuisse.
S’il n’y avait pas eu le comptoir d’accueil, je pense que les clients arrivant auraient eu droit à un magnifique spectacle.
Elle tournait parfois la tête vers moi pour s’enquérir de l’avancement de mes travaux, un air amusé éclairant son visage et je me dis qu’elle devait se rendre compte de l’émoi qu’elle provoquait en moi.
Quelques minutes plus tard je l’invitai à venir près de moi pour lui expliquer le fonctionnement du logiciel.
Elle se tenait debout près de mon tabouret, sa main appuyée sur le dossier et se penchait pour regarder à l’écran les différentes manipulations.


Tournant régulièrement la tête pour m’assurer de sa compréhension je ne pouvais empêcher mon regard de tomber dans son décolleté et admirer la fine dentelle du soutien-gorge emprisonnant ses seins qui bougeaient au rythme de sa respiration.
Cette femme était vraiment désirable et elle devait parfaitement connaître le pouvoir qu’elle exerçait sur les hommes, à voir la façon que son personnel avait de lui parler avec obligeance.

A un moment je retournai à mon véhicule chercher un document et elle prit ma place sur le tabouret.
De retour, alors que j’arrivais derrière le comptoir, je vis qu’elle était au téléphone et essayait en même temps d’atteindre la touche envoi du fax placé en contrebas.
Je me penchai pour l’aider et elle détourna la tête vers l’écran, continuant sa conversation.
J’avais une vue imprenable sur son entrejambe et même si cette vision fut fugitive, j’eus le temps d’apercevoir un joli string arachnéen noir qui dissimulait avec peine un sexe aux lèvres ourlées qui encadraient parfaitement un très joli sillon rose.

Ayant raccroché, je lui proposai alors de nous rendre dans une chambre libre afin de tester sur un téléviseur si notre programmation fonctionnait.
Nous nous rendîmes au troisième étage, elle marchant devant moi et je me délectais littéralement du balancement de ses hanches qui mettaient en mouvement ses très jolies fesses.
Nous devions nous assurer que toutes les chaînes étaient diffusées et je savais que parmi elles il y avait quatre programmes à caractère pornographique (programme pour adultes comme ils disent dans les hôtels en utilisant un langage politiquement correct…).
Je passais d’un programme à un autre, mon cœur battant la chamade de plus en plus vite au fur et à mesure que je m’approchais des fameuses chaînes.
Je m’arrêtai avant, lui faisant remarquer que tout fonctionnait bien, me sentant assez gêné d’afficher de tels programmes devant elle.
« Et les programmes pour adulte ?» s’enquit elle d’un air détaché.

J’étais au pied du mur. J’appuyai sur le bouton suivant de ma télécommande et le spectacle d’une magnifique blonde s’empalant sur un sexe démesuré de black apparut à l’écran.
Je crois que je devais être couleur pivoine et la directrice semblait s’en amuser.
Je regardai ses jolis yeux fixant ce spectacle très crû et cela déclencha en moi une formidable érection.
« Je n’aime pas ses seins siliconés » dit elle soudain, pas vous ?
Je bredouillai que moi non plus tout en appuyant à nouveau sur le bouton.
Deux femmes, une de plus de 50 ans et une autre beaucoup plus jeune étaient en train de sucer à tour de rôle la queue trapue d’un homme mûr.
Pas de commentaire de sa part.
Programme suivant, deux très jeunes femmes sur le bord d’une piscine, une allongée et l’autre à genoux devant elle, sa main complètement introduite dans son vagin dans un fist endiablé.
Toujours pas de commentaire.
Dernier programme, une femme d’une quarantaine d’années vêtue d’un joli tailleur strict, assise sur le bord d’un lit les jambes grandes écartées, la jupe complètement relevée, de jolis doigts vernis de rouge caressant un clitoris gonflé et turgescent au milieu d’un sexe totalement lisse.
« J’adore » murmura t-elle. Pas vous ?
Ce spectacle était effectivement très excitant d’autant que le personnage et le lieu avaient beaucoup de similitudes avec la situation présente.
« Oui, j’aime bien » répondis-je.
Elle éclata d’un grand rire en me faisant remarquer que cette scène devait avoir été tournée dans un hôtel.
Elle planta alors son regard si joliment habillé par ces lunettes fines qui lui conféraient un aspect à la fois stricte et BCBG.
« Vous avez très bien travaillé, je suis presque satisfaite » me dit-elle pendant que la femme à l’écran continuait à pousser des gémissements de plaisir pendant qu’elle se masturbait frénétiquement.
Soudain elle jouit dans un râle et un véritable jaillissement s’échappa en longues saccades de son sexe ouvert.

