Maeva Et Aïcha : La Découverte
Ma femme ayant plus de vacances que moi, elle venait de partir pour une semaine. Elle devait dabord voir une cousine, puis visiter nos s. Je métais prévu un programme de jardinage et de bricolage qui occuperait bien soirées et week-end, étant le reste du temps bloqué au travail.
Ce lundi soir, jétais juste rentré du boulot et mapprêtais à faire un tour de jardin avant de préparer mon repas du soir, tâche très ardue puisquil restait des légumes cuits que je navais quà réchauffer. Quand la sonnette a retenti je me suis demandé qui pouvait bien venir memmerder alors que je navais quune envie : être tranquille !
Cétait ma nièce Maeva, une belle jeune fille de même pas dix neuf ans avec une copine du même âge quelle ma présentée comme Aïcha, une copine. Cétait, dévidence, une beurette tout ce quil y a de plus joli. Cela dit, Maeva est très gentille, mais je nai pas grand chose à lui raconter. Enfin, je ferai de mon mieux.
Je les ai fait entrer et leur ai offert un jus de fruits. Maeva ma demandé si sa tante nétait pas là. Je lui ai dit quelle était absente pour une semaine, mais quelle pourrait la voir à son retour ou, pour une question urgente, quelle pouvait lui téléphoner, à moins que je puisse la renseigner.
- « Non, rien durgent. Tu viens darriver du boulot, on te dérange peut-être ? »
- « Comme tu vois, je mapprêtais juste à faire un tour de jardin avant de faire chauffer mon repas. A part ça, je nai rien de prévu pour ce soir. »
- « On peut taccompagner, si tu veux »
- « Je ne te savais pas à ce point passionnée de jardinage ! »
- « Moi pas trop, mais Aïcha aime bien, alors pourquoi pas ! »
- « Daccord, on y va. »
Nous avons fait tranquillement le tour du jardin. Visiblement, elles sy intéressaient poliment plutôt que réellement. Tous trois nous avons cependant joué le jeu. Elles ont dégusté quelques fraises, mais, visiblement, elles semblaient tourner autour du pot, comme si elles avaient une question à formuler sans trop savoir comment jallais réagir.
Par jeu, je les ai laissé mariné quelque temps avant de leur demander :
- « Dîtes-moi, les filles, je ne pense pas que vous soyez venues jusquici dans le seul but de voir mon jardin. Si vous me disiez plutôt le but de votre visite ? »
Là, un blanc, puis Maeva sest décidée :
- « Ben, cest que, avec Aïcha, nous voulions te demander, enfin
»
Aïcha est venue au secours de sa copine.
- « Oui, nous avions quelques questions ... euh
indiscrètes à vous poser, en toute discrétion. Maeva ne voudrait pas que cela revienne aux oreilles de ses parents »
- « Pas de problème, les filles. Je promets de garder tout ça pour moi. Vous pouvez poser vos questions, par contre, je me garde un joker. Je jugerai sur pièce de lopportunité dy répondre et ne mengage à rien, sinon à ce que tout cela reste entre nous. »
- « Ben, voilà, toutes les deux, on est encore vierges et on sest dit que, peut-être, tu pourrais . . . »
- « Que tu pourrais nous aider, . . . Enfin . . . »
- « Ben, nous faire lamour, quoi »
- « Rien que ça, les filles ! !! ! Vous navez peut-être pas remarqué que jai à peu près trois fois votre âge et que jai plus celui dêtre votre père que dêtre votre amant ? »
- « Pas de problème, tout ça on le sait, mais les petits copains de notre âge ne nous tentent pas et nous ne connaissons personne dautre à qui demander ça. »
- « Bien, votre question est excellente, mais cela ne vous surprendra pas que je la trouve quelque peu embarrassante. »
- « Pourquoi, tu nous trouves trop gamines, nous ne te plaisons pas ? »
- « Pour ça, pas de problème, vous êtes toutes deux fort jolies et je ne doute absolument pas que vous trouviez aisément un mec dâge plus conforme pour faire lamour avec lui et partager tout ce que vous pouvez avoir envie de partager avec un mec »
- « Oui, mais, pour la première fois, nous avons besoin dêtre en confiance, de ne pas risquer de tomber sur un mec qui ne pense quà tirer son coup »
- « Et cest comme ça que vous avez pensé à moi ! Merci de votre confiance.
