Maeva Et Aïcha : La Découverte

Ma femme ayant plus de vacances que moi, elle venait de partir pour une semaine. Elle devait d’abord voir une cousine, puis visiter nos s. Je m’étais prévu un programme de jardinage et de bricolage qui occuperait bien soirées et week-end, étant le reste du temps bloqué au travail.
Ce lundi soir, j’étais juste rentré du boulot et m’apprêtais à faire un tour de jardin avant de préparer mon repas du soir, tâche très ardue puisqu’il restait des légumes cuits que je n’avais qu’à réchauffer. Quand la sonnette a retenti je me suis demandé qui pouvait bien venir m’emmerder alors que je n’avais qu’une envie : être tranquille !
C’était ma nièce Maeva, une belle jeune fille de même pas dix neuf ans avec une copine du même âge qu’elle m’a présentée comme Aïcha, une copine. C’était, d’évidence, une beurette tout ce qu’il y a de plus joli. Cela dit, Maeva est très gentille, mais je n’ai pas grand chose à lui raconter. Enfin, je ferai de mon mieux.
Je les ai fait entrer et leur ai offert un jus de fruits. Maeva m’a demandé si sa tante n’était pas là. Je lui ai dit qu’elle était absente pour une semaine, mais qu’elle pourrait la voir à son retour ou, pour une question urgente, qu’elle pouvait lui téléphoner, à moins que je puisse la renseigner.
- « Non, rien d’urgent. Tu viens d’arriver du boulot, on te dérange peut-être ? »
- « Comme tu vois, je m’apprêtais juste à faire un tour de jardin avant de faire chauffer mon repas. A part ça, je n’ai rien de prévu pour ce soir. »
- « On peut t’accompagner, si tu veux »
- « Je ne te savais pas à ce point passionnée de jardinage ! »
- « Moi pas trop, mais Aïcha aime bien, alors pourquoi pas ! »
- « D’accord, on y va. »
Nous avons fait tranquillement le tour du jardin. Visiblement, elles s’y intéressaient poliment plutôt que réellement. Tous trois nous avons cependant joué le jeu. Elles ont dégusté quelques fraises, mais, visiblement, elles semblaient tourner autour du pot, comme si elles avaient une question à formuler sans trop savoir comment j’allais réagir.


Par jeu, je les ai laissé mariné quelque temps avant de leur demander :
- « Dîtes-moi, les filles, je ne pense pas que vous soyez venues jusqu’ici dans le seul but de voir mon jardin. Si vous me disiez plutôt le but de votre visite ? »
Là, un blanc, puis Maeva s’est décidée :
- « Ben, c’est que, avec Aïcha, nous voulions te demander, enfin … »
Aïcha est venue au secours de sa copine.
- « Oui, nous avions quelques questions ... euh … indiscrètes à vous poser, en toute discrétion. Maeva ne voudrait pas que cela revienne aux oreilles de ses parents »
- « Pas de problème, les filles. Je promets de garder tout ça pour moi. Vous pouvez poser vos questions, par contre, je me garde un joker. Je jugerai sur pièce de l’opportunité d’y répondre et ne m’engage à rien, sinon à ce que tout cela reste entre nous. »
- «  Ben, voilà, toutes les deux, on est encore vierges et on s’est dit que, peut-être, tu pourrais . . . »
- «  Que tu pourrais nous aider, . . . Enfin . . . »
- «  Ben, nous faire l’amour, quoi »
- «  Rien que ça, les filles ! !! ! Vous n’avez peut-être pas remarqué que j’ai à peu près trois fois votre âge et que j’ai plus celui d’être votre père que d’être votre amant ? »
- «  Pas de problème, tout ça on le sait, mais les petits copains de notre âge ne nous tentent pas et nous ne connaissons personne d’autre à qui demander ça. »
- « Bien, votre question est excellente, mais cela ne vous surprendra pas que je la trouve quelque peu embarrassante. »
- « Pourquoi, tu nous trouves trop gamines, nous ne te plaisons pas ? »
- « Pour ça, pas de problème, vous êtes toutes deux fort jolies et je ne doute absolument pas que vous trouviez aisément un mec d’âge plus conforme pour faire l’amour avec lui et partager tout ce que vous pouvez avoir envie de partager avec un mec »
- « Oui, mais, pour la première fois, nous avons besoin d’être en confiance, de ne pas risquer de tomber sur un mec qui ne pense qu’à tirer son coup »
- «  Et c’est comme ça que vous avez pensé à moi ! Merci de votre confiance.
