Premier Trio Avec Franz Et Alicia

Je ne sais plus pourquoi ma femme avait du s’absenter cette semaine-là. Toujours est-il que j’ai dû prendre quelques jours de congés pour assurer la permanence de la chambre d’hôtes et j’en ai profité pour jardiner et m’offrir un peu de repos.

Par chance, cette fois, un couple d’Allemands avait réservé toute la semaine. Je les ai accueillis à leur arrivée, leur ai présenté leur logement et j’ai pu caler avec eux les petits détails de fonctionnement.

Franz et Alicia devaient avoir une bonne quarantaine, blonds, minces, agréables. Nous avons tout de suite sympathisé et Alicia a beaucoup apprécié le bouquet d’accueil que je lui ai offert. Elle a semblé apprécier d’autant plus quand je lui ai dit les avoir cueillies dans le jardin à son intention.

Sur ce je les ai laissé s’installer et suis allé me changer pour travailler un peu au potager.

Le lendemain je leur ai servi le petit déjeuner et les ai interrogés sur leurs projets, leur proposant quelques documentations sur les curiosités locales.

À quelle heure ils sont partis, ce qu’ils ont fait… je n’en sais absolument rien. Je ne suis pas là pour espionner les clients. J’ai jardiné toute la matinée. J’ai préparé mon repas et me suis installé dehors pour déjeuner, nu, comme à chaque fois que je suis seul. La terrasse étant abritée des regards curieux je me sens libre de vivre naturellement et de me libérer des contraintes vestimentaires dans le plus pur esprit naturiste. Ensuite, vaisselle faite et une fois tout rangé, je me suis offert une petite sieste à l’ombre du prunier, d’abord avec un livre, puis je crois que j’ai vraiment dormi une bonne heure. C’est ce que j’appelle la belle vie !

Ensuite, il a bien fallu me rhabiller pour retourner jardiner, toujours dans le même esprit naturiste, puisque, d’une, je ne cherche pas à choquer et deux, j’estime que le vêtement est là pour me protéger lorsque je travaille et que je m’assois ou m’agenouille par terre.



En fin d’après-midi, alors que je désherbais le parterre de fleurs devant la maison, je les ai vus revenir, se tenant tranquillement par la main comme un couple de gens heureux de prendre un peu de bon temps ensemble.

Ils se sont avancés jusqu’à moi et, après avoir échangé quelques mots, m’ont invité à l’apéro.

Pourquoi pas ? Ça fait partie du plaisir de la rencontre et des relations humaines. J’ai demandé à quelle heure. Ils m’ont répondu qu’à 19h00 ça serait parfait. Le temps de ranger mon matériel, de prendre une bonne douche, passer des vêtements convenables et cueillir un petit bouquet, je me présente à l’entrée de l’espace privé que j’ai réservé devant leur logement pour permettre à mes hôtes de bénéficier d’un espace tranquille et protégé. Je secoue la clochette et je vois arriver Franz en short, torse nu.

* — Entre, nous t’attendions.


Je ne fais pas prier et m’avance le plus tranquillement du monde. Passé l’angle du bâtiment j’aperçois Alicia confortablement installée sur un bain de soleil. Ça ne m’étonne pas, je les ai mis pour cela, mais par contre, ce qui me surprend, c’est que, sachant mon arrivée, elle soit restée entièrement nue. Quelque peu déconcerté je marque un léger temps d’arrêt qui les fait s’interroger :

* — Ça te dérange qu’Alicia soit nue , me demande Franz ?
* — Non, ça n’est pas que ça me dérange, mais je suis seulement un peu surpris. Je n’ai pas l’habitude.
* — Ah bon, pourtant, cet après-midi, je t’ai vu tout comme elle, pendant que tu dormais.
* — Désolé, je pensais être discret et ne pensais pas être vu. Cela dit, c’est vrai, je suis naturiste. J’aime vivre nu, mais malheureusement, il est trop rare que je puisse réellement en profiter, n’ayant pas encore réussi à convaincre mon épouse.
* — Donc, puisque tu es naturiste, ça ne doit pas poser de problème. Tu sais, chez nous, en Allemagne, il nous arrive souvent de passer la journée nus au bord de l’eau ou même dans les parcs, mais, si ça te gène, Alicia va se rhabiller.
Dans le cas contraire, je te propose que nous l’imitions. Par un si beau temps, c’est péché de se priver du soleil et de l’air frais sur la peau.
* — D’accord, mais, auparavant, je dois me libérer les mains.


Je me suis donc avancé vers Alicia pour lui offrir mes fleurs. Elle s’est redressée à mon approche, m’a gratifié d’un large sourire et m’a remercié d’un bisou sur la joue.