- « Pas de problème, on en a déjà parlé toutes les deux et on est très claires. On veut découvrir le sexe et on a vraiment confiance en toi. Dailleurs, à part toi, on ne voit vraiment personne dautre. Sil te plait, dis oui ».
- « Comment résister à pareille supplique ? »
- « Cest vrai, tu veux bien ? Tu acceptes de nous faire lamour ? Oh, merci ! On peut, là, maintenant ? »
- « Vous allez un peu vite, les filles ! Vous avez gagné, jaccepte de vous faire lamour, mais pas aujourdhui. Je veux être vraiment sûr que vous soyez vraiment décidées, aussi je vous laisse un délai de réflexion de vingt quatre heures ».
- « OK, on vient à quelle heure, demain ?
- « Comment ça, on ? Vous voudriez débuter par un trio, vous deux avec moi ? »
- « Oui, cest bien ça »
- « Désolé, mais je ne suis pas daccord. Pour une première fois jai besoin de garder toute mon attention pour être à votre écoute et ça nest possible que si nous sommes deux. Si vraiment vous voulez un trio,, ça sera à voir plus tard, mais, pour la première fois, ça sera chacune votre tour »
- « Alors, nous pouvons venir toutes les deux. Lune regardera pendant que tu toccuperas de lautre, en attendant son tour. »
- « Désolé, ça nest pas aussi simple. Noubliez pas quun homme a besoin de recharger ses batteries avant de remettre ça et, je vous lai dit, je ne veux pas être distrait. Cest comme ça. Une seule à la fois pour la première fois. Cest à prendre ou à laisser. »
Elles ont échangé un regard puis, voyant que je ne cèderais pas, ont dit :
- « Daccord, On viendra chacune notre tour : lune demain et lautre après-demain, daccord ? »
- « Pour moi cest parfait ».
Elles sont venues me faire la bise pour prendre congé, mais je les ai arrêtées.
- « hé, pas comme ça, les filles ! Si vous voulez que nous fassions lamour, commençons par nous embrasser. Maeva a aussitôt posé ses lèvres sur les miennes. Je lai enlacée pour maintenir le contact avant de darder ma langue. Comprenant le message, elle a ouvert un peu la bouche pour mouvrir le passage. Nos langues ont joué quelque temps. Aïcha, qui piaffait dimpatience à côté, sest collée à nous, avançant son visage vers nous. Jai délaissé la bouche de Maeva pour prendre celle dAïcha. Jai ainsi embrassé les deux filles tour à tour avant de leur dire :
- « Merci les filles, maintenant, jai à faire, alors à bientôt, si toutefois vous navez pas changé davis »
- « A demain »
Toute la soirée, jai été très excité en y pensant, me demandant si cétait rêve ou réalité, et nosant pas croire réellement à ma bonne fortune. Jen ai mal dormi. Le lendemain, au travail, javais lesprit ailleurs, me demandant si, le soir, jaurais ou non une visite.
En arrivant à la maison, jai fait mon habituel tour de jardin, arrosé ce qui en avait besoin, cueilli quelques tomates et fruits pour le dîner. Jétais à peine rentré à la maison que la sonnette a retenti. Mon cur a soudainement battu plus fort. Aurais-je la chance de dépuceler lune de ces deux jolies filles et, si oui, laquelle ? En me dirigeant vers la porte, je nosais pas encore y croire. Et si cétait encore un de ces raseurs de commerciaux ? Jai ouvert la port . . .
