Une Soirée Avec Deux Amies
Une soirée avec deux amies
J'étais chez deux amies. On se faisait une petite bouffe avant de sortir. La soirée s'avançait doucement, entre discutions, et quelques blagues lourdes.
Mes deux belles copines s'étaient vêtues sexy pour l'occasion. Je jetais des coups d'il dans le décolleté de ma voisine. Sa poitrine me troublait, ses longs cheveux bouclés cachaient un peu ma vue, sinon je n'aurais pas pu m'empêcher de mâter sur ses seins et ses formes.
La deuxième mettait bien ses fesses en valeur. Le plaisir visuel était amplifié par ses jambes interminables, je ne bandais pas encore, mais limite. Elle avait de jolis petits seins, tous ronds. J'avais envie de les croquer, j'en salivais. Comment m'empêcher tous mouvements, style main baladeuse sur ce postérieur magnifique.
Après être rassasiés, nous débarrassâmes la table, Nous voilà maintenant assis autour de la table basse vide, histoire de discuter un peu. N'arrivant plus à garder mon calme, je commençai à parler :
- Au fait, tu es toujours célibataire ..... lançai-je à une.
- Oui, je suis difficile de trouver un garçon sérieux.
- Moi ça dure toujours avec mon copain il est militaire et je ne le vois pas souvent dit l'autre.
- Et moi je suis conne toi, tout le seul aussi, (snif), blaguai-je.
- Ah ce n'est pas grave, tu es mignon, il y a plein de filles libres.
- Tu sais c'est dur de trouver une fille bien après avoir vu la perfection !
- La perfection ! De qui tu parles ?
- De toi, tu sais, ce soir, je voudrai bien être ton esclave.
Elle rougit, je m'avançais pour l'embrasser. Nos lèvres se touchent, je frissonne, car je m'attendais à un rejet, non elle ne me repousse pas. Nos langues tourbillonnent lentement, jusqu'à ce que sa copine nous dit :
- Humm Humm, on m'oublie à ce que je vois !
- Mais non, viens.... dit sa copine.
Elles se rapprochent et s'embrassent toute les deux.
- Viens aussi, avec nous, qu'est ce que t'attend ?
Alors on se mit à s'embrasser langoureusement, tout doucement, à trois, en se touchant délicatement le bout de la langue. Une des filles lança :
- On va dans la chambre.
Je compris alors que la sortie prévu était tombée à l'eau. Ce qui ne me déplaisait absolument pas. On s'agenouilla dans le lit, en triangle, pour continuer encore à s'embrasser. Les mains descendaient puis remontaient. Je savourais le contact de mes mains sur leurs peaux. Je commençais à frissonner mais à un moment tout s'arrêta.
Les filles se regardèrent, sans un mot. Qu'allaient-elles décider de mon sort ? Se tournant vers moi, elles me plaquèrent sur le lit et elles s'allongèrent chacune à coter de moi. Alors elles déboutonnèrent les boutons de ma chemise à fleur. Chacune glissa ses mains pour caresser mon torse. Je contractais mes pectoraux et mes abdos. Finalement débarrassé de ma chemise, elles continuèrent à me caresser puis à embrasser mon corps, pendant que tour à tour elles se dénudèrent.
Elles se tenaient assises devant moi en soutien-gorge. Je regardais à droite. La coquine, ne devait pas penser en ce moment à son petit ami militaire. Elle fit un mouvement de tête, balançant tous ses cheveux en arrière, m'offrant la vue de ses seins. Elle vit que je la regardais, que j'en bavais et s'approcha de moi afin de me dévoiler encore plus sa poitrine puis m'empêcha de voir finalement en m'embrassant sur la bouche. À ce moment j'attrapai son soutien-gorge pour lui enlever, tout en la maintenant sur ma bouche.
Elle essayait de reculer, mais je démontrais ma force masculine. Ce duel rendait le baiser encore plus délicieux. Après toutes ces douceurs apparaissait enfin une confrontation.