J’avoue, tout d’abord, être très flatté que deux belles jeunes filles telles que vous puissent avoir envie de faire l’amour avec moi. J’ai cependant quelques scrupules, vu notre différence d’âge. Je craindrais que vous regrettiez après. »
- « Pas de problème, on en a déjà parlé toutes les deux et on est très claires. On veut découvrir le sexe et on a vraiment confiance en toi. D’ailleurs, à part toi, on ne voit vraiment personne d’autre. S’il te plait, dis oui ».
- « Comment résister à pareille supplique ? »
- « C’est vrai, tu veux bien ? Tu acceptes de nous faire l’amour ? Oh, merci ! On peut, là, maintenant ? »
- «  Vous allez un peu vite, les filles ! Vous avez gagné, j’accepte de vous faire l’amour, mais pas aujourd’hui. Je veux être vraiment sûr que vous soyez vraiment décidées, aussi je vous laisse un délai de réflexion de vingt quatre heures ».
- «  OK, on vient à quelle heure, demain ?
- « Comment ça, on ? Vous voudriez débuter par un trio, vous deux avec moi ? »
- « Oui, c’est bien ça »
- « Désolé, mais je ne suis pas d’accord. Pour une première fois j’ai besoin de garder toute mon attention pour être à votre écoute et ça n’est possible que si nous sommes deux. Si vraiment vous voulez un trio,, ça sera à voir plus tard, mais, pour la première fois, ça sera chacune votre tour »
- « Alors, nous pouvons venir toutes les deux. L’une regardera pendant que tu t’occuperas de l’autre, en attendant son tour. »
- « Désolé, ça n’est pas aussi simple. N’oubliez pas qu’un homme a besoin de recharger ses batteries avant de remettre ça et, je vous l’ai dit, je ne veux pas être distrait. C’est comme ça. Une seule à la fois pour la première fois. C’est à prendre ou à laisser. »
Elles ont échangé un regard puis, voyant que je ne cèderais pas, ont dit :
- « D’accord, On viendra chacune notre tour : l’une demain et l’autre après-demain, d’accord ? »
- « Pour moi c’est parfait ».
Elles sont venues me faire la bise pour prendre congé, mais je les ai arrêtées.

- « hé, pas comme ça, les filles ! Si vous voulez que nous fassions l’amour, commençons par nous embrasser. Maeva a aussitôt posé ses lèvres sur les miennes. Je l’ai enlacée pour maintenir le contact avant de darder ma langue. Comprenant le message, elle a ouvert un peu la bouche pour m’ouvrir le passage. Nos langues ont joué quelque temps. Aïcha, qui piaffait d’impatience à côté, s’est collée à nous, avançant son visage vers nous. J’ai délaissé la bouche de Maeva pour prendre celle d’Aïcha. J’ai ainsi embrassé les deux filles tour à tour avant de leur dire :
- « Merci les filles, maintenant, j’ai à faire, alors à bientôt, si toutefois vous n’avez pas changé d’avis »
- « A demain »
Toute la soirée, j’ai été très excité en y pensant, me demandant si c’était rêve ou réalité, et n’osant pas croire réellement à ma bonne fortune. J’en ai mal dormi. Le lendemain, au travail, j’avais l’esprit ailleurs, me demandant si, le soir, j’aurais ou non une visite.
En arrivant à la maison, j’ai fait mon habituel tour de jardin, arrosé ce qui en avait besoin, cueilli quelques tomates et fruits pour le dîner. J’étais à peine rentré à la maison que la sonnette a retenti. Mon cœur a soudainement battu plus fort. Aurais-je la chance de dépuceler l’une de ces deux jolies filles et, si oui, laquelle ? En me dirigeant vers la porte, je n’osais pas encore y croire. Et si c’était encore un de ces raseurs de commerciaux ? J’ai ouvert la port . . .