- « Maeva ! ! Bonjour, Entre. »
- « Bonjour mon oncle »
Elle est entrée et, sitôt la porte fermée, ma tendu ses lèvres pulpeuses pour un baiser. Jai pris mon temps, lembrassant dabord tout doucement, tendrement alors quelle se blottissait contre ma poitrine. Je lai enlacée doucement, glissant mes mains, dabord sur ses omoplates, puis descendant plus bas, tout au long de la colonne vertébrale.
Elle ne lâchait pas ma bouche, comme si elle séternisait sur ce quelle connaissait déjà et appréciait, retardant dautant la découverte tant attendue du plaisir sexuel, un peu bloquée par une certaine appréhension.
Quand enfin elle a lâché prise, je lui ai proposé un jus de fruits que je lui ai servi sur le bar de la cuisine. Elle était debout, face au bar, son verre à la main. Je suis venu derrière elle, me collant contre son dos, lenlaçant et lui caressant doucement les épaules, la gorge, le visage, pendant un temps plus ou moins long, approchant de temps en temps la main de léchancrure de son corsage tout en retardant le moment de glisser mes doigts fureteurs dans cette caverne dAli Baba.
Je la sentais se détendre peu à peu, laissant aller son dos contre ma poitrine. Ny tenant plus, jai dégrafé un bouton pour glisser tout doucement une main pour caresser un petit sein qui me remplissait à peine la main. Je lai enveloppé doucement dune main caressante, jai écarté un peu les doigts pour pincer le téton. Tout de suite, je lai sentie onduler sous ma caresse. Jai avancé lautre main pour ouvrir encore quelques boutons. Je me suis légèrement écarté pour dégrafer son petit soutien-gorge et libérer davantage laccès, ce qui ma permis de tenir un sein dans chaque main pour lui faire encore plus de bien. Je la sentais onduler.
- « Ah . . . tu me fais trop du bien ! ! ! »
- « Tant mieux si tu apprécies, mais tu ne me feras pas croire quaucun petit ami na déjà essayé de te tripoter les seins »
- « Si, une ou deux fois, mais pas comme ça. Cétait agréable, mais là, toi, tu me fais vraiment trop du bien »
- « Eh bien, cest parfois lavantage de lexpérience. Avec un peu de pratique et dattention on apprend à faire plaisir à une femme en se laissant guider par ses réactions pour encore mieux la caresser. »
- « Jai délaissé ses seins pour finir de déboutonner son corsage et le lui ôter. Javais alors le champ libre pour parcourir son buste. Par contre, jai vite trouvé la position inconfortable, alors je lai prise par la main pour lentraîner dans la chambre. Jai fini par ouvrir son pantalon qui est tombé à ses pieds quelle a soulevés un à un pour les libérer. Elle ne portait plus que son slip, mais je nai pas voulu aller trop vite en le lui retirant si tôt.
Je lai invitée à sallonger sur le lit. Jai écarté ses jambes pour minstaller et me suis allongé sur elle pour lembrasser à nouveau tout en caressant son visage, puis, petit à petit, jai descendu le long de son corps, caressant chaque parcelle de sa peau avant de lembrasser.
Au niveau des seins, jai marqué une pause dans ma progression, mattardant longuement à les caresser, pincer les pointes avant de les prendre en bouche tour à tour.
Jai repris ma descente, me suis un peu attardé sur le nombril au fond duquel jai vrillé ma langue. Jai volontairement contourné le sexe pour mattarder sur lintérieur des cuisses, si sensible avant de remonter.
Sa pilosité de blonde, peu fournie, laissait voir les lèvres et je nai pas résisté longtemps à les parcourir des doigts, en faisant tout dabord le tour, puis glissant un index fureteur entre elles sans chercher à aller plus loin, massant seulement les lèvres et dégageant les poils qui gêneraient ma bouche.