J'engouffrai alors ma langue dans sa bouche. Je n'avais jamais eu autant de sensation lors d'un baiser. Pendant ce temps mes mains lui caressaient le dos, s'arrêtant toujours sur l'accroche du soutien-gorge. Je réussis enfin, et tenant les deux bouts, mais il était bien accroché.
Elle se releva d'un coup, pour se débarrasser elle-même de son soutien-gorge. Ses seins, désormais libre nues, s'offraient à moi. La forme de sa poitrine avec sa copine nous laissait rêveurs. Nous nous fixâmes un instant dans les yeux avec l'autre fille, nous l'allongeâmes afin d'embrasser et de toucher sa poitrine. Ses muscles se contractaient, elle fermait les yeux pour apprécier la chaleur de nos caresses. Je sentais sa respiration, chaque fois que je passais le bout de ma langue sur le contour de ses seins. J'observais ma voisine mordiller avec une grande délicatesse le téton, ce qui avait beaucoup d'effet sur notre partenaire. Ses tétons pointaient de plaisir, nous en étions tous excités.
Mais celle-ci ne s'attarda pas et pour se venger de moi d'avoir pas réussi à dégrafer son soutien-gorge, elle me montra son savoir faire. J'en restais sans mot lorsque je vis qu'elle se releva pour embrasser farouchement la bouche de sa copine. Elles étaient toute les deux magnifiques. Jamais je n'avais bandé aussi durement. Puis en un clin d'il, elle arracha le soutien-gorge, de sa copine et lui caressa les seins.
Elles se levèrent pour se dénuder entièrement. Pendant que les jupes tombaient, je ne pus m'empêcher d'en faire autant afin de me caresser la verge, qui surchauffait sous mon jeans. J'étais nu à présent et j'avais le front trempé, de les voir se rouler des pelles en string. Elles se caressaient des seins, les fesses. Chacune plaqua une main sur la toison de l'autre.
Elles allongèrent alors sur le côté afin de se caresser leur intimité, tout en s'embrassant sensuellement. Elles se léchaient dans le cou, remontaient pour se toucher doucement, lèvres contre lèvres. Elles poussaient des petits cris. Elles me regardaient me masturber ma verge, décalottant à chaque fois le gland. J'en pouvais plus, depuis plusieurs minutes je me branlais avec vigueur.
L'excitation était immense, je ressentais des bouffées de chaleur de plus en plus forte. Je gloussais déjà de jouissance. Elles s'arrêtèrent alors pour m'allonger entre elles, pendant que je me laissai faire en stoppant momentanément ma branlette. Elles ne voulaient pas que je jouisse de ma propre main. Alors l'une d'elle continua de me branler à la place, j'en fermais les yeux tellement c'était délicieux.
Me voyant ainsi, je leur offrais mon corps à toutes leurs caresses. Des frissons parcoururent tout mon corps, en sentant des doigts parcourir lentement mes cuisses, pendant que d'autres s'attardaient sur mes abdominaux et mes bras. On m'embrassait aussi la nuque, et à un moment mon sexe fut gobé.
Je ne savais pas qui des deux me sucait, mais c'était divin. Je sentais les lèvres descendre et remonter sur mon sexe, humide de salive. Elle décalotta délicatement mon gland, afin de le lécher, je m'en tordais de plaisir. Je ne sentais plus que des caresses au niveau de mes cuisses. On me saisit avec vigueur ma verge. Je compris vite que mes deux belles me pressaient tour à tour le sexe avec leurs lèvres.
Elles en profitaient pour lécher, je ne savais plus où donner de la tête. J'eus à peine le de temps de comprendre que j'allais jouir dans les secondes suivantes, que ce fut chose faite. Chaque saccade correspondait à une éjaculation. Je frissonnais de tous mes membres, je criai pour mes belles, pour cet orgasme qu'elles m'avaient offert.
Quand j'ouvris enfin mes yeux, je vis que leur bouche était couverte de semences.