- « Maeva ! ! Bonjour, Entre. »
- « Bonjour mon oncle »
Elle est entrée et, sitôt la porte fermée, m’a tendu ses lèvres pulpeuses pour un baiser. J’ai pris mon temps, l’embrassant d’abord tout doucement, tendrement alors qu’elle se blottissait contre ma poitrine. Je l’ai enlacée doucement, glissant mes mains, d’abord sur ses omoplates, puis descendant plus bas, tout au long de la colonne vertébrale.
Elle ne lâchait pas ma bouche, comme si elle s’éternisait sur ce qu’elle connaissait déjà et appréciait, retardant d’autant la découverte tant attendue du plaisir sexuel, un peu bloquée par une certaine appréhension.

Quand enfin elle a lâché prise, je lui ai proposé un jus de fruits que je lui ai servi sur le bar de la cuisine. Elle était debout, face au bar, son verre à la main. Je suis venu derrière elle, me collant contre son dos, l’enlaçant et lui caressant doucement les épaules, la gorge, le visage, pendant un temps plus ou moins long, approchant de temps en temps la main de l’échancrure de son corsage tout en retardant le moment de glisser mes doigts fureteurs dans cette caverne d’Ali Baba.
Je la sentais se détendre peu à peu, laissant aller son dos contre ma poitrine. N’y tenant plus, j’ai dégrafé un bouton pour glisser tout doucement une main pour caresser un petit sein qui me remplissait à peine la main. Je l’ai enveloppé doucement d’une main caressante, j’ai écarté un peu les doigts pour pincer le téton. Tout de suite, je l’ai sentie onduler sous ma caresse. J’ai avancé l’autre main pour ouvrir encore quelques boutons. Je me suis légèrement écarté pour dégrafer son petit soutien-gorge et libérer d’avantage l’accès, ce qui m’a permis de tenir un sein dans chaque main pour lui faire encore plus de bien. Je la sentais onduler.
- « Ah . . . tu me fais trop du bien ! ! ! »
- « Tant mieux si tu apprécies, mais tu ne me feras pas croire qu’aucun petit ami n’a déjà essayé de te tripoter les seins »
- « Si, une ou deux fois, mais pas comme ça. C’était agréable, mais là, toi, tu me fais vraiment trop du bien »
- « Eh bien, c’est parfois l’avantage de l’expérience. Avec un peu de pratique et d’attention on apprend à faire plaisir à une femme en se laissant guider par ses réactions pour encore mieux la caresser. »
- « J’ai délaissé ses seins pour finir de déboutonner son corsage et le lui ôter. J’avais alors le champ libre pour parcourir son buste. Par contre, j’ai vite trouvé la position inconfortable, alors je l’ai prise par la main pour l’entraîner dans la chambre. J’ai fini par ouvrir son pantalon qui est tombé à ses pieds qu’elle a soulevés un à un pour les libérer. Elle ne portait plus que son slip, mais je n’ai pas voulu aller trop vite en le lui retirant si tôt.
Je l’ai invitée à s’allonger sur le lit. J’ai écarté ses jambes pour m’installer et me suis allongé sur elle pour l’embrasser à nouveau tout en caressant son visage, puis, petit à petit, j’ai descendu le long de son corps, caressant chaque parcelle de sa peau avant de l’embrasser.
Au niveau des seins, j’ai marqué une pause dans ma progression, m’attardant longuement à les caresser, pincer les pointes avant de les prendre en bouche tour à tour.
J’ai repris ma descente, me suis un peu attardé sur le nombril au fond duquel j’ai vrillé ma langue. J’ai volontairement contourné le sexe pour m’attarder sur l’intérieur des cuisses, si sensible avant de remonter.
Sa pilosité de blonde, peu fournie, laissait voir les lèvres et je n’ai pas résisté longtemps à les parcourir des doigts, en faisant tout d’abord le tour, puis glissant un index fureteur entre elles sans chercher à aller plus loin, massant seulement les lèvres et dégageant les poils qui gêneraient ma bouche.
