Mari Femelle (2) Marc Devient Loubna

Les filles commencèrent à embarquer l’une après l’autre. Toutes étaient dans la tenue prescrite, celle de Marc, sauf qu’elles portaient un string et lui pas. Il ne put s’empêcher de penser que c’était tant mieux car le string n’aurait jamais pu cacher ses attributs masculins et il aurait été complètement ridicule. Il monta l’échelle de coupée le dernier. Une fois les filles rassemblées sur le pont, les matelots remontèrent rapidement le canot : il y a avait peu de fond et le yacht devait s’éloigner rapidement en profitant de la marée montante.

Sous les yeux excités des hommes d’équipage, presque tous d’origine pakistanaise ou indienne, tout le monde fut rassemblé dans le roof du pont supérieur. Leurs yeux étonnés allaient d’une fille à l’autre. L’un des hommes d’équipage, un mec grand et de forte corpulence, apparemment maghrébin, donnait des ordres tout en fixant Marc du regard. Ce doit être le maître d’équipage, pensa Marc. Un officier entra alors pour s’adresser aux filles.

Il leur expliqua que les propriétaires du yacht étaient d’une famille princière du golfe Persique. Ils se réservaient les plus belles filles. Trois autres filles seraient pour les 5 officiers du bord. Tous les hommes à bord, comme toutes les femmes devaient être sains et les princes avaient exigé de tous le certificat nécessaire. « Quant à toi, dit-il en s’adressant à Marc, tu seras la femelle des 18 hommes d’équipage ». Marc ne bandait plus du tout et sentait sa queue devenir de plus en plus petite au fur et à mesure que son inquiétude grandissait. Il s’était attendu à trois semaines de plaisir et il voyait se profiler en réalité trois semaines qui pourraient bien virer au cauchemar.

Il n’y avait que dix filles au lieu des douze prévues, plus Marc. L’officier choisit rapidement 7 filles parmi les plus belles et les envoya rejoindre leurs hôtes. Les trois autres sortirent à leur tour, suivies par l‘officier. Il ne restait plus que Marc dans la salle, au milieu d’une demi-douzaine d’hommes.

Le maître d’équipage s’approcha de Marc, en fit le tour puis lui donna l’ordre de se pencher en avant en cambrant bien les reins. Marc s’exécuta et alla même plus loin, instinctivement, en écartant les fesses. Passées ses premières inquiétudes, il sentait une excitation le gagner, la plus forte qu’il ait jamais ressentie. Il essayait désespérément de ne pas bander mais il entra malgré lui dans une formidable érection qui fit s’esclaffer les hommes présents.
Le maître d’équipage lui caressa la croupe, puis lui infligea une forte claque sonore et introduisit son index dans sa chatte pour en tester l’élasticité. Marc se tortilla un peu pour faciliter l’accès à sa chatte et permettre au maître d’équipage d’enfoncer son doigt le plus loin possible. Toute honte bue, il se sentait prêt désormais à être la femelle des 18 matelots du bord, si toutefois une salope comme lui pouvait les intéresser autant qu’une femme.

Le maître d’équipage lui expliqua quel serait son rôle pendant les trois semaines. « Je m’appelle Abdou, lui dit-il, c’est moi qui dirige les hommes d’équipage. Il n’y a que deux femmes à bord, mais ce sont de vielles femmes, la gouvernante et la cuisinière des princes. Il y a deux semaines qu’on a quitté Cannes et on a besoin d’une femme. Tu feras l’affaire et on t’appellera Loubna. On va d’abord bien te dresser pour que tu comprennes ce qu’on attend de toi ».

Abdou fit un signe à deux hommes qui encadrèrent Marc, devenu Loubna, et ils le conduisirent au fond du bateau dans les quartiers de l’équipage. Ils l’enfermèrent dans un vaste local très sommairement meublé. L’un des hommes lui mit la main aux fesses et se frotta contre son cul, lui faisant bien sentir son sexe dur sous son pantalon. Puis ils s’en allèrent en fermant la porte à clé.
Marc se retrouva seul. Il sentait aux mouvements du bateau et au bruit du moteur tout proche que le yacht prenait rapidement de la vitesse. Plus moyen de revenir en arrière. La seule façon pour que les choses se passent « bien » était de jouer le rôle qu’on lui avait assigné -et qu’il avait lui-même recherché même s’il ne s’était jamais attendu à une « tâche » d’une telle ampleur.


Sans montre, Marc ne savait pas quelle heure il était. Il décida de s’étendre sur la maigre couchette de la cabine. Il n’y avait pas de couverture. Quasiment nu, il avait froid. Il se réveilla d’un sommeil léger quand la porte s’ouvrit au petit matin. C’était Abdou.

« Nous sommes maintenant en haute mer et nous allons en direction des Canaries. Voilà comment ça va se passer pour toi. Tu es venu ici de ton plein gré et maintenant il va falloir assurer car il y a 18 hommes à satisfaire. Pour commencer, on va te raser, et je me fiche de savoir ce que ta femme en pensera quand tu la reverras. De toute façon, tu ne seras plus un homme après ce que tu vas vivre ici. Je reviendrai te voir quand tu seras lisse et je t’expliquerai la suite ».

Marc fut immédiatement conduit dans la salle où on devait le raser. Il dut se déshabiller complètement sous les yeux des hommes charges de sa surveillance puis s’étendre à plat ventre sur une longue table.
Les deux vielles femmes entrèrent et préparèrent leur matériel sous le regard inquiet de Marc. Il était cramoisi de honte, essayant de deviner les pensées des deux femmes. Très certainement elles devaient le mépriser comme jamais il ne l’avait été. Elles commencèrent leur besogne avec dextérité : le torse, les aisselles, les bras puis les jambes. Elles lui écartèrent les fesses et poursuivirent leur travail en silence puis le faire mettre sur le dos, jambes levées e écartées pour parfaire leur ouvrage avant de finir par son pubis et son sexe tout recroquevillé. Curieusement pensa Marc, elles lui laissèrent sa barbe naissante. Elles le massèrent enfin avec une huile parfumée pour adoucir et assouplir sa peau, devenu entièrement lisse et blanche.

Abdou revint et annonça qu’il essaierait Loubna le premier comme son rang dans l’équipage l’y autorisait. Il le conduisit dans les coursives du bateau, à nouveau en guêpière, porte-jarretelles, bas résille et talons aiguille. Marc s’efforçait de garder son équilibre et le peu de dignité que lui laissait sa situation.
Ils croisèrent beaucoup d’hommes d’équipage, qui lui mirent pour la plupart une main furtive sur la croupe lorsqu’il passa devant eux. Tous le fixaient, tous savaient que leur tour viendrait. Abdou s’arrêta devant une porte, celle de sa cabine, y poussa Marc en le traitant de zamel (passif), de fatma (femelle) et de kahba (pute).
La porte se referma. Les rêves -ou les cauchemars- de Marc allaient vraiment commencer.

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