Elles n'avaient pas encore jouis toutes les deux et leur envie se faisait de plus en plus sentir. Voyant que l'excitation n'avait pas débandé mon sexe, une des filles s'assit sur mes cuisses. Elle faisait des mouvements de bassin, cherchant ma pénétration. J'allais encore être dominé. Non, je contractai mes abdos afin de soulever mon buste, posai mes deux mains sur ses épaules, et la plaquai sur le lit.
J'étais alors allongé à coté d'elle, la regardant dans les yeux avant de l'embrasser, pendant que ma main se baladait tranquillement sur son clitoris, descendant au vagin, déjà très humide, pour se glisser à intérieur, elle en frissonna. Ma deuxième belle regardait la scène, histoire de voir comment je me débrouillais. Elle me provoquait se caressant d'une main sa toison, de l'autre son sein. Je bavais, je voulais faire jouir cette fille , pour montrer mon savoir à mon autre provocatrice.
Sans attendre je me positionnai de façon à être en ligne avec ma partenaire, afin de lui embrasser à pleine bouche son intimité. Je commençai à peine à lécher que son dos se courba. Mes mains longeaient ses reins, et descendaient jusqu'aux cuisses, en passant par les hanches. J'engouffrai ma langue dans son vagin, elle poussa des petits cris. Je l'observais, elle était les yeux fermés.
Ses mains se baladaient sur tout son corps, parfois me caressant les cheveux, parfois se pétrissant ses petits seins rond. Plus je continuai, plus elle se cambrait. A chacun de ses cris, ma verge devenait plus dure. Je la tirai doucement au bord du lit, afin que ses fesses dépassent du rebord, je m'agenouillai devant elle, tenant ses fesses dans mes mains, avec force et douceur. D'un coup de rein, je le pénétrai, elle en cria. J'observais ma deuxième belle, dans ses yeux je lisais que je me débrouillais plutôt bien jusqu'à présent. Elle s'avança aussi vers moi.
Je pénétrai toujours en roulant les fesses pour faire tourner mon membre dans cette caverne humide. Des gémissements se faisaient aussitôt sentir. Mes mains soutenaient toujours ces fesses. Donc je ne pouvais rien faire contre l'approche de la dominatrice. Elle avait fait preuve de patience mais je sentais à présent son excitation, tant elle dégageait de chaleur. J'en avais peur, j'étais à sa merci.
Elle se tenait à côté de moi, puis elle me prit la tête de ses deux mains pour la plonger dans sa fourrure. Je compris difficilement qu'elle me donnait l'ordre de la lécher, car sa voix était atténuée par les cris de ma partenaire. Ce fut un feu d'artifice de jouissance. Etant donné que j'avais déjà jouis, je contrôlais aisément mon orgasme futur. Ainsi je pénétrai la belle de plus en plus rapidement, tout en léchant la clitoris de l'autre femme.
Elle nous enjamba afin que je pénètre de ma langue son vagin. Dans cette position je ne voyais plus qu'elle. Je commençais à avoir mal à la nuque t'en la pression qu'elle exerçait était forte. Je ralentis mes coups de rein afin de faire jouir mes deux maîtresses. Elles poussaient alors toutes les deux des cris de plus en plus forts. Ca m'excitait énormément d'être maître de la situation, de pouvoir donner deux orgasme en même temps.
Je donnai les dernières ressources que j'avais. Ma langue et ma verge allaient de plus en plus loin dans leurs vagins respectifs, avec de plus en plus de vigueur. Elles se turent en même temps pendant quelque secondes, puis reprirent leurs respirations saccadées. Elles avaient jouis en même temps. Je continuais de les pénétrer un peu jusqu'à éjaculer également. Ce fut merveilleux tout simplement. Tous les trois, nous tremblions pendant de longues minutes.
Une fois séparés, je repris mon souffle avec difficulté, exténué après tant d'effort.
- Bon on sort maintenant !! déclarèrent-elles ensembles.
Elles vont me d'amour un de ces jours...
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