Je me suis positionné un peu mieux pour glisser mes bras sous ses cuisses et atteindre encore ses seins cependant que j’approchais ma bouche de l’antre convoité.
J’ai glissé ma langue entre les lèvres, léchant bien le contour de sa chatte toute neuve, puis agaçant le clito, parfois dardant la pointe dans le conduit d’amour. Je la sentais onduler sous mes caresses, le souffle court avant de goûter la récompense de mes efforts quand, enfin, elle m’a joui dans la bouche.
Si elle n’était pas suffisamment ouverte et lubrifiée, elle ne le serait jamais. J’ai donc remonté pour l’embrasser et lui faire partager son goût de femme. J’ai pris ma bite en main et l’ai positionnée à l’entrée de sa chatte et, sans attendre, j’ai poussé un peu pour la pénétrer doucement. J’ai fait quelques va et vient sur quelques centimètres pour lui laisser le temps de s’habi. Ma bouche sur ses seins continuait de faire diversion.
Ma queue me faisait mal tellement elle était bandée à l’idée de la dépuceler. J’ai fait un mouvement plus ample qui m’a permis de passer l’obstacle et enfoncer totalement ma queue dans cette chatte toute neuve. Je l’ai sentie se crisper. J’ai arrêté mes mouvements pour la laisser s’habi, puis j’ai repris mes va et vient, d’abord tout doucement, puis plus rapidement. J’aurais aimé qu’elle jouisse avec ma queue en elle, mais je pense que c’était trop demander pour une première fois. Elle avait déjà joui deux fois, la première avec mes caresses sur ses seins, et la seconde dans ma bouche. J’ai donc décidé de ne pas éterniser la chose et laissé exploser ma jouissance.
Je me suis retiré et l’ai embrassée tendrement.
- « Merci, je suis désormais une vraie femme. Tu m’as vraiment fait trop du bien, même si ça m’a fait mal un peu quand du m’as pénétrée »
- « C’est moi qui te remercie. Je suis vraiment heureux d’avoir pu t’ouvrir la voie de ton plaisir. Ne t’en fais pas pour la douleur. Celle-là ne se reproduira pas. Pour la première fois, il fallait seulement déchirer l’hymen. Désormais, si tes amants prennent soin de t’exciter pour que ta chatte s’ouvre et se lubrifie, comme je l’ai fait, tu n’auras aucune raison d’avoir mal. Au contraire, tu apprendras à jouir encore d’avantage, quand tu n’auras plus peur d’avoir mal. »
Nous avons devisé tranquillement un moment. Je lui ai offert un rafraîchissement que nous avons dégusté sur la terrasse, nus tous les deux au soleil. Pour elle, c’était aussi la première fois qu’elle se montrait ainsi nue et elle n’était pas vraiment à l’aise, mais je lui ai dit qu’elle était belle et que la nudité était vraiment quelque chose de naturel et d’agréable, même en-dehors de toute idée sexuelle, mais le poids de son éducation était encore trop fort. Elle a pris son téléphone pour demander à sa copine de venir la chercher.
Nous nous sommes rhabillés et je l’ai embrassée en lui disant :
- « Au-revoir, ma belle, et merci pour ces instants magiques. Désormais, ça sera notre secret »
- « A bientôt, mon oncle, je veux que tu m’apprennes encore à jouir. Demain, c’est le tour d’Aïcha, mais après, je veux que nous le fassions ensemble, tous les trois. Promets-moi. »
J’ai promis tout en lui disant que, après ça, nous devrions arrêter là, qu’il faudrait qu’elles se trouvent des amants d’un âge plus conforme et que je ne pouvais pas envisager d’avoir une maîtresse et des habitudes avec une autre femme que sa tante.
- « J’aurai toujours plaisir à voir ma jolie nièce même si nous ne faisons plus l’amour et puis, si tu en as envie, tu pourras, de temps en temps, me raconter tes turpitudes ».
Petit coup de klaxon discret.