Je me suis positionné un peu mieux pour glisser mes bras sous ses cuisses et atteindre encore ses seins cependant que japprochais ma bouche de lantre convoité.
Jai glissé ma langue entre les lèvres, léchant bien le contour de sa chatte toute neuve, puis agaçant le clito, parfois dardant la pointe dans le conduit damour. Je la sentais onduler sous mes caresses, le souffle court avant de goûter la récompense de mes efforts quand, enfin, elle ma joui dans la bouche.
Si elle nétait pas suffisamment ouverte et lubrifiée, elle ne le serait jamais. Jai donc remonté pour lembrasser et lui faire partager son goût de femme. Jai pris ma bite en main et lai positionnée à lentrée de sa chatte et, sans attendre, jai poussé un peu pour la pénétrer doucement. Jai fait quelques va et vient sur quelques centimètres pour lui laisser le temps de shabi. Ma bouche sur ses seins continuait de faire diversion.
Ma queue me faisait mal tellement elle était bandée à lidée de la dépuceler. Jai fait un mouvement plus ample qui ma permis de passer lobstacle et enfoncer totalement ma queue dans cette chatte toute neuve. Je lai sentie se crisper. Jai arrêté mes mouvements pour la laisser shabi, puis jai repris mes va et vient, dabord tout doucement, puis plus rapidement. Jaurais aimé quelle jouisse avec ma queue en elle, mais je pense que cétait trop demander pour une première fois. Elle avait déjà joui deux fois, la première avec mes caresses sur ses seins, et la seconde dans ma bouche. Jai donc décidé de ne pas éterniser la chose et laissé exploser ma jouissance.
Je me suis retiré et lai embrassée tendrement.
- « Merci, je suis désormais une vraie femme. Tu mas vraiment fait trop du bien, même si ça ma fait mal un peu quand du mas pénétrée »
- « Cest moi qui te remercie. Je suis vraiment heureux davoir pu touvrir la voie de ton plaisir. Ne ten fais pas pour la douleur. Celle-là ne se reproduira pas. Pour la première fois, il fallait seulement déchirer lhymen. Désormais, si tes amants prennent soin de texciter pour que ta chatte souvre et se lubrifie, comme je lai fait, tu nauras aucune raison davoir mal. Au contraire, tu apprendras à jouir encore davantage, quand tu nauras plus peur davoir mal. »
Nous avons devisé tranquillement un moment. Je lui ai offert un rafraîchissement que nous avons dégusté sur la terrasse, nus tous les deux au soleil. Pour elle, cétait aussi la première fois quelle se montrait ainsi nue et elle nétait pas vraiment à laise, mais je lui ai dit quelle était belle et que la nudité était vraiment quelque chose de naturel et dagréable, même en-dehors de toute idée sexuelle, mais le poids de son éducation était encore trop fort. Elle a pris son téléphone pour demander à sa copine de venir la chercher.
Nous nous sommes rhabillés et je lai embrassée en lui disant :
- « Au-revoir, ma belle, et merci pour ces instants magiques. Désormais, ça sera notre secret »
- « A bientôt, mon oncle, je veux que tu mapprennes encore à jouir. Demain, cest le tour dAïcha, mais après, je veux que nous le fassions ensemble, tous les trois. Promets-moi. »
Jai promis tout en lui disant que, après ça, nous devrions arrêter là, quil faudrait quelles se trouvent des amants dun âge plus conforme et que je ne pouvais pas envisager davoir une maîtresse et des habitudes avec une autre femme que sa tante.
- « Jaurai toujours plaisir à voir ma jolie nièce même si nous ne faisons plus lamour et puis, si tu en as envie, tu pourras, de temps en temps, me raconter tes turpitudes ».
Petit coup de klaxon discret.
- « Cest Aïcha, je men vais. A bientôt mon oncle, et merci encore »
Un petit baiser mutin sur les lèvres et la voilà partie.
