Mon Petit Rugbyman
Voici une nouvelle histoire que jai vécue à lâge de 25 ans.
A cette époque je me rendais dans une discothèque hétéro, aussi fréquentée par des homos, gays et lesbiennes. La discothèque était aussi le « repère » dun groupe de rugbymans.
Malgré quelques insultes de ces derniers, à légard des homos. Tout le monde passait de très bonnes soirées. Le patron était très sympa et ne voulant pas de problèmes dans son établissement, il disciplinait les égards de ce groupe de sportifs hétéros.
A ce moment, jétais en couple depuis quelques temps, mais ce nétait plus le bonheur parfait. Ses infidélités incessantes maccablaient terriblement. Ce soir là à nouveau nous nous étions fâchés et il était partit sans moi.
A la fin de la soirée, fatigué et énervé je me met au bar et commande un dernier verre « pour la route ».La discothèque se vide assez rapidement, puis il ne reste plus quune dizaine de personnes.
Les yeux noyés dans mon verre, je ne remarque pas un rugbyman, lui aussi tout seul, au bout du bar. Il se place à mes côtés, puis me parle, mais je nécoute pas ce quil me raconte. Pensant quil veut mennuyer, je lui coupe la parole, et sans même le regarder, dune voix agacée lui dit :
- alors là, cest vraiment pas le moment, fou moi la paix !
Mais il continu à me parler. Je relève les yeux pour le regarder. Il est de petite taille, il porte un t-shirt blanc moulant, qui met son torse finement musclé en valeur. Il me regarde et se dessine sur son visage un sourire magnifique. Je le trouve charmant. Je me radoucis et cette fois fait un peu plus attention à ses propos. Il me dit :
- je ne veux pas tembêter je veux juste te parler.
- ha oui et tu veux me parler de quoi ?
Il se présente en me disant son prénom et mexplique quil na rien contre les homos, Il me dit quil travaille sur des chantiers. Il me demande quel est mon prénom, quel âge jai et ce que je fais dans la vie.
- on pourrait rentrer ensemble, en fait je suis bisexuel. Jhabite au centre ville on peut y aller à pieds.
A cette proposition, sans réfléchir, je réponds de suite oui. Ravi il me dit quil va mattendre dehors. Je fini mon verre rapidement puis rejoins mon nouveau copain.
Dehors, le jour se lève, en ce dimanche matin il ny a pas grand monde dans les rues. Mon petit rugbyman va se montrer très tendre, il me prendra la main et parfois mettra un bras autour de mes épaules et comme jai un peu froid il me prêtera sa veste. A un moment, il me bloquera prestement mais avec tendresse, dans une porte cochère pour me donner son premier baisé. Il embrasse divinement bien, jai presque défailli. Tout ce quil me fait me procure des sensations de bien-être. Jen oubli même mon copain qui lui, par pudeur ou par paresse, ne me donne que rarement des preuves damour.
A un moment il me fait une révélation, il me raconte que sil est bi, cest quil a découvert ses penchants en prison avec le mec qui partageais sa cellule.
Je pose la question fatidique dont la réponse me glace le sang :
- pour quelle raison tu as fait de la prison ?
Dun air grave il me répond :
- jai butté un gars à coup de fusil.
Totalement déconcerté et troublé, on en restera là, je préfère ne pas y penser, et je sens bien que lui aussi (je tairai les raisons de son geste quil ma expliqué plus tard mais qui, selon ses dires, nabsout pas ce quil a fait).
Enfin, on arrive chez lui, à peine passé la porte se son appartement il me colle au mur et membrasse à nouveau avec une délicatesse folle. Il presse son corps contre le mien, et je ressens contre ma jambe son sexe déjà bien bandé. La réponse de mon corps ne se fait pas attendre et ma bite se raidit rapidement.
Il me propose un café, que jaccepte volontiers (ça va me faire du bien).
Alors que je massoie sur une chaise, je suis dos à lui. Derrière moi, il prépare le café.
Une pensée me traverse lesprit, jaimerais quil se place derrière moi quil mette ses mains sur mes épaules et quil me caresse le torse en descendant vers ma taille et quil membrasse dans le cou. Chose invraisemblable, comme sil avait lu dans mes pensées, il fait exactement ce que je voulais. Je ne peux pas vous exprimer ce que jai ressenti à ce moment précis. Jai manqué de mévanouir.
Ensuite, on boit le café, puis il me propose de prendre une douche. Je suis enchanté dêtre tombés sur un mec aussi soucieux que moi sur lhygiène. Je vais pour me déshabiller, mais il sapproche de moi et me dit :
- laisse moi faire.
Jadore que lon me déshabille (il a fait des recherches sur moi, ce nest pas possible).
