Abusé, Et Pas Que Par Le Nom...
Suite à la publication de lhistoire précédente, jai été contacté par mail par un certain Roger, qui se disait être ce fameux inconnu de la piscine municipale et quil souhaitait me revoir. Dailleurs, ce nest pas « un souhait », cest un « ordre » a-t-il précisé. Ce petit détail ma fait sourire et donc craquer, je nai pas résisté à lui accorder un nouveau rendez-vous !
Mais jai précisé que je nétais pas une pute, que mon plaisir comptait aussi. Il a dit quil me comprenait et il me donna rendez-vous dans un hôtel en ville. La chambre est à son nom.
Je me fis beau : épilation intégrale, boxer moulant, jean slim et chemise cintré. Jétais assez excité de pouvoir à nouveau gouter au plaisir entres hommes et avoir la chance de peut-être, moi aussi, sodomiser et me faire sucer. Direction lhôtel en question.
Bon lhôtel nest pas vraiment glamour, plutôt du genre hôtel de passe. Je donne le nom de Roger. Le propriétaire me donne le numéro de chambre avec un sourire plutôt narquois me disant que mon « ami » est déjà là.
Je rentre dans la chambre, volet fermé, obscurité, odeur de renfermée avec un léger fond dodeur sexuel. Je rentre doucement. La chambre dabord éclairée par le couloir, devient de plus en plus obscur au fur et à mesure que je ferme la porte.
« Clac », porte close. On distingue les ombres grâce au volet en piteuse état qui laisse passer la lumière. Ca bouge sur ma gauche, je ne bouge pas, frissonnant. Une ombre verrouille la porte, se colle à moi, son ventre contre mon dos. Je sens son souffle dans mon cou. Ses mains prennent mes poignets, les serrent. Il me dit « tu es prêt ma petite pute ? ». Jessaie de me retourner mais je suis bloqué par ses mains, « je ne suis pas une pute ! ». La réponse fut claire : il me jeta sur le lit, il mit mes mains dans le dos et me susurra un simple « ta gueule » à loreille.
Le style est différent, je ne reconnais pas mon inconnu de la piscine.
Mes mains sont vite ligotées. Je suis allongé sur le ventre sur ce drap tacheté de sperme séché. Jentends un bruit de tissu, puis un autre. Probablement un pantalon et un sous vêtement quon enlève. Puis une odeur, une odeur forte de sexe, de bite.
La lumière sallume. Roger est debout à côté du lit, son jogging et son slip à mi cuisse. Son sexe pend entre ses jambes, masquant à moitié ses couilles velues et gonflées. Je remonte ma vue : effectivement « Roger » est plutôt trentenaire, rasé, lair agressif. Rien à voir avec mon inconnu. Probablement un accroc de jeune mec qui a dû être excité par mon histoire sur internet.
Il me prend la tête et me tire au bord du lit. Je suis maintenant à plat ventre, la tête dépassant dans le vide. Il me regarde, va de lautre côté du lit, retire violemment mon jean, déchire mon boxer au niveau de la raie, laissant apparaitre mes petites fesses. Il revient en face de moi, se penche pour caresser mes fesses. Enfin, plutôt les palper violemment
Son sexe frotte donc mon visage. Sa bite touche ma bouche, mon nez, je peux la sentir, sentir lexcitation, sentir sa verge durcir au fur et à mesure de sa palpation.
Je ressens la même excitation quà la piscine, je commence à bander également. Je commence même à gémir, comme une
.. oui comme une pute
Il va falloir me faire à cette idée.
Jouvre la bouche, je ne peux atteindre son sexe qui est collé le long de mon nez et mon front. Je sors donc ma langue pour lui lécher les couilles. Il a lair dapprécier puisquil lâche mes fesses pour prendre mes cheveux en mains. Il tire ma tête vers larrière, il me regarde droit dans les yeux et me demande « alors tu nes pas une pute », je le regarde, frissonne, je balbutie « je
non
je ». Il me crache alors au visage, prend sa bite en main et frotte sa salive aves son gland sur ma joue et me dis « Quoi ? Jai entendu non ? ». Hésitant, je luis dis « oui ».