Jai passé une bonne soirée en me remémorant ces bons moments et en me demandant si, le lendemain, jaurais le plaisir de voir la copine.
Effectivement, le lendemain, elle était là, avant moi, même. Sa petite auto bleue était devant la maison quand je suis arrivé. Jai ouvert le portail et lai invitée à rentrer sa voiture pour plus de discrétion.
Par rapport à Maeva, Aïcha fait plus femme. Elle est un peu plus grande, avec des seins plus volumineux, quoique sans excès. Cest vraiment déjà une très belle femme, une superbe beurette et sa robe bleue mettait bien en valeur son teint superbe. Parlons-en, de cette robe : une petite robe tout à fait correcte, qui laisse apparaître aux trois quarts ses cuisses fuselées, boutonnée sur le devant. Dailleurs, la coquine a, comme par négligence, laissé trois boutons du haut déboutonnés, dégageant ainsi la vue sur ses superbes seins qui, visiblement, sont libres de toute contrainte, si jen juge par le mouvement harmonieux de sa poitrine quand elle se déplace et par les tétons dardés qui repoussent le mince tissu.
Elle me rejoint sur la terrasse et, comme nous sommes à labri des regards indiscrets, vient se blottir contre moi pour membrasser avant de se reculer un peu pour me demander :
- « Alors, je te plais ? »
- « Si je te dis le contraire, tu ne me croiras pas et, effectivement, il faudrait être difficile pour ne pas apprécier »
Elle baisse les yeux et rétorque :
- « Effectivement, vu la bosse qui déforme ton pantalon, jai limpression de te faire de leffet »
Visiblement, la donzelle est délurée et, si elle est encore vierge, on se demande bien comment cest encore possible.
Je mapproche delle et lenlace par derrière. Je me penche un peu sur son épaule pour laisser plonger mon regard dans léchancrure de la robe puis, ny tenant plus, je glisse une main fureteuse pour empaumer un sein. Le contact, dans ma main, est très différend de ce que javais eu la veille. Certes, la petite poitrine juvénile de Maeva mavait excitée, mais ce contact chaud dune poitrine bien ferme qui emplissait aussi bien ma main me satisfaisait bien davantage. Mon autre main a glissé pour défaire encore quelques boutons et jai enfin pu tenir un sein dans chaque main, laisser libre cours à mon envie de la caresser. Très vite, elle sest mise à onduler. Elle a rejeté sa tête en arrière pour rechercher ma bouche et nous avons communié ainsi pendant un moment dont je ne saurais évaluer la durée, tant javais perdu la notion du temps.
- « Maeva navait pas menti, tu caresses super bien les seins, tu me fais vraiment du bien »
- « Tu ne me feras pas croire que je suis le premier à te toucher la poitrine ! »
- « Tu as raison, ça mest arrivé deux ou trois fois avec un copain et même, il ny pas longtemps, avec deux. Nous faisions une petite balade dans un endroit tranquille. Nous nous sommes posés sur un rocher pour profiter du paysage. Jétais assise entre eux.
A un moment, Alban a mis sa main sur mon épaule. Un peu surprise, je lai regardé et là, il a approché son visage pour membrasser. Je ne suis pas bégueule et je nai pas refusé. Jai même pris plaisir à son baiser. Mais après, je me suis sentie un peu gênée pour Jimmy qui devait se sentir un peu seul. Je me suis tournée vers lui en mettant ma main sur son épaule, je lui ai dit : Jimmy, regarde-moi, jai aussi envie de tembrasser. Cétait vrai, jai toujours été plus attirée par lui, mais il na jamais rien fait pour me draguer.
Il ma regardé, lair un peu triste, se demandant si je ne me moquais pas. Jai avancé la bouche et posé mes lèvres sur les siennes quil sobstinait à garder fermées. Jai un peu le passage avec ma langue et il sest laissé faire avant de se mettre à membrasser vraiment.
