Visite Au Sexshop (Première Partie)
Désolée pour vous, mes lecteurs et lectrices qui m'encouragez et que je remercie, mais ma partouze espérée a bien eu lieu, mais sans moi. J'ai attrapé un rhume carabiné, et n'ai pas voulu contaminer mes petites copines. Je vais devoir attendre plusieurs semaines avant de plonger, du moins je l'espère, dans l'arène.
Mais j'ai heureusement d'autres week-end à vous confier. J'ai passé le samedi suivant en compagnie de Sandrine et de Danièle. On s'est aimé entre filles, sans surprises, mais avec toujours autant de désir et de plaisirs partagés. Puis elles ont évoqué le samedi prochain. Elles ont décidé d'aller dans un sex-shop faire un achat et passer du bon temps. Je suis intéressée par leur projet et demande à participer. Elles m'expliquent ce qu'il s'y passe, et je suis toute frétillante d'impatience d'être huit jour plus vieille.
Enfin le grand jour. On déjeune toutes les trois chez ma chérie, puis on s'habille en conséquence.: jupe courte, teeshirt moulant, bas et porte jarretelles, chaussures à talons hauts; pas de culotte ni soutien gorge. C'est la première fois que j'ose sortir en pareille tenue, et je trouve cela des plus excitant.
On arrive au sex-shop. Mes copines sont connues du patron, lui font la bise, et j'en fait autant. Il a la quarantaine, est bel homme, et me regarde d'un il intéressé. Sandrine lui demande si on peut passer de l'autre côté du rideau, et il accepte. En principe c'est interdit, sauf si on a payé, mais pour les femmes et surtout pour elle il ferme les yeux. Elle reste dans la pièce d'entrée avec le patron, et Danièle m'entraine derrière la tenture, où se trouvent des cabines individuelles. Elles m'ont expliqué en détail ce qu'elles y font: Dani cherche des hommes à branler ou sucer, et Sandrine qui reste 100% lesbienne mais voyeuse, est là pour se régaler de la vue, mais surtout veiller sur son amie, et ne pas la laisser seule. Pour une fois Danièle va se retenir et me laisser jouer son rôle, elle veillera sur moi.
Il y a une petite entrée avec des toilettes, puis un couloir qui fait une boucle avec des portes de chaque côté, une quinzaine en tout. Je prend une grande inspiration et me décide à m'engager dans ce lieu glauque et tentateur.
Les deux premières cabines sont vides. La troisième est occupée et ne s'ouvre pas à notre invitation. Encore vide, vide, puis occupée. On baisse la poignée, et on entend le verrou s'ouvrir. Dani pousse la porte, passe la tête, et demande si on peut entrer. Elle s'engage et je la suis les jambes tremblantes, le cur au pas de course. On contient à trois et le mec referme la porte. Il regarde un porno sur un écran télé, assis sur une chaise, pantalon et caleçon aux chevilles, et caressant son sexe dressé. J'ai le feu aux joues et aussi au ventre. Dani lui demande si je peux le branler, et il accepte sans trop comprendre ce qu'il lui arrive.
Je repense à ma résolution de ne pas tromper mon mari avec un autre mec, hésite à partir l'espace d'une seconde. Mais le feu devient brasier, sa queue semble m'attendre, et je me laisse aller sans réfléchir. Je m'accroupis et me saisis de sa hampe. Je n'ai pas d'expérience réelle des hommes, mais elle me semble dans la bonne moyenne au vu des vidéos internet. Je le masturbe, sans doute maladroitement; et il pose sa main sur la mienne pour m'indiquer le rythme. J'ai compris ce qu'il attend et il me laisse faire. Je m'active sur son manche qui grossit et durcit, et sur son gland qui me fascine. Il pose à nouveau sa main sur la mienne, la remonte sur son bourgeon, la maintient à l'aide de sa deuxième main, et sans me prévenir il jouit. Je sens son sperme bouillant se répandre sur ma paume, sur mes doigts, sans pouvoir me retirer. Il grogne de plaisir et une fois satisfait relâche sa pression. Je relâche son sexe et regarde ma main couverte de sperme. Dani me tend un mouchoir papier, je m'essuie, puis on sort et je vais me laver aux toilettes.
J'ai envie de ressortir mais elle me dit que maintenant que j'y suis, il faut aller au bout.
Il y a deux personnes, un mec qui se fait sucer par l'autre. Il lui adresse des paroles obscènes:
- "Suce bien putain, on a de la visite. Montre quelle bonne suceuse tu es. Montre leur à ses poufiasses qu'on peut se passer d'elles."
La personne qui pompe est un mec, et je comprends qu'ils sont homo tout autant que Sandrine.
- "Regardez bien les filles, si vous voulez une leçon de pipe vous ne pouvez pas mieux tomber. C'est la meilleure bouche du coin, une vide couilles sans pareille."
Le spectacle nous plait à toutes les deux, on relève nos jupes et on se masturbe. On les regarde, et je vois le mâle dominateur plaquer la tête du suceur contre lui. Son nez s'écrase dans ses poils, et je sais le manche enfouis entièrement dans sa cavité buccale. Ils restent quelques instants sans bouger, puis le soumis se débat pour se défaire de l'emprise. L'autre le libère, il se recule pour reprendre son souffle, ses lèvres reliées à sa sucette par un long filet de salive. Il a récupéré, crache sur le sexe dressé devant lui. Un sexe de belle taille, et je me demande comment il peut le prendre jusqu'à la racine. Comme pour répondre à ma question, il le branle, puis le pompe à nouveau sur toute la longueur.