- « C’est Aïcha, je m’en vais. A bientôt mon oncle, et merci encore »
Un petit baiser mutin sur les lèvres et la voilà partie.
J’ai passé une bonne soirée en me remémorant ces bons moments et en me demandant si, le lendemain, j’aurais le plaisir de voir la copine.
Effectivement, le lendemain, elle était là, avant moi, même. Sa petite auto bleue était devant la maison quand je suis arrivé. J’ai ouvert le portail et l’ai invitée à rentrer sa voiture pour plus de discrétion.
Par rapport à Maeva, Aïcha fait plus femme. Elle est un peu plus grande, avec des seins plus volumineux, quoique sans excès. C’est vraiment déjà une très belle femme, une superbe beurette et sa robe bleue mettait bien en valeur son teint superbe. Parlons-en, de cette robe : une petite robe tout à fait correcte, qui laisse apparaître aux trois quarts ses cuisses fuselées, boutonnée sur le devant. D’ailleurs, la coquine a, comme par négligence, laissé trois boutons du haut déboutonnés, dégageant ainsi la vue sur ses superbes seins qui, visiblement, sont libres de toute contrainte, si j’en juge par le mouvement harmonieux de sa poitrine quand elle se déplace et par les tétons dardés qui repoussent le mince tissu.
Elle me rejoint sur la terrasse et, comme nous sommes à l’abri des regards indiscrets, vient se blottir contre moi pour m’embrasser avant de se reculer un peu pour me demander :
- « Alors, je te plais ? »
- « Si je te dis le contraire, tu ne me croiras pas et, effectivement, il faudrait être difficile pour ne pas apprécier »
Elle baisse les yeux et rétorque :
- « Effectivement, vu la bosse qui déforme ton pantalon, j’ai l’impression de te faire de l’effet »
Visiblement, la donzelle est délurée et, si elle est encore vierge, on se demande bien comment c’est encore possible.
Je m’approche d’elle et l’enlace par derrière. Je me penche un peu sur son épaule pour laisser plonger mon regard dans l’échancrure de la robe puis, n’y tenant plus, je glisse une main fureteuse pour empaumer un sein. Le contact, dans ma main, est très différend de ce que j’avais eu la veille. Certes, la petite poitrine juvénile de Maeva m’avait excitée, mais ce contact chaud d’une poitrine bien ferme qui emplissait aussi bien ma main me satisfaisait bien d’avantage. Mon autre main a glissé pour défaire encore quelques boutons et j’ai enfin pu tenir un sein dans chaque main, laisser libre cours à mon envie de la caresser. Très vite, elle s’est mise à onduler. Elle a rejeté sa tête en arrière pour rechercher ma bouche et nous avons communié ainsi pendant un moment dont je ne saurais évaluer la durée, tant j’avais perdu la notion du temps.
- « Maeva n’avait pas menti, tu caresses super bien les seins, tu me fais vraiment du bien »
- « Tu ne me feras pas croire que je suis le premier à te toucher la poitrine ! »
- « Tu as raison, ça m’est arrivé deux ou trois fois avec un copain et même, il n’y pas longtemps, avec deux. Nous faisions une petite balade dans un endroit tranquille. Nous nous sommes posés sur un rocher pour profiter du paysage. J’étais assise entre eux.
A un moment, Alban a mis sa main sur mon épaule. Un peu surprise, je l’ai regardé et là, il a approché son visage pour m’embrasser. Je ne suis pas bégueule et je n’ai pas refusé. J’ai même pris plaisir à son baiser. Mais après, je me suis sentie un peu gênée pour Jimmy qui devait se sentir un peu seul. Je me suis tournée vers lui en mettant ma main sur son épaule, je lui ai dit : Jimmy, regarde-moi, j’ai aussi envie de t’embrasser. C’était vrai, j’ai toujours été plus attirée par lui, mais il n’a jamais rien fait pour me draguer.
Il m’a regardé, l’air un peu triste, se demandant si je ne me moquais pas. J’ai avancé la bouche et posé mes lèvres sur les siennes qu’il s’obstinait à garder fermées. J’ai un peu le passage avec ma langue et il s’est laissé faire avant de se mettre à m’embrasser vraiment.