Alban, de son côté, me voulait encore. Comme je ne moccupais plus de lui et embrassais son copain, il en a profité pour défaire quelques boutons de mon chemisier et glisser sa main dans léchancrure.
Jimmy sen est aperçu et na pas voulu être en reste. Il a fini douvrir mon chemisier et a pris mon téton entre ses lèvres. Là, cétait trop bon, et encore plus quand Alban a fait la même chose sur mon autre sein. Ils étaient un peu maladroits mais ils me faisaient quand même beaucoup de bien.
Mais Alban en voulait encore plus. Il a commencé à me caresser la cuisse mais, quand jai senti sa main remonter sous ma jupe et chercher à simmiscer sous mon slip, jai dit non. Je nétais pas encore prête.
Cependant, je pense, avec un peu de recul, que cest le plaisir pris avec ces deux-là qui ma donné envie daller plus loin et de connaître vraiment lamour. Cest pour ça que, à force den parler avec Maeva, nous avons décidé de te demander de nous dépuceler. Je ne voulais pas prendre le risque de le faire avec un jeune de mon âge, un peu inexpérimenté, qui risquait de me faire mal. Je voulais quelquun de mûr, dattentionné pour maider à découvrir le plaisir. »
- « Merci de ta confiance. Viens ! »
Relâchant mon étreinte, je lai entraînée vers la chambre pour lui ôter sa robe et là, surprise ! Elle était entièrement nue dessous. Sa chatte dorée était habillée dune toison brune bouclée taillée raz qui laissait bien apparaître ses lèvres charnues. Magnifique ! Déjà, habillée, elle était tout à fait belle, mais, nue, elle était vraiment superbe.
Elle ma dit :
- « Dis-moi, ça te plait de me voir nue ? »
- « Encore plus que quand tu étais vêtue ! »
- « Merci, mais moi ça me gêne dêtre nue si toi tu restes habillé. Tu permets ? »
Joignant le geste à la parole, elle a déboutonné doucement ma chemisette avant de me lôter. Elle a approché sa bouche de mes seins en disant :
- « Et tes petits seins à toi, ils sont sensibles, aussi ? »
- « Oh oui, comme les tiens, je crois »
Elle a suçoté mon téton en pinçant lautre avant de glisser sa main vers ma ceinture pour ouvrir mon pantalon. Elle la ôté, a passé sa main sur la bosse qui gonflait mon slip avant me lôter aussi..
Évidemment, avec ce que nous venions de vivre, ma queue était bandée au maximum.
Elle la regardée.
- « Hum, cest ça que tu vas me mettre dans la chatte ! »
-« Hé oui, cest fait pour. Pourquoi, ça timpressionne ? »
- « Jai limpression que tu en as une grosse ! »
- « Ne ten fais pas, un sexe féminin et un sexe masculin sont faits pour sadapter. Évidemment, à sec et sans excitation, même ton index peine à rentrer, mais, bien excitée, ta chatte souvre et lubrifie. Elle se prépare à accueillir le membre masculin, gros ou petit. Certains vont même jusquà introduire la main entière, mais personnellement, je nen vois pas lintérêt. »
elle a posé un bisou léger sur ma queue puis est venue membrasser. Je lai attirée sur moi. Mon membre bien dur appuyait sur sa chatte. Ses seins frottaient contre les miens. Mes mains parcouraient son dos, descendaient sur les flancs, puis sur les cuisses avant de remonter en empaumant bien les fesses et en parcourant du bout du doigt le sillon culier, poursuivant au long de la colonne vertébrale.
Jai glissé mes mains entre nos torses pour empoigner ses seins qui ont aussitôt réagi à mes caresses. Elle sest un peu soulevée pour me faciliter laccès. Je lai attirée pour approcher sa poitrine de ma bouche et jai entamé la valse de mes lèvres et de mes mains qui ne laissaient jamais un sein en repos. Elle ronronnait et haletait sous le plaisir.