Ce mec suce à merveille, mieux que les vidéos que j'ai vues. J'ai envie de sucer moi aussi et me prépare à sortir en quête d'une autre bite.
- "Attend, ne pars pas avant la fin, il y en a pour une minute. C'est une pompe à sperme, et il aime que tout le monde le sache."
Je reste, et je le vois se retirer, se branler, et se vider dans la bouche de son partenaire. Celui-ci reçoit tout , de longues giclées à dégueuler. Il avale tout, puis re-suce son amant.
On ressort et on continue le couloir.
Il regarde lui aussi un film x, assis sur une chaise, entièrement nu. Il est tel qu'elle me l'a décrit: la soixantaine, grand, baraqué, bien foutu, et avec un sexe impressionnant. Il a les cuisses écartées, et je m'installe entre. Je louche d'étonnement et d'envie devant son sexe qu'il a lâché pour que je m'en serve. J'avance ma main et le caresse du bout des doigts, comme un objet précieux. Puis je referme ma main dessus, ou du moins j'essaie. Sa queue est grosse, et je n'arrive pas à en faire le tour. Elle est aussi bien longue et avec ma deuxième main je recouvre juste sa hampe, laissant le gland à l'air libre. Je le masturbe doucement. Son sexe est chaud, doux, et durcit de plus en plus. Puis j'abandonne son manche pour caresser ses testicules. Il a une superbe paire de boules, qui me font m'exclamer à haute voix. Il s'adresse à moi:
- "Elles te plaisent mes couilles? Tu veux t'amuser avec?"
Je fais signe que oui avec la tête, il me fait me lever, se lève, et se met debout sur la chaise. Il se tient devant moi, son sexe à hauteur de mon visage. Je suis fascinée par son bel appareillage entièrement rasé. Je pose mes mains sur ses hanches, plaque ma figure sur sa masculinité, et me frotte sur sa queue, son gland, ses couilles, renifle son odeur de mâle. Puis ma bouche s'attarde sur ses parties que j'embrasse, lèche, suce, aspire, gobe, comme une salope en feu. Je n'ai connu qu'une paire d'olives et une quéquette minuscule, et je découvre qu'il existe des paires de prunes et des verges majuscules. Je me régale à savourer ses boules, une à la fois tant elles sont volumineuses.
Dani, qui se masturbe depuis le début, s'approche de moi.
-"Alors il n'est pas bien mon mec? A voir comme tu mouilles, il te fait de l'effet. Et encore tu ne l'a pas sucé, tu vas voir comme c'est trop bon."
Puis profitant que le sexe de notre amant soit libre, elle ouvre grand la bouche et la referme sur son gland. Je continue à brouter les couilles et mâte ma copine. C'est plus que je ne peux supporter, il faut que je suce. J'abandonne mon repas, remonte ma langue le long de la hampe, jusqu'aux lèvres de mon amie. Elle se retire pour me laisser la place.
J'ai très peu sucé, mon mari quelques fois, mais me débrouille assez bien à en croire mon partenaire. J'ai bien observé le mec de la cabine précédente, j'apprends vite, et surtout il a une bite qui m'inspire.
Dani lui rappelle l'interdiction de jouir dans ma bouche, et je lui fais confiance. J'aimerais le gober entièrement mais mon inexpérience m'en empêche. Je l'engloutis au trois quart et il semble satisfait de ma performance. Je le turlutte comme une trainée, et il se retire avant de jouir, par précaution.
Je relève mon teeshirt par dessus la tête, suis devant lui le torse nu, les seins dressés. Il descend de la chaise, je m'empare de sa trique et le branle énergiquement. Il gémit, grogne, et se répand sur ma poitrine. Il n'en finit pas d'éjaculer, et je comprends mieux la grosseur de ses couilles. Il a finit de ma cracher dessus, je presse son manche pour le vider totalement et essuyer les dernières gouttes sur mes jolies petites mamelles.
Dani s'adresse à lui: "Nettoie là vieux salaud"
Elle est jeune, petite, mince, lui bien mûr et musclé, et je n'en reviens pas comme elle lui parle. Il ne s'en offusque pas, et obéit à son ordre. Il s'agenouille devant moi, me lèche les seins, les suce, me nettoie. Il récupère son sperme, et l'avale avec gourmandise. Je me dis que c'est un porc et ça m'excite. Je suis moi aussi une cochonne et je glisse mes doigts dans ma chatte pour savourer ma cyprine. Dani en fait autant.
On quitte notre beau mâle, et on revient à la cabine 11. La porte est entrouverte et à attendre les bruits nos homos sont toujours là. On entre sachant qu'ils aiment les voyeurs, ou voyeuses. Le soumis est penché en avant, et le dominateur s'active derrière lui pour une sodomie profonde. Il se réjouit de nous revoir et repart dans ses délires obscènes:
-"Alors les filles, ça vous plait des mecs qui s'emboitent? Regardez la cette salope ce que je lui mets, elle est aussi bonne à tringler qu'a sucer. Je vous enculerais bien mes chéries, mais elle est jalouse et ne veut pas me partager, dommage pour vous!"
Ce salaud a le don de m'exciter. Il se retire de son partenaire, pour mieux le prendre, et recommence à maintes reprises pour exhiber son manche hyper bandé, et le fion de son copain hyper dilaté. J'ai le cul affamé, et déteste ce mec jaloux qui ne veux pas partager. J'ai une énorme envie de me faire ramoner jusqu'entre mes reins, mais sachant l'impossibilité je quitte la cabine.
Je regagne les toilettes pour me laver les seins, et me rafraîchir le cul. Dani s'amuse à me voir faire, puis on regagne la boutique.
A suivre..................
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