La proximité de ce superbe corps nu m’a incité à me reculer pour conserver la maîtrise de la situation. Je sentais ma queue gonfler et la pensée de dévoiler mon érection en me déshabillant me gênait au plus haut point. Franz, déjà nu, s’installait sur un fauteuil de jardin. Je ne pouvais donc plus reculer. Quand ma bite bandée est apparue j’ai vu se former un sourire amusé sur le visage d’Alicia.

* — Hum ! Belle bête ! dit-elle en fixant mon dard qui s’obstinait à regarder le ciel. C’est moi qui te fais cet effet-là ?
* — J’en ai bien peur. Excuse-moi. Je crois que ça va passer, mais si ça te gène je peux me rhabiller.
* — Du tout ! Comme tu dis, ça va passer. De toute façon, c’est naturel. Ne t’en fais pas.


Elle s’est alors relevée pour aller chercher trois verres et une bouteille de vin rosé, a posé le tout sur la table et s’est assise sur un fauteuil, entre Franz et moi.

Nous avons devisé de choses et d’autres. Ils semblaient vraiment cultivés et la conversation passait agréablement d’un sujet à un autre. Comment a-t-elle tourné vers le sexe, je ne m’en suis pas rendu compte. Toujours est-il que, sans que je puisse m’y attendre, Franz m’a demandé à brûle-pourpoint :

* — Dis-moi, tu es naturiste, mais en matière de libertinage, comment te situes-tu ?


Surpris par sa question je reste coi quelques instants avant de répondre franchement :

* — Pour être franc, je n’ai strictement aucune pratique. L’essentiel, pour moi est ma relation avec ma femme et, quoique l’envie m’en prenne parfois, je n’ai jamais réussi à la décider à franchir le pas.
En outre, je ne l’ai jamais trompée. Je ne suis, cependant, pas certain de refuser une bonne occasion qui se présenterait à un moment favorable.
* — Et ce moment t’apparaît-il favorable ?


Cette fois, plus de doute, l’invitation semble claire. J’avoue être vraiment tenté et n’avoir aucune envie de me débiner. Je saisis donc mon verre pour me donner une contenance, en déguste une gorgée et leur répond :

* — Le moment ne pose aucun problème et je me sens bien avec vous. Alicia est vraiment très belle et, bien que je n’y connaisse rien en matière de charme masculin, Franz me semble aussi très bien foutu et, surtout, je trouve votre compagnie très agréable. Cependant, je vous ai avoué n’avoir aucune expérience. Je compte donc sur vous pour me guider puisqu’en matière de libertinage vous me semblez bien plus expérimentés.


Franz s’est levé. Il s’est positionné derrière sa femme et s’est penché pour l’embrasser tout en lui caressant les seins. Alicia s’est offerte à la caresse tout comme si je n’avais pas été là et, tout en savourant le plaisir offert par son homme, elle a cru bon de préciser :

* — Tu sais, il ne faut pas croire que nous ne fassions que ça. Nous préférons faire l’amour ensemble, tous les deux, plutôt que de rencontrer, séparément, d’autres personnes et, si ça nous arrive, nous nous hâtons de raconter l’aventure à l’autre pour qu’il en profite quand même une peu. Nous ne voulons pas de tromperie et tenons absolument à ce que tout cela reste une complicité entre nous, mais, de temps en temps, nous aimons bien enrichir un peu nos ébats en rencontrant d’autres personnes. Parfois c’est un homme, d’autres fois c’est une femme ou encore un couple. Même si nous fréquentons parfois les clubs libertins nous ne sommes pas des adeptes de l’amour avec un grand tas. Une seule fois il nous est arrivé d’inviter deux hommes. Avec Franz ils étaient donc trois à s’occuper de moi. Nous aimons tous les cas de figure mais ce que nous préférons c’est le trio.

* — Tout à fait d’accord, réplique Franz. Moi non plus je ne suis pas fan des grand-messes. Je préfère rencontrer les gens en petit comité, que ça soit pour un simple repas entre amis ou pour faire l’amour. Cela permet un meilleur contact. Je n’ai aucun attrait pour la performance ou la compétition. Ce que je veux c’est que chacun passe un bon moment, sans prise de tête, et prenne simplement plaisir au temps que nous passons ensemble.
* — J’avoue que c’est aussi ma philosophie et je ne regrette qu’une chose c’est que mon épouse n’arrive pas à dépasser le puritanisme judéo-chrétien pour profiter pleinement du bon temps qui nous est offert.
* — Bon, c’est bien, tout ça, mais parler c’est bien beau et j’apprécie nos conversations franches et libres. Cependant, maintenant, n’aurais-tu pas envie de m’embrasser ?