Je lai alors fait basculer pour retrouver au-dessus delle. Jai continué quelque temps dhonorer ses seins avant de glisser vers le bas, parcourant des mains et des lèvres chaque parcelle de son corps, mattardant quelque peu sur le nombril, puis sur lintérieur des cuisses, habituellement si sensible. Jai remonté un peu, les yeux à ras de sa superbe chatte avant dy glisser ma langue. Jai exploré ses lèvres, agacé son clito, glissé ma langue dardée dans lantre déjà bien ouvert, ouverture que jai vérifiée en y glissant un doigt puis deux, puis trois. Pas de doute, elle était prête à accueillir ma queue. Je lai sentie se contracter et se cabrer avant de déverser son nectar dans ma bouche gourmande. Jai lapé encore un peu pour recueillir un maximum de liqueur avant de laisser sa chatte pour mapprocher de sa bouche et lembrasser pour lui faire partager son parfum et son goût de femme. Jai avancé une main pour guider ma queue à lorée de sa chatte, mais elle ma dit non.
Là, franchement, je ne comprenais plus. Pourquoi reculer maintenant ? Elle ma repoussé pour me faire basculer sur le dos. Là, elle ma enjambé, a saisi ma queue entre ses doigts pendant que lautre écartait ses lèvres. Elle a présenté lobjet de son désir à lorée de sa grotte, la fait pénétrer un peu, faisant quelques va et vient superficiels. Je la laissais faire en caressant ses seins, attentif à la progression de son con autour de ma queue qui, je le sentais, butait contre son hymen.. A un moment, elle a reculé à la limite de la perte de contact puis, dun coup de rein, sest empalée à fond, se dépucelant elle-même sur mon pal.. Elle sest vautrée sur moi pour membrasser puis, lâchant ma bouche, a entamé un va et vient encore mal assuré mais qui la conduisit rapidement à la jouissance.
Elle sest affalée sur moi, me remerciant du plaisir que je lui donnais. Mais je navais pas encore joui. Ma queue bandée me faisait mal. Jai commencé à aller et venir avant de jouir à mon tour. Mon plaisir a été à la hauteur de lexcitation des caresses échangées et, surtout, davoir pu dépuceler une aussi belle fille. Le parfum de sa jouissance avait sur moi un effet aphrodisiaque extraordinaire. Je suis resté en elle jusquà ce que mon membre ramolli ressorte de lui-même. Nous sommes restés enlacés un moment avant de nous désunir. Je lisais dans ses yeux son plaisir de femelle satisfaite. Jétais heureux davoir pu lui ouvrir ainsi la voie de son plaisir. Bien sûr, je naurais pas longtemps le plaisir de baiser avec elle mais quimporte. Nous avions, tous les deux, pris beaucoup de plaisir. Jétais même surpris que, pour une première fois, elle jouisse autant. Visiblement, elle avait de grandes dispositions et jespérais quelle pourrait tirer le maximum de plaisir en continuant à les développer avec ses futurs amants.
Je lui ai offert un verre puis elle est partie en me disant « à demain ».
Je ne pouvais vraiment pas y croire. Deux jours de rang, javais eu la chance daccompagner les débuts de deux jeunes filles. Le premier, je les avais pénétrées et elles mavaient offert leur pucelage. Avec Maéva javais pris du plaisir, mais javais avant tout joué mon rôle daîné en lui ouvrant de mon mieux les portes du plaisir mais, avec Aïcha, si javais aussi eu ces plaisirs, je métais retrouvé dans les bras dune superbe jeune fille déjà très femme et vraiment douée pour le sexe. Vraiment, javais une chance inouïe. Et en plus, demain, elles veulent venir toutes les deux ! Jétais tellement excité en me remémorant ces instants divins que je bandais encore et que jai dû me palucher pour me soulager à nouveau.
à suivre . . . .
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