Puis, délicatement, il môte vêtement après vêtement. Je me retrouve en slip, qui dissimule difficilement une érection monumentale. Très intimidé, jessaie de la cacher de mes mains, ce qui le fait beaucoup rire. A son tour, il se déshabille très vite, puis, en boxer déformé par une grosse bosse, il me dit :
- ne sois pas si gêné, regarde moi aussi jai un petit problème. Et puis franchement, tu nas aucune raison dêtre embarrassé, tu devrais plutôt être fier vu la taille de ta bite.
Je me détends un peu, puis il sapproche de moi, on senlace, on sembrasse et les dernières pièces de vêtement tombent à terre. On passe sous la douche et il me demande, (pour faire monter encore plus la pression), de ne pas lui toucher, ni les fesses, ni le sexe. Mais je peux lui savonner tout le reste du corps. Il fera de même avec moi. Pendant toute la durée de la douche jai pu admirer son sexe en semi érection.
Là, il me prends dans ses bras en me renverse sur le lit. Son corps sur le mien, je sens sa queue contre mon ventre qui a pris une très belle taille. On va rester longtemps à se caresser lun sur lautre. Puis il se relève un peu me regarde et me dit :
- tu es très beau, je suis content que tu sois venu.
Il commence par me caresser la bite puis approche son visage vers mon bas ventre pour me faire une fellation exquise. Il me procurera beaucoup de plaisir pendant plusieurs minutes interminables. Maintenant, cest à mon tour, je commence par effleurer son sexe de mes mains, les bouts de mes doigts vont agacer délicatement le gland rougi dexcitation. Puis ma bouche prend le relais. Je lui lance un regard fiévreux, japproche mes lèvres ouvertes au plus prés de sa bite. Ensuite je prends adroitement en bouche ce morceau de chair qui vibre sous mes caresses buccales.
Jalterne entre pipes bien profondes et douces s de ma langue sur son gros gland.
Il apprécie et ne manque pas de me le dire. Puis, il va me faire remonter le long de son corps dathlète. Il me demande :
- tu es quoi au lit ?
- je suis recto verso.
Mais ce matin, je veux quil me prenne et je lui dis :
- je veux que tu me prennes
Là je vais vivre une expérience magique et rare.
Je me place sur le dos, il comprend la position que je veux réaliser avec lui. Je désire discerner sur son visage les signes de son contentement. Après avoir enfilé un préservatif, il relève mes jambes sur mon torse. Je me sens bien ouvert et tout en me fixant de son regard fébrile, je ressens son gland sur mon anus. Sa queue force mon intimité et glisse au fond de moi avec une aisance évidente. Il commence de longs va et vient terriblement exquis, alors que, commence à sortit de ma bouche, des gémissements bruyant.
Ses mouvements et ses soupirs deviennent de plus en plus rapides. Moi je commence à perdre la tête. Cela fait si longtemps que je navais pas pris autant de plaisir et je distingue sur son visage que lui aussi. Puis, ses coups de bassins deviennent plus saccadés et violents et son souffle devient plus court et rauque. Je sens dans mon ventre, une sensation étrange, mais fantastique et troublante. Et alors quil joui dans mon cul en poussant un cri de bête en rut, mon corps est parcouru de violentes secousses incontrôlables et jéjacule sans mêtre touché, une grosse quantité de sperme, qui vient maculer mon torse et même mon cou.
Il se retire et tombe enchanté à mes coté, il se colle à moi et pose sa tête sur mon épaule.
Des petites larmes perles à mes paupières ils les remarque et me demande :
- tu pleures, ça ne va pas ?
- ce nest pas des larmes de tristesse, mais des larmes de bien-être.
Je lui explique que quand jatteins un orgasme anal, jai toujours quelques petites larmes qui me viennent aux yeux.
Il me regarde arborant son sourire craquant, et me dit de la façon la plus séduisante qui soit :
- moi je nai pas joui
Jai eu un orgasme exceptionnel. Je pense quavant aujourdhui, je nai jamais ressentit autant de bonheur.
- tu me dis ça pour me faire plaisir ?
- non cest vrai.
Après sêtre tout deux, un peu reposé, il a quand même fallut que je parte rejoindre mon domicile. Mon copain a cru le mensonge que je lui ai raconté. Je navais jamais été infidèle, mon « cher » copain lui sen donnait à cur joie et me disait quil ne recommencerais pas, tu parles ! Ce nest pas pour ça, que je ne me sentais ni honteux, ni coupable, mais surtout parce que javais fait lamour merveilleusement avec un mec qui mavait respecté.
Jai revu plusieurs fois mon petit rugbyman bisexuel et ex-taulard.
Si vous voulez la suite dites le moi !
Seithan
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