Je ne me suis pas fait prier et je me suis approché d’eux. Franz continuait de caresser sa femme tout en lui tétant les seins. Je me suis penché vers Alicia qui m’a tendu sa bouche et nous avons échangé un baiser des plus sensuels. Ce faisant j’ai, moi aussi, glissé une main vers ses seins. Je me suis ensuite agenouillé pour prendre en bouche son sein gauche pendant que Franz s’occupait du droit. Nos mains erraient sur le corps de notre compagne et se rencontraient parfois. Cependant, la position avait ses limites, aussi Alicia nous a invités à entrer dans le logement pour être plus à l’aise sur le lit.

Elle s’est allongée sur le dos et Franz s’est approché pour présenter son dard dressé devant la bouche d’Alicia qui l’a aussitôt englouti. Pour ma part, je me suis glissé dans la fourche ouverte de ses jambes avant de poser mes lèvres sur celles de sa chatte. J’en ai d’abord exploré les contours avec ma langue avant de butiner son clito. Visiblement elle a apprécié et ses mouvements laissaient deviner la montée d’un plaisir que sa bouche trop occupée ne pouvait exprimer. J’ai reçu sa jouissance dans la bouche et m’en suis délecté jusqu’à ce qu’elle m’att par le bras pour m’attirer vers son visage. Elle avait délaissé quelques instants le paf de Franz pour m’embrasser et déguster son jus de femme dans ma bouche. Il était cependant clair qu’il restait sur sa faim et il approchait à nouveau son vit qu’Alicia a très vite embouché de nouveau, tantôt agaçant simplement le méat du bout de sa langue, tantôt enveloppant le dard, tantôt engloutissant le tout dans un va-et-vient endiablé. J’étais fasciné par cette queue qui entrait et sortait de la bouche d’Alicia et n’avais même pas songé à m’éloigner pour m’occuper d’une autre partie de son corps.

Alicia a alors recraché le vit et, de la main droite, l’a présenté devant mes lèvres, m’incitant à goûter à mon tour ce fruit qui m’était encore inconnu. Après une brève hésitation j’ai sorti la langue pour léchouiller un peu ce sexe d’homme qu’on me présentait avant de l’engloutir. Je me sentais un peu gauche, pour cette première fois, et craignais de le blesser avec mes dents mais, très vite, j’ai ouvert la bouche et j’y ai fait pénétrer le membre, tout d’abord de quelques centimètres, puis de plus en plus loin et, tout compte fait, j’y prenais plaisir. Alicia me regardait sucer son homme, se demandant au départ comment j’allais réagir puis, rassurée par le plaisir qu’elle m’y voyait prendre, a approché son visage pour me disputer le bâton de chair. Nous avons fini par nous accorder, le suçant chacun notre tour, mêlant parfois nos langues pour le lécher. À un moment j’ai senti le vit tressaillir et j’ai aussitôt pensé qu’il n’allait pas tarder à cracher sa semence. Alicia l’a alors embouché au plus profond et sa pipe efficace est vite venue à bout de la résistance de Franz. Quand elle a eu fini de recueillir les dernières gouttes, elle s’est tournée vers moi pour m’embrasser et me faire goûter le foutre de son homme dans sa bouche à elle. Franz est aussi venu embrasser sa femme qui partageait sa bouche et son contenu entre son homme et moi.

À un moment je les ai laissé s’amuser tous les deux et me suis allongé sur le dos à côté d’eux. Alicia, comprenant le message, est venue sur moi, me suçant d’abord la bite. Elle est ensuite remontée pour s’occuper de mes seins avant de finir par s’empaler sur ma queue dressée, non sans l’avoir garnie d’un préservatif. Ses seins étaient à la portée de mes mains et de ma bouche aussi ne me privai-je pas de les honorer activement.

Franz, de son côté, nous observa un moment. Il est vrai qu’il venait de jouir et devait récupérer un peu. Il ne tarda cependant pas à reprendre vigueur et se mit à caresser son épouse, s’attardant sur ses fesses, glissant son doigt dans la fente. Je l’ai même senti me caresser la queue. Il s’est ensuite glissé entre nos jambes pour lécher l’anus de son épouse, sa raie, descendant aussi vers la chatte occupée par ma bite qui allait et venait dans le doux fourreau. Ce faisant, il travaillait l’anus de sa femme et le lubrifiait. Quand il l’a jugé prêt, il est venu y présenter sa queue qui n’a pas tardé à investir le petit trou qui devait être rodé par la pratique. Je sentais, à travers la paroi, la queue de Franz qui coulissait contre la mienne et avais mille peines à retenir ma jouissance. Mais, quand Alicia est partie, je ne me suis plus retenu, emplissant le condom. Franz, accélérant le mouvement, a joui dans le cul de sa femme.