Alban, de son côté, me voulait encore. Comme je ne m’occupais plus de lui et embrassais son copain, il en a profité pour défaire quelques boutons de mon chemisier et glisser sa main dans l’échancrure.
Jimmy s’en est aperçu et n’a pas voulu être en reste. Il a fini d’ouvrir mon chemisier et a pris mon téton entre ses lèvres. Là, c’était trop bon, et encore plus quand Alban a fait la même chose sur mon autre sein. Ils étaient un peu maladroits mais ils me faisaient quand même beaucoup de bien.
Mais Alban en voulait encore plus. Il a commencé à me caresser la cuisse mais, quand j’ai senti sa main remonter sous ma jupe et chercher à s’immiscer sous mon slip, j’ai dit non. Je n’étais pas encore prête.
Cependant, je pense, avec un peu de recul, que c’est le plaisir pris avec ces deux-là qui m’a donné envie d’aller plus loin et de connaître vraiment l’amour. C’est pour ça que, à force d’en parler avec Maeva, nous avons décidé de te demander de nous dépuceler. Je ne voulais pas prendre le risque de le faire avec un jeune de mon âge, un peu inexpérimenté, qui risquait de me faire mal. Je voulais quelqu’un de mûr, d’attentionné pour m’aider à découvrir le plaisir. »
- « Merci de ta confiance. Viens ! »
Relâchant mon étreinte, je l’ai entraînée vers la chambre pour lui ôter sa robe et là, surprise ! Elle était entièrement nue dessous. Sa chatte dorée était habillée d’une toison brune bouclée taillée raz qui laissait bien apparaître ses lèvres charnues. Magnifique ! Déjà, habillée, elle était tout à fait belle, mais, nue, elle était vraiment superbe.
Elle m’a dit :
- « Dis-moi, ça te plait de me voir nue ? »
- « Encore plus que quand tu étais vêtue ! »
- « Merci, mais moi ça me gêne d’être nue si toi tu restes habillé. Tu permets ? »
Joignant le geste à la parole, elle a déboutonné doucement ma chemisette avant de me l’ôter. Elle a approché sa bouche de mes seins en disant :
- « Et tes petits seins à toi, ils sont sensibles, aussi ? »
- « Oh oui, comme les tiens, je crois »
Elle a suçoté mon téton en pinçant l’autre avant de glisser sa main vers ma ceinture pour ouvrir mon pantalon. Elle l’a ôté, a passé sa main sur la bosse qui gonflait mon slip avant me l’ôter aussi..
Évidemment, avec ce que nous venions de vivre, ma queue était bandée au maximum.
Elle l’a regardée.
- « Hum, c’est ça que tu vas me mettre dans la chatte ! »
-« Hé oui, c’est fait pour. Pourquoi, ça t’impressionne ? »
- « J’ai l’impression que tu en as une grosse ! »
- « Ne t’en fais pas, un sexe féminin et un sexe masculin sont faits pour s’adapter. Évidemment, à sec et sans excitation, même ton index peine à rentrer, mais, bien excitée, ta chatte s’ouvre et lubrifie. Elle se prépare à accueillir le membre masculin, gros ou petit. Certains vont même jusqu’à introduire la main entière, mais personnellement, je n’en vois pas l’intérêt. »
elle a posé un bisou léger sur ma queue puis est venue m’embrasser. Je l’ai attirée sur moi. Mon membre bien dur appuyait sur sa chatte. Ses seins frottaient contre les miens. Mes mains parcouraient son dos, descendaient sur les flancs, puis sur les cuisses avant de remonter en empaumant bien les fesses et en parcourant du bout du doigt le sillon culier, poursuivant au long de la colonne vertébrale.
J’ai glissé mes mains entre nos torses pour empoigner ses seins qui ont aussitôt réagi à mes caresses. Elle s’est un peu soulevée pour me faciliter l’accès. Je l’ai attirée pour approcher sa poitrine de ma bouche et j’ai entamé la valse de mes lèvres et de mes mains qui ne laissaient jamais un sein en repos. Elle ronronnait et haletait sous le plaisir.