Il rigole, place son gland le long de mes lèvres et enfonce sa bite dans ma bouche. « Non, en fait, tu nes pas une pute. Ne crois pas que tu vas avoir de largent, tu es juste une salope, une trainée, une chienne ». Bizarrement, entendre ses mots me fit frémir, avoir la chair de poule. Je nai pas de dégout de les entendre, mais plutôt de lexcitation.
Il commence à faire des allers retours dans ma bouche, violent. Puis il alterne avec un mouvement plus ample, plus profond, plus lent. Cest lui qui dirige, il guide. Il fixe de manière assez lubrique sa bite dure rentrée en moi. Je me laisse faire, apprécie le moment.
Après plusieurs minutes de fellation, il change a nouveau de côté. Il reste plusieurs longues secondes à regarder mon cul. Puis il matt par les mollets, me tire doucement vers le bord du lit. Mes genoux sont maintenant au sol, mon ventre toujours sur le lit et mon cul bien en évidence, offert.
Là, tout saccélère, en un mouvement rapide, il se place derrière moi. Une main écarte mes fesses, lautre guide son sexe dans mon anus. Et il commence à me baiser. Une nouvelle fois, il alterne les mouvements rapides, violents, avec les mouvements amples, long. Mes gémissements varient en fonction de ses pénétrations, jalterne entre les gémissements saccadés, rapides ou les longs soupirs à chaque fois que son sexe sort lentement pour mieux entrer en moi profondément. Jai limpression que mon anus chauffe, se déchire. Mais quest-ce que cest bon !! Je sens même ses couilles taper les miennes.
Après plusieurs minutes, il me retourne sur le dos, enlève son tee-shirt et place mes jambes sur ses épaules. Il tire violemment sur ma chemise, qui souvre laissant entrevoir mon torse et mon ventre. Et il continue à me défoncer, sauvagement. Il fixe maintenant mon ventre et mon torse. Je peux aussi regarder son torse puissant et poilu, son visage de « bad doy », ses bras tenants mes jambes.
Ses mains descendent le long des jambes, caressent le flanc de mes fesses puis caressent mon ventre. Je frissonne encore plus.
Puis des deux mains, il att mon sexe et le branle violemment. Je gémis de plus belle, terriblement excité. Ses mains suivent le même rythme que ses reins, je suis à deux doigts dexploser.
Lui aussi maintenant gémi, il doit être proche de lextase, ses mouvements sur ma queue sont plus fébriles, plus violents. Puis, il se cambre dun coup et senfonce le plus profond en moi et lâche un râle
Il vient de jouir en moi. Cela intensifie mon excitation, ma queue est encore plus tendue. De quelques gestes nonchalants, il finit de me branler
Je lâche de grosses giclées de sperme sur mon ventre, dans un profond soupir. Roger se retire, remets son slip et son jogging et me laisse sur le lit, les bras attachés dans le dos. Et sans un mot il quitte la pièce
Jessaie de me libérer de mes liens, jarrive à me mettre debout, mais je ne vois rien dans cette chambre vide qui puisse me permettre de couper mes liens
Après plusieurs minutes sans arriver à défaire mes liens, je me résous à appeler laccueil de lhôtel. Après tout dans un hôtel de passe, ils doivent avoir lhabitude
Je prends le combiné avec mes mains dans le dos et compose le 0. Je pose le combiné sur la table de nuit et me penche. « Cest la chambre 7, euh, jaurai besoin de votre aide ». Une voix énervé me répond « Ah vous êtes encore là, ça tombe bien, votre ami est parti comme un voleur, sans payer la chambre. Bon
Jarrive »
Payer la chambre ? Je nai pas dargent ni de carte sur moi
Le gérant entre dans la chambre et me regarde. Il sourit. « Avant que je vous détache, dites moi où est votre argent, vous ne mavez pas lair sérieux comme gens
» « Je nai pas dargent monsieur ».
Son visage dabord se crispa
Puis il sapproche de moi et commence à tourner autour de moi. Doucement.
Il me touche du bout des doigts, mes fesses, mes cuisses, mon torse, mon visage
« Il va falloir être gentil mon garçon alors
Très gentil
»
Je comprends que ma journée est loin dêtre finie
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