Reprenant nos esprits nous nous sommes désemboités et Franz nous a proposé un autre verre de rosé. Repus tous les trois, nous avons acquiescé et avons quitté le lit pour la terrasse, toujours nus tous les trois. En dégustant un dernier verre de rosé bien frais, je les ai remerciés pour cette soirée qui sera pour moi inoubliable et les ai laissés pour aller m’endormir comme une souche. Je crois bien que, ce soir-là, j’ai complètement oublié de dîner, mais qu’importe, j’avais vraiment passé une excellente soirée avec des gens super et, pour mon premier trio, c’était vraiment une réussite. Mon seul regret était que Jeanne-Marie n’ait pas participé à cet échange qui risquait de rester une exception dans ma vie alors que j’y avais pris tant de plaisir. J’aurais vraiment aimé la voir un jour jouir autant que l’avait fait Alicia.

Le lendemain et les jours suivants, j’ai bien profité de mes journées pour faire le ménage au jardin qui en avait vraiment besoin. J’en aussi profité pour faire des siestes quotidiennes, toujours nu, à l’ombre, pour ne pas risquer de coups de soleil, d’abord avec un livre puis, invariablement, je m’endormais pour une heure ou deux.

Le soir, je retrouvais Franz et Alicia. Nous prenions l’apéro chez moi ou chez eux et dînions ensemble, J’en ai profité pour leur faire déguster quelques recettes locales mais, toujours, le dîner restait simple. Nous devisions tranquillement, sans prise de tête, agrémentant le repas de jeux érotiques avant de faire l’amour tous les trois mais toujours chez eux. Je ne voulais pas tromper Jeanne-Marie dans notre lit mais je n’avais pas, non plus, la moindre envie de refuser les plaisirs que m’offraient nos amis et j’étais bien décidé à en profiter jusqu’au bout.

Je crois que nous avons fait à peu près tout ce qu’une femme et deux hommes peuvent faire ensemble. J’ai pris Alicia par tous les trous, jouissant dans sa bouche, dans sa chatte, dans son cul. Parfois, Franz et moi nous occupions tous les deux d’Alicia. D’autres fois, Alicia et moi nous occupions de Franz ou tous deux s’occupaient de moi.

J’ai découvert avec eux le contact homosexuel que je n’avais jamais vraiment envisagé, mais l’atmosphère qu’ils ont su mettre dans nos échanges est vite venue à bout de mes faibles réticences. Je dois avouer y avoir pris plaisir même si je ne les envisage vraiment que dans le cas d’une rencontre tripartite avec une femme.

Je crois que je n’avais jamais autant joui de ma vie et mes deux compagnons me semblent en avoir vraiment bien profité aussi.

J’ai eu plus de peine quand Franz a voulu m’enculer. Mon anus vierge peinait à s’ouvrir suffisamment pour sa grosse queue et pourtant, après ce que je venais de vivre avec eux, je voulais vraiment faire plaisir à Franz mais aussi j’avais très envie de découvrir ce qu’on pouvait ressentir avec une queue dans le cul. Avec beaucoup de patience, Alicia et Franz ont réussi à m’aider à m’ouvrir. Ils m’ont enduit la rondelle avec un lubrifiant, Franz me massait pendant qu’Alicia me suçait pour me détendre. Franz s’est positionné derrière moi, a posé sa queue sur ma rondelle et a commencé à pousser. Je me suis crispé mais Alicia m’a regardé avec un superbe sourire. Elle m’a embrassé tout en me massant la queue. Franz, sentant que je me détendais, a poussé un peu plus fort, Le gland a passé le sphincter. J’ai grimacé de douleur. Alicia a redoublé ses attentions. Je me suis un peu détendu et, ne voulant pas m’avouer vaincu, j’ai donné un coup de cul vers l’arrière pour finir de faire rentrer cette queue au fond de mon cul. J’ai encore eu mal. Je me suis raidi. Franz, rivé au plus profond de moi, a attendu patiemment que je me décontracte. Plaqué contre mon dos il m’entourait de ses bras et me triturait les seins. Alicia me suçait la queue avec enthousiasme. Franz a commencé à bouger doucement, puis de plus en plus fort. J’ai commencé à y prendre plaisir mais je n’ai pas joui cette première fois. Franz, par contre, n’a pas tardé à jouir. J’ai senti ses spasmes au fond de mon cul et ça m’a bien plu. Quand il s’est retiré la capote était bien garnie. Nous avons fait l’amour avec Alicia. Dès qu’elle a eu joui, je me suis laissé aller.

Le soir, en rentrant chez moi j’étais un peu triste. La récréation était finie. Franz et Alicia s’en allaient le lendemain et Jeanne-Marie n’allait pas tarder à rentrer. Quel dommage que Jeanne-Marie ne se décide pas à goûter au fruit défendu ! J’aimerais vraiment vivre avec elle comme Franz et Alicia, invitant tantôt un homme, tantôt une femme ou un couple, mais…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!