Je l’ai alors fait basculer pour retrouver au-dessus d’elle. J’ai continué quelque temps d’honorer ses seins avant de glisser vers le bas, parcourant des mains et des lèvres chaque parcelle de son corps, m’attardant quelque peu sur le nombril, puis sur l’intérieur des cuisses, habituellement si sensible. J’ai remonté un peu, les yeux à ras de sa superbe chatte avant d’y glisser ma langue. J’ai exploré ses lèvres, agacé son clito, glissé ma langue dardée dans l’antre déjà bien ouvert, ouverture que j’ai vérifiée en y glissant un doigt puis deux, puis trois. Pas de doute, elle était prête à accueillir ma queue. Je l’ai sentie se contracter et se cabrer avant de déverser son nectar dans ma bouche gourmande. J’ai lapé encore un peu pour recueillir un maximum de liqueur avant de laisser sa chatte pour m’approcher de sa bouche et l’embrasser pour lui faire partager son parfum et son goût de femme. J’ai avancé une main pour guider ma queue à l’orée de sa chatte, mais elle m’a dit non.
Là, franchement, je ne comprenais plus. Pourquoi reculer maintenant ? Elle m’a repoussé pour me faire basculer sur le dos. Là, elle m’a enjambé, a saisi ma queue entre ses doigts pendant que l’autre écartait ses lèvres. Elle a présenté l’objet de son désir à l’orée de sa grotte, l’a fait pénétrer un peu, faisant quelques va et vient superficiels. Je la laissais faire en caressant ses seins, attentif à la progression de son con autour de ma queue qui, je le sentais, butait contre son hymen.. A un moment, elle a reculé à la limite de la perte de contact puis, d’un coup de rein, s’est empalée à fond, se dépucelant elle-même sur mon pal.. Elle s’est vautrée sur moi pour m’embrasser puis, lâchant ma bouche, a entamé un va et vient encore mal assuré mais qui la conduisit rapidement à la jouissance.
Elle s’est affalée sur moi, me remerciant du plaisir que je lui donnais. Mais je n’avais pas encore joui. Ma queue bandée me faisait mal. J’ai commencé à aller et venir avant de jouir à mon tour. Mon plaisir a été à la hauteur de l’excitation des caresses échangées et, surtout, d’avoir pu dépuceler une aussi belle fille. Le parfum de sa jouissance avait sur moi un effet aphrodisiaque extraordinaire. Je suis resté en elle jusqu’à ce que mon membre ramolli ressorte de lui-même. Nous sommes restés enlacés un moment avant de nous désunir. Je lisais dans ses yeux son plaisir de femelle satisfaite. J’étais heureux d’avoir pu lui ouvrir ainsi la voie de son plaisir. Bien sûr, je n’aurais pas longtemps le plaisir de baiser avec elle mais qu’importe. Nous avions, tous les deux, pris beaucoup de plaisir. J’étais même surpris que, pour une première fois, elle jouisse autant. Visiblement, elle avait de grandes dispositions et j’espérais qu’elle pourrait tirer le maximum de plaisir en continuant à les développer avec ses futurs amants.
Je lui ai offert un verre puis elle est partie en me disant « à demain ».
Je ne pouvais vraiment pas y croire. Deux jours de rang, j’avais eu la chance d’accompagner les débuts de deux jeunes filles. Le premier, je les avais pénétrées et elles m’avaient offert leur pucelage. Avec Maéva j’avais pris du plaisir, mais j’avais avant tout joué mon rôle d’aîné en lui ouvrant de mon mieux les portes du plaisir mais, avec Aïcha, si j’avais aussi eu ces plaisirs, je m’étais retrouvé dans les bras d’une superbe jeune fille déjà très femme et vraiment douée pour le sexe. Vraiment, j’avais une chance inouïe. Et en plus, demain, elles veulent venir toutes les deux ! J’étais tellement excité en me remémorant ces instants divins que je bandais encore et que j’ai dû me palucher pour me soulager à nouveau.
à suivre . . . .

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