« Mon dieu, une femme fontaine !!! » s’exclama la jolie directrice dont les yeux s’étaient à nouveau reportés sur l’écran.
« En avez-vous déjà rencontrées ? » s’enquit-elle tout en approchant la main de ma braguette largement gonflée par l’érection maintenant complète.
Avant que je n’aie le temps de lui répondre elle plaqua sa main sur ma verge tendue a travers le tissus et commença à la caresser de bas en haut, son joli regard accompagnant le mouvement de sa main.
« Vous me plaisez beaucoup et j’attendais le moment propice pour vous le dire. J’ai très bien remarqué vos regards sur moi vous savez… ».
Elle s’agenouilla devant moi et entreprit de déboutonner mon pantalon pendant qu’à la télévision la femme s’était maintenant mise à quatre pattes sur le lit et commençait à titiller la corolle de son anus avec la pointe d’un petit vibromasseur doré.
Mon sexe libéré, la directrice commença à faire glisser ses lèvres le long de ma hampe, mordillant délicatement la peau fragile de mon gland qu’elle décalotta puis le goba de sa bouche chaude et gourmande.
L’actrice avait maintenant enfoui le gode dans son cul et avait entrepris de se sodomiser langoureusement.
Ma jolie chienne me suçait maintenant avidement, avalant mon sexe presque jusqu’à la garde, pendant que ses doigts dégrafaient son chemisier et le soutien-gorge, libérant de petits seins aux tétons très longs et gonflés.
« Viens je veux te montrer ma fontaine » me dit elle en se redressant.
Après s’être débarrassée de sa jupe elle s’assit sur le bord du lit, adoptant la position qu’avait l’actrice précédemment.
Elle n’était plus vêtue maintenant que de ses sandales et son minuscule string que je lui arrachais, le humant avec gourmandise avant de le jeter.
Il atterrit sur le bord de l’écran et resta accroché là.
Elle était là face à moi, offerte, son sexe totalement lisse dont elle écartait les lèvres avec ses doigts longs et manucurés.
Je me ruai pour me désaltérer à sa source, m’abreuvant de sa liqueur si douce.

Sa main posée sur ma tête, je lapai sa jolie fente du bout de la langue et effectuai des circonvolutions autour de son bouton rose et gonflé avec ma langue, l’aspirant parfois telle une petite queue.
L’actrice se godait maintenant frénétiquement en poussant de longs râle de plaisir pendant que je léchais ma belle qui se caressait maintenant vivement le clitoris.
Mes mains jouaient avec ses tétons vraiment très longs que je faisais rouler entre mes doigts.
« Regarde ! » hurla t-elle soudain pendant qu’à la télé la femme jouissait bruyamment le gode planté au plus profond de ses entrailles.
Un jet chaud jaillit de sa chatte et inonda mon visage. C’était magique et cela se répéta à plusieurs reprises, son sexe se refermant après chaque éjection de ce liquide transparent et délicatement parfumé.
Mon amante semblait ravie de m’avoir fait découvrir cela et elle attrapa ma queue qu’elle guida vers sa fente encore ruisselante.
« Je veux jouir à nouveau et goûter ta semence » me dit elle avant que mon sexe ne se glisse dans sa grotte magique...

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